Et il y a aussi le 60e anniversaire de la libération du camp de Breendonk. Sur le vie et surtout sur le vie de l'homme dans le camp, va la suite de l'histoire. Les nazis orientent Breendonk en auguste 1940 comme un camp d'abattement pour les soldats et les jônes avant leur déportation en Allemagne. Ils voulaient le camp comme une colonie de vacances.
Mais c'était le moins. Les prisonniers devaient graver 300 000 m3 de terre. Et pour chaque 30 détenus, il y avait un... Nous faisons une reconstruction de la façon dont le camp de la folle de Breendonck allait se dérouler.
Prendonck n'était pas à comparer avec le pays de Rassik. Breendonck était un camp de punition, où on était maîtrisé, où on était fusillé, où on avait été emprisonné, où tout le monde souffrait de faim. En Allemagne, on a eu des gens qui ont disparu.
En Allemagne, on a eu des gens qui ont disparu. Mais ici, on a toujours été en train de se faire enlever. Mais ici, on a toujours été en train de se faire enlever.
Les SS ont été enlevés. Les SS ont été enlevés. Maintenant je suis comme ça, mais quand je suis revenu, je me suis fait mal.
Je suis allé à la maison, tout le monde en train de pleurer. Je me demandais toujours, pourquoi tu pleures ? Je n'ai pas laissé de sourire.
Ça a duré des années pour ne plus avoir de sourire. Ça ne m'a pas changé. Si tu as une méconnance de banque, tu as un numéro.
Mon numéro de chanson, le numéro de Breen Donk. Je ne vais jamais l'oublier. Jamais. Jamais. Oui, mais oui.
Les gars. Pendant des décennies, Breen Donk était presque un point sombre dans le mémoire collectif de Belgique. Il y avait un long bruit de silence.
sur l'un des plus graves camps nazi en Europe, au milieu de Belgique. On ne parlait pas beaucoup de ce lieu de la faim, de la travail de force inutile, de la torture, de morts immédiates et de massacres. En 4 ans, plus de 3500 prisonniers passent par Breen-Dom et sont arrêtés. Un véhicule avec des parlementaires allemands se déplace ici, comme à d'autres points de la frontière, derrière la ligne belge pour interdire l'armée belge. Tens de milliers de peuples ont retourné à leur quotidien.
Pour la Belgique, l'armée est en cours de fin. La commune de Breendonk reçoit le commandant de la commune de Mechelen le commandement de l'armée de Breendonk. A la commune de Breendonk, commence une nouvelle guerre.
Le plus grand directeur est la police politique du Duits. Les Duits sont allés d'abord à la commune, normalement, à la commune, et ils ont appelé le secrétaire et mon père, et ils sont venus là-bas et ont dit, voilà, le dimanche, nous devons avoir ça, ça, ça, ça, ça. Oui, nous avons fait ça.
C'est pas possible, on doit demander la permission de l'auteur. Et on ne l'a pas fait. Il devait se passer, il devait être contre les potes, les panneaux et les matrasses. Les matrasses de Sartre ne sont pas vraies, bien sûr. Le fort de Breendon est prêt pour son travail de retenue comme camp de retenue ou de retenue.
Le 1er prisonnier arrive le 20 septembre 1940. Le maître de la peau jaune, Friedman, et ses deux fils... ...comment de volgende dag aan. Quand nous sommes arrivés ici, il y avait quatre ou cinq prisonniers, avec le Major Schmidt seul. Le camp-commandant SS-Sturmbaanfuhrer Felix Schmidt, heeft alles te danken aan de nazi-partijen en aan de SS.
Na de eerste wereldtouroch, is hij een van de miljoenen werklozen in het verslagen en vernederde Duitsland. De SS geeft hem de kans snel carrière te maken. Quand Schmidt vous regarde, On faisait presque dans sa culotte rien que quand il vous regardait. Vous aviez tellement peur de lui que c'était incroyable. Je n'ai jamais vu un regard comme Schmitt avait.
