il y avait une semaine tu avais fini dans la capitale connaît ibrahima de race malinkés ou disons le en malinké il n'avait pas soutenu un petit rhume comme tout malinkés quand la vie s'échappe à de ces restes sont nombreux se releva gras yona sabiha est partie par le long chemin pour le lointain pays malinkés natale pour y faire éclater la funeste nouvelle des obsèques sur des pistes perdu au plein de la brousse inhabitée 2 colporteurs malinkés ont rencontré l'ombre et l'ont reconnu l'ombre marcher vite et n'a pas salué les colporteurs ne s'était pas mépris ibrahima a fini ses têtes il dit au village natal l'ombre à déplacer et arranger c'est bien de derrière la case on a entendu les cantines du défunt claqué c'est qu'à la base se frotter même ses bêtes s'agiter et bel et bizarrement personne ne s'était mépris ibrahima koné a fini c'est son ombre 7 et andy l'ombre était retournée dans la capitale près des restes pour suivre les obsèques à les airs tout plus de 2000 kilomètres dans le temps de signer l'oeil vous paraissez sceptiques eh bien moi je vous le jure et j'ajoute si les dauphins étaient de caste forgeant si l'on n'était pas dans l'ère des indépendances les soleils des indépendances disent les malinkés je vous le jure on n'aurait jamais osé l'inhumer dans une terre lointaine et étrangères un ancien de la caste forgeron serait descendu du pays avec une petite panne il aurait appel au corps avec la tan lombo aurait réintégré les restes le défenseur élevé on aurait remis la palme haut de fin qui auraient emboîté le pas à l'ancien et ensemble ils auraient marché des jours et des nuits mais attention sans que le défunt vive la vie est au pouvoir la seule et sans manger ni boire ni parler ni même dormir le défunt aurait suivi aurait marché jusqu'au village où le vieux forgeron corée repris la can et aurait tapé une deuxième fois restée ombre ce serait à nouveau séparés et si tu étais au village natal même qu'on aurait été entreprises les multiples obsèques trop compliquée d'un malinkés de caste forgeron donc c'est possible d'ailleurs sûr que l'ombre à bien marcher jusqu'au village natal elle est revenue aussi vite dans la capitale pour conduire les obsèques est un sorcier du cortège funèbre la vue mélancolique assise sur le cercueil des jours suivirent le jour des obsèques jusqu'au septième jour et les funérailles du septième jour se déroulèrent devant l'ombre puis se succédèrent des semaines et arriva le 40ème jour et les funérailles du 40e jour ont été fêtés au pied de l'ombre accroupis toujours invisible pour le malinkés commun puis l'ombre est reparti définitivement elle a marché jusqu'aux terroir malinkés où elle ferait le bonheur d'une mère en se réincarnant dans un bébé malinkés parce que l'ombre veillait compter remercier l'enterrement a été conduit pieusement les funérailles senti fier avec prodigalité les amis les parents et même de simples passants déposèrent des offrandes et sacrifice qui furent partagés est attribuée aux venues et aux grandes familles malinkés de la capitale comme toute cérémonie funéraire rapporte on comprend que les grillons malinkés les vieux malinkés ceux qui ne vendent plus parce que ruiné par les indépendances et à la seule peut compter le nombre de vieux marchand ruiné par les et pendant ce dans la capitale travaillent tous dans les obsèques et les funérailles de véritables professionnels matin et soir il marche de quartier en quartier pour assister à toutes les cérémonies ont les dénomme entre malinkés et très méchamment les vautours ou banques deviennent fama doumbouya vrai doumbouya père douille merdouille à dernier est légitime de sang dans des princes doumbouya du worodougou totem panthères était un faux pour un prince doumbouya totain panther faisait bande avec les hyènes à des soleils des indépendances aux funérailles du septième jour de feu koné ibrahim à femmes à aller en retard il se dépêchait encore marcher au pas redoublés d'india rick il était à l'autre bout du pont reliant la ville blanche au quartier à l'heure de la deuxième prière la cérémonie avait débuté femmes à se récrier bâtarde bâtardise niro connaît et tout manigancé à l'exaspérer le soleil le soleil le soleil des indépendances maléfique rempli c'est tout un côté du ciel gris est assoiffée l'univers pour justifier les mâles ces orages et des fins d'après midi et puis les badauds les bâtards de badauds planté en plein trottoir comme dans la case de leur papa il fallait bousculer menaces et injuriée pour marcher tout cela dans un vacarme arracher les oreilles klaxon pétarade des moteurs battement des pneus cris et appels des passants et des conducteurs c'étaient les immenses déchéance et honte aussi grosse que la vieille panthères surprise disputant des charognes au yen que de connaître femmes à courir ainsi pour des funérailles lui femmes à neydens lors le mans j'ai l'honneur et les femmes éduquées pour préférer l'or alors pour choisir le manger parmi d'autres et couché sa favorite parmi 100 époux était-il devenu un charognard il tourna après un parterre monte à l'allée centrale du quartier des fonctionnaires à la en soit loué c'était bien la femme à arriver quand même tard s'était fâché paris l'aller en résulter pour lui de recevoir un plein visage et très publiquement les affronts et colère qui jette le serpent dans le bouffon du pantalon impossibilité de s'asseoir de tenir de marché de se coucher donc il arrive à les diolas couvrait une partie du dessous de l'immeuble à pilotis les couples en bleu vert jaune disons de toutes les couleurs moutonnet les bras s'agiter et le palabre battait du monde pour le 7e jour de cet intérêt ibrahim a un regard rapide en compte et reconnaissez mai et aux règles ou les cartes qui toutes les professions famas halluin et avec un large sourire plante à sa grande taille parmi les pilotes y assemble assombri et ensuite se casse de sa scission en bout de nerfs le griot un très vieux et malingre qui criaient et commentés répond temps le prince du worodougou le dernier légitime bouya s'ajoute à nous quelque peu tard il ya un sourire narquois ce le vert vous voulez vous un prince presque mendiants c'est grotesque si tous les soleils mais femmes à nous à pas sa colère et vrilles et tous ces mots coeur de batailles de vie ces chiens le griot quand maladie et du hautement désagréables un retard sans inconvénient les coutumes et les droits des grandes familles avaient été respectées les doumbouya n'avaient pas été oubliés les princes du haut doubs goût avait été associé avec les quelques femmes a demandé aux griots de se répéter celui-ci hésita qui n'est pas ma langue et peut l'ignorer en la circonstance c'était un affront un affront à faire éclater les pupilles qui donc avait associé doumbouya et keita ceux ci sont rois du wassoulou et ont pour totem l'hippopotame et non la panthère d'un ton ferme coléreux et indigné famars demande à hobyo de se répéter celui-ci se lança dans d'interminables justification symbolique tout était symbolique dans les cérémonies et l'on devait s'en contenter une faute une très grande foi que pour les coutumes et la religion le fait que quelques vieux de cette ville ne vivait que de ceux qui ceux distribués pendant les rites enfin un tas de mots dit fadaises qu'on ne lui avait pas demandé bâtard de griots plus de vrais griot les réels sont morts avec les grands maîtres de guerre d'avant la conquête des toubabs fama devait prouver sur place qu'il existait encore des hommes qui ne tolère pas la bâtardise à renifler avec discrétion le p de l'effrontée il vous jugent sans mener famas le vin et thomas avère vibrer l'immeuble le mal un griot décontenancé ne savez plus par quel vent se laisser balancé il demandait aux acides écouter d'ouvrir les oreilles pour entendre le fils d doumbouya offensés et oni tout un pan terre panthères lui-même et qui ne s'est pas dit emule et fury et colère afamah il criait vrai sens de maître de guerre dit vrai et solide 10e quitte à égratigner expliques tu as honte craché et alter poche on a redit par le trouble et du caillou femmes à ce cru sans limite il avait le palabre le droit et un parterre d'auditeurs dites moi un bon malinkés que pouvait-il chercher accord il dégagea sa gorge par un hurlement de panthère se déplace à ajusta lobo n'est descendu les manches du boubou se pavane à de sorte que partout on le vit et se lança dans le palabre le griot répéter fama hurlait et allez hurler plus fort encore mais m'ont dit griot m'ont dit tous une méchante et violente tout embarrasse à la gorge et du griot et l'obligent à se courber et cracher les poumons et arrêta femme a dans son élan le dernier doumbouya sans la moindre commisération pour le griot ne se découragea pas bien au contraire il baissa la tête pour penser et renouvelé les proverbes et dans cette attitude négligeable regarder autour pourtant pouvait-il ignorer les gens étaient fatigués ils avaient les nez plein de toutes les exhibitions tous les palabres ni noir ni blanc de fama à l'occasion de toutes les réunions et dans l'assemblée boubou et nate bruissait ont froncé les visages et on se parlait avec de grands gestes toujours femme a toujours des parts insuffisante toujours quelque chose les gens en ut rassasié c'est à cet instant que fusaient de l'assemblée l'injonction à swat et fait fermer la bouche nous aurait sont fatigués d'entendre des paroles c'était un cours est rond comme une souche koubra points et paul deux lutteurs visage dur de pierre qui avait crié s'exciter comme un grillon affolés et se hisser sur la pointe des pieds pour égaler femmes à hauteur tu ne connais pas la honte est la honte et est avant tout ajouta-t-il en reniflant remue-ménage général boira de l'arrivée d'un troupeau de buffles dans la forêt le malingre griot se démener pour contenir le vent souffler par femme a en vain baba sy se nommer celui qui défiait baba s'égosille et il refroidit c'est le cas accroché au sol actionnant des mâchoires d'eau font menaçants des coudes et des épaules et de la tête comment bamba pouvait-il entendre les cris d'avocette du trio femme non plus celui ci s'excitait trépigner maudit c'est le fils de chien de bamba montré trop de virilité il fallait le honnir l'empoigné le mordre efama avancent assure l'insulteur à peine 2 pas femme à n'a pas fait deux pas déjà le petit râblé de bamba avait bondi comme un danseur et atterrit à ses pieds comme un fauve ils s'employèrent par les pans des boubous le griot s'éclipsa le boira s'intensifia partout on se leva s'accrocha tira dépens de bouchra caire et ce dès meiler famars tous à son boubou et s'assied sur la natte un peu trop rapidement deux gaillards il fallut deux solides gaillards pour tirer bamba la hache et pas à pas au sol jusqu'à sa place quand les deux antagonistes furent assis chacun des 110 sur sa nette femmes à s'excuser le plus ancien de la cérémonie excuses à tous les musulmans pour femmes à c'était femme à qui avait raison tranches at il la vérité il faut le dire aussi dure qu'elle soit car elle rougit les pupilles mais ne les cache pas en conclusion l'ancien des dommages à femmes à quelques billets et collard en plus évidemment celui ci l'ait rejeté c'était uniquement pour l'honneur qu'il avait lutté on le crut pas l'ancien insista fama empocha et resta quelques temps soucieux de la bâtarde glissement des malinkés et de la dépravation des coutumes l'ombre du décédé allaient transmettre aux mânes que sous les soleils des indépendances les malinkés honnissait et même giflé leur prince manne d ieu man de moriba fondateur de la dynastie il était temps vraiment temps de s'apitoyer sur le sort du dernier est légitime doumbouya bâtard de bâtardise lui lui fama descendants des bouboules a bafoué provoquer un jury est parti un fils d'esclave il tourna la tête bamba tordez et pincer les lèvres rouler deux gros yeux et battait ses naseaux de cheval qui vient de galoper ils étaient ramassés membres et de pilon rendement coudées et femmes à se demander s'il n'était pas trop âgé pour le défier en lutte éclats de rire femmes attenti les oreilles ils avaient eu raison de nos points décoléré de ne point pardonner le fils d'indy de guillaume et les aux éloges de l'intérêt des allusions vénimeuses tels rapports l'intérêt avait t-il avec les descendants de grandes familles guerrière qui se prostituer dans la mendicité la querelle et le déshonneur six des chiens plutôt que de castes les vrais griot les derniers guyot de cast ont été enterrés avec les grands capitaines de samory le site 24 ans ne savait ni chanter ni parler ni écoutés et le griot continuer et même il se déplaça et s'immobilise à derrière un pilot pour un est monté de son espèce un pilot sépare autant call fleuve qu'une montagne et là