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Notes essentielles du cours Pygmalion

Allez, on va pouvoir commencer. Assalamu alaikum. Je suis vraiment très, très, très content, très fier. Vous m'avez... beaucoup manqué.

L'activité Pygmalion, normalement, on commence en septembre. Avec cette année difficile, ça n'a pas été évident avec vos examens, mais tout est bien qui finit bien. Donc, bienvenue à cette douzième saison de Pygmalion. Comme vous l'avez vu sur le groupe Pygmalion. Donc, vous avez certainement vu le timeline.

Pendant ce mois de janvier, on va faire les staffs deux fois par semaine. En général, je dis bien en général, jeudi et lundi. Ça va être une heure. Au mois de février, ça va être une fois par semaine, ce qui est le congrès. Donc, on va essayer de s'adapter.

Après, on va faire, parce qu'il y aura les examens en général le mois de février. Après. On va faire deux petits stages de raisonnement clinique avant de se lancer vers la fameuse émission Piglanta. Alors probablement on ne va pas pouvoir la faire dès le début de Ramadan, mais certainement il y aura un moment de Ramadan. On est prêts ?

Vous êtes prêts ? Mes amis, vous êtes prêts ? Juste par curiosité, est-ce que j'ai la... FMPO présente ?

FMPO ? FMPO ? Tangé ?

FMPT ? Tangé peut-être ? Yes.

Tangé ? FES ? FNPF ? Rita, bien sûr, tu es là.

Rabat ? FNPR ? On n'en aura pas toujours, nombreux. We are back, yes.

FNPC, Casa, Enforce, bien sûr. FNPM, Marrakech. FNPA, Gadir, Emilo. Vous êtes là, FNPN. FNPL, la IUM.

OK. Alors, il faut savoir... Je pense que j'ai tout dit. C'est exactement ça.

Alors, si jamais ça m'arrive de partir sur... Oui, c'est... C'est encore jeune.

Alors, si vous êtes en deuxième année et que vous êtes là, il n'y a aucun problème. Mais juste suivez. Ça va être...

plus intéressants à partir au moins de votre troisième année. Mais ce n'est pas grave, les deuxièmes années, juste essayez de suivre, aucune interaction, mais il y aura des notions que vous allez pouvoir comprendre. Qu'est-ce que j'allais dire ensuite ? Oui, parfois ça m'arrive de partir dans des congrès.

Si le congrès tombe sur une date du staff, on fait à ce moment-là ce que nous appelons les staffs in situ. C'est-à-dire, je le fais accompagner les étudiants de la ville et on est connecté avec tout le monde. Alors maintenant, ce que je dois vous conseiller, et vous allez me promettre, et parfois, qu'est-ce qui va se passer à l'après-examen, J'ai fait un diélecom, pourquoi vous faites ça, ça va ? Je vous assure, ce n'est absolument rien une heure par semaine. Est-ce que c'est clair ?

Est-ce que vous pensez qu'une heure par semaine, ça va vous rendre la tâche difficile ? Une heure par semaine. Alors là, on commence très très fort, plus de 300, c'est exceptionnel, c'est un record.

Et j'aimerais garder ce chiffre-là jusqu'à l'âge. Parce qu'à un certain moment, je vous dis ça à l'expérience des années, ça demande 9 heures par week. Et croyez-moi, ça va vous transformer.

Il n'y a aucune prétention, mais ça va vous transformer dans le bon son. que vous faites au papy Glanta parce que c'est pas ça le but mais après moi je fais attention aux personnes qui sont régulières sur le staff qui sont là tout le temps et croyez-moi c'est une expérience incroyable on y va on y va on y va ok est-ce que vous avez de quoi noter un registre surtout un registre Oui, vous aurez besoin d'un registre. Donnez-moi des fournitures scolaires.

Vous aurez besoin d'un registre, d'un stylo bleu et de deux fluorescents. D'accord ? Et à chaque fois que je vais dire fluorescent, c'est un truc que vous devez garder à vie.

Est-ce clair ? Quand je vais dire le mot fluorescent, c'est un message clé à vie. Je dis bien à vie. Quel que soit votre parcours, quel que soit votre spécialité.

Est-ce clair ? Alors, autre chose, quand vous rentrez dans la réunion, désactivez les caméras et les micros. Pour ces premiers staffs, la communication, comme ça va, est sur le chat. Il faut être interactif.

Quand on va arriver au staff du réseau clinique, à ce moment-là, on va pouvoir activer les micros. Pour le mois de janvier et février, pas de vidéo. Pas de caméra. Si ce n'est tout à fait à la fin du start, parce que c'est le premier start, on va prendre une photo ensemble. C'est la seule fois où vous allez activer les caméras.

C'est clair les amis ? C'est très net. Alors dernière chose, essayez d'aviser vos copains, vos amis.

Le zoom est diffusé en direct sur YouTube avec un léger différé, mais je préfère de très loin que vous restiez le zoom. Parce que ça discute. Est-ce que c'est clair ? C'est clair ?

Alors, on vient de dire désactiver les caméras. Désactiver les caméras. D'accord ?

