Bonjour à tous, bienvenue sur ma chaîne Apprendre à Coder. Je m'appelle Lionel et aujourd'hui je vous propose un tuto complet de programmation avec le langage Java. Ce tutoriel s'adresse aux personnes qui partent de zéro en programmation et celles qui connaissent déjà un autre langage et qui souhaitent apprendre le langage Java. Les objectifs de ce cours sont d'apprendre les concepts de base de la programmation en utilisant le langage Java, être capable de coder un programme en langage Java et l'améliorer au fur et à mesure, avoir suffisamment de compétences pour...
pour postuler sur un poste de développeur Java ou valider un diplôme ou une certification. Et enfin, utilisez ces bases pour apprendre un autre langage, car elles sont communes à la plupart des langages de programmation, ce qui va vous faciliter l'apprentissage d'un nouveau langage. Pour ceux qui souhaitent devenir développeur ou se reconvertir professionnellement vers les métiers de l'informatique, sachez qu'il est tout à fait possible de devenir développeur si vous maîtrisez tous ces concepts.
Les opportunités sont multiples. freelance, gestion de projet, travailler à distance ou s'expatrier. Avant de commencer à coder nos applications, il nous faut un petit peu de théorie. Dans ce chapitre, je vais vous donner quelques informations importantes sur Java. Alors Java est un langage de programmation orienté objet créé par des employés de Sun Microsystems en 1995. Java vous permet de jouer par exemple, de télécharger des photos, de discuter en ligne, d'effectuer des visites virtuelles.
et d'utiliser des services tels que la formation en ligne ou d'aller sur votre banque en ligne par exemple. Donc sans Java, de nombreux sites web et applications ne fonctionneraient pas, car c'est un langage qui est très répandu. Alors j'attire votre attention sur le fait que Java et JavaScript, ça n'a rien à voir. JavaScript, c'est une technologie simple qui va nous permettre de créer des pages web et qui va être exécutée principalement sur notre navigateur Internet. En 2018, Java...
était l'un des langages ayant le plus de développeurs actifs dans le monde. C'est donc une compétence très appréciée sur le marché du travail, si vous voulez postuler sur des postes de développeurs par exemple. Alors les principales qualités de Java, c'est que Java c'est un langage interprété, donc on va avoir besoin d'outils pour que notre support, donc notre téléphone, notre ordinateur, puisse lire le langage Java. C'est un langage qui est portable, c'est-à-dire qu'on va...
l'utiliser sur Mac, on va l'utiliser sur Windows, on va l'utiliser aussi sur Linux, sans problème. C'est un langage qui est orienté objet. Pour faire simple, on va manipuler des concepts et des idées du monde réel pour pouvoir faire nos applications. Par exemple, une voiture, elle a un modèle mais elle a aussi 4 roues motrices, 5 vitesses, 7 vitesses, 10 vitesses. L'objet va avoir des propriétés.
Donc ça, c'est ce qui va nous permettre de faire nos programmes. C'est un langage simple, donc simple à utiliser et fortement typé. Donc Java est fortement typé, ça veut dire que dans le langage Java, une majuscule ou une minuscule ne veulent pas dire la même chose. Il faut vraiment faire attention de mettre des accolades au bon endroit, terminer ses instructions avec un point virgule. Tout ça, on va le voir pendant le cours.
Ensuite, Java assure la gestion de la mémoire, donc ça c'est un peu technique. Ce n'est pas à l'utilisateur de se préoccuper de la gestion de la mémoire. Ça, c'est Java qui va le gérer lui-même.
C'est un langage sûr. Donc voilà pourquoi des entreprises, des grandes entreprises utilisent le langage Java. Parce que c'est un langage sûr. Économe. Donc comme vous le voyez, on a juste besoin d'un ordinateur, d'un kit de développement et d'un environnement de développement qu'on télécharge gratuitement.
Et on peut utiliser Java et développer des applications assez poussées. Même... performante.
Java est multitâche aussi, donc tous ceux qui ont un mobile Android peuvent le comprendre, même ceux qui sont sur Apple. On va prendre Android parce que c'est essentiellement codé en Java, mais par exemple, lorsque vous êtes sur une application et que votre téléphone sonne ou bien vous recevez un message, l'application principale va se mettre en veille au profit de votre message ou de votre appel. Alors voici la dernière enquête de 2020 de Stack Overflow.
sur les technologies les plus populaires auprès des développeurs et vous voyez que Java figure à la cinquième position derrière Python, SQL, HTML, CSS et JavaScript. Donc les deux premiers sont des langages web bien entendu SQL on est sur les bases de données et Python c'est un langage qui est très très très en vogue qui est notamment utilisé dans le big data et Java qui arrive en cinquième position donc Vous voyez que c'est un langage qui est très très bien placé, qui est encore plébiscité par 40% des personnes qui ont été sondées en 2020. Sur le site de Stack Overflow, c'est vraiment la référence en matière de langage de programmation. Je vous laisse le lien en description, mais commencez déjà à vous habituer à l'utiliser.
En général, quand on est développeur, on utilise ce site pour résoudre des bugs. On va sur Stack Overflow, il y a forcément quelqu'un qui a rencontré votre problème. Donc tous les développeurs qui m'écoutent.
comprendront ce que je suis en train de dire. Donc voilà pour la présentation de Java. Maintenant on va passer à l'installation des outils pour pouvoir développer.
Avant d'entrer dans le vif du sujet, nous allons installer l'environnement de développement. On commence par télécharger le JDK, le Java Development Kit. Le Java Development Kit ou Kit de Développement Java en français, pour faire simple, ce sont tous les outils de base du langage Java qui vont nous permettre de développer nos programmes.
Il contient le JRE pour Java Runtime Environment ou Environnement de Développement Java, le compilateur, les API Java, Je reviendrai sur tous ces points dans la partie sur le fonctionnement de Java et plus tard dans le tuto. Je simplifie volontairement pour ne pas vous décourager. On va taper dans la barre de recherche Google Adopt JDK.
On va cliquer sur le premier lien. Le site va détecter automatiquement notre système d'exploitation. Donc vous voyez que pour moi c'est Windows. Ensuite, on va cliquer sur la dernière version. Donc au moment de la vidéo, la dernière version, c'est la version 11. On clique dessus.
On enregistre le fichier. C'est téléchargé. Vous voyez, il est bien là.
On lance le programme d'installation. donc on a juste à cliquer sur suivant c'est très simple suivant suivant installer oui et voilà c'est installé On clique sur Terminer et voilà, on a tous les outils qui sont installés sur notre ordinateur. C'est très très facile à faire. Maintenant, on va passer à l'installation de l'IDE. Pour créer nos programmes, nous allons utiliser un IDE.
Un IDE est un environnement de développement qui se compose d'un ensemble d'outils qui va nous permettre d'augmenter notre productivité et donc de nous faciliter notre travail. Il en existe plusieurs, mais j'ai choisi l'un des plus utilisés et des plus récents, Intellige IDEA. Pour votre info, Google a utilisé IntelliJ IDEA pour créer son IDE pour le développement d'applications Android appelées Android Studio. Dans la barre de recherche Google, on va taper IntelliJ IDEA. On clique sur le premier lien.
On clique sur télécharger. On télécharge la version committee. on enregistre on démarre l'installation on clique sur oui next moi j'ai déjà une version antérieure donc je vais la désinstaller next là ici on va choisir le fichier de destination donc on laisse par défaut next next install c'est télécharger finish on confirme on accepte les conditions continuer j'ai déjà créé un projet donc c'est pour ça que vous voyez marqué tuto java project on ferme tous les onglets de présentation et d'explications de l'idée et voilà on a terminé nous avons notre environnement de développement et notre idée mais avant de commencer à coder il ya deux choses importantes à connaître le fonctionnement de java et la structure type d'un programme java pour que notre code soit transformé en quelque chose de lisible sur notre écran de tablette, de smartphone, Android TV, PC sous Windows, Mac, Linux, etc. Il y a plusieurs étapes.
Première étape, on va taper notre code source. Et une fois enregistré, ce code source aura une extension.java. Deuxième étape, s'il n'y a pas d'erreur dans le code, nous allons obtenir un autre fichier avec une extension.class, composée de bytecode.
Pour faire simple, le bytecode est une suite de 0 et de 1. Troisième étape, ce fichier.class contenant le bytecode va être interprété par le support qui peut exécuter Java et traduit en quelque chose de lisible. C'est donc la machine virtuelle Java présente dans notre support qui va lire et exécuter le bytecode. Et cela va nous donner le résultat sur notre écran. On a vu ensemble que Java est un langage fortement typé.