il se dévergonde à et arriva au delà de toute limite des descendants de grands guerriers c'était fama vivait de mensonges et de mendicité c'était encore femmes à d'authentiqués descendants de grands chefs pour jour fama avait troqué la dignité contre les plumes du vautour et chercher le fumé d'un événement mais sans ce mariage 17 pour sauter de cérémonie en cérémonie femmes à assembler son boubou pour répliquer mais hésitent à le manque de réflexe fut une invite pour le damné du griot et celui ci se lança dans les villes a nourri les plus grossières avec le contentement du bambara qui se jette dans le cercle de tam tam non quand même femme à se leva interrompit musulmans pardon musulmans écoutez impossible d'ajouter un mot une meute de chiens en rut tous ces acides d'années de malinkés se disant musulmans hurlèrent c erie sert de croo et d'injures la limite a été franchie diminué par la honte et le déshonneur comment pouvait il rester d'ailleurs c'était sans regret la cérémonie avait dégénéré en jeu de sinnoh céphale alors laissons les singes se mordiller ce tir et les queues il se précipita par une sortie de zone coururent pour le retenir il se débattit les traite à tous les deux de bâtard de fils de chien et s'éloigna des rires amusés des ouf de soulagement ce fut tout ce que produisit une sortie aussi bruyante et définitive fama allait se trouver aux prochaines comme à toutes les cérémonies malinkés de la capitale on le savait car où at on vu lienne est déserté les environs des cimetières et le vautour l'arrière des cases on savait aussi que femmes à aller mais faire et encore scandalisé car dans telle réunion l'homologue cette île séparée de sa déhontée façon de s'asseoir dans la rue fama souffre la tempe et à grogna la colère ne s'éteignent pas d'une petite breizh il sort donna d'attendre le fils de chien de bamba pour persuader tous les dégénérés de bâtard encore sur cet éther vivait un homme viril et l'honneur un sur lequel on ne pouvait pas porter impunément la main le pont est tiré sa jetée sur une lagune latérite du ter charriés par les pluies de la semaine et le soleil déjà harcelé par les bouts de nuages de l'ouest avaient cessé de briller sur le quartier pour se concentrer sur les blancs immeubles de la ville blanche damnation bâtardise le l'aigre et damnation les immeubles les ponts les routes de là bas tous bâtis par des doigts était habitée et appartenait à des poubelles les indépendances n'y pouvait rien partout sous tous les soleils surtout les sols les noirs tiennent les pâtes les blancs des coupes et bouffe la viande et le gras n'était ce pas la damnation que da années dans l'ombre pour les autres creusé comme un paon golinger en des terriers pour les autres donc était dégoûtant de damnation tous ces noirs descendants et montant la rue donc ville de damnation un damné abjecte le bâtard de bamba qui avait porté la main sur femme a alors pourquoi attendre sur un trottoir un damné quentin dément agite le gros lot toujours dans un autre dément jamais un descendant des boubous la femme asco mandat de continuer et traversa la rue en bout de temps éloigné encore de leurs de la quatrième prière le temps de marcher vite et d'arriver à la mosquée l'orage était proche ville sale et gluante de pluie pourri de pluie nostalgie de la terre natale de femmes à son ciel profond et lointain son sol paris 2 mai soli les jours toujours sec aux oraux du goût tu manquait à cette ville et tout ce qui avait permis à femme a dû vivre une enfance heureuse de prince manquait aussi le soleil bonheur et l'or quand enlever les esclaves pas le fonnier présenter le cheval rétif pour la cavalcade matinale quant à la deuxième prière les griots et les griottes chanter la pérennité et la puissance des doumbouya et qu'après les marabouts réciter à enseigner le coran la pitié et l'aumône qui pouvaient sa visée alors d'apprendre à courir de sacrifices en sacrifice pour mendier [Musique] les souvenirs de l'enfance du soleil des jours des armes attendait matin et des odeurs dues au vaudou goût balayèrent loutre âge et noah hier la colère fama déboucha sur la place du marché derrière la mosquée des sénégalais le marché est élevé mais persistait des odeurs malgré le vent odeur de tous les grands marchés d'afrique dakar bamako bobo bouaké tous les grands marchés que fama avait foulé en grands commerçants cette vie de grands commerçants n'étaient plus qu'un souvenir parce que tout le négoce avait fini avec l'embarquement des colonisateurs et des remords femmes à bouillé de remords pour avoir tant combattu et détesté les français un peu comme la petite herbe qui a grogné parce que le fromage est absorbé tout le soleil nous formage et abattu elle a reçu tout son soleil mais aussi le grand vent qu'il a passée surtout panda et patois efama comme un colonialiste car il avait vu la colonisation connu les commandants français qui étaient beaucoup de choses beaucoup de peine travaux forcés chantier de coupe de bois routes ponts l'impôt et les impôts et 80 autres acquisitions que tout compte et on peut mener sans oublier la cravache du gard de cercle et du représentant et d'autres torture mais l'important pour le malinkés est la liberté du négoce et les français étaient aussi et surtout la liberté du négoce qui fait le grand diola le malinkés prospère le négoce et la guerre c'est avec ou sur les deux que la race malinké comme un homme entend des marchés voyez respirer les deux est à la fois c'est de bié ses deux yeux ses oreilles et ses reins la colonisation a banni et tué la guerre mais favoriser le négoce les indépendances ont cassé le négoce et la guerre ne venait pas et l'espèce malinkés les tribus la terre la civilisation summer percluses sourde et aveugle et stérile c'est pourquoi à tremper dans la sauce salée à son goût fama aurait choisi la colonisation et cela malgré que les français les spolier mais avec la bénédiction de celui qui parlons-en rapidement plutôt son père mort le légitime femme a aurait dû succéder comme chef de toul euros de goût mais il buta sur intrigue d honneur maraboutage et mensonges parce que d'abord un garçonnet un petit garnement européen d'administrateur toujours en cours de culotte salle remuant et impolie comme la barbiche dans book commander le worodougou évidemment femmes à ne pouvait pas le respecter ses oreilles en ont rougi et le commandant préféra vous savez qui le cousin lassina un cousin lointain qui pour réussir marabout tu as tu eu à sacrifier sur sacrifice intrigue a menti et se rabaisse à un tel point que mais l'homme se pressent sinon la volonté et la justice divine arrive toujours taux d'ing savez vous ce qui advint les indépendances et le parti unique ont destitué honni et réduit le cousin lassina à quelque chose qui ne vaut pas plus que les chirurgiens charognards les hauts fonds qui se rappelait encore parmi les nantis les peines et de femmes à les soleils des indépendances c'est est annoncé comme un orage lointain et dès les premiers vents fama s'était débarrassé de tous nés grosse amitié femmes pour user les nuits jour l'argent et la colère injurié la france le père la mère de la france il avait avant j'ai 50 ans de domination et une spoliation cette période d'agitation a été appelé les soleils de la politique quand une nuée de sauterelles les indépendances tombèrent sur l'afrique à la suite des soleils de la politique femme avait comme le petit rat de marigot creuser le trou pour le serpent a valeur de rats ces efforts étaient devenus la cause de sa perte car comme la feuille avec laquelle en a fini de se torcher les indépendances une fois acquise femme a fait oublier et jetés aux mouches passer encore les postes de ministres de députés d'ambassadeur pour lesquels lire et écrire n'est pas aussi futiles que des bagues pour un lépreux on avait pour cela des prétextes de l'écarter fama demeurant analphabètes comme la mais tant l'afrique découvrit d'abord le parti unique le parti unique le savez vous ressemble à une société de sorcières les grands d'initiés dévore les enfants des autres puis les coopératives qui caceres le commerce il y avait 80 occasion de contenter et de dédommager femme à qui voulait être secrétaire général d'une sous section du parti ou directeur d'une coopérative mais alors pas porter les indépendants sa femme a rien que la carte d'identité nationale est celle du parti unique elles sont les morceaux du pauvre dans le partage et on la sécheresse et la dureté de la chair du taureau il peut tirer dessus avec les canines d'un molosse affamés rien à en tirer rien à sucer c'est du nerf ça ne se mange pas alors comme il ne peut pas repartir à la terre parce que trop âgés le sol du worodougou et du rennais se laisse tourner que par des bras solides et des reins souple il ne lui reste qu'à attendre la poignée du riz de la providence dallas en priant le bienfaiteur miséricordieux parce que tant qu'à la résidera dans le firmament même tous conjurer tous les fils d'esclave le parti unique le chef unique jamais ils ne réussiront à faire crever femme a deux femmes femmes à tourner à gauche la mosquée des dioulas et hélas les bas-côtés grouiller de mendiants estropiés aveugle il les écartait comme on ferait son chemin dans la brousse sauta des tronçons et pénétra dans la mosquée tout envahi par la grandeur divine par quatre fois il se courba s'agenouille à konya le sol du front se releva ça s'y croisent à l'épier la prière comporter deux tranches comme une noix de cola la première implorant le paradis se réciter dans le parler benhida la l'arabe la seconde se disait tout entier en malinké à cause de son caractère tout matériel clamer sa reconnaissance pour la subsistance la santé pour l'éloignement des malchances et malédictions noircissant le nec sous les soleils des indépendances prier pour chasser de l'esprit et du coeur les soucis et tentations et les empires de la paix aujourd'hui demain et toujours la santé la nourriture femmes à les posséder louage à alain mais le coeur et l'esprit s'étiolait parce que ce vrai de la profonde de paix et cela principalement à cause de sa femme salimata salimata il claqua la langue salimata une femme sans limite dans la bonté du coeur les booster des nuits et des caresses une vraie tourterelles fesses rondes et basse d'ossun hanche et bas-ventre lisse et un fini sous les doigts et toujours une senteur de goyave verte à la part d'une femme à de s'être trop emporter par l'évocation des douceurs de salimata mais tout cela pour rappeler que la tranquillité et la paix fuiront toujours le coeur et l'esprit de femmes à temps que salimata ses choix la stérilité tant que l'enfant ne germera pas à la faye fait donc salimata se fécondent pourquoi salimata des moeurs est elle toujours stérile quelle malédiction la talonner tél pourtant ça m'a pouvait en témoigner elle priait proprement se conduisait en tout et partout en plaine musulmane je n'ai 30 jours faisait l'aumône et les quatre prières journalières et que n'at-elle pas éprouvé le sorcier le marabout les sacrifices et les médicaments tout et tout elle priait les sourates pieuse et longue du marabout qui solliciteraient tout c'est celle soit d'or fini c'est elle avec fièvre elle débat les grigris canaris gourde de feuilles ingurgiter des décoctions sûrement amer puisque le visage se hérissaient de grimaces repoussante brûler des feuilles la case sans fumée d'odeurs dégoûtante femme a plongé le nez dans la couverture elle se plante est sûre les flammes les fumées monter dans le pagne et pénétrer évidemment jusqu'à l'innommable dans une mosquée disons le petit pot à poivre à celles-là piment amiel et en chasse est ce que femmes à leur reprocher le plus la senteur tentons yves rente de goyave toujours fiévreusement salimata plongeait deux doigts dans une gourde enduisait saint genou et dessous de pagnes recherché est attrapé 4 grigris les accrocher aux quatre pieux du lit et la dance party d'abord elle rythmaient battait dame est le seul s'ébranlait elle sautille est se dégager battait des mains et chanter déversé ni malinkés ni arabe puis les membres trembler tout le corps ensuite bégaiement et soupire interrompre et les chants et demi inconsciente elle s'effondrait dans la natte comme une touffe de lianes au support arracher un moment le temps de fouetter les pieds et de hurler comme un démon elle se redressait essoufflé en âge en fumée et délirante elles bondissaient et s'agripper à fin sur le champ même rompu cassé bayan et sommeillant même flasque et froid dans tout le bas ventre même convaincu de la futilité des choses avec une stérile fama devait jouer allant presser et consommer du salimata chou plus en est dépouillé de l'entraînante senteurs de goyave verte sinon sinon les orageuses