Le plus mauvais sadiste des SS qui a fait la plage dans le Brindon est le lieutenant Arthur Praus, alias le rat des camps de concentration. Praus vient de Sachsenhausen-Oranienburg, l'un des premiers camps en Allemagne après la décision de Hitler en 1933. Puis on voit arriver un petit gros comme ça, en uniforme. C'était le lieutenant Prost. Et Prost, pour me mettre à l'aise directement, il dit...
C'était un Marolien de Berlin. C'était un chauffeur de taxi là, je crois. Il a fait le chauffeur de taxi.
C'était une crapule de Berlin. Prous, goûten, c'est beau, c'est pas le bébé, mais c'est le petit bébé. Il est, au niveau militaire, le plus grand victime. Après la victoire de France, il fait une parade triomphante par Berlin.
Le Führer est sur le cénit de sa gloire. Le Zegerus vote le Duc de Schmitt. La première semaine, le commandant Schmitt laisse un régime relativement agréable à Bredonck.
Le maître de la peau, Friedman, reçoit, après des discussions, même des arts spéciaux. Mon père s'est plaint chez Schmitt qu'il avait une hernie. Il a dit, moi je ne sais pas travailler là. Alors Schmitt l'a regardé comme ça, il était très étonné qu'il ose lui parler.
Alors il lui a dit, qu'est-ce que tu sais faire ? Moi je suis un tailleur et d'ailleurs ce que vous portez, moi je sais le faire aussi, il a dit. On lui a dit, qu'est-ce que tu as besoin ? Il a dit, j'ai besoin d'une machine, des tables, des machins.
Ils lui ont tout apporté. Je crois qu'il a commencé par faire un pantalon pour le Major Schmitt. Il lui a fait une oeuvre d'art parce que c'est un pantalon qui doit durer une journée.
Lui, il l'a fait durer 15 jours. Et mon père était un fumeur. Et alors il disait à Schmitt, écoute moi j'ai besoin de fumer ici parce que travailler comme ça, il a dit je t'apporte des cigarettes mais tu dis rien à personne. Schmitt organise aussi un fête de chrétien dans le camp.
Les prisonniers doivent bien s'en payer. Pour la Noël, il y avait eu un restaurateur de Bruxelles ici. Je crois qu'il avait apporté quelque chose de bon, des histoires comme ça. Mais quand les SS sont tombés au soir, ils tirent leurs revolvers en l'air dans les rues de la forêt.
Les prisonniers creusent en peur sur leurs Britons. Braindunk devient déjà synonyme de peur et de terreur. Le cri de peur commence à l'arrivée.
On nous a amenés. En camion, ici, dans quelque chose dont on ne connaissait pas l'existence. Et c'est comme ça que nous sommes arrivés à Brindoc, dans un camp qu'ils appellent le redressement moral.
La rééducation morale commence dans le grand chemin qui donne l'accès au ford. Les SS chassent les prisonniers comme des bêtes. Leur écrit dans le chemin de l'endroit est émerveillant.
J'avais 16 ans, bien 16 ans et demi, j'allais avoir 17 ans, un mois ou deux après. Je voyais les soldats avec des armes, je ne comprenais pas ce qui se passait. Je savais que c'était la guerre, mais enfin je n'avais jamais vu une guerre. Les prisonniers qui n'étaient pas dans de grandes groupes, étaient mis avec leur visage contre le mur.
Ils pouvaient parfois rester ici pour des heures et des heures, une première indication pour la grue. Et puis j'arrive ici, ce sont les cris, l'ailement, le nez contre le mur, l'écoute matraque. On est dans un monde fou ici.
Je pensais, et j'y ai pensé, je le rappelle, à le texte de la divine comédie de Dante. Celui qui entre ici perd tout espoir. C'est absolument un conditionnement moral extraordinaire. Les détenus reçoivent des uniformes d'hommes de l'armée belge. Une dénouement de plus.
Chaque jour, les patriotes sentent que leur pays est dénoué. À la poitrine ! Les soldats, arrêtez !
Les yeux à l'aise ! Arrêtez, les pauvres chiennes ! Le appel quotidien est le terrain de jeu préféré de Proust, où il peut dénouer le prisonnier avec la discipline du cadavre et la punition de la vie. J'avais une chaussure normale, et l'autre chaussure était plus grande.