En effet, chaque mot, chaque accolade ou point-virgule a un sens. De plus, Java est sensible à la casse, c'est-à-dire qu'il fait la distinction entre une majuscule et une minuscule. Dans mon exemple, le fichier source ayant l'extension.java est représenté par le conteneur. Ce conteneur contient des classes qui sont représentées par les cartons. Ces classes contiennent des méthodes qui sont représentées par les petits cadeaux.
Donc je récapitule, à l'intérieur d'un fichier source.java, on peut avoir une ou plusieurs classes. Ces classes peuvent posséder une ou plusieurs méthodes. Jetons un petit coup d'œil sur le code.
Donc là, on a un premier code public classe voiture, c'est-à-dire... classe publique appelée voiture. Donc vous voyez bien que voiture est bien écrit avec un V majuscule qui signifie que c'est le nom de la classe. Et vous voyez que cette classe elle commence par une accolade ouverte, elle se termine par une accolade fermée. Passons maintenant au deuxième code.
On a toujours cette classe mais cette fois ci elle contient une méthode. Cette méthode s'appelle accélérer. Pareil vous voyez qu'elle commence par une accolade et qu'elle se termine par une accolade. Ensuite dans le troisième carré, donc là on a le code complet, donc on a la classe entière, la classe voiture, qui commence par une accolade et qui se termine par une accolade, et à l'intérieur de cette classe, on a une méthode qui s'appelle accélérer, et qui a deux instructions, l'instruction 1, l'instruction 2, et vous voyez que ces instructions se terminent par des points-virgules.
Donc ça, c'est la structure de base du langage Java, ne vous inquiétez pas, nous reviendrons dessus plus tard dans le tuto. Dans la prochaine partie de ce tuto, nous allons coder notre premier programme en langage Java. Traditionnellement, lorsqu'on apprend un langage de programmation, le premier programme qu'on essaye de coder a pour but d'afficher Hello World.
Sur la page d'accueil d'Intellige IDEA, on va cliquer sur Customize, puis dans Color Theme, on va choisir le thème d'Arcula. C'est le mode sombre d'Intellige IDEA, ce qui va vous permettre de diminuer la luminosité de votre écran et d'émettre moins de lumière bleue, ce qui va contribuer à réduire la fatigue visuelle. Dans IDE Font, on va régler la taille de la police.
Je vous conseille de mettre une police suffisamment grande, au minimum 20. Key Map, ce sont les raccourcis. Pour l'instant, on laisse sur Windows. Mais si vous connaissez les raccourcis de NetBeans ou d'Eclipse, vous pouvez les sélectionner.
Dans le menu latéral, on va cliquer sur Project, New Project. On projecte. SDK on va bien vérifier que nous avons la version 11. On laisse la configuration par défaut et on clique sur next. On clique une nouvelle fois sur next.
On nomme notre projet. Vous pouvez mettre le nom que vous voulez mais il faut que ce soit significatif. Ensuite on clique sur finish. On ferme la pop-up et là on va créer notre première classe. Donc rappelez-vous que dans un programme Java, on a au minimum une classe.
On clique droit sur Source, SRC, New, Java Class et on la nomme. Donc on choisit un nom significatif, puis on clique sur Entrée. Entre les accolades, on tape Main. Donc là, il s'agit du point d'entrée de l'application, le Main.
Il se trouve dans la classe principale de votre application. Donc on reviendra dessus plus tard. C'est donc par ce point d'entrée que la JVM va charger le fichier.class.
Donc si l'application n'a pas de main, il n'y aura donc pas d'exécution du programme. On voit que l'IDE nous suggère des choix grâce à l'autocomplétion. Vous avez juste à appuyer sur entrée ou tabulation pour sélectionner la proposition.
La première notion très importante que nous allons apprendre, c'est le commentaire. Alors le commentaire va nous permettre de préciser votre code, d'apporter des éléments de compréhension pour vous, mais aussi pour ceux qui vont lire votre code. Donc ça peut être vos équipiers sur le projet.
Il faut noter qu'il ne sera pas pris en compte par le compilateur. Pour pouvoir afficher quelque chose dans notre console, il faut taper système. Donc là, vous voyez bien que l'autocomplétion vous suggère directement le code. On clique sur entrer.
Ensuite, on tape.out.println. Ne pas oublier donc les deux parenthèses. Ensuite, il faudra taper entre guillemets ce que nous voulons afficher. Et on doit mettre tout ça entre les parenthèses de la méthode. Ensuite, on va exécuter le code, soit en cliquant simultanément sur MajF10 ou dans le menu Run, Run le nom de ma classe.
Le code s'exécute sans erreur, on a bien affiché Hello World. On peut déjà améliorer notre code en ajoutant une autre ligne. Par exemple, on peut écrire mon premier programme Java. Pareil, on clique sur Run.
pour exécuter le code notre code s'exécute sans erreur nous avons bien la deuxième ligne qui s'affiche voilà bravo vous avez réussi votre premier programme en langage java Comme je l'ai dit précédemment, les commentaires ne sont pas pris en compte par le compilateur. Ils n'apparaîtront pas dans votre console. Ils serviront essentiellement à laisser des informations importantes sur votre code. Cela peut être utile si vous travaillez avec d'autres développeurs ou si vous revenez sur votre projet après un certain temps. Il existe trois types de commentaires en Java.
Les commentaires abrégés, les commentaires multilingues et les commentaires de documentation automatique, c'est-à-dire la JavaDoc. Donc la JavaDoc. est une documentation au format HTML qui va être générée depuis votre code source, depuis les commentaires de votre code source. Ceci est un commentaire abrigé. Il suffit de taper deux slashs et de le faire suivre par notre commentaire.
Ceci est un commentaire multiligne. Donc, il est composé d'un slash et d'une étoile. Et il se termine par une étoile et un slash. Ceci est un commentaire de documentation automatique, c'est-à-dire une Java doc.
Pour le générer... Il suffit de taper un slash puis deux étoiles, on clique sur entrer et le commentaire apparaît automatiquement. Il suffit ensuite d'y entrer les informations que l'on souhaite pour compléter la documentation.
Les identifiants servent à nommer les éléments de votre code Java, comme par exemple les variables, les classes, les méthodes, les paramètres, les packages, les interfaces, etc. Ils permettent notamment d'utiliser l'élément nommé ailleurs dans le code. C'est-à-dire que vous allez pouvoir appeler l'identifiant en question et l'utiliser autre part dans votre code. Il y a plusieurs règles qui définissent un identifiant.
Alors premièrement, l'identifiant est une séquence d'un ou plusieurs caractères, lettres et chiffres, dont le premier est obligatoirement une lettre. Donc votre identifiant doit commencer par une lettre. Ensuite, un identifiant ne peut pas être un mot-clé du langage, true ou false.
qui sont des bouléens littéraux, nulle, c'est-à-dire qu'il ne peut pas prendre le nom nulle, n-u-l-l, qui est une valeur littérale. Il ne peut pas être non plus un des caractères qui ont une utilité dans le langage, comme par exemple un espace, une tabulation, les caractères dièse, arrobase, point d'exclamation, underscore, dièse, etc. Nous allons prendre l'exemple de notre première classe ainsi que de son main. On a donc ma classe qui est le nom de la classe. main qui est le nom de la méthode, string le nom d'une classe donc la classe string, args le nom d'un paramètre, voici un identifiant valide donc on a int valeur égale à 10, on affiche valeur et on voit qu'il n'y a pas d'erreur et on a donc int 1 a a b b b égal à 3 et là on voit qu'on a une erreur Donc cet identifiant n'est pas valide.
Une variable permet de mémoriser différents utiles pour le fonctionnement de l'indication pendant son exécution. Une variable doit obligatoirement être déclarée avant son utilisation dans le code. La déclaration d'une variable va nous permettre de fixer ses caractéristiques.
En fonction de l'emplacement de sa déclaration, une variable appartiendra à l'une des catégories suivantes. Si elle est déclarée à l'intérieur d'une classe, la variable est une variable d'instance. Si elle est déclarée avec le mot-clé statique, à l'intérieur d'une classe, la variable est une variable de classe.
Si elle est déclarée à l'intérieur d'une fonction, la variable est une variable locale. Les paramètres des fonctions peuvent être considérés comme des variables locales. Vous avez un exemple avec la fonction main, la méthode main, qui débute votre programme.
Voici quelques règles de nommage à respecter pour les variables en langage Java. Le nom de la variable est un nom de la variable. variable doit obligatoirement commencer par une lettre.