et inquiétante fougue de salimata health enrageait déchirait griffés et hurlaient les stériles le cas cela que ça c'est toi et pleuré toute la nuit et même le matin pourtant allah et son prophète vous le savez vous nous avez fabriqué ainsi aucune drogue aucune prière ne peut ragaillardir un vide et comme femme à au point de l'exciter tous les soirs aux mains jeunes pubères blasphème gros péché femmes à ne te voyais tue pas en train de pêcher dans la demeure dallas c'était tombé dans le grand sacrilège que de remplir tes coeurs et les esprits des pensées de salimata alors que tu étais dans une peau de prière au sein d'une mosquée femme a tressailli en mesurant l'énormité de la faute il se mit à se repentir pour se réconcilier avec à la femme avait exagéré un demi mots auraient suffi pour sortir toutes les turpitudes de salimata les détails n était pas seulement profanateurs mais aussi superflu est indécent que deux descentes pantalon est ta leçon pour exhiber un furoncle quand on vous a seulement demandé pourquoi vous boîte et allah le miséricordieux et mahomet est son prophète clémence encore clémence fama devait prier pour détourner écarter une vie semblable à une journée à l'après midi pluvieux une vie qui se mourait se consumait dans la pauvreté la stérilité l'indépendance et le parti unique cette villa n'était elle pas un soleil et un est assombri dans le haut de sa course [Musique] la nuit avec de fines pluies continues à à ronronner [Musique] e e 1 non cette nuit là les frénésies ne parvint pas à raviver fama les craintes des colères de salimata ne réussirent pas à le lever il était fatigué bien passé aussi cool at il dans le sommeil d'une pierre dans un bief est alors pour salimata partie une nuit longue et hérissé d'amertume elle entretint et à petit va dépenser amer et brûlante qui c'est cher le sommeil et remplir le lit de cauchemars elle pleura et gémit comme si elle était traversé par un harpon qu un tortionnaire pivot t elle tourner dans le lit le matin était encore loin la lampe à pétrole sifflé la flamme vacille et et par ci par là sur et au pied de la petite étable même dans l'inconnu les sortilèges les innombrables sortilèges salimata les avait agité est tournoyer pour se féconder enfin femmes à ne s'était pas levé ne s'était pas exciter les sortilèges éparpillés avait perdu chaleur et mystère est encombré la case bouteille mixture canaris corne de bélier et amulettes salimata caressa son abdomen un ventre sans épaisseur ne couvrons quand rails et excréments elle tire à la couverture et écouta dehors les coques n'appelez pas encore le matin le réveil du soleil elle referma les yeux plongea le nez dans le matelas se roula se frotta contre fama les ronflements de fama ébranlait il grognait comme un ver un bar est comme un tronc d'arbre tout une grande partie du lit de ses avant-bras genou 1 et monte de marie salimata piqué lui enfonce a le coude dans les côtes sans troubler son sommeil rien ne le préoccupe et rien ne l'empêchait de dormir ni l'impuissance ni les pleurs de salimata le manquement aux devoirs conjugaux elle tira le pagne et se recouvrir la tête sa tête gronda comme battu agitée par un essaim de souvenirs l'excision les sème ses odeurs les couleurs de l'excision et le viol ces couleurs aussi ses douleurs ses crispations le viol dans le sang et les douleurs de l'excision elle a été mordue par le feu du fer chauffé au rouge et du piment et elle a crié hurlé et ses yeux en tournée débordé et plongé dans le vert de la forêt puis le jaune de l'harmattan et enfin le rouge le rouge du sang le rouge des sacrifices et elle a encore hurler crier à tout chauffé criaient de toute sa poitrine criaient jusqu'à ces tout fait jusqu'à perdre connaissance elle ignorait le temps qu'a duré l'évanouissement quand l'essence run attire les gens debout murmurait au dessus d'elle la lampe à l'huile flamboyer à nouveau ses jambes étaient 82 cents la nette en était trempé le sang avait commencé comme le matin sa maman s'épuiser en lamentations ampleur pauvre maman pauvre maman oui la malheureuse maman de salimata que d'innombrables et grands malheurs at elle traversé pour sa fille est surtout lors de la dramatique cérémonie d'excision de sa fille elle qui avait toujours imaginer sa fille de retour du champ de l'excision belle courageuse paraît 200 ornements dansant et chantant pendant quelques rires est sa fierté tu verras 10 est elle souvent alors que salimata était une très petite fille tu verras tu seras un jour excisées ce n'est pas seulement la fête les danses les chants et les ripailles c'est aussi une grande chose un grand événement ayant une grande signification lesquels grande signification tu verras à ma fille pendant un mois qui vivra en récluse avec d'autres excisées et au milieu des champs on vous enseignera tous les tabous de la tribu l'excision est la rupture elle des marques elle met fin aux années d'équivoque d'impuretés de jeunes filles et après elle vient la vie de femme quand poussèrent et durcir les seins de salimata sa maman éclata du joie te voit la jeune fille ce sera bientôt et au milieu d'un hivernage le jour est fixé ce sera l'art matin à venir et le jour fixé arriva en effet un matin de la dernière semaine de l'harmattan un matin grisâtre et bâtard un matin comme les autres sauf le feu au coeur de salimata et l'appréhension et le pénible pressentiment qui étreignait sa maman au premier cri du coq fut battu l'appel défi à exciser ma fille soit courageuse le courage dans le champ de l'excision sera la fierté de la maman et de la tribu je remercie allah que ce matin soit arrivé mais j'ai peur et mon coeur saute de mappers géant pleure tous les génies que le champ soit favorable à mon unique fille sally matin n'oubliera jamais le rassemblement des filles dans la nuit la marche à la file indienne dans la forêt dans la rosée la petite rivière passé aguets les champs criardes et matt ronde qui encadraient et l'arrivée dans un champ désherber labouré au pied d'un monde en lots sommet boisé se perdait dans le brouillard et le cri sauvage des matrones m quand le champ de l'excision le champ de l'excision salimata fut interrompu dans ses réflexions par une ruade et deux femmes a sûrement piqué par une punaise il s'était détendue comme un arc et avait bousculé fouetter avant de continuer à ronfler la riad alluma la colère de la femme un vaurien comme une crotte vide la nuit comme le jour pour lequel elle se passer se lever au premier chant du coq préparer et vendait la bouillie pour avoir l'argent pour le nourrir pour le vêtir pour le loger et à midi courir le marché le plateau vendent du riz et avoir l'argent pour les sortilèges les médicaments les marabouts et les sacrifices qui doit vous procurer la dignité et la fécondité et la nuit ne connaître ne recevoir que les riads d'avenir non elle lui administra une fessée fama grogna continua de ronfler et salimata repris ses réflexions l'arrivée aux champs de l'excision elle revoyait chaque fille à tour de rôle dénouées et jeté le bagne s'asseoir sur une potter y retourner et l'exciseuse la femme du forgeron la grande sorcière avancé sortir le couteau un couteau à la lame recourbée le présenter aux montagnes et tranché le clitoris considéré comme l'impureté la confusion l'imperfection et l'opérer se levait remercier la praticienne et entonné le chant de la gloire et de la bravoure répétés en choeur par toute l'assistance salut ma tard et entendez les échos amplifié par les mots et les forêts c est qu chassant les oiseaux des feuillages et réveillant le jappement dessine au céphale elle se rappelait qu'à ce moment décès entre à hébron démonter toute la frayeur de toutes les histoires des jeunes filles qui avaient péri dans le champ revenait à l'esprit leur nom le nom d succombé sous le couteau salimata se rappeler qu en vain son tour quand s'approcha la praticienne chauffer alors le vacarme des matrones d opérer déchaîné des charognards et des échos renvoyé par les monts du forez le soleil sortait rougeoyer derrière les feuillages les charognards surgissaient des poufs et débrouillard appelé par le fumé du sang leur vol tourner au dessus des têtes en poussant des cris et décroissement sauvage la praticienne s'approcha de salémata et ça si les yeux débordant de rouge et les mains et les bras répugnant le sent le souffle d'une cascade salimata se livrent les yeux fermés et le vus de la douleur grimpa de l'entrejambe au dos au cou et à la tête des 110 dans les genoux elle voulut se redresser pour chanter mais ne le peut pas le soufflement cas la chaleur de la douleur tandis les membres la terre paru finir sous les pieds et les assistantes les autres excisées la montagne et la forêt se renverser et volé dans le brouillard et le jour naissant la torpeur pezat sur les paupières et les genoux elle se casse à et s'effondre à vide et d'animation quand salimata se releva dans le champ de l'excision le soleil était arrivé au dessus des têtes deux matrones l'assistait le cortège était parti bien parti c'est à dire que le retour des excisées avait été fêtée danser chanter sent salie matin à leur tour mais il faut le savoir c'était la plus belle phase de l'excision les tam-tams les champs les joies et tout le village se riant à la rencontre des filles excisées jouant les rondelles de calebasse salimata n'a pas vécu le retour triomphal au village dont elle avait tant rêvé c'est à califourchon au dos d'une matrone par une piste abandonnée une entrée tâche et qu'elle fut introduite dans le village est porté dans la base du féticheur tiécoura coucher sous protection du fétiche de tiécoura et tout le restant du jour au pied de la patiente fut maire les sacrifices roulèr les colas blanc et rouge pendant que sa maman pleurait salimata y passa la nuit une nuit qu'elle n'oubliera l'armée [Musique] [Musique] la case du fétiche et est isolé ronde réduite encombre et grouillante de margouillats à l'intérieur le fétiche dominateur était un masque épouvantable qui remplissaient une grande moitié une lampe à l'huile flambée fumée et briey juste un peu pour maintenir tout le mystère c'était là au moment où le soleil commence et à alourdir les paupières que la natte ses cartes à quelques choses piétinent à ses hanches quelque chose heurte à la plaie et elle entendit connu la douleur s'enfoncer l'a brûlée et ses yeux se voient leurs deux couleurs qui voltigeurs et tournaire anvers en chômer en rouge et elle poussa un cri de douleur et elle perdit connaissance dans le rouge du sang elle avait été violée par qui un génie avait-on dit après on avait expliqué aussi les raisons la maman de salimata avait souffert de la stérilité et ne l'avait dépassé qu en l'implorant le montout b dont le génie l'avait féconder de salimata salies matin là qui bêle bêle à emporter l'amour a provoqué la jalousie du génie qui la hante à metz alimata ne savais pas elle n'a jamais su elle ne savait pas si en vérité ce fut les génies qui la viola elle avait bien vu l'ombre d'un homme une silhouette qui rappelait le féticheur tiécoura oui elle n'a jamais su mais resta dans l'intérieur et l'âme de salimata une frayeur immense qui naissaient l art et 10 c quand un rien rappelé tiécoura pour salimata tiécoura le féticheur demeurera plus qu'un totem un cauchemar un malheur cela aucun ne l'a compris aucun ne l'a entendu lorsque salimata se refuse à habas fille ce fut le premier mari de sony matin baffie puis un tiécoura ces journées et réchauffer même des marchés deviennent même mesure rouge de toussaint même voix même souffle il résonnait en salimata et l'arrêt d'ici à la fin de la retraite de l'excision la jeune fille malinkés guéri et conduite au mariage salimata transit de frayeur fut apporté un soir à son fiancé avec tam tam et chant baffie entra s'approcha tenta elle se ramassent à ce serra se refuse à les matrones accoururent et la maîtrise air et il a désiré forcé et violée elle a trié elle a crié comme la nuit de son excision est la peur et l'horreur des tic ou rarement terre dans son nez et sa gorge elle a crié très haut puisque les aboiements des chiens ont éclaté de cour en cour est épouvanté tout le village les matrones ont lâché elle a sauté du lit pour s'enfuir par la porte on l'arrêta et elle s'effondre à se votera dans les pins et pleure sur le seuil le mari se culotta salimata ne remarqua même pas que ma fille balancer une volumineuse hernie qui la table et de la démarche et des curés terrestre de tiécoura on recommence à et tenta une autre nuit de noces et des nuits de noces en vain il montait lp relais et s'accrocher à l'air ni est anglais ont compris qu'il fallait arrêter les épreuves pour qu'elle le tue pas salimata vivra dans la cour de son mari comme une femme pour