Mais quand on devait s'allumer dans la cour, il fallait s'allumer après la chaussure. Alors la première fois, j'ai reçu la clé parce que je n'étais pas aligné, je me demandais pourquoi, et je me suis aperçu que c'était à cause de mes chaussures. Alors quand je passais devant, je mettais le bout de mes chaussures bien avant, quand il passait le risque, on avait les chaussures pour que les talons soient bien avant.
C'est une fantaisie, c'est ridicule, c'est idiot, mais c'était comme ça. Tous les nez devaient être alignés, tous les torses, il ne pouvait pas y avoir un torse qui dépassait celui d'un autre. Et moi, comme j'étais plus ou moins récent, j'avais encore une torse assez critique, et elle est passée devant moi, et probablement que mon torse dépassait de quelques centimètres ceux des autres dont le torse était plutôt rentré, et bien j'ai reçu un de ces coupons en plein dans l'estomac, avec les insultes habituelles.
Oui, oui, les chevaux ont bien dormi et bien mangé, et peuvent travailler rapidement. Ce qu'il dit, c'est bien, mais il devrait appeler la voix comme tout à l'heure, parce que ça c'est une voix trop, trop, et trop, trop humaine. En dehors du monde.
de la moindre humilité n'est plus une langue. Dans le Bréendonk, le SS organise, sous le leadership de Proust, le travail le plus malade possible. Les prisonniers doivent dégager le fort qui est presque complètement sous le soleil. 250 000 m3 de terre.
Un travail sisyphus qui doit détruire le travail dédéniéreux, moral et physique. Les travaux se faisaient du bas vers le haut, c'est à dire qu'il fallait donc et la terre vers le haut ce qui était d'autant plus difficile et d'autant plus pénible sur des terrasses, des plateformes qui faisaient escalier pour arriver à hauteur de Seyben Ces wagons devaient être levés en bas, sur la brèche, de l'autre côté de la toile, puis aller repartir c'était un pass de la route Il y avait des gardiens qui ne pouvaient que regarder pour voir si les prisonniers allaient partir ou si ils étaient en train de travailler. Quand une de ces carrettes s'est arrêtée, il a été battu à la fin.
Faisons plus vite, plus vite, fais-le, fils de pute ! Des chiennes déchirées, fais-le ! Arrêtez, arrêtez, venez, vite, vite !
C'est bien. Si on lui met un truc, il est bon. Ces événements-là, ça n'allait jamais assez vite. On n'allait pas se dépêcher, ça devait durer le plus.
Il y a longtemps possible, quand ils voyaient ça, ils venaient furieux, alors ils venaient frapper. Arthur Prache prenait votre pelle, vous êtes des imbéciles, regardez, alors ils prenaient de la pelle, ils la jetaient à 10 mètres de haut et après la pelle sur votre tête. Et voilà comment il fallait faire.
Il fallait surtout travailler des yeux, surveiller les cesses, voir dans quelle direction ils se tournaient, arrêter, plier, et dès qu'ils revenaient, reprendre le travail. Pour échapper, il ne fut qu'à économiser quelques secondes d'effort. Ils avaient estimé, encore une fois, selon leur tête à eux, qu'on n'avait pas bien travaillé.
Alors bon, alors on devait se mettre en rang et alors ils commandaient, marche-marche, c'était courir. Une lègue, se laisser tomber. Alors, marche-marche, se redresser, courir. Une lègue, de nouveau, se laisser tomber. Ils faisaient ça pendant, allez, vous ne pouvez pas exagérer, une demi-heure, trois quarts d'heure.
Alors bon, on était tous... Et quand on entrait dans la chambre, du fait qu'on avait dépassé l'heure de la distribution de la bouffe, on apparaissait à bouffer. 17 février 1941, valt de eerste dode. Cameroverste Walter Obler, zelf un gevangene, maar een handlanger van de SS, is daarvoor verantwoordelijk.
Des morts au travail, il y en a eu. Des morts d'épuisement aussi. Et puis nous avons eu le... Premier mort, victime d'un Zuckfuehrer, d'un chef de chambré, mon chef de chambré, Walter Hoble, un juif berlinois, voyant arriver Nathan, qui était asthmatique, qui a failli étouffer à sa première nuit de Brendan, car il n'arrivait pas à bien respirer en étant couché, qui a été mis au travail le lendemain.
qui épuisé et n'arrivant plus à pousser sa brouette, s'est fait interpeller. Je lui ai dit en passant devant lui, courage, essaye de tenir le coup. Il a été ramassé par Obler, a été le jeté dans l'une des cellules, où il est mort. Ça a été le premier mort de Brendon.