Est-ce que c'est clair ? Désactivez vos caméras, s'il vous plaît. Je comprends, c'est le premier stade. On va être... Il n'y a pas de problème.

Mais à partir... Alors, indemne cette loi. essaye de désactiver la caméra, s'il te plaît, chéramique.

Dernière chose, la ponctualité. 22 heures, c'est 22. Est-ce que c'est clair ? Tout est clair ?

J'avais oublié. Amen. Alors, dernière chose.

Parfois, mais c'est pas c'est un épisode, là vous êtes bien connecté. Ne me dites plus j'ai un problème de connexion. pas. Vous savez pourquoi ? Parce que je garde à côté de moi une tablette pour que je vois ce que vous voyez.

Vous avez compris ? Je m'entends. J'ai une tablette, regardez, et cette tablette, alors quelqu'un est là, partagé, alors on va commencer par se fâcher d'emblée.

Alors, personne ne doit partager sans que je lui donne l'autorisation. C'est clair ? C'est clair, Néda ? Tout est clair. Mes amis, tout est clair ?

Allez. Maintenant, ce que je vais faire, je vais partager ma tablette parce que ça va être interactif. Zéro diapositive.

Alors. désactiver la caméra s'il vous plaît. Est-ce que vous arrivez à voir ma tablette ? C'est clair ? Donc moi, je vois ma tablette.

Je vois aussi le chat à côté. Je me vois moi-même. Je pense qu'on peut commencer. C'est clair ?

C'est clair ? Allez, vous vous rappelez de ce patient, la vignette ? Il s'appelait comment le patient ?

Néza. Néza, c'est un étudiant de deuxième année, sur Sartorat, Sbaf, l'amphithéâtre. Et c'était le premier cours de mon premier cours.

Alors, Nizar, 19 ans. Pourquoi il arrive aux urgences ? Pourquoi il arrive aux urgences ?

Ah, c'était pas mal, parce qu'il a une confusion. D'accord ? Alors, ce qu'on va voir aujourd'hui, quoi faire devant n'importe quelle situation. Et après, on va revenir à Nizar. Est-ce que c'est clair ?

Alors, quand vous êtes de garde et qu'un malade arrive pour n'importe quel problème, rappelez-vous, vous êtes de garde et un malade arrive pour n'importe quel problème, vous devez commencer par quoi ? Les sémi. La sécurité, oui. Alors, déjà, on a dit qu'on discute sur le chat. Désactivez les micros, désactivez les vidéos, s'il vous plaît.

Alors, les amis. surtout pour les nouveaux, parce que souvent on oublie de se mettre en sécurité. Toujours, toujours, mot-clé, avant même les constantes vitales, avant quoi que ce soit, commencez par vérifier quoi ?

La sécurité. Qui te dit qu'il n'est pas accompagné d'une famille dangereuse, de quelqu'un qui veut l'agresser ? Donc toujours, travaillons dans la sécurité.

D'autant plus que les malades qui viennent en urgence et en réanimation, il y a un contexte émotionnel. C'est trop grave. Donc, on est un peu inquiet. Ça marche.

Commencer par la sécurité. Alors, la sécurité de qui ? La sécurité de qui ?

Alors, la sécurité de moi-même. C'est comme le secourisme, mais là, on est dans l'hôpital. Donc, je m'intéresse à la sécurité du soignant.

Très important que je puisse donner des soins en étant sécurisé. D'accord ? Ensuite, la sécurité de qui ? Du soigné.

D'accord ? Quand vous recevez un malade, par exemple, en train de convulser, qui est la première des choses à faire ? Vous venez de recevoir un mal qui convulse.

Il est en train de convulser. Qu'est-ce que vous faites en premier ? Elle a eu des PLS.

Non, mais respectez le schéma. Qu'est-ce que je vous ai dit ? Assurer quoi ?

Il faut... Bon, en général, le soin, il est sécurisé. Mais comment on va sécuriser quelqu'un qui vient pour dire convulse ?

Non, première des choses à faire, elle est facile. Protéger. Il risque de faire quoi, ce mal qui convulse ? Voilà Khalilou, exactement.

Vous connaissez les barrières du chariot ? Vous connaissez les barrières ? Les barrières, vous connaissez ?

Ça s'appelle les ridèles. Ridèles, voilà. Voilà exactement où ça va. Il faut soulever les ridèles.

Et ça, pourquoi on le fait ? Pour assurer la sécurité du soin. C'est bon ?

Une dernière fois. Quelle est la première des choses à faire face à n'importe quel mal qui arrive ? La première chose à faire, c'est quoi ?

C'est la sécurité et c'est un mot clé. D'accord ? Alors maintenant que la sécurité du soignant et du soigné est assurée, je fais quoi ? Je dois vérifier quoi au départ ?

Avant le mot tu fais là. Vous savez, parfois il y a des mains qui arrivent quoi déjà en arrêt cardiaque. Il y a des mains qui arrivent déjà en arrêt cardiaque.

Et on oublie de vérifier, on est en train de l'ausculter et tout, alors qu'elle est déjà en arrêt cardiaque. Vérifier s'il est malade ou pas en arrêt cardiaque. D'accord ? Pourquoi c'est important de chercher l'arrêt cardiaque ? En premier.