la cuisine les longs gants mais pas comme une épouse avec une part d nuit du mari donc sans aucun espoir d'enfants louange à allah seigneur des mondes bienfaiteur miséricordieux la hernie étranglé terrasse à son homme qui soupire ah et succombe à 4 hivernage de mariage blanc salimata fut cloîtré trois mois dans la base du veuvage [Musique] i 1 [Musique] mama mama mama mama main et [Musique] et même [Musique] et la marmite ronronnait salimata leva la lampe l'eau chaude pétiller elle a rempli un saut l'eau porta derrière la pas femme à ronfler le nez dans la couverture dispersé toujours inutile vide sans compassion pour la grande folie de sa femme d'avoir un ventre elle le ce quoi il tourna et se laissa crouler dans un sommeil de pierre hérité de toute la largeur de la main droite elle vise à est une fois claque à la fesse gauche de son mari qui ne faisait pas tout sens de voir deux fois la fesse droite d'un vaurien qui ne connaissaient que dormir une fois encore mais bien appuyer la droite de ce gros mangeur qui n'apportait rien oui oui cest moffatt et méchante femme lève toi l'heure de la poigne aprilia tu passeras la blancheur du matin se répondent sur le village puis elle retourne à placer la marmite d'eau bouillie sur le feu se verse à un seau d'eau tiède et ce bnia le show bienfaisant revigorait et l'eau savonneuse avait l'odeur du matin de la saison et des souvenirs des méchantes parole des maudites lance et compte salimata pendant et après les rites du veuvage baffie ne serait pas mort par la grosse hernie étrangler mais assassiné par le génie malfaisant et jaloux qui hantait salimata elle en était responsable on cela montré du doigt pour ce lot comptes et audits beauté qui attirait les génies qu une femme centre où une statuette est le frère de baffie auquel on les gars salimata hésitent à d'abord à introduire dans sa cour une aussi maléfique femme chargée malchance sauf la hernie tiémoko ressemblait en tout autre point comme les empreintes d'un même fauvre à son frère baffie donc à thiescourt a aussi comme dans ses yeux rouges et dans sa bouche apparurent l'amour et la jalousie le malheur était inévitable par salima tard et 10 et à son approche en elle remonte et l'excision le viol qui est cours à et les pleurs elle le lui a dit il a répondu en la séquestrant dans une case et en tournant nuit et jour autour de la case en brandissant le couteau et le fusil et en menaçant et en injuriant à la fois la séquestrer ses mauvais conseillers tous les menteurs et la maudite r&d blanc qui interdisait d'égorger les adultères batta une nuit elle s'est échappée elle a couru seul dans la brousse seul dans la nuit dans la case elle tire à la peau de chèvre la déplia et se livra à la bonne et réconfortante prière du matin par quatre fois elle se leva et me le feront taire enfin s'assied à coupon sur la peau et se confia à allah le bienfaiteur miséricordieux un enfant un seul oui un bébé unique implorations sur cette terre femmes à ceux pouvant de plus en plus insuffisant la ville se blanchissent est du matin précipitamment salimata récital et dernier verset conclut la prière repli à la peau de chèvre est sorti de la case elle vide à la marmite dans une cuvette se précipita à la chambre noah un pagne l'avait enfila une camisole et la buvette sur la tête sorti dans la rue par la porte d hier marchât dans le sable mouillé par la rosée traversa le marché ils étaient encore vides et arriva à l'embarcadère de pirogues contenant des passagers balancer sur la lagune crise levant un vent moite qui collé au visage on partait aussitôt le moteur explose a écrit pita l'embarcation tournoi ya et pointa vers le large vers le plateau le quartier blanc [Musique] au large les pétarades du moteur parure faiblir et même mourir ramolli par la pénombre et le frais de la lagune un talent une certaine indolence envahi salémata la paix du coeur cette fuite par la nuit grise seul par une piste dans la boue ce noir mystérieuse d'esprit de man infesté de four un baluchon sous l'aisselle elle s'était enfuie elle avait couru sur les ronces dans les gays sur les graviers couru en âge longtemps jusqu'à s'étouffer rien ne l'avait arrêté les peurs de la nuit les fauves les serpents rien haletante elle avait pensé à ceux qui s'approchaient avec les distances à parcourir les peurs et les fatigues à surmonter c'était femmes à l'amour une vie de femme mariée la fin de la séquestration elle s'était appelé la première fois qu'elle avait vu femme a dans le cercle de danse le plus aux garçons du corps du goût le plus noir du noir brillant du charbon les dents blanches les gestes la voix les richesses d'un prince elle l'avait aimée aussitôt luis femme avait soupiré salimata tu es la plus belle chose vivante de la poussée des villages du corps ou du goût est depuis jamais dans les tourments des malheurs dans l'amertume des soucis dans toutes lés damnation elle l'avait oubliée et c'était lui qui se trouvait au bout de la course au terme de la nuit à l'achèvement de l'essoufflement elle avait couru jusqu'au matin et jusqu'à la première ville qui est beaucoup ne l'avaient pas rattraper et même pas poursuivies cette nuit là [Musique] réchappé des folies de tiémoko femme a rejoint retrouvait aimé et vécu les jours de bonheur sortir oui salimata vécu au bonheur pendant des semaines des mois et des années qui se succédèrent mais malheureusement sans enfant et les pensées de salimata tout son flux toutes ses prières à plaire des bébés ses rêves des bordées de palmiers grouillant de bébé il en surgit c'est de partout elle les beignets bercé et son coeur de dormeuse se gonflait d'une chaude joie jusqu'au réveil une nuit dans le lit un bébé vincent collet à saly matin et se mit à la tt les succion ont brûlé les cinq hochet droit l tat tout chaud tout rond tout doux elle allume à la lampe envolée transformer en mortier de cuisine qu'ils pouvaient avoir introduit ce au mortier salimata s'en douter et les sorciers leurs éleveurs le confirme r c'était le génie de fatalité qui l'a hanté au village qu'il avait rejointe dans la capitale il aimait ça les matins ne la quittez jamais les effets de cette assiduité et claquèrent rapidement le génie en gros ça salit matin qu'importe après que tout fût tombé se fut envolé le docteur est appelé cet état une grossesse nerveuse et les malinkés une grossesse du génie salimata avait été heureuse des mois et des mois elles avaient exulté elle avait été enceinte avait eu invente et tout ce qui apparaît chez la femme qui attend elle s'était présentée à la maternité elle avait été examinée et reconnu en grossesse inscrits sur le registre des enceintes du quartier pendant des mois comme toutes les femmes en grossesse du quartier qr et carnet à la main salimata avait monté la rue sec traverser une ou deux concessions avant la venue et le grand marché avait salué les passants leur avait dit qu'elle marchait vers le dispensaire pour avaler la cuillère et de potions des ancêtres et les autres s'étaient empressés de féliciter de prodiguer des bénédictions pour une bonne délivrance un enfant de valeur et avaient loué à la d'avoir payé les bienfaits la montée et les prières de salies matin par une maternité cela continue à des mois et des mois puis un an 100 accouchements deux ans rien petit à petit le ventre bessat et tout ce qui fait la femme enceinte et des péris et disparus ce qui est malheureux dans ce genre de choses c'est la honte subséquentes une honte à vouloir fendre le sol pour s'y terrer après des mois de grossesse sans avortement 100 accouchements il faut sortir comme les autres voir et parler aux autres et rire aux gens évidemment les questions égratigné embarrasse les gorges des interlocuteurs on le voit alors chaque fois on devient quelque chose quelque chose de différent qui craint tout le monde était loin les mois pendant lesquels elle attendait un enfant est un est consumé les amours que fama et salimata avait l'un pour l'autre à cette époque elle les met à laval et commerçants et travailleurs ils voyageaient elle l'attendait et penser des journées et des nuits entières au bruit de ses pas au timbre de sa voix au croisement de ses boubous amidonnés il revenait revenait toujours et avec toujours quelque chose en plus à ajouter aux sourires à la blancheur de ses dents à la chaleur du coeur il fut constant dans sa brillance et sa prévenance jusqu'à l'évanouissement du ventre après ni le ferait de la paix ni le lointain de la douceur du bonheur ne visitèrent le ménage parce qu'aux femmes à se résigna à la stérilité sans remède et de salimata il alla chercher des faits compte et essaya au compte des femmes sans honneur de la capitale une première une deuxième une troisième rien en sortie tout cumul r&d mois par l'air parfois de mariage parcourir des saisons en un border d'autres mais toujours vide est sèche comme les épis de mil d'un hivernage écourtée puis se détachèrent et partir d'ailleurs elle ne pouvait pas rester la malchance et femmes à ne se séparèrent plus elle se mêlait à tout ce qu'il entreprenait d'idées ses mains ses jours toutes ces affaires marché achat vente voyage se soldèrent par des pertes seule restait le désespoir l'orgueil la chaleur humaine la bonté du coeur s'évanouir femmes advint méconnaissable c'est alors que tombe à la politique femmes à l'achat tout pour y sauter avec force faconde et courage un fils légitime des chefs devaient de tout son être participé à l'expulsion des français la politique comprenait la virilité la vengeance et il y avait près de cinquante années d'occupation par des incident elle a injurié a défié à défaire au débarcadère les bateaux venaient repartait et traverser rapidement malgré la chaleur malgré la réverbération de la lagune et rapidement salimata se retrouva sur le quai de la ville blanche le marché du riz cuit se tenait à quelques pas du débarcadère d'autres vendeuses s'était déjà installée sous leur préau entre les vendeuses et autour des préaux rodez les chômeurs circuler des chaînes de mendiant aveugle estropiés déséquilibrer les clients payeur n'arrivait pas encore la sortie n'avait pas sonné elle ne devait plus tard des saluts mata s'installa en retrait sans préau ni table ni ben elle vendait comme toutes les autres tard à la gratifient la bonté du coeur les bons caractère la bonne humeur prime et quand on est confectionnée avec les tissus de salimata rien à faire les clients vous suivent même retiré sur une termitière les autres vendeuses à l'ombre des préaux servant sur des tables la jalouse est aimée disait salimata vendait en plein soleil du riz malcuit et à crédit en distribuant des sourires hypocrites elle se disait tout cela et d'autres paroles encore vraiment indigne de mer et avec des choeurs méchant à égorger des poulets sur un linge blanc sans laisser de tâches alain le comptable du mal et du bien comment justifient tude avoir gratifié d'aussi méchante et créatures de progéniture alors que salimata une musulmane a achevé les travaillant à fin mai se bousculèrent au portail se déversèrent sur les places dans les rues dans les voitures et dans les pirogues d'ubs ont réduit à très bon marché et venaient acheter du bon riz cuit d'émeutes dans des essaims débouchèrent sur le petit marché des faisceaux demain croisèrent des assiettes devant le nez et les yeux de salémata rapides comme les pâtes de labiche les mains de salimata à l'air et 20 remplir les assiettes de riz les arroseurs de sauce et les coronaires du morceau de viande arrachèrent les prix 15 francs les enfouir dans le pagne un bout de sourire à droite et à gauche pour répondre à des sanitation en paix seulement qu'allah vous gratifie de la grande chance marché favorables et beaucoup d'enfants qu'ils vous entendent aussi agile et rapide que le tea serrant les mains de la vendeuse courait de l'assiette au saut du riz à la sauce rouge est enfui c est enfoui c'est beaucoup d'argent dans l'aube ou deux pages le grand bienfaiteur messieurs le marché favorables merci à la salle et matin rigola de contentement tout gorge déployée comme le petit oiseau qui découvre le brillant de son gosier lorsqu'il chante elle raconte beaucoup de mots laids une journée de chance à la et la chance sont offerts le devoir du donataire de la bonté divine et de faire des sacrifices le sacrifice protège contre le mauvais sort appelle la santé la fécondité l'honneur et la paix et le premier sacrifice c'est offrir offrir ouvre tous les coeurs et s'étend jamin en offrant kg et le saut couru le vis-à-vis peut être un grand sorcier un élu et emea la dont un petit geste un petit mot suffirait pour fait compter la plus déshéritée des femmes que les autres s'approche tenait manger salimata distribua des aciers thé aux chômeurs