...de prisonniers, Breen Donk n'est pas seulement un camp de punition, où seulement Schmitt, Proust et leurs bouls-knechts mettent le ton de discipline, d'ordre et de fortes punitions de corps. Dans le fort, la mort est partout sur le lourd....... La nuit, on entendait les avions qui allaient en Allemagne.
Qui allaient bombarder l'Allemagne. Alors évidemment, ça nous faisait tout même... Mais vous savez, c'était très, très relâche. On s'accrochait à n'importe quoi. N'importe quel petit indice.
Pour les prisonniers, la menace des déportations de temps à temps est une nouvelle source de peur. Mais la faim est finalement le plus gros délire. Le travail de force met les prisonniers sur le bord de la physique.
Un de ces trois lient à la faim. Comme des baguettes, c'était assez inquiétant. Gemiddeld kriegen de gevangenen een broodrandson van zo'n 250 gram brood per dag. Soms kregen ze dat alleen s'avonds. et ils devaient voir qu'il y avait de l'eau pour le lendemain.
On mangeait tellement peu que les petites miettes qui tombaient sur la table, on les ramassait encore avec le doigt mouillé, pour essayer d'adoucir la faim qui nous tenaillait. Il y avait aussi des extraits, comme quelques clous de sucre, ou de margarine, ou de marmelade. Le matin, on mangeait une conne d'une soupe magre. C'était tout, et le résultat ?
Van Hoeken, 50 ans, a eu 68 kg à son arrivée. Après 5 mois, 38 kg. Van der Veeken, avant son arrivée, et 5 mois après la brénol. Apparemment, la SS veut amener les déténés à la frontière de la mort de la faim. Depuis avril 1941, ils ne peuvent plus recevoir de paquets de nourriture.
La fantaisie sadiste de la SS n'a pas de frontières. Les emprisonnés doivent fournir les paquets de nourriture du Roi de la Croix à les vaches. Et alors, avec le colis, on est allé au trou au cochon.
Et tout ce que le cochon pouvait bouffer, j'ai dû jeter au cochon. Voilà. Et je n'ai rien reçu de mon colis. C'était dégueulasse. Et alors le cochon, on l'a engraissé.
Pas pour nous, hein. Pour les SS. Et maintenant que nous sommes là, c'est super horrible. Je ne peux rien voir. La naissance d'un fils et de l'épreuve est mort.
La SS a encore plus de surprises sinistres. En septembre 1941, marchent les membres de la SS. Les vlamingais et les bruxellais entrent le camp. Ils sont les plus mauvais des peuples de leur propre peuple. La plupart ont eu une formation en Allemagne.
Une caserne. Dans la région montagneuse de l'Allemagne, les jeunes vlamingais du régiment Westland reçoivent l'instruction militaire. Ils se sont très vite assimilés et accomplissent leur service comme n'importe quel soldat allemand. En route pour l'exercice. La plupart des vlamingais ici étaient en fait des vallonniers.
Adolphe Lampard, par exemple, a pris la voie de la guerre de la SS en 1941, mais une fois qu'il s'agit de se battre sur le front de l'Ouest, il a laissé son oeil s'éloigner. Lampard, selon les preuves de sa copine, a pris la voie de la guerre de la SS. Le plus particulier, c'est Weiss, un boxeur qui a été battu. Je ne pouvais pas parler pendant les premières minutes ou je me suis laissé un peu sans conscience parce que c'était un boxer assez cool.
Maintenant je vais me faire mal, je vais vous faire mal, je vous mettrai dans l'eau, vous, putain de... Chouette de poisson ! C'est bien, c'est bien.
Et là, il ne s'est pas trompé en disant encore d'un mot plus dégueulasse en flamand, c'est bon. De botte, de botte. Il a peut-être joué moins que Weiss, mais il était beaucoup plus intelligent. Il a toujours joué Weiss, qui était toujours assez simple à comprendre, pour faire ceci et cela. Ils ont fait une réunion ensemble pour faire un premier coup de mort de prisonnier sur le travail.