Éliminer l'arrêt cardiaque en premier. C'est rare, mais il faut l'éliminer. Pourquoi ?

Exactement si tu... Non, non, au-delà du médicolégal. Là, maintenant, on doit sauver le passé. Alors, désactivez les caméras, s'il vous plaît.

Il faut être bel et aussi. Désactive ta caméra, s'il te plaît, cher ami. Oui, ça a été dit dans le chat.

Écoutez, justement, chaque minute compte dans l'arrêt cardiaque. Chaque minute compte dans l'arrêt cardiaque. Parce que chaque minute...

10, une minute de moins pour la perfusion du serve. D'accord ? Effectivement, ça on ne le verra pas à la suite dans d'autres stades, mais il faut savoir, plus on tarde d'une minute, il y a 10% de chance de moins. Vous notez chez vous, plus on tarde d'une minute, il y a 10% de chance de moins de sueur. Alors, quels sont les signes de l'arrêt cardiaque ?

Comment on va savoir que ce malade que je viens de recevoir est en arrêt carré ? Le premier signe qui m'écrame, le tout premier signe, c'est l'inconscience. C'est quelqu'un qui est inconscient, qui ne répond pas.

D'accord ? Alors notez chez vous, surtout pour les anciens parmi vous, cette inconscience parfois est le précédent d'une... Convulsion, c'est inconscience. Parfois, elle est précédée d'une convulsion.

Notez le chiffre. D'accord ? Le deuxième signe, c'est quoi ? Elle est certes inconsciente, mais en plus, elle ne respire pas.

Alors, parfois, on peut confondre. Des mouvements, on dit t'il a crif des gaspes. Les gaspes. T'il a crif les gaspes.

Et parfois, on a l'impression qu'il respire. Alors, il faut mettre dans vos notes les gaspes. C'est l'équivalent de l'absence de respiration. Donc, absence de respiration ou gaspe. Il ne faut pas se tromper, les gaz ne sont pas des mouvements respiratoires.

Ensuite, un truc qui n'est pas obligatoire, mais parce que vous, vous êtes des professionnels de la santé, on va chercher la présence du poulet en général et les absents. Et ça, ce sont les signes de l'arrêt cardiaque. Ce sont les signes de l'arrêt cardiaque.

S'il y a un arrêt cardiaque, je fais quoi ? Je vais démarrer les manœuvres pour sauver le cœur. Et ça s'appelle la réanimation cardio-pulmonaire. Ça s'appelle la réanimation cardio-pulmonaire. Non, Sarah, on n'a pas espoir.

que l'auscultation fait partie des signes de l'arrêt cardiaque les amis ? Non. L'arrêt cardiaque, sans diagnostic, il est purement clinique.

Ça marche les amis ? Et un de ces jours, fleurison clinique, on va discuter de la réanimation cardio-pimole. D'accord ?

Très bien. Maintenant, on a éliminé l'arrêt cardiaque. Ce n'est plus un arrêt cardiaque.

Que faut-il savoir maintenant à ce patient qui vient pour un problème X ? Que faut-il savoir ? Alors, en tant que réanimateur, j'ai besoin de savoir est-ce que je risque de faire de quoi ? Est-ce que je risque de, moi en tant que réanimateur, une malade très grave ? Non, non, il n'y a pas que de l'intubation.

Dites-le, déjà. Il risque de... exactement ça me semble, est-ce que je risque de perdre le patient ?

C'est ça votre idée au départ. Au départ, il ne faut pas que je rate les signes qui peuvent faire tuer le patient. D'accord ?

Alors, le patient risque de mourir rapidement s'il présente une urgence qui est... Il y a des oranges vitales, mais une urgence vraiment qui risque de les tuer sur place. Absolue, exactement.

Si elle présente une urgence absolue, elle peut mourir rapidement. D'accord ? Et pour savoir s'il risque de mourir ou pas, je dois répondre à la question suivante.

Est-ce que ma passion est stable ou instable ? D'accord ? Alors, à ce stade-là, et ça, ça va être fait toute l'année. Les amis, Samia, Belle, désactivez vos caméras.

Rappelez-vous, première des choses à vérifier, c'est quoi ? Allez, les amis, quelle est la première des choses à vérifier ? C'est la sécuite.

Ensuite, la deuxième des choses à vérifier, c'est quoi ? La récal. Troisième chose à vérifier, stable ou instable.

Est-ce que c'est clair ? Ça va être ça, votre raisonnement, toute l'année. C'est clair ?

Claire ? Alors, comment maintenant répondre à la question stable ou instable ? Il y a deux éléments que je dois avoir d'emblée.

Lesquels ? Avant d'évaluer les passions et tout, Je cherche deux éléments avant même la glycémie. D'abord, je dois savoir quel est son âge et quel est le motif principal.

Pourquoi il vient ? D'accord ? Toujours, toujours. Demandez l'âge et le motif principal. Parce que parfois, et ça je le vois les dernières années, on fait des scénarios, des cas cliniques.