aux affalé jusqu'à vider la cuve est jusqu'à la raclée d'autres affamés d'autres guenilles e accoururent et se bousculèrent est maintenant tant d'éléments présenter leurs infirmités leur plaît la pub est était vide bien sûr elle avait dans l'aube ou de paille et de l'argent qu'ils ne pouvaient pas être distribué se serait offert ses yeux pour regarder avec sa nuque besacier en loques truands en guenilles chômeurs tous accourent est tous tant d'éléments rien il ne restait plus un seul grain de riz salimata leur avaient crié le leur avait montré ne voyait t-il pas les plats vide elle le valais pl1 en présentant les fonds un à un et les entasse a à nouveau ils accourent est quand même venaient de tous les coins du marché s'amassaient se pressaient murmuraient des prières il dressait autour de salimata une haie qui masquent pas le soleil la vendeuse compte du profond d'un puits leva la tête et les regarda il tueur leurs chuchotements et silencieux comme des pierres présentèrent leurs mains leurs infirmités alors salimata quand andy la menace compris les intentions des solliciteurs lc farah se jugeant perdu elle ferma dur la main sur son argent tenta de se lever et de rompre l'encerclement les murmures s'amplifiait re s'élevèrent en clameur est brusquement comme à un signal tous à bâtir sur salimata la ta terre en meute de mangouste la dépouille r la maltraitait re et avant qu'elle nous pousser trois cris se dispersèrent se débandent air et disparurent dans le marché comme une volée de manger 1000 dans les fourrés ils abandonnèrent salémata seul au soleil seul dans la poussière les bras croisés sur la tête le pagne tirer les fesses nues les cuisses serré les saints a découvert elle s'empressa de renouer le pagne de rentrer les seins de s'arranger elle avait les colliers et boucles d'oreilles arracher les plats ébréché tout son argent tous sont d'un an portée des nains s'était promené dans ces entre fès et entre jambe sous les seins et le bas ventre après le pillage de salé matin ils s'étaient dispersés mais rapidement s'étaient regroupés et en hurlant et ricanant comme des hyènes entreprirent une mise à sac les poux le marché salimata souffrait de ses oreilles moeurs prix de ses genoux compte il y aune et elle pleura la camisole lacéré sous l'aisselle gauche se leva s'arrangea ramassa les boucles du collier chalon mouchoirs releva les cuvettes et les entasse à elle avait reconnu aucun assaillant mais elle ne doutait pas de leur identité c'étaient les bénéficiaires de sa charité qu'ils avaient pillé et maltraités pourtant salimata leur avait bien présenté les fonds des cuvettes elle n'avait plus rien elle aussi était pauvre allah ne voyait t-il pas la pauvreté de salies matin faut-il croire qu'il ne s'apitoie jamais sur un malheur parce qu'il n'ya pas de malheur qui ne soit pas son oeuvre depuis des mois salimata n'avait pas traversé des jours aussi maléfique il fallait partir au marabout pour découvrir la cause et qui savait si ce malheur n'annoncez pas un plus grand son marabout il s'appelait abdoulaye réussissait à détourner les plus terribles sort longtemps avant de se voir et de loin salimata avait entendu parler du marabout sorcier à châteaulin la sorcellerie et la magie courait sous sa peau quand chez d'autres la malédiction abdoulaye cassé et pénétrer dans l'invisible tonne dans la case de sa maman et parler aux génies comme à des copains qu'il fixe à du doigt un fromager et le tronc et les branches et c'est cher pour un homme de cette corne faire germer un bébé même dans le ventre le plus aride en rien une chiquenaude la seule petite chose qui avaient coupé l'espoir et l'enthousiasmé était qu'abdoulaye marabouté cher la première fois qu'elle entra chez le marabout elle lui expliqua qu un chômeur était un homme qui vivait seul qui avait faim et akyé elle offrait des assiettée à crédit qu'elle n'avait pas de ressources mais beaucoup de foi en allah de l'humanité pour les pauvres et surtout le grand malheur de la stérilité a extirpé de son corps entendu entendu salimata avait répondu le marabout tu apportera ce que tu pourras la pauvreté autant que la richesse sont des oeuvres d'art dans la suite salimata 20è revin il se familiarise air et même elle lui devint indispensable le marabout vivait seul et balayez épousseter l'avait placé ceci déplacer cela c est mieux à une femme porteuse de pagnes même si les nuitées dans les cieux parler au génie comme un copain un homme resté un enfant il a suffit ensuite de rouler deux fois les fesses de papy yachts et des yeux de décocher un sourire un reer pour ramollir est passé le formidable marabout d'une voix d'innocents il pétille à des propos insolites et embrouillé il y allait de sa dignité de la guérir de la stérilité si le mari se prouver irrémédiablement impuissant alors alors il faudrait à la jugent aussi les intentions le désir accrochant la barbe du bouc aux épines du gibier il n'était plus question à la fin de réclamer la petite noix de cola d'ailleurs devant salimata abdoulaye 20 à perdre son maintien de marabout son visage se gonfle et d'un sourire chaleureux et parfois ils prenaient la voie d'un tout petit garçon elle se félicita et profita de cet empressement et puis abdoulaye se distinguer comme un mal admirable vigoureux et puissant comme un taureau du wassoulou susceptible de tout pimenté plus que fama est riche en connaissances comme en argent elles venaient le consulter en se couvrant de parures de sourire dieu brillant et curieux il avait mordu avait secoué et vidé ses sacs les plus secrets avaient interpellé et interpeller les invisibles pour leur arracher la fécondité de salimata maintenant acquise à quelques sacrifices prêts auxquels que rien de sacrifices en balayant et arrangeant la case elle tourna et retourne à toutes ses pensées la frayeur qui fait miauler le petit chien quand la nuit sans la panthère parcouru salies matin lorsque le marabout l'apostropha avec des yeux écarquillés par l' angoisse les pommettes musclée par la peur salimata salimata salimata des jours aigre des jours qu'à l'aller tempère qu'à l'aller davy marche à sa rencontre au cours de ma retraite de mes prières et incantations de la nuit passée j'ai vu des choses à toi il y avait d'abord le souci que tu avais communiqué la tristesse ensuite toi et après toi du sang plein de sang jusque sur monboubou m'asséner était débordé de sang un couteau rouge de sang deux bouts courait en un lièvre des appels des cris d'étonnement l'ont intercepté et affaiblie dans sa course et quelqu'un a murmuré il frappera et tuera sans sacrifice gémissements d'étonnement et soumission de salimata bouleversé attends attends tu verras et le marabout de s'appliquer à installer les sortilèges divinatoire il usait de trois pratiques traçage de signes sur sable fin évocation des morts j'ai des cauris appelle des génies lecture du coran avec observation d'une calebasse d'eau implorations dalle d'abord les morts l'index et le méduses doit coller tracèrent des bâtonnets horizontaux et perpendiculaires silence il se leva se frotta le visage avec les deux mains jointes silence encore sûrement en ce moment lehmann pénétrèrent dans la maison dante abdoulaye car ses joues se boursoufle r les sourcil et les lèvres se crispaient les yeux scintillent r les narines palpite r tout le visage se crispe a comme si l'on était au seuil de la mort hagard il fixait les signes tracés des lèvres ramasser et durcit s'échappèrent des jurons qui paie terre ricochet sur les murs fille rejaillir et bousculèrent les grands noms des lieux prestigieux le marabout un moment paru être passé du côté des morts mais un moment seulement par il se ranime a aussi vite apa le sachet de corps y en ait pencha le contenu et se re pétrifia il se ranime à une deuxième fois mais cette fois hérisset de colère et les lèvres embouteillée de mots terribles rassembler à nouveau les tories les répondit et se figea de nouveau silence silence l'animation re pénétra dans le marabout mais cette fois par petits bouts d'abord dans les doigts il compta puis la vie atteignait les lèvres collées doux éclatèrent exclamation et juro salimata admirait et inconsciemment elle se surprit à se pencher et à s'approcher du marabout comme appelé sollicité et de ses lèvres s'envolèrent defla terry des griots bienfaiteur sommes des hommes lyon révèle doigts heureusement pour la dignité de la femme le marabout de 20 ans tandis rien il ne pouvait rien entendre même pas le ciel soupirant la douleur de la chose qui accouchent du feu l'animation et le frémissement gagnaire poule être du devin le piqueur c'est ça c'est ça la vérité s'écria-t-il il déballe à l'effeuiller jaune il eu quelques lignes et enjoignait à salimata nir toi mire toit dans la calebasse de n'y revenir soumises elles se courba aux voix tu quoque un gros coq battant des ailes qui chante chante murmure à saly matin regarde toujours toujours plus fort on en apporte un mouton blanc c'est un bélier était parti le mouton des visages des visages grimaçants des masque de diable et [Musique] le noir le rouge la boue des marigots le sable fin et doux et tout a disparu plus rien rien tout a fui ces tabous ce qui vient de dire un point même des sacrifices les conseils se limiteront à te recommander de tuer immédiatement un sacrifice les signes frais à corps ouvert là sur le sable attendent du sein est est ainsi dit mon premier conseil le second te parlera du mouton mais ce sacrifice peut attendre une semaine même pas moi finissons-en sur le champ le marchand de volailles habite là-bas dans la cour voisine la pluie oui la pluie ne tardera plus guère décontracté ni et le ton de petits garçons le marabout prolonger ses dires et ses gestes par des sourires infini comme le djoliba en d'équité il suffisait de regarder de connaître salimata et elle est belle des fesses rondes descendante et élastique des d'en aligner blanche comme chez un petit show elle provoquer le désir de vouloir la mordiller et 7 po légère et infini le marabout ne se souvenait pas d'en avoir touché dans avoir pénétré de pareilles elle revint avec un coq le marabout l'arracha le planta au centre des signes maîtrisa les piaules mans les battements d'aile résigné l'oiseau tandis qu'au québec et kata des appels assoiffés il s'accroupir face à face les mains sur le coq le marabout bégaya des paroles incantatoires la gorge était enrouée mais pas pour longtemps par les mots terribles la dga gère et jaillir envolé de projectiles qui remplir la pas de mystère mal d ieu grands génies des montagnes aux sommets toujours vert jenny des biefs insondable à l'allemagne à nîmes qui couvrent et contient tous tous tous des lèvres se collant et se décollant bondissait d'autres mots terribles brillant et sonnant un incident bénin faillit pourtant tout gâter faire tourner la sauce à force de tordre les reins de penne de pirouetter salimata s'était stabilisée disons le dans une position carrément provocante les saints se découvrait descendait et serait découvrez les hanches se décoller souveraine noir pimentée et profonde et se rouvrait des vapeurs érotique inopportune faillir boucher l'inspiration du marabout sacrilège du revers de la main il les chasse à souffle a bruyamment roula et leva les yeux ou toi séparant du firmament habité par allah est repris par un énorme bistoufly bien appuyé d'ailleurs cas là une fois encore en soit loué salémata compris elle reconnaît les hanches s'appuya d'une main au sol renois le pagne enfouis les saints dans la camisole étant dit les oreilles génie des forêts sombres et calme et des montagnes accouchant des nuages des éclairs et des tonnerres man des prestigieux aïeux vertèbres de la terre nourricière accepté attraper ce sacrifice dans la grande volonté d'allah le tout-puissant éloigné de nous tous les malheurs pulvérisé les mauvais sorts que le sacrificateur acquiert par ce sacrifice la destinée de la petite paille que le grand incendie de la forêt à préserver ensemble ils portèrent les mains jointes au visage amen amen amen prend les ailes et les pattes maîtrise les biens maintient le dans le sable enjoignent l'homme fiévreusement il dégaina un couteau à la pointe et recourbées brûlant et brillant pétrifiant comme celui de l'exciseuse il le glisse assure le gosier du coq élan font ça assadi matin échappe à un gémissement étouffé d'horreur mais ces menaces le sang gicle a le sens de l'excision le sens du viol l'homme se débarrassa du couteau empoigna la victime la rachat à la femme et la balance à eau est loin dans la cour dans le vent comme une goutte d'eau baobab l'oiseau fera pas le sol et se croyant libéré se projette à vers le ciel une fois deux fois trois fois ces forçats de se lever en vain le bec et la tête ne