Mais c'était surtout Weiss qui jouait et le bâtiment qui était derrière. Il décrète que tous les opposants du régime doivent être arrêtés comme des chaises. Brayton est rempli de combattants de chaque camp de politique. Dans le camp, ils sont appelés des arrestants.
Ils attendent l'expérience des cellules d'isolation. Car la police politique du Géant a besoin d'informations. Les gens qui étaient ici étaient des gens qui devaient encore être questionnés. Ils étaient au secret. Et ne pouvoir avoir aucun contact avec les autres détenus.
C'est pour ça que nous étions dans les cellules et que lorsqu'on sortait, on mettait un sac sur la tête pour qu'on ne voyait pas éventuellement d'autres personnes qui étaient ici. Les plus délicatés étaient en cachets noirs. C'est...
au long du corps au garde-à-vous. Je n'ai pas tellement souffert de l'immobilité à longueur de journée, parce que j'imaginais des tas de choses, par exemple, plus tard, je construisais une maison, et puis deux jours après, je disais, non, ça ne convient pas, je vais changer ceci, je vais changer la terrasse, je vais faire ceci autrement. Et comme ça, les heures passaient, il fallait s'occuper, l'esprit qui restait en éveil, si vous voulez. Pour ne pas s'abrutir complètement et devenir fou, ou devenir une larve, ou devenir un zombie.
Le débat du Duc en Allemagne est en cours de réunion. Mais les premiers véhicules et les équipes sont encore en train de se débrouiller dans le mur de la toundra russe. Il n'y a pas encore eu de guerre de flotte.
Les prisonniers de la guerre entendent un brin de brin via le brin de brin. Le brin de brin, c'est le mur de brin, le circuit de roulement qui fait la tournée dans le camp. Il y avait deux coiffeurs dans le camp. Et ces deux allaient de chambre en chambre. Et là, c'était les nouvelles qui circulaient.
C'est eux qui donnaient les noms des nouveaux arrivants, qui eux donnaient les nouvelles du dehors. On a aussi des contacts avec l'extérieur, parce que des travailleurs de la ville viennent travailler, avec qui on peut parfois, en secret, un petit boulot, ou qui peut alors un journal, un journal de collaboration, en faire un prisonnier. Pour le reste, Breen Donk reste fortement déchiré de l'extérieur.
Les SS-ers déchirent la plupart des lettres. Les prisonniers ne peuvent pas recevoir un seul visiteur, mais le fort est près de la rue Antwerp-Brussels. J'ai vu ma femme.
Le Sturmbannfuhrer Schmitt qui demandait le fort, quand il y avait des femmes qui se rassemblaient sur la route, montaient dans sa voiture et les poursuivaient pour les chasser. C'était un de ses sports favoris. Les Bréndonkers sont des slaves, mais ils vivent encore.
Ils ont encore une chance. A Mechelen, pas loin de Bréndonk, se trouve la caserne d'Ossin, où les citoyens de Belgique, depuis le mois de novembre 1942, sont mis en charge. Philippe Schmitt est aussi le commandant. D'Ossin est une chambre d'attente de la mort. Quand il y a 1000 jodes assemblés, un train sort à Auschwitz, vers la mort mathématiquement sûre.
A Bréndonk, il y a de moins en moins de jodes. et plus de prisonniers politiques. La SS et la police politique du Nord veulent obtenir des informations de la campagne.
Breen Donk devient en 1942 un camp de mort. Les SS ont fait construire une chambre professionnelle. La seule en Belgique, Nord-François et Néderlande.
La chambre de mort qui est entrée ici était pour 70 à 80 une chambre de mort. La torture classique était la pendaison par derrière. Votre corps prenait une position horizontale, les douleurs intenables dans les articulations. Alors pour accentuer encore cette torture, on vous battait sur le dos, le bas du dos, à coups de cravaches, à coups de gourdins, et alors on vous laissait tomber sur ces blocs.
Souvent, ça vous cassait les genoux. Et on vous remontait, on vous rabaissait. Et alors généralement les sphincters, les organes sont relâchés.