Et parfois, à la fin du scénario, on oublie qu'on n'a pas posé la question sur l'âge. D'accord ? Alors, par exemple, Nézard, il avait quel âge ? 19 ans. Et quel était le motif principal ?

La confus. C'est exactement ça. D'accord ? Après l'âge et le motif principal, je vais appliquer une fameuse règle qui s'appelle comment ? C'est A, B, C, D. Et regardez, je vais mettre E à côté.

D'accord ? A, B, ça là, les constantes, il faut partir de A, B, C, D. C'est bon ? Donc, je fais A, B, C, D. Je laisserai E à la fin.

Est-ce que c'est clair ? Mais au départ, je commence par le A, B, C, D. C'est clair ? C'est bon ?

Voilà, c'est clair ? Je passe à la page suivante. C'est bon ?

Est-ce que vous notez avec moi en parallèle ? J'essaie de partir doucement et je pense que le rythme est bon. C'est bon jusqu'à maintenant.

C'est très bien. Alors, c'est quoi ABCD ? Commençons par le A. C'est quoi le A ? Airways.

Ça dit quoi Airways ? Les amis, ne me faites pas comme l'année dernière. C'est pas Airways.

Il y a un autre mot qui dit Airways. C'est dans le petit nasa. Il y a un autre mot qui dit Airways.

J'allais dire que c'est la première promotion qui ne dit pas Airways. Oui, je vais en parler un. Non, Airway. Airway, c'est pas l'air.

Airway. Et c'est quoi Airway ? Non, c'est quoi l'Airway ?

Je vais dire les voies là. C'est les voies aériennes, si vous voulez. Ça veut dire dans le A, je vais évaluer quoi ?

Quelle est la question que je vais me poser dans le A ? Est-ce que... Non.

Non, ce n'est pas la respiration, ça, là. Non, je parle des conduits. Non, ce n'est pas la fonction respiratoire. Alors, parfois, vous avez un poumon bien, mais ça ne passe pas.

Voilà, je vais chercher, je vais checker quoi. Là, dites-moi, la liberté. Est-ce qu'il y a un blocage au niveau des voies aériennes ? La liberté des voies, des voies quoi ? Aériennes.

Je check la liberté des voix aériennes. C'est bon ? C'est bon les amis ? C'est ok ? Le B ?

Breathing. Ok. Pour parler de quoi ? En agnant les voix aériennes. Ici, on va parler de quoi ?

De la fonction. Voilà. Non, on ne dit pas pulmonaire, la fonction respiratoire.

C'est pour chercher quoi ? Pourquoi on va évaluer la fonction respiratoire ? Pourquoi on va l'évaluer ? Voilà. On cherche s'il n'y a pas une détresse.

respiratoire c'est à dire que le patient respire difficile c'est bon le cc quoi circulation pour parler de la fonction est ce les amis Fonction circulatoire. Les amis, on ne dit pas fonction cardiaque, on dit la fonction circulatoire. On va chercher quoi dans la fonction circulatoire ? On va chercher quoi ? Est-ce qu'il y a un ?

Non, on cherche quoi ? La détresse circulatoire ? Il n'y a pas que la détresse. Est-ce qu'il y a un ? Voilà.

Est-ce qu'il y a un état de choc ? Et je cherche aussi, est-ce qu'il y a ? Parce que dans le si, il y a les deux.

Le bas et le haut. Est-ce qu'il y a quoi ? La débarquerie de choc. La débarquerie de choc.

La débarquerie de choc. Je suis en train de construire avec vous le raisin. Est-ce qu'il y a un ? Une, on appelle ça la poussée hypertensive.

C'est-à-dire, est-ce que la tension est basse ? Est-ce qu'elle est élevée ? Ça marche ?

Le D, c'est quoi ? Le D, disability. En fait, il n'y a pas l'équivalent en français.

Parce que l'équivalent français, c'est invalidité, ça ne passe pas. Donc, c'est pour parler de quoi ? De la fonction quoi ?

Neurologie. D'accord ? Et on va chercher quoi ?

On va chercher quoi ? Est-ce que... Non, je ne vous dis pas comment évaluer. On verra ça.

D'abord, on raisonne. On essaie de comprendre. On essaie de construire le connaissance. On va chercher quoi ? Est-ce que le patient a une détresse ?

Détresse quoi ? Détresse neurologique. C'est bon ? Et le E, on verra après. C'est clair ?

Concentrons-nous sur B, C. et D. Il concerne trois fonctions, c'est ça ? Ça concerne trois grandes fonctions.

Oui ou non ? Donc ces fonctions-là, on va les appeler les fonctions H. Vous connaissez ce terme ? Fonction vitale.

Voilà. Ça, c'est les fonctions vitales. respiratoire, circulatoire, neurologique. Rappelez-vous de ces trois.

Respiratoire, circulatoire, neurologique. C'est clair ? C'est clair. On ne peut pas évaluer les fonctions vitales avant d'avoir libéré les lois. Est-ce qu'on peut changer d'ordre d'évaluation ?