Il peut contenir un nombre quelconque de caractères. Java est sensible à la casse donc il y a une distinction entre minuscules et majuscules. Le nom peut être constitué de lettres, de chiffres ou de caractères soulignés. Le nom doit être écrit en minuscules sauf la première lettre de chaque mot si le nom de la variable en comporte plusieurs.
Exemple ma jolie variable. Vous voyez chaque mot du nom de la variable commence par une majuscule. Les espaces et les accents sont interdits.
dans le nommage d'une variable. Les caractères spéciaux aussi sont exclus du nommage d'une variable. Il est interdit aussi d'utiliser les mots-clés du langage, exemple statique, int, double ou classe.
En spécifiant un type pour une variable, nous indiquons quelles informations nous allons pouvoir stocker dans cette variable et les opérations que nous allons pouvoir effectuer avec. Le langage Java dispose de 7 types de bases qui peuvent être classés en 3 catégories. Les types numériques entiers avec des variables de type byte, short, int et long.
Les types décimaux avec les variables de type float ou double. Le type caractère avec le type char utilisé pour stocker un caractère unique. Sur la première ligne, on va créer une variable de type int.
comme integer, entier, qu'on va nommer in et on va lui attribuer la valeur 10 000. Ensuite, nous allons créer une variable de type byte que l'on va nommer bt et on va y stocker la valeur 14. Ensuite, nous allons créer une variable de type short que nous allons nommer sh et nous allons y stocker la valeur 123. Ensuite, nous allons créer une variable de type longue que nous allons nommer LG et dans laquelle nous allons stocker la valeur 123 762 883. Ensuite, nous allons afficher ces variables ainsi que le contenu de ces variables, c'est-à-dire la valeur de ces variables. Pour cela, nous allons utiliser la méthode println de la classe système qui va nous permettre d'afficher le résultat dans la console. Donc, entre guillemets, nous allons écrire un petit message, ce qui va nous permettre...
de comprendre quelle valeur nous sommes en train d'afficher. Dans le premier message nous devons afficher la valeur de la variable IN c'est à dire 10000. Pour cela je vais appeler la variable IN en utilisant son nom et le petit plus. Ensuite nous allons utiliser le même procédé pour afficher la valeur des autres variables donc à chaque fois je vais remplacer le IN par le nom des autres variables c'est à dire bt sh et LG.
Ensuite je n'ai plus qu'à exécuter mon programme en utilisant le raccourci MAJ plus F10 mais vous pouvez aussi utiliser le menu en cliquant sur run. Le résultat correspond bien à ce que nous attendions c'est à dire les valeurs de toutes les variables que nous avons créées. Notez que dans les chaînes de caractère il y a on va dire une petite coquille c'est à dire que en faisant mon copier-coller de la première ligne, j'ai copié-collé aussi le message plusieurs fois, sauf que normalement, il est censé changer pour les autres variables. Exemple, la ligne 2, où j'ai mis la valeur de la variable IN et j'ai mis BT, normalement, on devrait modifier et mettre la valeur de la variable BT et BT.
Donc, ça va vous permettre aussi de modifier le code et de vous rendre compte que le fait de changer un mot Dans la chaîne de caractères, ça va aussi changer le résultat dans votre console. On va créer une variable de type float qu'on va nommer fl et on va lui attribuer la valeur 2,5. Attention à bien utiliser le point et non la virgule pour symboliser la virgule.
On va terminer notre instruction avec la lettre f pour préciser qu'il s'agit d'une variable de type float. Sur la deuxième ligne, on va créer... une variable de type double. On va l'appeler DB et on va lui allouer la valeur 2,5 aussi.
Notez que par défaut, les nombres à virgule sont de type double. Maintenant, nous allons afficher la valeur de ces variables en utilisant la fonction qui nous permet de faire l'affichage dans la console. Comme tout à l'heure, on va appeler le nom des deux variables, FL et DB. Il ne reste plus qu'à exécuter notre code en utilisant le raccourci MAJF10. C'est bien le résultat attendu, maintenant nous allons passer à la variable de type caractère.
Dans cette nouvelle partie, nous allons parler du type caractère char et de la chaîne de caractère string. Le type caractère char est utilisé pour stocker un caractère unique. Le caractère doit être entre guillemets simple.
Pour pouvoir stocker des chaînes de caractères, il faut utiliser le type string. La chaîne de caractères doit être placée entre des guillemets. Les caractères spécifiques sont représentés par une séquence d'échappement.
Cette séquence est constituée du caractère slash suivi d'un autre caractère. Pour ajouter une tabulation dans votre chaîne de caractères, il faudra taper anti-slash T pour un retour arrière anti-slash B, pour un saut de ligne anti-slash N, pour un retour chariot anti-slash R, Pour un saut de page, anti-slash F. Pour une guillemette simple, anti-slash guillemette simple. Pour des doubles guillemettes, anti-slash double guillemette. Et pour ajouter un anti-slash dans votre chaîne de caractère, il faudra taper anti-slash anti-slash.
La déclaration d'une variable est constituée du type de la variable suivie du nom de la variable. La déclaration d'une variable peut apparaître n'importe où dans le code. Il suffit simplement que la déclaration précède l'utilisation de la variable. Il est conseillé de regrouper les déclarations de variables en début de classe ou en début de fonction afin de faciliter la relecture du code. Ici, nous allons affecter à la variable nombre la valeur 6. Ensuite, on va affecter à la variable taux la valeur 2,5.
Et pour terminer, nous allons affecter à la variable de type string la chaîne de caractère Rudy. Ensuite, nous allons afficher nos variables accompagnées d'une chaîne de caractère. Dans la première chaîne de caractère, nous allons afficher le message le nombre est, avec ensuite la valeur de la variable nombre. Pour cela, nous allons utiliser l'opérateur de concaténation plus.
Même chose pour afficher la valeur de notre taux et pour afficher notre prénom. Il n'y a plus qu'à afficher notre code en utilisant le raccourci MAJF10. Nous avons bien dans notre console le résultat attendu.
On a bien le prénom érudit, le taux est 2,5 et le nombre est 6. Le niveau d'accès détermine quelle partie du code est autorisée à lire ou à écrire dans la variable. Langage Java possède quatre mots-clés permettant le contrôle du niveau d'accès. On les utilise lors de la déclaration de la variable devant le type. Par contre, il est interdit de les utiliser dans une fonction.
Le premier mot-clé est private. Il va désigner un élément qui est accessible uniquement au sein de la classe dans laquelle il est déclaré. Cet élément ne pourra être manipulé qu'à l'aide de méthodes spécifiques.
Le deuxième mot-clé à connaître, c'est protected. Dans ce cas, la variable sera utilisable dans la classe où elle est définie, dans les sous-classes de cette classe et dans les classes qui font partie du même package. Le mot-clé public, il va désigner un élément qui sera accessible de partout et sans aucune restriction. L'exemple le plus connu, c'est notre classe main qui doit être obligatoirement déclarée publique. Et le dernier mot-clé, static, on va l'utiliser en association avec un des mots-clés précédents.
Il va nous permettre de transformer une déclaration de variable d'instance en déclaration de variable de classe. Si vous n'avez pas compris toutes ces notions, ce n'est vraiment pas grave car nous reviendrons sur les niveaux d'accès dans la partie orientée objet. On va commencer par déclarer une variable private de type int, donc integer, qu'on va appeler nombre. Cette variable sera disponible ou accessible au sein de la classe. Puis nous allons déclarer une variable protected et cette variable sera utilisable dans la classe où elle est définie.
Cette variable sera de type flout et on va la nommer to. Ensuite on va déclarer une variable publique de type double qu'on va nommer niveau. Et celle-ci sera accessible partout.
Et pour terminer une variable statique de type string qu'on va nommer transformation. Dans cette partie, nous avons vu les différents niveaux d'accès. Ne vous inquiétez pas, nous allons les utiliser dans la partie orientée objet. Les conversions de type permettent de transformer une variable d'un type dans un autre type. Les conversions peuvent s'effectuer vers un type supérieur ou vers un type inférieur.
Dans le cas d'une conversion vers un type inférieur, il y a un risque de perte d'information. Il faut donc expliciter le souhait dans le code en préfixant l'élément que l'on souhaite convertir avec le type que l'on veut obtenir. Les fonctions de conversion vers le type chaîne de caractère sont accessibles par l'intermédiaire de la classe string.
Par exemple, la méthode de classe string.valueOf assure la conversion d'une valeur d'un type de base vers une chaîne de caractère. La conversion depuis une chaîne de caractère est également possible. En effet, il arrive fréquemment qu'une valeur numérique soit disponible dans une application sous la forme d'une chaîne de caractère, par exemple la saisie d'un utilisateur ou la lecture d'un fichier, et donc pour pouvoir être manipulée par l'application, elle doit être convertie en un type numérique.