décolère pas du sol alors il siffla la douleur et la mort bâti un tam-tam d'elle et disparus dans un tourbillon de poussière de plumes et de sang abdoulaye et salimata fixèrent le regard sur ce spectacle elle l'essoufflement et les vertiges qu'il a sur dix est l'étreignait et les couleurs qui se superposaient le vert et le jaune d'un des vapeurs rouge le tout rouge la douleur et les roulements de ventre les champs dans l'aurore le champ de l'excision au pied des montagnes aux sommets va pour eux le soleil sortant tout rouge tout noyé dans le sang le viol la nuit et les lampes brillante est éteinte et fumante et les cris et les jambes piétiner on tue dione les oreilles me repris les pleurs et les cris et le pillage l'oiseau se débattit encore les impulsions faiblir faiblir jusqu'à l'ultime sursaut il tenta de s'envoler en vain et tomba les pattes en l'air et les doigts ouvert sacrifices acceptés pattes en l'air doit ouvert signe authentique du sacrifice accepter des voeux exaucés le marabout regarda salimata qui se décontracte 1 et c'est maya de sourire qu'à la donne la force à tes paroles merci abdoulaye pour le malheur des tournées reste la stérilité qui m'habite et me désolent les amulettes et les médicaments ne l'ont pas encore extirper prends pitié de moi la porte était bien close dehors hurlaient le vent battez la pluie sous un orage pareil personne personne d'autre ne pouvait arriver et les surprendre donc seules absolument seul lui avait détourné le mauvais sort courant vers elle un grand bien par un homme viril elle avait fait le ménage avec soin comme une douce il épouse ensemble ils avaient sacrifié le coq le coq rouge refroidissait dans une cuvette le sang avait giclé mais un sens n'ayant pas pour l'un et l'autre la même couleur le même fumer pour lui couleurs de douceur et fumé du désir d'une peau fine des faces rondes et des dents blanches pour elle couleurs de l'excision et du lever du jour fumer de la crispation et de la frayeur prête des oreilles salémata et pense bien mes paroles le dire se démêlent comme les plumes de son coq il le désigne du doigt dans la cuvette allah a sacré le mariage c'est un totem mais l'enfant pour une femme et passe pour le but de la vie et connaissent un rejeton ton mari je te le dis d'un intérieur et d'une bouche clair ne fait qu on donnera pas les femmes il est stérile comme le rock comme la poussière et l'harmattan voilà la vérité la seule tout autre dire des mensonges et il n'y a plus de bien dans le mensonge comme il n'y a pas de sens dans le grillon conclut-il dehors le vent et la pluie s'enrager dans la maison pour répéter tous criaient le mari le mari ne fécondera pas approche murmura le marabout elle recule à comme un bois lui se tordit se balancent à et armor sans un sourire elle regardait et du fond de son intérieur montèrent en maints appels lointain les vapeurs de l'excision et du viol et tout changea les yeux du marabout tournaire et sortir les feux de la sauvagerie de tiécoura les narines s'aplatir et à tenir à l'horreur et narines de thillois pourquoi pourquoi hésiter dames 1 damas ici ajoute à dieu elle s'essoufflait se crispait elle le fixe a pas de doute au coup monté les carcans de tiécoura lots boubou prenait la couleur de la bid tiécoura approche approche il ne comprenait et n'entendent est qu une seule chose lui et la femme était seule ils ne voyaient qu'une femelle brillante honte hésitante mais soumise et ne connaissant que le désir qui l'agité l eau chauffée ils tirent à arracher le bail laisse moi où je crie il sourit non elle ne voudra pas crier et il s'accrocha et ira plus fort la femme fut projetté disperser et ouverte sur le lit il ne restait qu'à sauter dessus il ne le but car elle hurle à la rage et la fureur et se redressa frénétique posséder arrache un ramassage un tabouret un sortilège une colle aux basques ont bombardé nos marabouts effrayer qui couraient et criaient acosta la cause d'allah le couteau à tête recourbée trenet elles sont en armes à l'eau pour shi vié et la cula entre le lit et les valises dans les yeux de sané matin éclatèrent le viol le sang était courage et sa poitrine se gonfle à de la colère de la vengeance et la lame recourbée fera pas dans l'épaule gauche l'homme à son tour hurla le fauve grondal au tonnerre elle prit peur et par la porte s'échappa patauge à trois ou quatre pas dans la pluie se précipita sur les crevettes ramassa le poulet sacrifiés est sorti [Musique] derrière le marabout continué à chauffer la case de ses hurlements elle se replongera dans la pluie traversa la concession en courant rejoignez la rue le vent soufflait frais la pluie tombait faible en gouttes espacé grosses comme des amandes de karité les gouttes mitraillé la cuvette et les épaules partout la boue la boue stagner autour des maisons courait dans les fossés et se répandait sur la chaussée personne dans la rue c'était heureux ainsi aucun témoin à son inquiétude au coeur à sa honte offrant à gauche passait une ruelle perdu elle y pénétra pour pleurer son malheur et pas chez son visage de femme qui n'aura jamais d'enfant parce que ne sachant couchettes un homme stérile elle avait le coq sacrifié dans ses bagages plus loin elle arrive à un petit monticule avec au sommet un croisement un petit pont et des ravins grand dando écumante elle monta sur le parapet sortiele au poulet sacrifier le lança dans l'eau torrent qui le fait tournoyer et l'emporta elle le suivi et souffla en ce lieu la pluie avait passé sauf un petit crachat de brefs miroitement parcourait le ciel elle suivit le poulet sacrifier longtemps est loin elle pensa que son giron venait de couler de tous les enfants rêver recherché est que le cocan semblait emporter définitivement [Musique] elle avait le destin de mourir stérile [Musique] la suprême injure qui ne se pressent pas ne se lasse pas n'oublie pas s'appelle la mort l avait emporté le cousin lassina du village oui le cousin et bien que celui ci fut l'homme qui par ses intrigues maraboutage sacrifice avait évincé fama de la chefferie du hauron du goût ce décès était un malheur les récriminations devait être tu le défunt appartient au seul juge mandala et ce qui appartient aux parents survivants et d'organiser de digne obsèques fama décida d'aller au village pour les funérailles il parcourut toutes les concessions malinkés de la capitale pour faire éclater la nouvelle du décès du cousin et annoncé son voyage qu'allah continue de bénir et de renforcer la communauté malinké de la capitale chaque malin tu es se surpassa en générosité l'argent fut sortie est offert par tous les moyens pour voyager et organiser de grandes funérailles et même plus furent rassemblés fama pouvait partir de bon matin il se présenta à l'autogare accompagné de salimata et de beaucoup d'autres malinké les camions en partance pour le nord s'aligner dans la clameur femme à un barca dans le camion du chauffeur ou et drago non non écrit at on descend vieux monter dans le camion de tête de file c'est lui qui interpellait se présenta délégué du syndicat national des transporteurs donc fama devait descendre sans discuter c'était comme ça syndicat des transporteurs ou syndicat des bâtards femmes à s'en moquer il se dressa dégaina son couteau et malgré les cris de salimata menaça les délégués et un jury à tout le monde le délégué et le syndicat de tous les bâtards leur père et la mère d indépendance le délégué recula et les salles ap hm souffrent de mal ils partirent et dès la sortie de la capitale femmes à se féliciter d'avoir à l'autogare découvert toutes ses canines de panthère devrait doubler il a eu raison fin fois raison d'avoir embarqué par les injures et les menaces dans le camion de oued d'arbres il fallait voir les autres croisés ou dépassée il fallait voir les chauffeurs un bras et la tête hors de la cabine criant s'en fout la mort et dans un vacarme de klaxons et de frei d'auto croisés alors que ouedrago conduisait avec une prudence de caméléon pour éviter une crevasse pour aborder un tournant il murmurait 1001 quant à sion où se mêlaient les noms d'allah et des mâles femme a aussi prié pour que tout le voyage se passe a favorablement ils traversaient les savants des lagunes des arbrisseaux était accrochée au monkey rouler jusqu'à l'infini c'était le matin le soleil venait de pointer et s'empressaient de fondre et balayé les nuages avant de monter plus haut et faire régner un vrai jourde harmattan femme à lui était préoccupé et mélancolique il quittait salimata la capitale tous les amis toutes les cérémonies les palabres et il ignorait quand il pourrait revenir le patriarcat de la tribu lui incombaient après le décès de son cousin devait-il l'assuré est demeuré au village ou y renoncer et retourner à la capitale fama n'avait pas encore décidé évidemment il allait consulter le de 20 tués des sacrifices et suivre le meilleur sort tel qu ait pu être le choix fama devait se préparer à beaucoup de soucis ils voulaient pensé pour être prêt à l'aider mais les quand ils devaient survenir efama repris de penser quand il présenta salimata la lettre annonçant le décès elle s'écrit ya allah et pitié du décès des accords de lui un meilleur repos puis elle se leva de son tabouret fit sonner les ustensiles comme que cherche est elle au juste elle revint les mains vides les yeux larmoyants oui alors que comptes tu faire femmes à rien allez assister aux funérailles et revenir en vérité tu pense revenir dans la capitale ont commencé cette vie femme a dit vrai supplie at-elle la vérité fama ne la savait pas il lui incombe et de diriger la tribu des doumbouya être le chef de la tribu avant la conquête des toubabs tel grand honneur elle grandes puissances cela représentait toutes les mamans doumbouya verser des libations tuer des sacrifices pour que de leur giron des 110 l'enfant qui serait le chef de la dynastie dans ce monde renversé cet honneur sans moyens serpent s'entête revenait à femmes la puissance d'un chef des tribus d'affamés n'est pas autre chose que la famine et une gourde de soucis fama tu devrais te préparer a refusé à leur répondre non [Musique] la camionnette souffler et grimper une côte s'éloigner un tournant tout à fait semblable comme deux traces lui même fort à celui qui s'approchait tout scintillant gosse tu ne leur échappera pas tu ne pourrais pas refuser l'héritage au village les langues sont vraiment accrocheuse et leuze que faire alors devrait-il renoncé au voyage retourner dans la capitale non ce n'est pas possible personne et sans jeunesse est impossible dans ce tas prépare toi donc a hérité c'est comme la main deux choses seulement la paume ou le dessus dû renoncer au voyage où tu pars pour éviter hésiter tout même les femmes les femmes aussi l'enterrait laissé quatre veuves les quatre plus sérieuse pièces de la succession donc deux vieilles que le défunt avait acquise par l'aig ces dernières sûrement ne se coupent leur ont plu quand on a enterré deux maris on doit se dire que les gens n'ont plus aucun jus au camp piment qui vous soit étranger mais les deux autres surtout mariam mariam jeune fille avait été promise afamah parce que partout ont protesté de le voir se consumer dans une stérilité aride avec sally matin cela ne se réalisera pas d'abord à cause des sarcasmes de salimata femme à femme à dix elle réfléchit regardez toi te sens tu es capable dans chauveau chez deux avec moi c'est aussi difficile que tirer l'eau d'une montagne et après chaque nuit les douleurs qui circulent dans les reins et les côtes ensuite parce que c'était à l'époque où les affaires périclitent et où la politique là qu'apparaît bref fama avait refusé mariam parce qu'il a béni les reins ni l'argent au village on avait juré protester mais 10 de femmes à un légitime un fils de chef qui courbait la tête sous les ailes d'une femme stérile un des voiliers et on avait apporté mariam en mariage au cousin lassina il avait eu un ou deux enfants la piste monthey et tournai près de vingt ans de vie commune avait amené fama et salimata à se connaître comme la petite carpe et le crocodile cohabitant dans le même biais que fama marie mariam après les funérailles et retourne dans la capitale il était aisé d'imaginer ce que ferait salimata hypocrite le premier jour elle se vêtira d'une fausse gentillesse avec des sourires à sauf angles sans manches radeau faux empressement et de prévenance une femme sans limite pourrait-on penser non erreur tant d un soir sans aucune raison elle arrivera silencieuse comme traversait est cassée par des soucis de foudre et ça commencera à retirer dans un coin un bras mort à des champs avec des paroles philosophant sur la misère humaine sur la misère des épouses qui nourrissent fait éloge leurs maris sur la misère des épouses