Est-ce que je peux, par exemple, commencer par le circulatoire ensuite ? Alors, vous notez, c'est exactement cet ordre-là. Respiratoire, circulatoire et neurologie. D'accord ?

C'est l'inverse du secourisme. Là, on est dans l'hôpital. Et on va essayer de comprendre pourquoi, justement, le respiratoire en premier.

Ensuite, c'était quelle fonction, mes amis ? C'est dès qu'il fonctionne, deuxième. le circulatoire, et en troisième, le neurose. Pourquoi, à votre avis, pourquoi cet ordre-là exactement ?

Vous avez une idée ? Les trois peuvent-ils y arriver ? Oui.

Alors Malik, les trois sont graves. Oui, justement, en fait, il y a une, comment dirais-je ? Regardez, il y a une, voilà Adam, il y a une interdépendance, il y a un triangle, une. Les interactions, exactement, d'accord ? Il y a des interactions dans tous les sens, d'accord ?

Mais les interactions les plus importantes, regardez. Quand il y a une détresse respiratoire, ça va automatiquement affecter quoi ? La fonction circulatoire.

Quand le respiratoire est atteint, ça va affecter le circulatoire sans que le circulatoire soit à la base touché. Le circulatoire, quand il est affecté, il peut toucher le neurologique aussi. Vous allez voir, quand quelqu'un, par exemple, est en état de choc, naturellement, il va être confus. Vous avez compris pourquoi ? Parce qu'il n'y a plus de débit dans le cercle.

Est-ce qu'il y a une autre flèche que je peux rajouter ? Est-ce qu'il y a une autre flèche ? Exactement. Le respiratoire, quand il est affecté, ça va toucher le...

Neurolux. C'est bon ? Je vous donne les numéros des flèches parce qu'on va les discuter à la fatane. Flèche 1, flèche 2 et flèche 3. Ça marche ? Et bien sûr, il suffit de faire ça.

Mais commençons d'abord par ces trois flèches. Et on verra à la fin qu'il y a des flèches dans l'autre sens. Ça marche ? On va dire la flèche numéro 1. Ok ?

Alors on commence par la flèche numéro 1. C'est bon ? Alors dites-moi, comment le respiratoire peut affecter le circulatoire ? Comment ? Est-ce que vous avez une idée ?

epoxy, hypoxymie, parce qu'il y a des différences. Alors, vous notez chez vous, à chaque fois qu'on a une affection respiratoire, ça donne quoi dans le sang ? Restons très simples.

Dans le sang, je dis bien dans le sang, on aura moins de quoi ? Moins d'oxygène. À chaque fois que le respiratoire est mauvais, on aura moins d'oxygène et...

Et plus de CO2. Rappelez-vous de ça. Quand le respiratoire est affecté, on aura moins d'oxygène, plus de CO2. D'accord ? Le moins d'oxygène dans le sang, comment on appelle ça ?

Ça s'appelle de l'hypoxémie. L'époxymie, vous notez chez vous, elle est définie par une pression artérielle en oxygène moins de 60 mmHg. Époxymie, beaucoup de CO2 dans le sang, ça s'appelle de l'hypercapacité. En général, à partir de 50 mm de mercredi.

On peut aller jusqu'à 50 HP. C'est bon ? Alors, on va commencer par les effets de l'hypoxémie. Commençons par l'hypoxémie.

L'hypoxémie, elle fait quoi dans les tissus ? Donc, si on a moins d'oxygène dans le sang, naturellement, qu'est-ce qui va se passer ? On aura moins d'oxygène qui va arriver dans les tissus.

Alors, j'ai vu une question, j'allais l'expliquer. Il vous dit, quelle est la différence entre époxymie et époxy ? Alors, l'époxymie, regardez ce schéma que je fais chaque année. Faites avec moi le même schéma.

Supposons que ça, c'est un vaisseau. Et on a assez d'oxygène. Supposons que tout va bien, que la tension est normale.

Est-ce que l'oxygène va arriver aux cellules ? Est-ce que la cellule va recevoir de l'oxygène ? En sachant que tout est normal, il n'y a pas d'obstacle à la tension.

Donc tout va bien. L'oxygène va arriver à la cellule. Ça, c'est l'état normal.

D'accord ? Ça, c'est l'état normal. Regardez ce deuxième schéma.

Donc, ce deuxième schéma, probablement le malade, il a une infection, une détresse respiratoire. Qu'est-ce qui va se passer dans le sang ? Il y aura moins d'oxygène. Il y aura moins d'oxygène. Donc là, comment on appelle ça ?

Qu'est-ce que je dois écrire ici ? Hypoxémie. Très bien. On a moins d'oxygène dans le sang.

Est-ce que les cellules vont avoir assez d'oxygène ? Non. Obligatoire.

D'accord ? Donc, du moment qu'il n'y a pas d'oxygène dans le sang, il y a très peu d'oxygène qui va arriver dans les cellules. Et là, on parle de quoi ?

D'époxy. Donc, si je vous dis, est-ce que toute époxy est mise dans l'époxy obligatoirement ? Vrai ou faux ? Est-ce que toute époxy est mise dans l'époxy ? Vrai ou faux ?