Pour cela, nous allons utiliser les méthodes parse de la classe Integer. Ces méthodes acceptent en paramètre une chaîne de caractère et elles permettent d'en obtenir la conversion dans le type de base choisi. Nous reviendrons sur ces concepts plus tard. Retenez seulement la possibilité de transformer une variable d'un type dans un autre type en utilisant des méthodes. Dans le tableau de gauche, nous allons retrouver toutes les conversions possibles.
Les lignes représentent le type de données d'origine et les colonnes le type de données à obtenir. Dans le tableau de droite, on retrouvera les méthodes parse qui vont nous permettre la conversion depuis une chaîne de caractère. On observe qu'elle prend en paramètre une variable de type string. On va commencer par déclarer nos variables. Une première variable de type double qu'on va appeler distance.
n'oubliez pas le point virgule après chaque instruction c'est très important en langage java ensuite une variable de type int donc integer qu'on va appeler conversion Deuxième étape, nous allons affecter une valeur à la variable distance. Pour cela, nous allons utiliser l'opérateur d'affectation égal. On va affecter à la variable distance la valeur 2435,89.
Troisième étape, dans cette instruction, nous allons convertir la distance qui est de type double en type integer. Et on va affecter cette conversion à la variable conversion. On peut dire que dans cette étape, nous avons affecté...
à la variable conversion, la conversion de la valeur de la variable distance, qui était lors de la déclaration en type double, et que nous avons converti en type integer. Et pour terminer, nous allons afficher la valeur de la variable conversion, pour voir si notre conversion a bien fonctionné. Donc logiquement, on ne devrait plus avoir les chiffres après la virgule de la valeur de la variable distance.
Pour cela, nous allons utiliser... la méthode println et nous allons mettre en paramètre une chaîne de caractères pour qu'elle s'affiche dans notre console on va utiliser l'opérateur plus pour afficher la valeur de la variable conversion il n'y a plus qu'à exécuter notre code en utilisant le raccourci majf10 c'est bien le résultat attendu nous avons bien une variable de type integer en sortie Dans une application, il arrive fréquemment que l'on utilise des valeurs numériques ou des chaînes de caractères qui ne seront pas modifiées pendant le fonctionnement de l'application. Il est conseillé, pour faciliter la lecture du code, de définir ces valeurs sous forme de constante.
La définition d'une constante se fait en ajoutant le mot-clé final, final en français, devant la déclaration de la variable. Il est obligatoire d'initialiser la constante au moment de sa déclaration. C'est le seul endroit où il est possible de faire une affectation à la constante. On va déclarer une constante de type double qu'on va nommer taux TVA.
Et on va lui affecter la valeur 1,196. La constante pourra être utilisée dans le code à la place de la valeur littérale qu'elle représente, c'est-à-dire taux TVA. On va utiliser notre valeur littérale dans une formule pour déterminer le prix TTC.
Sachez que de nombreuses constantes sont déjà définies dans le langage Java. et que par convention, les noms des constantes sont écrits entièrement en majuscule. On va déclarer une variable de type int qu'on va appeler prix hors taxe et on va lui affecter la valeur 10, donc 10 euros. Ensuite, on va donc déclarer notre prix TTC qui sera de type double, c'est un nombre décimal, qu'on va appeler prix TTC.
Ensuite, nous allons utiliser notre constante dans une formule qui va nous permettre de déterminer le prix TTC. Notre prix TTC est égal à notre prix hors-taxe, qui est pour valeur 10, qu'on va multiplier par notre constante, qui est le taux de TVA, qui sera égal à 1,196. Il ne nous reste plus qu'à afficher notre résultat dans notre console. Pour cela, on va utiliser notre méthode println. En paramètres, on va ajouter un petit message, le prix TTC, et puis on va utiliser notre opérateur de concaténation le plus.
pour utiliser la variable prix TTC. Il ne nous reste plus qu'à exécuter notre code en utilisant notre raccourci MAJF10. C'est bien le résultat attendu. Nous avons bien notre chaîne de caractère qui apparaît dans la console avec le prix TTC qui est égal au prix hors-taxe multiplié par le taux de TVA, c'est-à-dire 10 euros multiplié par 1. 1,196, c'est-à-dire environ 11,96 Une énumération va nous permettre de définir un ensemble de constantes qui sont liées entre elles. La première valeur de l'énumération est initialisée à 0. Les constantes suivantes sont ensuite initialisées avec un incrément de 1. Prenons par exemple les mois de l'année.
Énum, mois. avec un M majuscule, accolade ouvrante, puis on va énumérer tous les mois de l'année et on va les séparer par une virgule. On terminera l'énumération avec une accolade fermante.
Pour vérifier que l'énumération fonctionne bien, on va afficher dans notre console le mois de janvier. N'oubliez pas que les énumérations sont des constantes et que les constantes s'écrivent en majuscule. Pour afficher notre résultat, Nous allons utiliser le raccourci.
Maj F10. Nous avons bien le résultat attendu, le mois de janvier apparaît dans notre console. Les tableaux vont nous permettre de faire référence à un ensemble de variables de même type, par le même nom, et d'utiliser un index pour les différencier. Le premier élément d'un tableau a toujours pour index 0. Le nombre de cases du tableau est spécifié au moment de la création du tableau. Le plus grand index d'un tableau est donc égal au nombre de cases moins 1. Après sa création, les caractéristiques d'un tableau ne peuvent être modifiées.
On ne pourra pas par exemple modifier le nombre de cases ou le type d'éléments stockés dans le tableau. La manipulation d'un tableau doit être décomposée en trois étapes. La déclaration d'une variable permettant de manipuler le tableau.
De la création du tableau, qu'on appelle allocation de mémoire. Et pour terminer, le stockage et la manipulation des éléments du tableau. La déclaration se fait comme une variable classique, sauf que l'on doit ajouter à la suite du type de donnée ou du nom de la variable les caractères crochet ouvrant crochet fermant Il est préférable, pour une meilleure lisibilité du code, d'associer les caractères crochet ouvrant et crochet fermant au type de donnée.
La ligne suivante déclare une variable de type tableau d'entier On va nommer ce tableau d'entier chiffre à faire Après la déclaration de la variable, il faut créer le tableau en obtenant de la mémoire pour stocker ces éléments. C'est à ce moment que nous indiquons la taille du tableau. C'est donc l'opérateur new qui va être utilisé pour créer une instance du tableau.
Une instance peut être traduite par un exemplaire. La valeur fournie par l'opérateur new est stockée dans la variable déclarée au préalable. Cette déclaration va créer un tableau avec 12 cases numérotées de 0 à 11. Une autre solution est disponible pour la création d'un tableau. Elle permet simultanément la déclaration de la variable, la création du tableau et l'initialisation de son contenu. Dans ce cas, il n'y a pas besoin de préciser la taille pour le tableau.
En effet, le dimensionnement se fera automatiquement en fonction du nombre de valeurs placées entre les accolades. Pour chaque case de notre tableau, nous allons ajouter une valeur. On va taper le nom de notre tableau, puis entre accolades, le numéro de la case où nous voulons ajouter une valeur. N'oubliez pas que la première case de notre tableau est numérotée 0. Dans la première case, nous allons ajouter la valeur 1234. Ne pas oublier le point virgule à la fin de votre instruction.
La deuxième case de votre tableau est numérotée 1 et ainsi de suite jusqu'à 11. Une fois que vous avez ajouté toutes les variables de type entier dans votre tableau d'entier, il est temps d'afficher tous les éléments de votre tableau. Pour cela, nous allons utiliser notre méthode println. En paramètres, on va y ajouter une chaîne de caractère nous permettant de savoir quelle est la case du tableau que nous avons affiché.
Il n'y a plus qu'à exécuter notre code en utilisant notre raccourci majf10. C'est bien le résultat attendu, nous avons bien toutes les valeurs de chaque case de notre tableau. Les tableaux à plusieurs dimensions sont en fait des tableaux contenant d'autres tableaux. La syntaxe de la déclaration est semblable à celle d'un tableau, mis à part que l'on doit spécifier autant de paires de crochets que vous souhaitez avoir de dimensions.
La création est également semblable à celle d'un tableau à une dimension, hormis que vous devez indiquer une taille pour chacune des dimensions. Dans notre exemple, nous allons créer un tableau d'entier. Ce tableau d'entier possède trois petits tableaux, représentés par le premier chiffre entre accolades. Et dans chaque petit tableau, nous avons deux cases, représentées par le deuxième chiffre entre accolades.