Et c'est à ça que servait cette petite rigole que vous voyez là. C'était pas pour le sang, mais c'était pour... Et ça a duré comme ça jusqu'à l'évanouissement.
Les interrogateurs étaient nés dans les cigarettes, c'était leur cigarette. La nuit on les entendait quand il y avait des types qui passaient à l'interrogatoire, on les entendait hurler, les pauvres. Je n'ai pas dormi à ce moment-là, puisque tous ceux qui étaient passés en sérieux, moi j'étais passé au bunker aussi, je savais ce que c'était.
Je n'ai pas dormi. Foltreux blève d'une uitzondring, mais on ne peut pas dire que c'est un des plus grands problèmes de la vie. Mais on ne peut pas dire que c'est un des plus grands problèmes de la vie.
Il y avait un feu de feu en-dessous de nous. Et on a regardé. Oh, en dehors de notre jardin, regardez, regardez, ça va vraiment bien, mais... Une femme dit, quand un avion d'armes est venu, il est en train de se laisser tomber. Il est trop fort, il est tombé pour le Spitfire.
Il ne l'avait pas fait, parce que le Spitfire, il a continué de vibre. On dit, putain, les gars, ils vont se faire tomber. Bon, si on était dans le regard des SS, il n'est même pas ça, il râlait, il ne sait pas. Alors nous autres, on espérait toujours que c'était un avion des alliés.
Dans les années 90, on a eu l'occasion de voir les SS, de voir les Saffel, Lampard, Peleman, et on a été en train de les acheter. Aux yeux des prisonniers, il y a de plus en plus d'inconvénients. Dans le Brindonc...
Je suis allé à la place d'intérieur, où le pralce m'attend. Un pralce me dit, si nous n'avons pas de mordeur de la mairie de Chalarwani à la moitié du jour, vous allez y. Et je lis le texte de la voie.
Et ils sont tirés. C'est donc la première, mais pas la dernière, réaction de Gijselaers à Bredonck. Et puis, tout d'un coup, j'ai eu un cri. Il n'était qu'il fallait que la porte s'ouvre et que l'on m'applique mon numéro et que ça se passait avec moi. Et ça a eu un énorme impact sur moi.
Quand j'ai vu quelqu'un dans la rue, j'ai toujours eu cette peur. En hiver 1942, la Seconde Guerre mondiale prend une décision décisive. Le débat sur Stalingrad est en train de se dérouler.
Les dernières offensives d'enferment de la Duque sont en train de se dérouler. Le 2 février 1943, 90 000 soldats du pays se sont déroulés, contre le vouloir de Hitler. Tout le monde sait ça, après Stalingrad, ils se sont rendu compte, ceux qui étaient un peu intelligents, que ce n'était pas brillant pour eux.
Alors, il y en a qui ont compris ça d'une façon, mais les SS ne comprenaient rien. D'ailleurs, pour eux, ils avaient leur Führer et le reste ne comptait pas. Le Führer, dit son propagande à ministre Goebbels, le défend, de totale oorlog de Prediker.
En 1943, Tim Brandon déclare le totale terreur de Prediker. Les SS, mais surtout les BOTS et les WIS, appelés les BESTMENS, s'éloignent de la mort et de la mort. Ici, ils ont devenu un homme de l'homme.
Un patron WIS et des BOTS. Disant celui-là, je l'achève sans le toucher. J'ai vu aussi Weiss, qui tapait avec un tranchant de pelle à la figure d'un israélite qui était dans l'eau.
Coup de bêche. Il voulait sortir, l'on l'a bêché. On le rafoutait dedans à coup de bêche comme ça, etc.
C'est vraiment pas rigolo, hein. Quand je pense à ce petit homme, c'est ce gosse qu'on a enterré, juste sa tête qui dépassait. Et qui nous oblige à marcher dessus, parce que ce gars s'appelait Samir, écoutez.
Comment est-ce qu'on peut se livrer à des horreurs pareilles ? Les bombardements galéens sur les grandes villes du Duit se débrouillent. Des tempêtes de feu font 10 000 morts.