C'est vrai. C'est logique. Regardez ce schéma maintenant.

Donc, est-ce qu'il y a une hypoxémie ici ? Est-ce qu'il y a une hypoxémie ? Non.

Donc, c'est un état normal. Sauf que ce patient, il a quoi ? Par exemple, il a quelque chose qui gêne quoi ? Il a quelque chose qui gêne quoi ? Voilà.

Donc, il y a quelque chose qui gêne la circulation. Exactement. Et du coup, est-ce que la cellule va avoir beaucoup d'oxygène ?

Non. Donc là aussi, c'est une hypoxie. Vous avez compris ? Regardez, est-ce que toute hypoxie est obligatoirement en rapport avec l'hypoxie ? Non.

Vous avez compris la différence ? Est-ce que toute époxymie va donner une époxie obligatoirement ? Oui, c'est clair.

C'est bon ? Vous avez compris la différence ? Est-ce que vous avez compris la différence entre époxymie et époxie ?

Époxymie, c'est au niveau des vaisseaux. Époxy, c'est au niveau des cellules et tissus. C'est clair ? Claire ?

Claire, les amis ? Les amis, c'est clair ? Très bien.

Alors, revenons à notre époxyme. Vous vous rappelez de l'époxyme ? Donc, il va donner quoi ? Une époxyme de tous les tissus, y compris, quels tissus, quand il s'agit de circulatoire, y compris l'époxyme du tissu cardiaque.

La couche la plus importante dans la paroi cardiaque, c'est quoi ? C'est le méocarde. La couche la plus importante. Partons dans la paroi cardiaque, c'est le myocarde. Et du coup, on aura une époxymyocarde qui risque de décompenser le cœur.

Ça risque de le fatiguer. Ça marche ? Ça marche ? Alors ça, c'est la première conséquence.

La deuxième conséquence, elle est terrible aussi. Alors en fait, l'époxy, c'est quoi ? C'est moins d'oxygène où ? Moins d'oxygène où ?

Dans le sang. Alors, le corps, il doit faire quoi ? Parce qu'il a moins d'oxygène dans le sang.

Que va faire le corps ? Comment il va réagir ? Il doit...

Il va pomper, il doit... Il va faire quoi ? Non, non, non, non, non, non, non. Ce n'est pas la ventilation.

Écoutez, je ne laisse pas passer ça. Écoutez, les amis, si je fais comme ça, regardez. Est-ce que j'aurai plus d'oxygène ? Les amis, si je ventile beaucoup, est-ce que j'aurai plus d'oxygène ?

Non. Vous notez chez vous avec un fluorescent. La ventilation n'est pas efficace sur l'oxygénation.

Il va juste éliminer plus de CO2. Alors, mon corps, il souffre de manque d'oxygène. Que dois-je faire, moi ?

Mon corps, il doit faire quoi ? Non, non, raisonner. Il doit essayer d'absorber encore plus d'oxygène. On doit absorber plus d'oxygène. Où se passe l'absorption de l'oxygène ?

où se passe l'absorption d'oxygène ? Voilà, il faut, au niveau des alvéoles. Ça veut dire, je dois utiliser les alvéoles les plus, les plus, les plus aérées. D'accord ?

Et donc, les alvéoles les plus aérées, elles vont gérer la vascularisation. D'accord ? Je m'expire.

Regarde. Dessine avec moi ce schéma. D'accord ?

Les bases, elles sont comment ici ? Les bases, elles sont comment les bases ? Elles sont bien perfusées, très mal aérées. Rappelez-vous, les bases, elles sont bien perfusées, moins aérées.

Et les sommets, ils sont comment ? Les sommets sont bien aérés et mal perfusés. Donc, que va faire la vascularisation ? Pour qu'on puisse profiter des sommets, il faut que cette vascularisation s'oriente vers le haut.

Voilà, c'est la redistribution vers les sommets. C'est exactement. Et comment est-ce possible ?

Grâce à une... Une vasoconstriction de quoi ? Est-ce que c'est la circulation systémique ?

Mais c'est des capillaires pulmonaires, exactement. Donc vous notez comme fluorescent, toute hypoxémie va donner quoi ? Une vasoconstriction des capillaires pulmonaires.

C'est une bonne chose, le fait d'avoir des capilloméliens trop vasoconstricts. Non, parce que derrière, ça va donner quoi ? Ça va augmenter la pression où ? Non, non, non, pas dans le VD, d'abord dans l'artère pilmonienne.

Ça va augmenter la pression dans l'artère pilmonienne. Alors c'est un schéma que je fais chaque année, vous allez le faire avec moi. Je vais juste tourner ma tablette. On y va.

Ça c'est les 20 caves supérieures et inférieures. D'accord ? Ils se jettent où ?

Ça c'est les 24. Il se jette où ? Dans l'oreillette droite. Ça c'est l'oreillette droite. D'accord ?

L'oreillette droite, il se jette où ? Dans le ventricule. Ventricule droit, il pompe où ? Dans l'artère pulmonaire. L'artère pulmonaire se divise en quoi ?

Les artérioles. Les artérioles pulmonaires. Et les artérioles vont donner quoi ?