Pour ajouter l'entier 231 dans la première case, il suffit d'indiquer... l'index, c'est-à-dire 0 0. Pour initier le premier élément, on va indiquer l'index permettant d'identifier la case du tableau concerné, c'est-à-dire 0 0 pour le premier élément, et on va lui assigner la valeur 231. Pour l'initialisation des éléments suivants, il suffit de changer l'index et d'affecter une valeur. Attention à ne pas affecter une valeur à une case du tableau qui n'existe pas.
Ensuite, nous pouvons afficher les éléments du tableau en fonction de leur index. Pour cela, nous allons utiliser notre méthode Println en ajoutant en paramètre une chaîne de caractère que nous allons afficher dans notre console. Nous avons bien obtenu le résultat attendu. Les éléments du tableau sont bien affichés en fonction de leur index. Lorsque l'on travaille avec les tableaux, certaines opérations doivent être fréquemment réalisées.
La plupart d'entre elles sont disponibles grâce à la classe java.util.erase fournissant de nombreuses méthodes statiques de manipulation de tableaux. Pour obtenir la taille d'un tableau, il suffit d'utiliser la propriété length du tableau pour connaître le nombre d'éléments qu'il peut contenir. Dans le cas d'un tableau multidimensionnel, il faut se souvenir qu'il s'agit en fait de tableau de tableau. La propriété Length indique alors le nombre d'éléments sur la première dimension. Pour rechercher un élément dans un tableau, la fonction BinarySearch permet d'effectuer une recherche dans un tableau.
Elle accepte comme paramètre le tableau dans lequel se fait la recherche et l'élément recherché dans le tableau. La valeur retournée correspond à l'index où l'élément a été trouvé dans le tableau ou une valeur négative si l'élément ne se trouve pas dans le tableau. Pour que cette fonction fonctionne correctement, le tableau doit être au préalable trié. La première étape consiste à créer et à initialiser un tableau d'entier que l'on nommera chiffre à faire. Pour que la fonction binarySearch fonctionne correctement, il faut au préalable trier le tableau.
Pour cela, nous allons utiliser la fonction sort. Il faudra au préalable importer la bibliothèque de méthode erase contenue dans le package java.util. Et pour terminer, nous allons afficher le résultat de l'utilisation de notre méthode binary search. On va rechercher l'élément 123. dans notre tableau. Sachant que ce tableau a été au préalable trié, l'élément 123 doit être normalement le premier élément puisqu'il est le plus petit élément de la liste.
Pour rappel, la méthode sort trie le tableau dans l'ordre croissant. Et comme vous le savez maintenant, le premier élément d'un tableau a pour index 0. Cette méthode binary search prend en paramètre le tableau ainsi que la valeur qui est à rechercher. Il n'y a plus qu'à exécuter notre code en utilisant notre raccourci MAJF10. C'est bien le résultat attendu. Nous avons l'index de l'élément recherché, c'est-à-dire 0, car 123 est le premier élément du tableau qui a été trié.
La fonction SORT assure le tri du tableau qu'elle reçoit en paramètre. Le tri se fait par ordre alphabétique pour les tableaux de chaîne de caractère et par ordre croissant pour les tableaux de valeur numérique. La fonction PARALLEL SORT... effectue elle aussi le tri du tableau, mais en utilisant un algorithme exploitant les capacités d'une machine multiprocesseur. La fonction toString permet d'obtenir une représentation sous forme d'une chaîne de caractère du tableau passé en paramètre.
Reprenons notre code avec la fonction binarySearch, que nous allons remplacer par la fonction toString, afin d'obtenir notre tableau trié sous la forme d'une chaîne de caractère. C'est en utilisant notre fonction println que nous allons pouvoir afficher le résultat dans notre console. On va mettre en paramètre de notre fonction toString notre tableau chiffre à faire.
On va utiliser le raccourci majf10. C'est bien le résultat attendu. Nous avons notre tableau d'entier trié sous la forme d'une chaîne de caractère.
Deux fonctions sont disponibles pour la copie de tableau. La fonction CopyOf copie un tableau entier avec la possibilité de modifier la taille du tableau. La fonction CopyOfRange effectue une copie d'une partie d'un tableau. Reprenons notre code précédent.
On va créer un tableau d'entier que l'on va nommer CopieChiffreAffaire et on va lui affecter la copie entière du tableau. chiffres à faire en utilisant la méthode copy off. Cette méthode copy off prend en paramètre le tableau que l'on veut copier ainsi que la longueur de la copie. On va ensuite afficher la copie entière de ce tableau en utilisant notre méthode println.
En paramètre de la méthode println, nous allons utiliser la méthode toString. Et on va mettre en paramètre de notre méthode toString notre copie entière. On exécute notre code en utilisant le raccourci majf10.
Nous obtenons bien une copie entière de notre tableau chiffre d'affaires. C'est bien le résultat attendu. On va copier les trois premières valeurs du tableau correspondant au premier trimestre.
Pour cela, on va créer un tableau d'entier que l'on va nommer premier trimestre. On va lui affecter une copie du tableau initial en utilisant la méthode copy of range. On va mettre en paramètre de cette fonction le tableau à copier, ainsi que l'indice initial de la plage à copier et l'indice final de la plage à copier.
Ici, nous allons copier les valeurs du tableau chiffre à faire de l'indice 0 à l'indice 3. Pour afficher le résultat, nous allons utiliser notre méthode println. En paramètre de notre méthode println, println, nous allons ajouter une chaîne de caractère copie partielle du tableau qui représente les trois premières valeurs, donc le premier trimestre, et on va concaténer cette chaîne de caractère avec notre copie partielle du tableau. Pour cela on va utiliser l'opérateur de concaténation plus, ainsi que notre méthode toString, et on va mettre en paramètre de notre méthode toString notre tableau premier trimestre. On exécute notre code en utilisant le raccourci majf10. C'est bien le résultat attendu, nous avons la copie partielle de notre tableau, de l'indice 0 à l'indice 3. Nous avons vu que pour affecter une valeur à une chaîne, il faut la spécifier entre les caractères guillemets doubles et guillemets doubles.
Un problème se pose si nous voulons que le caractère guillemets doubles fasse partie de la chaîne. Pour qu'il ne soit pas interprété comme un caractère de début ou de fin de chaîne, il faut le protéger avec une séquence d'échappement. comme dans l'exemple suivant.
On va créer une variable de type chaîne de caractère que l'on va nommer chaîne, puis on va lui affecter une chaîne de caractère en utilisant la séquence d'échappement. La chaîne de caractère est Je code en langage et on va mettre entre guillemets Java Et ensuite, nous allons afficher le contenu de la variable chaîne en utilisant notre méthode println On passe en paramètre de notre fonction println notre variable de type chaîne de caractère chaîne. Et pour terminer, on exécute notre code en utilisant le raccourci majf10. On obtient bien le résultat attendu.
La chaîne de caractère jeCode en langage Java apparaît bien dans la console et les guillemets doubles ont bien été pris en compte. Pour obtenir le caractère présent à une position donnée d'une chaîne de caractère, il faut utiliser la fonction charAt en fournissant comme argument ou paramètre l'index du caractère que l'on souhaite obtenir. Le premier caractère a l'index 0 comme pour le tableau. Cette fonction retourne un caractère. On va créer une variable de type chaîne de caractère qu'on va appeler ma chaîne.
On va lui affecter une chaîne de caractère. J'apprends le langage. java et on va afficher le troisième caractère de la chaîne en utilisant notre méthode println en paramètres de la méthode println on va mettre une chaîne de caractères le troisième caractère de la chaîne et on va utiliser l'opérateur de concaténation plus pour combiner les deux chaînes ici nous souhaitons obtenir le troisième caractère de la chaîne pour cela on va utiliser la fonction char at et en paramètres On va indiquer l'index de la chaîne que nous souhaitons obtenir, c'est-à-dire le troisième élément de la chaîne.
Il ne reste plus qu'à exécuter notre code en utilisant le raccourci majf10. C'est bien le résultat attendu. Nous avons la concaténation de la première chaîne avec le troisième caractère contenu dans la variable machn.
Pour déterminer la longueur d'une chaîne, la fonction length de la classe string est disponible. Elle retourne la longueur de la séquence de caractère d'une variable de type string. Reprenons notre code. En paramètre de notre fonction println, on va écrire un message à afficher dans notre console. La variable ma chaîne contient.
Ensuite, on va concaténer cette chaîne avec la longueur de la variable ma chaîne en utilisant la fonction length. Pour que le message soit plus clair, on va rajouter à la fin caractère. Ne pas oublier l'opérateur de concaténation plus pour pouvoir lier plusieurs chaînes de caractère entre elles.