devant l'ingratitude et des hommes sur les devoirs des maris sur la stérilité sur l'obligation de loger chaque co épouse dans sa chambre et puis et puis bref des lancers de mauvaise humeur qui finiront par agacer et piqué femme à femme tu dois penser considérer avant d'épouser mariam - moins en moins que tu n'acceptes de deux mères au village femme à son mollet il était fatigué plus épuisé est finie que le fond de culotte d'un garnement réfléchit à des choses sérieuses légitime descendants des doumbouya le dernier doumbouya et tu oui ou non le dernier le dernier descendant de souleymane doumbouya c'est soleil sur les têtes ces politiciens tous ces voleurs et menteurs tout s'est décanté ne sont ils pas le désert bâtard ou doit mourir le fleuve doumbouya et femme a commencé de penser à l'histoire de la dynastie pour interpréter les choses faire l'exégèse des dires a faim de trophées sa propre destinée à l'heure de la troisième prière un vendredi souleymane que par déférence on nous met moriba arriva à tout corps au suivi d'une colonne de d'allibert le chef de tout coraux le reconnut le saluer depuis des générations on attendait il leur avait été annoncée un arabe un grand marabout arrivera du nord à l'heure de lure et bi retenait le retenez le offrez-lui terre et case le pouvoir la puissance de plus de cette province ira partout où il demeurera lui ou ses descendants le chef de tout koral avait distingué à sa taille de fromager et à son temps il serait plus haut plus clair que tous les hommes du village à sa monture il arriverait sur un coursier sans tache elle avait à le retenir à le fixer à poux coraux mais en ce temps là la fête des moissons occupé huit jours et pendant ces huit jours femmes et étrangers devaient ce poids très fétiche et masques dansant et criant sur les places et les chemins le chef de tout corps aux aplats son hôte grand marabout bientôt battront les fêtes des moissons que tu es femmes et élèves accumule des provisions en eau et nourriture pour une semaine pour toi et les tiens honorables chefs permet nous pour la période de la fête de nous retirer dans notre look en répondit souleymane d'accord marabout mais revenez après les fêtes répondit le chef il ne retournera plus le look ans se trouvait entre geyter et le chef voisins s'y opposa s'il est annoncé que nos pouvoirs prospérera où résidera souleymane alors qu'il campe entre nos deux ter suleman et ses talibés bâtir un grand campement appelé taux global à grand campement et fondèrent la tribu doumbouya dont femmes à rester d'unique j team descendants l'histoire de souleymane est l'histoire de la dynastie doumbouya il existe une autre version souleymane et son escorte débouchèrent bien surtout coraux un vendredi à l'heure de lure et be le chef de tout coraux d'orbey ivre de dolo au milieu de ces sujets qui le secret en disant le grand marabout sur le coursier blanc avec une forte escorte traverse le village laisse dormir se contente at il que murmurer quand le chef fut dessaoulé un message et fut aussitôt dépêché et souleymane ne pouvait plus retourner il était un des chemins entre deux terres il comme pas où le messager le rattrapa et plantes à la de nombreuses paillote du goba la [Musique] quelle que soit la vraie version au global à s'étendit prospéra conte une termitière comme une source de savoir aux vins se désaltérer ce qui séchait du manque de la connaissance et de la religion la descendance dessous les manques ou la prodigieuse vigoureuse honorer et à tenir et compta des grands savants de grands saints jusqu'à la conquête du hohrodberg ou par les malinkés musulman du nord méprisant pour les bambara originaires les conquérants proposèrent la puissance aux descendants de souleymane doumbouya il s'appelait bakary et bakary ne devait pas accepter les bambara avait comblé ses ancêtres d'honneur et de terre et le pouvoir d'une province se prend par les armes le sang et le feu celui qu'on acquiert par l'ingratitude la ruse est illégitime et éphémère et ce pouvoir se meurt dans le plus grand malheur toute-puissance illégitime porte comme le tonnerre la foudre qui brûlera sa femme heureuse baccharis en à la consulter priez adorer allah et les ancêtres une nuit une voix s'exclame ah merci bakary merci des offrandes prend la puissance les lois ne se démentit rompt pas mais à cause de la piété on fera des accommodements ta descendance coulera faiblir asséchera jusqu'à disparaître comme les puissants courants qui se déverse de la montagne grossistes puis faiblissent et meurt dans la vallée sablonneuses et désertique loin de la mer et des fleuves je renonce à la puissance répondu bakary refroidi prend là la fin de ta descendance n'arrivera ni demain ni après demain ni un jour prochain il se fera un jour où le soleil ne se couchera pas ou des fils d'esclave des bâtards n'iront toutes les provinces avec des fils des bandes et du vent et commanderont où tout sera pleutre et hantée où les familles seront oui merci j'ai compris c'est qu'il ya bakary inspiré ma descendance disparaîtra le jour du jugement dernier et bakary sare où jal au pouvoir sur tout les opulentes province tout et les terres du worodougou le auro du goût qui fut démembré et appartenait désormais à deux républiques les doumbouya en furent les chefs honoré dommage dommage que l'aïeul bakary n'est pas attendue n'est pas tout écouter la voix aurait continué d'écrire le jour de la fin de la dynastie doumbouya femmes avaient peur au monde antique descendants il ne restait que lui un homme stérile vivant do monte dans une ville où le soleil ne se couche pas les lampes électriques éclairant toute la nuit dans la capitale où les fils d'esclave et les bâtards commandes triomphe en liant les provinces par des fils le téléphone des bandes les routes et le vent les discours et la radio femme a eu peur du voyage des funérailles de togo balade de salimata du mariam et de lui-même peur de sapeurs les villages passèrent et disparurent dans la poussière leurs noms ont frappé dans femmes à des femmes femmes de regrets déjà la camionnette de rouler sur les terres de la province de ghor au double ou ceux qui se voyaient ou ne se voyait pas s'entendait ou ne s'entendait pas ce santé ou ne se sentait pas tous les ter les arbres les eaux les hommes et les animaux tout ce qui entourait aurait dû appartenir à femme a comme sa propre épouse monde terrible changeant incompréhensible le dernier village et de la côte d ébène arriva et après le poste des douanes séparant de la république socialiste denis qu'ils n'aillent la femme apica le genre de colère qui bouche la gorge et d'un serpent d'injures et de bave et lui communique le frémissement des feuilles un bâtard un vrai un des hontes et de rejetant de la forêt et d'une maman qui n'a sûrement connais ni la moins deux bandes de tissus ni la dignité du mariage aux à dos bout sur ces deux testicules sortir de sa bouche que fama étrangers ne pouvait pas traverser sans carte d'identité avez-vous bien entendu femme un étranger sur cette terre de oro dougoud femme a le soma de se répéter le petit douaniers gros rond ventru tout fagotée de la poitrine aux orteils avec son ceinturon et c'est molletières se répéta pas le moment et même par là de révolution d'indépendance de destitution de chef de liberté fama éclata injuria hurla a ébranlé tout le poste des douanes heureusement le chef de poste et et malinkés donc musulman est à même de distinguer lors du cuivre on cale ma femme a avec les honneurs et les excuses convenable c'est le descendant des tambouilles un jouet des boubous yaoudé konaté répondit le fils de sauvages des douaniers famas y en ait soufflé fit semblant de n'avoir rien entendu et en bartha comme un brusque tourbillon d'armes à temps la colère de fama s'éloigna on parcourait les brousses que fama avait sillonné de cavalcades et son coeur se réchauffer des matins de son enfance de partout surgissaient des bruits des odeurs et des ombres oublier même un soleil familier sortie est rempli la brousse sans l'enfance son enfance dans tout il la surprenait la suivait là-bas très loin à l'horizon sur le coursier blanc il écoutait passer et repasser à travers les arbres la santé la goûter et aussitôt après dans un ciel pur et chantant l'harmattan 5 loustallot sommet du fromage et de taux global à dogo balla le village natal les mêmes vautours des bâtards ce qu'ils ont surnommé fama voto sûrement les mêmes vautours de toujours de son enfance se détacher du fromager et indolemment patrouiller au dessus des cases des buzz des cabris des femmes canaris sur la tête et puis vinrent les cases [Musique] au monde de la grandeur d ieu femmes à se frotter les yeux pour s'assurer qu'il ne se trompait pas du togo balade de son enfance du togo ballack il avait dans le coeur il ne restait même plus la dernière pestilence du dernier paie en vingt ans le monde ne s'était pourtant pas renversé et voilà ce qui existe et de loin en loin une ou deux cases pencher vieillotte cuite par le soleil isolé comme les termitières dans une plaine entre les ruines de ce qui avait été des concessions des ordures et des herbes qu'elle est bête avait bouté le feu brûlait et l'harmattan léché de la marmaille échapper des cases convergé vers la camionnette un criant mobily en titubant sur des jambes de tiges de mil et en balançant de petit bourg de vantch poussiéreux fama songea à de petits vinrent en plein enfin un repère femme a reconnu löw baobab du marché il avait peiné et d'aider creepy lui aussi le trans andré lacéré il lançait des branches nuls épreuves vers le ciel c'est qu un ciel hanté par le soleil d'art matin et par les vols des vautours à l'affût des charognes est délaissé des habitants soulageant derrière les cases la camionnette s'arrêta bon arrivé bon arrivée et femmes à des habitants de tous âges accouraient tous famélique et séchez comme des signaux de deux saisons la peau rugueuse et poussiéreuses comme le margouillat des murs les yeux rouges et excluante de conjonctivite avec les pats souple et de son totem pater des gestes royaux et des saluts majestueux dommage que l'aube où étaient et poussiéreux fois c'est en tête d'une escorte d'habitants est d'une élue et de bambins femme a atténué la cour d ieu doumbouya c'est alors 40 ans qu'est un cri perçant le signal des pleurs et lamentations pour l'intérêt hurlant comme des possédés toutes les femmes se jeter à terre et rouler dans la poussière la pla maire rappela d'autres pleureuses des lamentations et se communique à tout le village c'est à un femme a bouleversé fatigué pensif qu'on présente à la traditionnelle calebasse et d'eau fraîche et bienvenue à tous merci merci à tous allah en sera reconnaissant gémit-il avant de la porter aux lèvres [Musique] sans la fosse était malinkés cette première nuit aurait été reposante elle le calme d'un sous-bois rafraîchie par une source au bout d'une longue marche et l'harmattan mais la fausseté les malinkés ont la duplicité parce qu'ils ont l'intérieur plus noirs de leur peau et les dires plus blanc que leurs dents sont ce des féticheurs sont ceux des musulmans le musulman écoute le coran le féticheur suit le coma mais à taux global a aux yeux de tout le monde tout le monde se dit et respire musulmans seul chacun craint le fétiche ni margouillats nids d'hirondelles les pleureuses calmer afamah devait être désigné une case le coran dit qu'un décédée est un appelé par alain infinie et les coutumes malinkés disque un chef de famille couche dans la case patriarcale il y avait ni hésitation ni palabres la grande casse pattes et à alwihda après le décès du cousin était là elle avait habité tous les grand sérieux doumbouya fama devait l'ouvrir et y déballer les bagages mais chez les bambara les incroyants les affres on ne coupe jamais n'a la place d'un intéressant le petit sacrifice qui éloigne expliqué mme anne le féticheur et sorciers balla l'incroyant du village nous vivrons dans la suite le sac de ce vieux fauve vieux clabaut vieilles haines rappela afamah les pratiques d'un fidèle en dépit de sa profonde deux fois au coran en allah et mahomet femmes à toute la nuit dans une petite case se recroqueville à entre deux vieux canaries et un cabot galeux une très mauvaise nuit à taux global à tout le monde a hâte de revoir le mât comme si le noir de la lune était au cachot et menaces et le blanc du jour liberté et paix réveiller avant le premier cri du coq femme a pu donc cela b se parer prier dire longuement son chapelet curé vigoureusement ses dents et s'installer en légitime descendant de la dynastie doumbouya devant la case pâti à elle concilie avait dormi le griot diamou roues se plaça à droite le chien se serra sous la chaise princière et d'autres familiers se répandirent