Les... Capillaire. Et qu'est-ce qui va se passer au niveau du capillaire ?

Les échanges avec ? Avec quoi ? Avec l'alveire.

Et qu'est-ce qui sort après ? Qu'est-ce qui sort après l'échange ? Toujours les capillaires veineux, ensuite les...

les vénules, vénules et artérioles. Ensuite, les veines pulmonaires, ensuite l'oreillette gauche, ensuite le ventricule gauche, et ensuite l'arbre. C'est bon ?

C'est bon les amis ? Vous avez compris le schéma ? Vous avez compris le schéma ? Alors vous allez faire un pointillé ici. Regardez, ici.

Faites un pointillé. Pourquoi ce pointillé ? On ne sait pas quoi de quoi. Tout ce qui est ici, on le considère quoi ? Tout ce que je viens de dire, post-capillaire.

Tout ce qui est ici, on le considère pré-capillaire. Alors là, ça fait ? Est-ce que vous avez compris maintenant la différence entre pré-et post-capillaire ?

Est-ce que vous vous rappelez l'époxymy fait quoi ? Ça donne quoi ? L'époxymi, oui. Là, ça donne l'époxy dans les tissus, la circulation pilonée. Ça donne une vasoconstriction des capillaires, pré-opposées.

Donc, en fait, un aïe, un aïe, c'est construit. C'est très serré, très, très serré. Pourquoi ça se serre ? On a vu la première raison. Pourquoi il y a une vasoconstriction du capilla ?

La première raison, c'est quoi ? Pour envoyer le sang, le récif, vers quoi ? Vers les sommets. Mais il y a une deuxième raison.

Pourquoi ça se sert ? Pourquoi ça se sert ? Vous avez une idée ?

Non ? Non, non, ça n'a rien avec les... Parce qu'en fait, exactement, j'ai lu rapidement, quand ça se sert...

Le sang, il passe, il passe, le sang dans les capillaires, il passe lentement. Oui, Khalilou. Ça passe lentement.

Et puisqu'il passe lentement, qu'est-ce qu'on va augmenter ? Il passe doucement. En fait, le sang néant, il passe doucement. On va augmenter le temps de contact entre le sang et la veille. Exactement, Tara, pour maximiser le temps des champs.

Sauf que le problème, si ça se serre ici, qu'est-ce qui va se passer après ? Ici, il va y avoir une augmentation de la pression en amont. Je dis bien en amont, vous avez compris ?

Ici, on aura une augmentation de la pression. Ici, ça va se dilater. Ici, ça va se dilater. Et le cœur n'arrivera pas à bien pomper.

Pourquoi il n'arrive pas à bien pomper ? Parce qu'il retrouve ici une hyperpension artérielle. Puis il m'en est prêt au poste. Prêt au poste. Et il a précapit.

Exactement. D'accord ? Et donc, le cœur, le cœur droit, il peut se mettre en défaillance.

Ou à la base, est-ce qu'il était malade, le cœur droit ? Non. Et pourquoi il s'était mis en défaillance ?

Parce que c'est dû à quoi ? C'est dû à quoi ? Un problème à la base respiratoire. C'est pour cette raison qu'on appelle ça, justement, j'ai lu dans le chart, comment on appelle cette situation de CPA.

Le CPA, cœur pulmonaire aigu. C'est quoi le cœur pulmonaire aigu ? C'est une défaillance cardiaque aiguë.

D'origine quoi ? D'origine respiratoire. C'est bon ?

C'est clair ? Est-ce que c'est clair l'explication ? Alors, je reviens le VG, mais ça va arriver petit à petit.

Alors, encore une fois, la détresse respiratoire. Ça donne quoi dans le sang ? Les deux choses qu'il donne dans le sang.

Un, ça donne une hypoxie. Qui, elle, va donner quoi ? Une hypoxie, et notamment eau.

Une hypoxie, elle a dans tous les tissus, mais particulièrement myocardie. Mais aussi, il va donner quoi ? Une vasoconstriction des capillaires pulmonaires qui, elle, va donner quoi ?

Une HTAP précapillaire qui, elle, va donner quoi ? Le cœur pulmonaire. Est-ce que c'est clair ?

Claire, les amis ? Ici, manuels l'époxymi, la détresse respiratoire va donner quoi aussi ? Va donner de l'hypercapri. Et l'hypercapri va donner quoi ? D'abord, ça va donner une acidose.

Il y a beaucoup de dioxyde de carbone, de l'acide carbonique. acidose. Respiratoire métabolique, les amis. Respiratoire métabolique. Respiratoire.

Excellent. Et la conséquence principale, malheureusement, c'est la vasoplige. D'accord ? Rappelez-vous de ça. L'acidose, la principale.

La conséquence de l'acide respiratoire, c'est la vasopligie. Et la vasopligie va donner quoi ? Point de vue, pas vraiment aminodépas. Ça donne quoi ? Non, la pression va chuter.

Pourquoi la pression chute quand il y a une vasopligie ? Je vais vous montrer ce que je vais faire. D'accord ? Je vais vous montrer ce que je vais faire. Donc, les résistances, elles diminuent.