Pour afficher le résultat dans la console, on va utiliser notre raccourci MAJF10. C'est bien le résultat attendu. Nous avons bien notre message qui apparaît avec la longueur de la chaîne de caractère MAJCHAIN.
La fonction SUBSTRING. de la classe string retourne une portion de chaîne en fonction de la position de départ et de la position de fin qui lui sont passés comme paramètre. La chaîne obtenue commence par le caractère situé à la position de départ et se termine au caractère précédant la position de fin.
Retour sur notre code. Cette fois-ci, nous allons afficher le découpage de la chaîne contenue dans la variable ma chaîne. En paramètre de la méthode println, on va écrire le message ceci est une.
partie de la chaîne contenue dans la variable ma chaîne. Et on va concaténer le découpage de la chaîne avec le message en utilisant la méthode substring dans laquelle on va mettre en paramètre la position de départ et la position de fin. Ici, on va commencer au caractère ayant l'index 2 et on va terminer au caractère ayant l'index 9 dans la chaîne de caractère.
Pour afficher le résultat, on va utiliser notre raccourci MajF10. C'est bien le résultat attendu. Nous avons le message ainsi que la découpe de la chaîne de caractère contenue dans la variable maChaine. La méthode equals effectue une comparaison de la chaîne avec celle qui est passée comme paramètre. Elle retourne un booléen égal à true vrai en français si les deux chaînes sont identiques et elle retourne un booléen égal à false faux en français dans le cas contraire.
Cette fonction fait une distinction entre minuscule et majuscule lors de la comparaison. La fonction equalsInYourCase effectue un traitement identique mais sans tenir compte de cette distinction. Reprenons notre code précédent et à la ligne numéro 10, on va créer une nouvelle variable de type chaîne de caractère que l'on va nommer maChaine2. Ensuite, nous allons affecter une chaîne de caractère à la variable maChaine2. N'oubliez pas qu'une chaîne de caractère est une chaîne de caractère.
est entre guillemets double on va lui assigner la chaîne et ce n'est pas compliqué ensuite nous allons tester si les deux chaînes sont identiques en utilisant la méthode equals pour cela on va utiliser une structure de contrôle avec l'instruction if ce qui va nous permettre de tester si une condition est vraie ou fausse et en fonction du résultat afficher un message dans notre console la condition est entre parenthèses juste après le if donc si ma chaîne est égale à ma chaîne 2, alors on affiche un message, les deux chaînes sont identiques. Sinon, représenté par l'instruction else, cela veut dire que la condition est fausse et on affiche le message les deux chaînes sont différentes. Attention à ne pas oublier le point virgule à la fin de l'instruction sur la ligne 15. On exécute notre code en utilisant le raccourci MAJF10. Le test sur les deux chaînes a bien été effectué et les deux chaînes de caractère sont bien différentes et nous avons bien le bon message qui apparaît dans notre console. La fonction TRIM permet de supprimer les espaces situés avant le premier caractère significatif et après le dernier caractère significatif d'une chaîne.
On va commencer par affecter une chaîne de caractère avec espace à notre variable maChaine. Ensuite, on va afficher la longueur de la chaîne contenue dans la variable maChaine. Pour cela, nous allons utiliser trois fonctions.
La fonction println pour afficher le résultat dans notre console et la fonction length qui nous permettra d'avoir la longueur de la chaîne. Ensuite on va afficher la longueur de la chaîne mais cette fois-ci sans les espaces. On va une nouvelle fois utiliser la fonction println, la fonction trim pour effacer les espaces et la fonction length pour avoir de nouveau la longueur de la chaîne.
Il ne nous reste plus qu'à afficher le résultat dans notre console en utilisant le raccourci MAJF10. C'est bien le résultat attendu. Nous avons l'affichage de la chaîne de caractères avec les espaces, avec une taille de 28 caractères, et l'affichage de la longueur de la chaîne sans les espaces, avant le premier caractère significatif et après le dernier caractère significatif.
Donc ça nous fait 28 moins 2 caractères, c'est-à-dire 26. La fonction toUpperCase convertit tous les caractères de la chaîne en majuscules. La fonction toLowerCase converti tous les caractères de la chaîne en minuscules. On commence par créer notre variable de type chaîne de caractères.
Pour cela, vous pouvez reprendre le code de la partie précédente ou trouver un autre nom pour votre variable. Ensuite, on va affecter une chaîne de caractères avec des majuscules et des minuscules dans notre variable ma chaîne. On passe à l'affichage de notre chaîne de caractères tout en majuscules.
Pour cela, on va utiliser notre fonction println. en ajoutant en paramètre un message ainsi que notre chaîne convertie en majuscule grâce à la fonction toUpperCase. Pour l'affichage de notre chaîne de caractère en minuscule, on va utiliser les mêmes étapes, c'est-à-dire notre fonction println, un message en paramètre, puis l'utilisation de la fonction toLowerCase pour convertir tous les caractères de la chaîne en minuscule. Il n'y a plus qu'à...
exécuter notre code en utilisant le raccourci MajF10. C'est bien le résultat attendu. Nous avons bien le premier message avec notre chaîne de caractère convertie en majuscule, puis le deuxième message avec notre chaîne de caractère convertie en minuscule.
La méthode indexOf de la classe String permet la recherche d'une chaîne à l'intérieur d'une autre. Le paramètre correspond à la chaîne recherchée. La fonction retourne un entier. indiquant la position à laquelle la chaîne a été trouvée, ou"-1", si la chaîne n'a pas été trouvée.
Par défaut, la recherche commence au début de la chaîne. Vous pouvez utiliser la fonction indexOf avec deux paramètres. Le premier paramètre étant pour la chaîne recherchée, et le deuxième, la position de départ de la recherche.
Reprenons notre code. On va affecter une chaîne de caractère à la variable maChaine. Cette chaîne de caractères est entre guillemets double et on va écrire j'apprends le langage Java.
Ensuite on va affecter des valeurs aux variables recherche et position. On va donc commencer par créer ces deux variables. La variable recherche est de type string, donc c'est une chaîne de caractères. Et la variable position est de type integer, c'est à dire entier.
Dans la variable recherche, on va affecter le caractère que nous voulons rechercher. c'est à dire S et dans la variable position on va mettre l'index du caractère que nous recherchons. Ce caractère est contenu dans notre variable recherche donc c'est cette variable recherche que nous allons mettre en paramètre de la méthode indexOf.
Il faut maintenant parcourir notre chaîne de caractères afin de retrouver l'index du caractère S que nous recherchons. Pour cela nous allons utiliser une structure de contrôle en utilisant l'instruction while avec une condition à respecter. Nous verrons plus tard dans le tuto l'ensemble des structures de contrôle. On peut traduire l'instruction while avec tant que.
Tant que la position ou l'index est supérieure à 0, j'affiche en utilisant la méthode println un message avec la position du caractère dans la chaîne. Et ensuite, à chaque fois, j'incrémente de 1 la position. Donc au départ, je suis à 1 puisque je dois être strictement supérieur à 0. puis A2, A3, A4, etc. jusqu'à trouver le S.
Une fois que j'ai trouvé la position du caractère recherché et que je l'ai affiché, j'affiche un message pour indiquer que la recherche est terminée. On peut maintenant afficher le résultat dans notre console en utilisant le raccourci MAJF10. La console nous indique une erreur à la ligne 23. On ferme la console et on va directement à la ligne 23. Et effectivement, il manque une parenthèse.
On relance l'exécution du code en utilisant MAJF10. C'est bien le résultat attendu. Nous avons le message avec la position du caractère S dans la chaîne. Le S est bien à l'index 10, ainsi que le message de fin de recherche. Il est parfois souhaitable de pouvoir rechercher la présence d'une chaîne à l'intérieur d'une autre, comme dans l'exemple précédent, mais également remplacer les portions des chaînes trouvées.
La fonction Replace permet de spécifier une chaîne de substitution pour la chaîne recherchée. Elle attend deux paramètres, la chaîne recherchée et la chaîne de remplacement. Reprenons l'exercice précédent, on va créer une variable de type string, chaîne de caractère, qu'on va appeler chaîne2.
Puis dans cette variable chaîne2, on va affecter le remplacement de la chaîne en utilisant la méthode replace. En paramètre de la méthode replace, on va d'abord spécifier la chaîne de départ, c'est-à-dire celle que l'on veut remplacer, virgule, et ensuite la chaîne de remplacement. Ici on va remplacer Java par HTML.