Les SS dans le Bréndonc veulent prendre la frappe. Leurs parents, leurs mères, leurs enfants sont en danger. Encore une fois, le débat belge est mort, comme le sont les coups de main de la nation.
Paul Collin, le directeur principal de Cassandre, est un des plus importants livres de collaboration français. Collin est un ami personnel du chef de l'SS de l'Anse, Léon de Grelle. De Grelle demande que les acteurs...
Le travail est donc rapidement finie. L'exercice de la question se trouve dans le Bréendonk. Les acteurs sont regroupés.
Selon plusieurs témoins, les SS utilisent des rouleaux trop gros pour les réconcilier, ce qui dure longtemps pour les députés. Les députés de Breendonk seront systématiquement réconciliés comme des députés de la guerre en Belgique. En total, il y a 164 convaincants.
Fin 1943, les Alliés ouvrent le 2e front à Arsène comme si c'était le pays de Sicile. Mais le 2e front signifie en termes de mort de la nation du Gouvernement. En Breendonck, la situation s'améliore fin 1943. Le commandant Schmitt prend un débat dédié. Schmitt était également commandant de Breendonck et de la caserne d'assises de Mecque.
Dans la caserne d'assises de dessins, il avait des ateliers de vêtements où les jétois travaillaient. Et avec cette vêtement il avait fait un marché sur le marché noir. Il a donc été mis à côté en dossier et probablement en tant qu'exécutif de la même affaire plus tard aussi, et aussi de l'esprit.
Le roi de l'Ouest, Karl Schönwetter, suit Schmitt. Schönwetter est en essentiel une figure faible qui aimerait finir avec les mauvaises conditions, mais ne réussit pas à ce point parce qu'il ne peut pas aller vers le proche. Schönwetter est surtout un choumelaar.
Il laisse les prisonniers grouper de grandes quantités de fruits qu'il vend pour une réduction personnelle. Le commandant de camp et d'autres SS ont vendu de grandes quantités de fruits à des acheteurs de la région. Et avec l'obtention de ces fruits, il a acheté un manteau d'or cher pour qu'il puisse passer à son femme à l'État pour l'acheter. Dans les chambres des prisonniers de Breendonk, il y a une épreuve.
Une évacuation complète semble être à venir. Les Duits ne veulent pas laisser de traces et commencent avec la démonstration des pôles d'exécution, de la galgue et du bunker. ...amener à Buchenwald après un voyage de deux jours et demi. Encore quelques semaines plus tard, ça était encore plein. Parce que c'était...
Ils ont fait beaucoup de razzia depuis le mois de mars jusqu'à la libération. Ils ont fait beaucoup de razzia et Fortis a dû être déroulé un peu. A jusqu'au dernier moment, fin auguste 1944, des prisonniers sont encore marqués et réjustés.
Et finalement, à D-Day, 6 juin 1944, arrive le grand news. Les alliés sont arrivés en Normandie. Au début septembre 1944, la Belgique est libérée. Les derniers prisonniers sont quelques jours avant, dévoilés vers les camps du Duc.
La terre dantesque de Bredon est maintenant abandonnée. Le fort est presque dégagé. En quatre ans, une quart de million de mètres de terre est manuellement dégagée. C'est presque incroyable. Quand les Breen Donkers reviennent de la campagne du Gouin, ils ne croient qu'à leurs histoires.
Pour beaucoup d'entre eux, un nouveau drame commence, le grand silence. Je ne sais pas transmettre ce qu'on a vécu, ce qu'on a ressenti, même de ma famille directement, mes enfants. Je rencontre des femmes, je rencontre relativement peu, vous savez.
Gliner prête serment. Brendonk, dit-il, dépassait Buchenwald en horreur. Il raconte la mort de Georges Leleu.
comme la loi le prévoit pour les traîtres de pays. Philippe Schmitt est exécuté le 8 auguste 1950. C'est le dernier délire qui est fait en Belgique. Schmitt était presque 4 ans le plus indépendant de Breendonk, un oeuvre d'absolute inhumanité. La totale inhumanité par le terreur des opposants politiques comme l'idéologie de la guerre. Breendonk, cette expérience est maintenant...
La semaine prochaine, vous verrez le premier détail de la série Meisters de la terreur