Rappelez-moi l'équation de la pression artérielle, les amis. L'équation de la pression artérielle est égale à quoi ? La pression artérielle, les amis, est égale à quoi ?

C'est le débit cardiaque fois les résistances vasculaires systémiques, ou opérifiques. D'accord ? Du fait qu'il y a une vasoplégie, qu'est-ce qui va chuter ? Le dibicardiaque ou la résistance ? C'est la résistance.

Donc, la vasoplégie va donner quoi ? Une diminution des résistances vasculaires systèmes. D'accord ?

Et du coup, la pression, elle va chuter. C'est bon ? C'est clair les amis ? Alors, encore une fois, quand le respiratoire est touché, ça va affecter le circulatoire. Quelles sont les explications ?

Première explication, quoi ? La vasoplégie, c'est-à-dire, c'est le contraire de la vasoconstruction. Les vaisseaux matriques, d'accord ? La vasoconstriction, les vaisseaux sont serrés. Pour avoir un équilibre, les vaisseaux ne doivent pas être ni vasodilatés, ni vasoconstrictés.

Alors ça, c'est autre chose qu'un karma. Je vais vous expliquer ça après. Juste retenez à ce stade-là que la diminution du pH, il dérange certains mécanismes de la média et le vaisseau se dilate. Sans trop rentrer pour le moment dans les détails. La vasoplasie, c'est la dilatation vasculaire.

On ne dit pas paralyser des vaisseaux, on dit vasodilatation due à un autre phénomène. Ça n'a rien à voir avec les barorécepteurs. Les amis, écoutez, on va y aller tout doucement. Je sais que maintenant, d'abord, vous êtes gourmands en apprentissage, mais moi, mon rôle, c'est de vous accompagner. On va parler de l'hypovolume relative.

C'est bien, c'est bien toutes ces questions. Ça vous montre que vous avez encore envie d'apprendre. Mais on va y aller doucement.

C'est juste le premier stade. D'accord ? Écoutez, le respiratoire, comment est-il le circulatoire ?

On a dit ici, la cause, c'est l'hypoxie myocardique. Attention. Et on a dit le cœur pulmonaire aigu.

Et de ce côté-là, c'est la vasoplie. La vasoplie, ça veut dire que c'est une vasodilatation due à un événement externe. C'est-à-dire que les versions ne sont pas dilatées, mon rassemble.

Elles sont dues à un autre événement externe. Et dans ce cas-là, qu'est-ce qui a causé la vasoplie ? Dans notre exemple.

C'est l'acide. Finalement, ici, c'est dû au CO2 en excès. Et ici, c'est dû à quoi ?

À l'oxygène en moins. C'est bon ? C'est clair ? Claire et net ?

Très bien. Donc, on a fini notre premier stade. Ça vous va ?

Le rythme est bon ? Très bien. Il faut noter tout ce que je dis.

Notez-le sur un registre plus récent et gardez-le toute votre vue. Et surtout, restez régulier. Je ne vais pas commencer avec beaucoup de monde et finir avec moins de... C'est bénévole, c'est gratuit, c'est inapparcevable.

Franchement, ça sera dommage de ne pas le suivre. Est-ce que c'est clair ? Il y a beaucoup de monde qui paierait cher pour ça.

Nous, on le fait bénévolement. Est-ce que c'est clair ? Au-delà de merci, monsieur, moi, je veux une chose, rester régulier. C'est ce qui va me faire le plus plaisir. Il y a plein de choses qui arrivent cette année, vraiment, chez Hajam Ziyan Abzab.

Ça marche ? Alors, comme d'habitude, pour le premier stade, juste le premier stade, on va prendre une photo ensemble. Donc, je demande à tout le monde d'ouvrir sa caméra. Allez, Bonsoir professeur, bonsoir chers collègues. Ça va, ça va, ça va, Alhamdoulilah Oussad.

C'est beaucoup de nos collègues. C'est très bien. Alors Rita, c'est quelqu'un de très, très studieux de l'année dernière.

Elle a fait piglanta de la faculté de médecine de pharmacie, de médecine dentaire. De fait, c'est quelqu'un de très, très bien. Et je vous souhaite à vous tous le même parcours, sinon plus, que l'a fait, Inch'Allah.

Merci beaucoup. Ça fait plaisir de te voir, Rita. Merci, c'est très réciproque, Oussad.

Et d'ailleurs, ça m'a beaucoup aidé dans mes examens et dans mon module de réanimation. C'était très, très productif. Oui, Alhamdoulilah. Alors, ce qu'on a encore à faire. Allez, tout le monde active la caméra.

Alors, ce qu'il y a de plus. Si on veut qu'on active la caméra, tu peux aller à l'avant. Quand je dis 3, 2, 1, grand sourire, ça fait... C'est pas grave. À l'anglo.

3, 2, 1. Je vais mettre le message. 3, 2, 1, souriez. Et voilà.

Merci les amis. Et on se voit lundi à 22h. C'est bon ? lundi. Le prochain staff, c'est lundi.

C'est bon ? Prochain staff, c'est lundi. Alors, bye bye.