Ensuite, on passe à l'affichage de la chaîne avec le remplacement. Pour cela, on va utiliser notre méthode println avec la variable chaîne2 en paramètre. Il n'y a plus qu'à exécuter notre code en utilisant notre raccourci majf10.
On obtient le résultat attendu, c'est-à-dire notre chaîne de caractère j'apprends le langage avec HTML à la place de Java. Travailler en base 60 pour les secondes et les minutes puis en base 24 pour les heures n'est pas très simple. Mais la palme revient à la gestion des mois qui n'ont pas tous le même nombre de jours, voire pire puisque certains mois ont un nombre de jours variable suivant les années.
Les ordinateurs utilisent une technique différente en ne travaillant pas directement avec des dates et heures mais en nombre de secondes ou de millisecondes depuis une date de référence, généralement le 1er janvier 1970 à minuit. Ce mode de représentation n'est cependant pas très pratique pour un humain. La valeur 613 802 844 00000 n'est pas très évocatrice. Par contre, 25 12 2014 est beaucoup plus parlant.
C'est pourquoi de nombreuses fonctions permettent le passage d'un format à l'autre. De nombreuses classes spécialisées permettent de travailler les dates. Local Date représente une date, jour, mois, année, sans heure. et une heure sans prise en compte du fuseau horaire.
Local time représente une heure sans prise en compte du fuseau horaire. Offset datetime représente une date et une heure avec le décalage UTC. Offset time représente une heure avec le décalage UTC.
Zoned datetime représente une date et une heure avec le fuseau horaire correspondant. Duration représente une durée exprimée en heures, minutes, secondes. En jour-mois-année, month-date représente une date et un mois sans année. Year-month représente un mois et une année sans jour.
Toutes ces classes proposent une série de méthodes permettant la manipulation de leurs éléments. Off retourne une instance de la classe initialisée avec les différentes valeurs passées comme paramètres. From, conversion entre les différents types.
En cas de conversion vers un type moins complet, il y a perte d'information. Parse transforme la chaîne. de caractère passé comme paramètre vers le type correspondant. Commençons par utiliser la méthode off avec la classe localDate.
Première étape, on va créer une localDate qu'on va nommer été. Et dans cette localDate été, on va mettre la date du début de l'été, c'est-à-dire le 21 juin, en utilisant la méthode off. Cette méthode possède trois paramètres. Le premier, c'est l'année.
On va mettre... 2023 le deuxième c'est le mois 06 pour le mois de juin et le troisième c'est le jour et on va mettre le 21 pour le début de l'été deuxième étape on va afficher un message dans notre console avec notre méthode println la date du début de l'été et le et on va concaténer ce message avec le contenu de notre local date été on exécute notre code en utilisant le raccourci majf10 C'est bien le résultat attendu. On a bien notre message avec la local date que nous avons créé, c'est-à-dire 2023-06-21.
Ensuite, on passe à l'utilisation de la méthode from. Première étape, la création de la local date time. A noter qu'il faut importer les bibliothèques associées à ces classes et votre IDE va vous le proposer automatiquement.
On le voit donc en haut à gauche. On nomme notre local date time maintenant et on lui affecte. la date du jour en utilisant la méthode now on passe ensuite à l'affichage dans la console de notre local date time maintenant en la passant en paramètres de notre méthode println on exécute notre code en utilisant notre raccourci majf10 c'est bien le résultat attendu nous avons la date d'aujourd'hui qui s'affiche dans notre console on va passer ensuite à la transformation de notre local date time en local date en utilisant la méthode from attention cela va entraîner une perte d'information puisque une local date time est plus précise qu'une local date on va créer une local date qu'on va nommer aujourd'hui et dans cette local date on va utiliser la méthode from dans laquelle on va passer en paramètre la local date time maintenant ensuite on affiche le résultat de cette transformation en mettant notre local date aujourd'hui en paramètre de notre méthode println on va rajouter un message transformation de la local date time en local date on exécute notre code C'est bien le résultat attendu, on a bien transformé notre localDateTime, qui était précise, en localDate, ce qui a entraîné une perte d'information, puisqu'il ne nous reste plus que la date. Dernière méthode, la méthode parse, qu'on va utiliser avec une classe localTime.
Première étape, la création d'une localTime. L'IDE nous propose l'import de la localTime. On va le faire en appuyant simultanément Alt plus Entrée.
Cette localTime, on va l'appeler temps, et on va lui affecter. Une chaîne de caractères représentant une local time. Et c'est cette chaîne de caractères qui va être transformée en local time. On passe ensuite à l'affichage dans notre console du résultat.
Que l'on va accompagner avec un message la variable temps contient. Et on exécute notre code en utilisant notre raccourci majf10. Le résultat ne contient pas d'erreur, on a bien notre message la variable temps contient suivi du contenu de notre local time temps Les opérateurs sont des mots-clés du langage permettant l'exécution d'opérations sur le contenu de certains éléments, en général des variables, des constantes, des valeurs littérales ou des retours de fonction.
La combinaison d'un ou de plusieurs opérateurs et d'éléments sur lesquels les opérateurs vont s'appuyer se nomme une expression. Voici un tableau avec les opérateurs dit unaires. L'opérateur moins qui représente une valeur négative.
L'opérateur tilde complément à 1. L'opérateur plus plus qui représente l'incrémentation. L'opérateur moins moins qui représente la décrémentation. Et l'opérateur point d'exclamation qui représente la négation. Attention, l'opérateur de négation n'est utilisable que sur les variables de type boolean. Boolean en français, c'est-à-dire les variables true et false.
ou sur des expressions produisant un type boolean, c'est-à-dire les expressions qui retournent soit la valeur true, soit la valeur false. Le seul opérateur disponible dans cette catégorie est l'opérateur égal. Il permet d'affecter à une variable une valeur. Le même opérateur est utilisé quel que soit le type de variable, numérique, chaîne de caractère par exemple. Cet opérateur peut être combiné avec un opérateur arithmétique, logique ou binaire.
La syntaxe suivante, x plus égale 2, est équivalente à x égale x plus 2. Dans le tableau, on a un récapitulatif de certains opérateurs. L'opérateur plus permet de faire une addition. L'opérateur moins permet de faire une soustraction.
L'opérateur étoile permet de faire une multiplication. L'opérateur slash permet de faire une division. Et l'opérateur pourcentage permet de faire un modulo, c'est-à-dire le reste de la division entière.
Les opérateurs arithmétiques permettent d'effectuer des calculs sur le contenu des variables. L'opérateur plus permet d'effectuer une addition pour des valeurs numériques ou concaténation pour des chaînes de caractère. L'opérateur moins permet de faire une soustraction. L'opérateur étoile permet de faire une multiplication. L'opérateur slash permet de faire une division.
Et l'opérateur pourcentage permet de faire un modulo, c'est-à-dire qu'il permet de calculer le reste de la division entière. Les opérateurs logiques permettent de combiner les expressions dans des structures conditionnelles ou des structures de boucle. Nous verrons les structures conditionnelles et les structures de boucle dans le chapitre sur les structures de contrôle. Dans le tableau, on a donc la liste des opérateurs logiques.
Les quatre premiers ont déjà été vus, c'est-à-dire le et logique le ou logique le ou exclusif et la négation Cette fois-ci, on va utiliser les opérateurs logiques afin de combiner des expressions dans des structures conditionnelles. Dans le premier exemple, on va utiliser le et logique. Dans une structure conditionnelle if if test1 et test2 alors j'exécute ou pas l'instruction suivante.
Le résultat est vrai si test1 et test2 est vrai. Deuxième exemple, le ou logique, qu'on va utiliser dans une structure conditionnelle if if test1 ou test2 le résultat est vrai si test1 ou test2 est vrai. Troisième exemple, le OU exclusif. IF test1 OU exclusif test2. Le résultat est vrai si test1 OU test2 est vrai, mais pas si les deux sont vrais.
Si les deux sont vrais simultanément, le résultat n'est pas vrai. C'est la grande différence avec le OU logique. Ensuite, la négation. IF négation test, le résultat, c'est l'inverse du résultat de test.
Donc si test... était par exemple égale à true, à vrai, alors ça voudrait dire que le if négation test serait égal à false. Cinquième exemple, le et logique, c'est la même chose que le et logique normal, sauf que test2 ne sera évalué que si test1 est vrai. Et le dernier opérateur logique, c'est le ou logique avec deux barres verticales.
