Moi depuis une dizaine d'années, moi depuis une dizaine d'années je travaillais sur l'importance du corps la place de la sensation j'avais ouvert ce champ de la thérapie solutionniste expérientiel ça je travaillais sur l'importance du corps, la place de la sensation. J'avais ouvert ce champ de la thérapie solutionniste expérientielle. Après m'être formé aux approches solutionnistes et expérientielles, Après m'être formé aux approches solutionnistes et expérientielles, les travaux de Gendling, les travaux de Jen Lingle, de Shazer, de Chaser, Bill O'Hanlon, Bill O'Hanlon, tout ça m'avait amené à voir comment il n'était pas nécessaire de créer des solutions, tout ça m'avait amené à voir comment il n'était pas nécessaire de créer des solutions, mais davantage de vivre dans le présent, mais davantage de vivre dans le présent, dans l'ici et maintenant, dans l'ici et maintenant, de vivre l'expérience du changement, de vivre l'expérience du changement, mais de la vivre maintenant, mais de la vivre maintenant. pas nécessairement de la projeter demain.
Pas nécessairement de la projeter demain et de l'envisager. et de l'envisager pour demain et de mettre en place tout un ensemble d'étapes nécessaires pour atteindre cet objectif, pour demain et de mettre en place tout un ensemble d'étapes nécessaires pour atteindre cet objectif, mais de vivre l'objectif réalisé. mais de vivre l'objectif réalisé. Cela a été possible parce que ma croyance est que les patients, Cela a été possible parce que ma croyance est que les patients, les êtres humains, les êtres humains, nos clients possèdent déjà en eux toutes les ressources. nos clients possèdent déjà en eux toutes les ressources.
Je travaillais sur cela et... Je travaillais sur cela et j'ai rencontré Stéphanie Calva qui est venue. J'ai rencontré Stéphanie Calpha qui est venue se former chez moi, formée chez moi, à l'Institut Winside, à l'Institut Inside, en hypnose et en thérapie brève. en hypnose et en thérapie brève. Elle était spécialiste des neurosciences, Elle était spécialiste des neurosciences, du travail en particulier avec les stimulations bilatérales alternées.
du travail en particulier avec des stimulations bilatérales alternées. Elle pratiquait l'EMDR et je lui ai demandé de venir mettre au service de la thérapie solutionniste expérientielle ses connaissances en neurosciences. Elle pratiquait l'EMDR et je lui ai demandé de venir mettre au service de la thérapie solutionniste expérientielle ses connaissances en neurosciences pour donner un éclairage.
donner un éclairage neuroscientifique sur les processus psychopathologiques que j'avais mis en relief par rapport aux différentes pathologies, neuroscientifiques, sur les processus psychopathologiques que j'avais mis en relief par rapport aux différentes pathologies, aux troubles anxieux, aux troubles anxieux, troubles obsessionnels, troubles obsessionnels, le trouble phobique, le trouble phobique, la dépression, la dépression, les addictions, les addictions, de repérer si on pouvait éclairer... de repérer si on pouvait éclairer tout ce que j'avais proposé au niveau psychopathologique et dans la thérapie, tout ce que j'avais proposé au niveau psychopathologique et dans la thérapie, si on pouvait donner des éclairages en passant par les neurosciences, si on pouvait donner des éclairages. En passant par les neurosciences, par les connaissances en neurobiologie aussi.
par les connaissances en neurobiologie aussi. De là est venue l'idée de travailler sur la question en particulier du trauma et d'envisager le travail qui est proposé en EMDR, De là est venue l'idée de travailler sur la question en particulier du trauma et d'envisager le travail qui est proposé en EMDR, non pas comme... non pas comme se centrer sur ce qui fait souffrance, Se centrer sur ce qui fait souffrance, sur l'expérience traumatique et désensibiliser cette expérience, sur l'expérience traumatique et désensibiliser.
cette expérience, venir réduire l'expérience de stress, venir réduire l'expérience de stress, l'expérience douloureuse, l'expérience douloureuse, la laissant inactive, la laissant inactive, mais plutôt, mais plutôt, et dans une optique solutionniste expérientielle, et dans une optique solutionniste expérientielle, de proposer d'amplifier de proposer d'amplifier l'expérience souhaitée, L'expérience souhaitée, l'expérience de bien-être, l'expérience de bien-être, l'expérience de sécurité, l'expérience de sécurité, l'expérience de confort. l'expérience de confort. C'est une autre vision.
C'est une autre vision. On utilise un point commun, Un point commun, ce sont les stimulations bilatérales alternées, ce sont les stimulations bilatérales alternées, mais notre optique est davantage d'amener le client dans l'ici et maintenant de la séance, mais notre optique est davantage d'amener le client dans l'issier maintenant de la séance, dans l'instant de ce présent-là, dans l'instant de ce présent-là, à vivre l'expérience qu'il souhaite. à vivre l'expérience qu'il souhaite. Et cette expérience est disponible.
Et cette expérience est disponible. Les stimulations bilatérales alternées, Les stimulations bilatérales alternées, donc les mouvements oculaires, donc les mouvements oculaires, les techniques de tapping, les techniques de tapping, sont des moyens de rendre actifs les circuits neuronaux qui permettent de stabiliser et de rendre vivants ces expériences émotionnelles, sont des moyens de rendre actifs les circuits. neuronaux qui permettent de stabiliser et de rendre vivant ces expériences émotionnelles sensorielles souhaitées. sensorielles souhaitées.