Le résultat est le même que le ou logique. normal, sauf que le test 2 ne sera évalué que si le test 1 est faux. Les opérateurs de comparaison sont utilisés dans les structures de contrôle d'une application, comme la structure IF ou la structure WHILE, que nous verrons plus tard dans le tutoriel. Ils renvoient une valeur de type boolean, donc TRUE ou FALSE, en fonction du résultat de la comparaison effectuée. L'opérateur égal égal représente l'égalité, donc dans l'exemple on a 2 égal égal 5, et le résultat retourné c'est FALSE, puisque 2 n'est pas égal à 5. Point d'exclamation égal, permet d'exprimer l'inégalité d'une opération.
Dans l'exemple, on a 2 ! égale 5. Le résultat donne true, c'est-à-dire vrai, parce que 2 n'est pas égal à 5. Le signe inférieur, qui permet d'exprimer l'infériorité. Dans l'exemple, on a 2 !
à 5, qui retourne true, effectivement, puisque 2 est plus petit que 5. Ensuite, l'opérateur supérieur. Dans l'exemple, on a 2 ! à 5, et effectivement, ça retourne false. Donc faux, puisque 2 n'est pas supérieur à 5. L'opérateur inférieur, égal, qui permet de déterminer si une valeur est inférieure ou égale à une autre. Dans l'exemple, on a 2 inférieur ou égal à 5. Le résultat est true, c'est-à-dire vrai, puisque 2 est bien inférieur à 5. Opérateur suivant, supérieur ou égal, qui permet de déterminer si une valeur est supérieure ou égale à une autre.
Dans l'exemple, on a 2 supérieur ou égal à 5. ou égal à 5 et effectivement ça retourne false, faux, puisque 2 n'est pas supérieur ou égal à 5. Le dernier opérateur c'est instanceOf qui permet de faire la comparaison du type de la variable avec le type indiqué. Dans l'exemple on a une variable qui s'appelle O1, instanceOf client, qui nous retourne true, donc vrai, si la variable O1 référence un objet créé à partir de la classe client ou d'une sous-classe. En d'autres termes, O1 est de type client.
Donc si O1 est de type client, alors la comparaison va retourner True. Sinon, elle retournera False. L'opérateur plus, déjà utilisé pour l'addition, est également utilisé pour la concaténation de chaînes de caractères. Le fonctionnement de l'opérateur est déterminé par le type des opérandes. Si un des opérandes est de type String, alors l'opérateur plus effectue une concaténation.
Les opérateurs binaires effectuent des opérations sur des entiers uniquement byte, short, integer ou long. L'opérateur E représente le E binaire. L'opérateur barre verticale permet de représenter le O binaire.
L'accent circonflexe permet de représenter le O exclusif. Deux signes supérieurs permettent de faire un décalage vers la droite, c'est-à-dire une division par deux. et deux signes inférieurs permettent de faire un décalage vers la gauche, c'est-à-dire une multiplication par deux.
Lorsque plusieurs opérateurs sont combinés dans une expression, ils sont évalués dans un ordre bien précis. Les incrémentations et décrémentations préfixées sont exécutées en premier, puis les opérations arithmétiques, les opérations de comparaison, les opérations logiques et enfin les affectations. Les opérateurs arithmétiques ont entre eux également un ordre d'évaluation dans une expression.
L'ordre d'évaluation est le suivant. La négation, la multiplication et division, la division entière, le modulo, l'addition et soustraction, la concaténation de chaînes. Si un ordre d'évaluation différent est nécessaire dans votre expression, il faut placer les portions à évaluer en priorité entre parenthèses. Les structures de contrôle permettent de modifier l'ordre d'exécution des instructions dans votre code.
Deux types de structures sont disponibles. Les structures de décision, elles aiguilleront l'exécution du code en fonction des valeurs que pourra prendre une exécution de test. On retrouvera les structures de type IF, SWITCH. Les structures de boucle feront exécuter une portion de code un certain nombre de fois, jusqu'à ce qu'une condition soit remplie ou tant qu'une condition est remplie. On retrouvera les structures de type WHILE, DO, WHILE ou FOR.
Quatre syntaxes sont utilisables pour l'instruction IF. Première syntaxe, IF entre parenthèses condition, puis l'instruction. Dans ce cas, si la condition est vraie, alors l'instruction est exécutée. La condition doit être une expression qui, une fois évaluée, doit fournir un booléen, true ou false. Avec cette syntaxe, seule l'instruction située après le IF sera exécutée si la condition est vraie.
Pour pouvoir exécuter plusieurs instructions en fonction d'une condition, il faut utiliser la syntaxe si après IF, puis autant d'instructions que nécessaire. Dans ce cas, le groupe d'instructions situé entre les accolades sera exécuté si la condition est vraie. On peut également spécifier une ou plusieurs instructions qui elles seront exécutées si la condition est fausse. Pour cela on va utiliser l'instruction ELSE. Voici notre troisième syntaxe.
IF, accolade ouvrante. puis on va mettre notre bloc d'instruction, accolade fermante, else, accolade ouvrante, puis notre bloc d'instruction dans le cas où la condition est fausse, puis l'accolade fermante. On peut également imbriquer les conditions. Notre syntaxe devient if, entre parenthèses, condition 1, accolade ouvrante, notre bloc d'instruction, accolade fermante, else, if, sinon, si, entre parenthèses, condition 2, accolade ouvrante, puis notre bloc d'instruction, accolade fermante, else. à colas d'ouvrante, puis notre bloc d'instruction.
Dans ce cas, on teste la première condition. Si elle est vraie, alors le bloc de code correspondant est exécuté. Sinon, on teste la suivante, et ainsi de suite. Si aucune condition n'est vérifiée, le bloc de code spécifié après le else est exécuté. L'instruction else n'est pas obligatoire dans cette structure.
La structure switch permet un fonctionnement équivalent, mais offre une meilleure lisibilité du code. La syntaxe est la suivante. Switch, entre parenthèses, expression, accolade ouvrante, case, valeur 1, 2 points, instruction 1, instruction n, break, point virgule, case, valeur 2, 2 points, instruction 1, instruction n, break, point virgule, default, 2 points, instruction 1, instruction n, accolade fermante.
La valeur de l'expression est évaluée au début de la structure par le switch, puis la valeur obtenue est comparée avec la valeur spécifiée dans le premier case. Si aucune valeur concordante n'est trouvée, dans les différentes cases, alors le bloc de code spécifié dans le default est exécuté. Chacun des blocs de code doit se terminer par l'instruction break. Cette structure exécute un bloc de façon répétitive tant que la condition est true.
While entre parenthèses condition, accolade ouvrante, instruction 1, instruction n, accolade fermante. La condition est évaluée avant le premier passage dans la boucle. Si elle est false à cet instant, alors le bloc de code n'est pas exécuté. Après chaque exécution du bloc de code, la condition est à nouveau évaluée pour vérifier si une nouvelle exécution du bloc de code est nécessaire. Il est recommandé que l'exécution du bloc de code contienne une ou plusieurs instructions susceptibles de faire évoluer la condition.
int i égale à 0. Cette instruction est appelée le compteur. Ce compteur est de type integer et on le nomme i et on l'initialise à 0. while condition i inférieur à 10. Autrement dit, tant que le compteur i est inférieur à 10, alors on affiche le compteur grâce à notre méthode println. Et la dernière instruction, i++, c'est-à-dire on incrémente le compteur de 1 à chaque passage dans la boucle.
Lorsque vous connaissez le nombre d'itérations à réaliser dans une boucle, il est préférable d'utiliser la structure for. Pour pouvoir utiliser cette instruction, une variable de compteur doit être déclarée. Cette variable peut être déclarée dans la structure FOR ou à l'extérieur.
Elle doit dans ce cas être déclarée avant la structure FOR. La structure générale est la suivante. FOR, entre parenthèses, initialisation, point-virgule, condition, point-virgule, instruction d'itération, accolade ouvrante, instruction 1, instruction N, accolade fermante. La partie initialisation est exécutée une seule fois, lors de l'entrée dans la boucle.
La partie condition est évaluée. lors de l'entrée dans la boucle, puis à chaque itération. Après l'exécution du bloc de code, l'instruction d'itération est à son tour exécutée. Puis, la condition est à nouveau testée et ainsi de suite, tant que la condition est évaluée comme true. C'est la fin de ce tutoriel.
J'espère que vous avez appris beaucoup de choses sur le langage Java. Merci beaucoup de l'avoir suivi. Si ce n'est pas déjà fait, abonnez-vous à ma chaîne. N'hésitez pas à commenter, partager et liker cette vidéo. Dans le prochain tutoriel, j'aborderai la partie orientée objet.
de Java. Si vous souhaitez continuer votre progression sur Java, activez la cloche pour être averti. D'ici là, je vous dis à bientôt pour un nouveau tutoriel de programmation.
Prenez soin de vous.