Ce qui est principal, Ce qui est principal, il me semble, il me semble, dans la thérapie mosaïque, dans la thérapie mosaïque, c'est de soutenir la vision solutionniste expérientielle. c'est de soutenir la vision solutionniste expérientielle. Sinon, Sinon, on se retrouve à nouveau dans l'utilisation d'une technique qui peut être fascinante, on se retrouve à nouveau dans l'utilisation d'une technique qui peut être fascinante, faire du tapping sur le corps, faire du tapping.
sur le corps faire des mouvements oculaires mais il n'y a pas de de fondement théorique il n'y a pas de fondement thérapeutique d'assises thérapeutiques si on est uniquement centré sur faire un faire des mouvements oculaires, mais il n'y a pas de fondement théorique, il n'y a pas de fondement thérapeutique, d'assise thérapeutique, si on est uniquement centré sur faire... un tapping bilatéral alterné. tapping bilatéral alterné les stimulations bilatérales alternées permettent l'activation de ces circuits neuronaux mais il faut choisir quel circuit neuronaux nous allons activer quel expert Les stimulations bilatérales alternées permettent l'activation de ces circuits neuronaux. Mais il faut choisir quels circuits neuronaux nous allons activer, quelles expériences sensorielles nous allons activer et rendre amplifiées.
sensorielle nous allons activer rendre amplifié ensuite et ses centrales Ensuite, et c'est central, on se rend compte On se rend compte que faire du tapping, que faire du tapping, faire des mouvements oculaires ne suffisent pas à amener une transformation. faire des mouvements oculaires ne suffisent pas à amener une transformation. Sinon, Sinon n'importe qui pourrait le faire.
n'importe qui pourrait le faire. Il faut qu'il y ait un thérapeute au bout du mouvement oculaire, Il faut qu'il y ait un thérapeute au bout du mouvement oculaire, au bout de ses doigts qui bougent, au bout de ses doigts qui bougent, il faut qu'il y ait un thérapeute. il faut qu'il y ait un thérapeute.
Et il faut qu'il y ait un thérapeute, Et il faut qu'il y ait un thérapeute, ça veut dire qu'il faut qu'il y ait quelqu'un qui comprenne ce qui se passe au niveau psychopathologique chez ce client-là, ça veut dire qu'il faut qu'il y ait quelqu'un qui comprenne ce qui se passe au niveau psychopathologique chez ce client-là, qui repère le processus et qui utilise un protocole qui va venir mettre en place le processus. qui repère le processus et qui utilise un protocole qui va venir mettre en place. on travaille ce processus psychopathologique spécifique.
travaille ce processus psychopathologique spécifique. C'est ce qui m'a amené à construire un protocole par pathologie, C'est ce qui m'a amené à construire un protocole par pathologie, parce que chaque protocole tient compte du processus spécifique de cette pathologie-là. parce que chaque protocole tient compte du processus spécifique de cette pathologie-là. Sinon, Sinon, on se retrouve avec, on se retrouve avec, et c'est ce que certaines techniques proposent, et c'est ce que certaines techniques proposent, une technique où on fait du tapping sur une émotion.
une technique où on fait du tapping sur une émotion. Il l'ouvre. Et le patient essaie de refaire ça, Le patient essaie de refaire ça, mais c'est inefficient, mais c'est inefficient, ça ne fonctionne pas, ça ne fonctionne pas, ça met un apaisement peut-être temporaire, ça met un apaisement peut-être temporaire, parce que le patient pendant une heure, parce que le patient pendant une heure, on l'a focalisé sur une expérience et il est dans un dispositif qui est calme, on l'a focalisé sur une expérience, et il est dans un dispositif qui est calme, il y a un interlocuteur qui est un humain qui est là, il y a un interlocuteur qui est un humain qui est là, qui est présent, qui est présent, il y a l'effet placebo qui va venir soutenir tout cela, il y a l'effet placebo qui va venir soutenir tout cela, mais ça n'est pas de taper sur des épaules ou de faire bouger les yeux qui va faire...
mais ça n'est pas de taper sur des épaules ou de faire bouger les yeux qui va faire que le changement... que le changement se produit et que la personne ne vit plus son expérience dépressive ou une addiction à l'héroïne, se produire, que la personne ne vit plus son expérience dépressive ou une addiction à l'héroïne, etc. etc. Sinon, Sinon, ce serait tellement simple et aujourd'hui, ce serait tellement simple et aujourd'hui, il n'y aurait plus toutes ces pathologies-là.
il n'y aurait plus toutes ces pathologies-là. La mise en place de protocoles spécifiques qui tiennent compte de la psychopathologie de nos clients est une différence centrale. La mise en place de protocoles spécifiques qui tiennent compte de la psychopathologie de nos clients est une différence centrale.
La deuxième grande différence, La deuxième... grande différence, c'est le modèle, c'est le modèle, les fondations, les fondations, le modèle de base qui soutient qu'on n'est pas là pour désensibiliser, le modèle de base qui soutient qu'on n'est pas là pour désensibiliser, désactiver, désactiver, mais qu'en TSE, mais qu'en TSE, on est là pour rendre actif ce qui est déjà là. on est là pour rendre actif ce qui est déjà là chez chacun d'entre nous.
chez chacun d'entre nous et nous possédons tout ce que nous souhaitons. Et nous possédons tout ce que nous souhaitons. Tout ce que nous souhaitons demain, Tout ce que nous souhaitons demain, nous le possédons déjà aujourd'hui.
nous le possédons déjà aujourd'hui.