sur des nattes en demi-cercle à ses pieds et on attendit les vagues de sa lueur dia mort ou le griot frétiller ils avaient beaucoup à raconter fama ne l'écouté pas les pensées du prince était ailleurs les choses blanchissait avec le matin tout se re découvraient femme a regardé la concession il ne se rassasier pas de la contempler de l'estimé comme héritage rien de pulpeuses rien de lourd rien de grave même une poule et pathé pouvait faire le tour du tout oui case debout debout seulement avec des murs fendiller du toit au sol le champ guaje vieux de cinq ans en fait d'humains peu des bras travailleurs à 30 dont deux vieillards neuf femmes dont sept pieds l'autre refusant de mourir et les impôts les cotisations du parti unique et toutes les autres contributions monétaires et bâtard de l'indépendance du lait tiré en vérité fama ne tenait pas sur du réel du solide tu définitif parlons maître de ton cousin l'est vraiment il en a vu avec les indépendances parlons-en c'était trop tard le brouillard s'était enfui derrière le village est de partout des bouchers les groupes de salut heures bon bah à lavaur merci ce sont les 6 et leur concession est sur le chemin du marigot une cissé a été mariée à d'oublier et le griot présenter houba houba que tombe sur vous les grandes bénédictions d'allah les gates a appelé vous fama que vous avez une cousine marié 1 qui tu as les couilles à télé konaté les diabaté tous avaient à lien de parenté les aïeux de toutes ces familles avaient été introduits sous telle ou telle boubou ya le griot diamono était intenable et savants et fama trolley soit engorgé se bombait regarde et il les saluts heures à peine ses paupières tomber un vrai au terme de parts d'air elle et rumba is est aux petits de ce matin d'armes à temps au seuil du palais des boubous ya un moment pendant un moment un monde légitime plane à les saluer retournait en fins bâtonnets nos pouvoirs comme si l'apprenti sith et le mariage avec une stérile la bâtardise des indépendances toute sa vie passée et les soucis présent n'avait jamais existé le griot débilité comme des oiseaux de figuiers et sa lueur venait et partait soudain une puanteur comme la proche de l'anus d'une civette balla le vieil a franchi était là gros et gras emballé dans une côte de chasseurs avec des débordements comme une reine termites et aveugle on guy dassé pas hésitants de chevaux de 2 jours et le fit asseoir à la droite de femmes à des mouches en est ce un piquet dans ses cheveux tressés et chargé de grippe dans les creux des yeux dans le nez et les oreilles doucement le vieillard souleva l'éventail en queue d'éléphant et d'un bras énergique les cueilli en grappes les mouches jonchère le sol lui bah là n'était pas un salut heures l étranger mais un de la famille boubou ya un affranchi qui était resté attaché à ses maîtres à la libération on lui reprocha le retard mais l'entendez rien on cria plus fort il a pas les mollets rumine attira les pommettes c'est le sourire et par là d'abord lentement et calmement puis de plus en plus vite de plus en plus haut jusqu'à ses poufs et leur retard le retard c'est que balla avaient eux devraient consulter et adoré les fétiches et puis tu es tu et les sacrifices pour femmes à afin de rendre la maison patriarcale habitable afin d'éloigner de son séjour les mauvais sorts les mauvais sorcier et après ils s'étaient soigner jambes pieds coups tête épaules ou badigeonné de kaolin et de salive incantatoire partout le pouce des douleurs heureusement que je suis un vieux fond vieux clabaut vieillesse les derniers saluent heures et est reparti tout le monde regardait tout le monde se moquait du vieil affranchis grotesque mais craint sauf le griot d'amour ou que pousse l'a agacé et qui disait parfois ce qu'il en pensait pas frais de la carapa de bala dans un village tala comme togo balle à un féticheur un lanceur de mauvais sort un ennemi public gala alors alors pourtant balla et et amouroux devait se dire se supporter ils étaient des ego les seules du hauron du goût du monde proclame et ils à avoir passé les der sar maurienne le commandement des toubabs et les indépendances tous les deux vu et fidèle serviteur des doumbouya le griot et la franchit seul témoin des grands jours des grands boubous ya et de la décrépitude de la dynastie de sa diminution de sa sécheresse jusqu à ne tenir qu'à un homme tel que peu stérile les indépendances à des supprimer la chefferie détrôner le cousin de femmes a constitué au village un comité avec un président un sacrilège une honte togo balle a été la chose des bombes ou ya au soir de leur vie les deux vieillards oeuvrait à la réhabilitation de la chefferie au retour d'un monde légitime malheureusement taux global allait doubler ya et même le worodougou ne valait pas en afrique en grandeur d'un sac de fonio qu'importe ils y croyaient il s'y employaient déjà djamourou avait creusé ses cachettes sorti ces fortunes distribuer des colas à tous les saluts heures au nom de femmes à bala avait mis à la tâche des cabris et boeufs derrière le village pour les funérailles les doubles bouya ne finiront pas ce sont les indépendances les partis uniques et les présidents qui brûleront le cousin avait laissé deux femmes aussi féconde que des souris fama pouvait faire de nombreux doumbouya mal balla en avait le médicament pharma devait seulement se gardait de mêler la bouche à bouche de ceux du comité ses pieds aux leurs ils étaient des damnés des ennemis à la limite balader gagnera son fétiche pour frapper de mort ceux qui barrait le chemin diamou roue allait plaider la cause chez le gouverneur donc pour reconquérir son pouvoir femmes à posséder un sorcier un griot de l'argent des appuis politiques bref les derniers enthousiasme de deux vieillards sur leurs derniers pas c'était beaucoup mais pas tous il manquait que le prince lui même n'y croyais pas et qui aurait pu affirmer que dans son for intérieur il le voulait ou même le souhaitez très souvent les nuits de femmes à s'allonger la case patriarcale la tasse royale du corps ou du goût était une des plus anciennes donc entretenait les plus vieux gros et roura tout de gaz et cafards les grouillait et s'agripper aux membres le sommeil et femmes à se séparer dans la tête et le corps de l'éveiller souffler les soucis des poussées de tourbillon d'abord les soucis d'argent au global à faut-il le redire était plus pauvre que le cache sexe de l'orphelin asséché comme la rivière tout qu en plein harmattan assoiffés affamés le peu d'argent de fama s'étaient dissipées plus rapidement que la rosée femmes à se devait de donner il devait être généreux et il l'était à tel point qu'il allait offrir jusqu'à son cache-sexe par les deux vieux serviteur de la dynastie le vieux griots et le vieil a franchi le relais hier ils étaient presque obligé la pauvreté ne se guérit pas ne se dissimule pas à togo balla et femmes à main épouse vide est infâme à hargneux rageur pour arrêter cette mauvaise humeur et les palabres gâté par les bouffée de colère les deux vieillards spontanément payèrent efama toléra ce paiement en plein jour en plein taux global à lui le dernier doumbouya devint parasites de ses serviteurs c'était piteux incroyable honteux mais seuls qu'enfin ma tournée ses longues nuits blanches s'étaient lâchement apaisant il n'avait plus aucun souci d'argent même sans soucis d'argent les nuits rester longue gluante et rifaie de piqûres et de morsures parce que fama les parcours est seul seuls 100 femmes c'est dire que parfois il se tordre sc et les cuisses même gémissait et s'embarrasser l'esprit et le coeur de choses de femmes ou disons le d'une bouche franche des choses de mariam au retour de la mosquée chaque matin dia moureaux et femmes à s'arrêter est saluée à la porte des veuves mariam les attendait disons le parce que allah aime le vrai elle était belle ensorcelante exactement la femme n'est pour couver le reste des jours d'un homme vieillissant ma et puis mariam était la chose de femmes à partie intégrante et intéressante de l'héritage même avec son scandaleux et mauvais caractère mètres ne laisse pas sauter de ton fils et un frétillant poisson comme variable on sait ya le griot afamah et d'y amouroux poursuivi les très grandes il faut de la jeune femme ont tourmenté les dernières années du décédé elle ment comme une aveugle commune et quant à elle vole commune totaux malicieusement le griot bessat le ton regarda autour est là pour chaque garçon un accent un sourire et ne sait pas répondre non aux avances et les jeunes gens du village les jeunes gens de l'indépendance est hantée sont irrespectueux tous même pour les choses sacrées comme les jeunes femmes des vieux non elle n'y a pas de malheur il n'y a pas de défaut ça remède murmura le féticheur balle à rien ne doit détourner un homme sur la piste de la femme féconde une femme qui absorbe conserve et fructifie rien balla contraindra les jeunes jacques annaud pas tripoter mariam un efficace petty sera adoré est attaché l'homme qui l'a grimpera au mieux elle ne pourra ni des vulves et ni se dégager et restera pris au piège jusqu'à ce que balla vient de dire le compte du fétiche autrement après l'amour son sexe se réduira jusqu'à disparaître dans le bas ventre et ça sera fini pour lui pour qu'on t'appelle grand courage il faut en avoir un qui s'élève de vaca donc acquise mariam sera sa chose toutes les nuits fama pensait s'imaginer la tourner en la caressant les cartes ans après la retraite du deuil toutes les nuits sauf faut-il le mentionner les deux nuits précédant le grand palabres lundi et 1 mardi [Musique] un animateur d amour ou la bêtise et en dehors du cercle décodeur s'était penché pour lui cacher dans l'oreille le secret le président du village et du comité il s'appelait papous et tous les autres membres à les interroger femme a et pas pour rire ou en aurait il y aurait du parti unique du sous-préfet de la contre révolution dans la sauce et d'y amoureux a oublié ce serait mercredi après la troisième puis hier que le palabre seraient convoqués du sous-préfet de la contre révolution de la réaction s'était grandement grave pendant deux nuits femmes à tourner at elle retourne à diverses questions écrasa pou punaises et puces c'était grave et aussi en embrasant kambou au col trop large avec les indépendances le parti unique le comité tous les autres on avait vannes et les malinkés à leur coller des vertiges ils en avaient plein la gorge et le nez mais nul ne le disait et on ne savait pas comment en sortir sur ces grumes ans et résignation pharma débarqua femme a présenté comme le dernier dubaï à un courageux un diseur de vérité que les toubabs avait spolié de la chefferie ils venaient du sud rentrer définitivement au village pour être le président du comité ainsi en décidèrent dia moreau et balla c'était normal tout le worodougou n'était-il pas sa propriété diamou roues et balla avait en fumée le village d'autres plus insolente parole leur maître s'entraîner à tordre le cou aux indépendances au parti unique et à tous les comités il y avait de la contre-révolution de l'authentic réaction à taux global a estimé le comité et son président et ils le crient hier le sous-préfet le secrétaire général le gouverneur le parti unique exultèrent depuis des mois il n'y avait plus de réactionnaire à dépister et dégainent leurs prêts a décapité dans le nil horribles contre révolutionnaire c'était une vraie un confortable et très dangereuse situation mais en était malinkés et le malin qu'elle restait jamais sur une selle rives on s'est tous fait a lancé les invectives les plus outrageante contre la réaction mais on s'empressait de rechausser les babouches pour arriver juste à l'heure du repas chez femme a en s'asseyaient autour de la calebasse communes et entre deux gorgées bien appuyé et pimenté ont regretté les paroles dites devant les autres on maudit c'est le parti unique et les indépendances d'y amouroux et ballades déchaîné jurés et vilipendait les bâtards du comité femmes à aller leur hurler leur vérité quand même le parti unique regret et avalerait le président du comité un fils d'esclave où at-on vu un fils d'esclave commandez vite on retourner dans le palabre du comité pour rapporter écoutez le président exposé fama il ne faisait pas plus look un duvet d'anus de poules avoriaz un margouillat vautours un vide et un stérile un réactionnaire un contre révolutionnaire au nom d'allah tout au global à sauf balle à tous le l'on excepté les heures de prières de la longue journée de mardi faisait la navette entre les deux palabres c'est pourquoi les deux nuits de lundi et de mardi fama ne ferme pas les yeux mercredi le soleil arrive à aux points de la 3ème prière on la courbe à ensemble la moitié des villageois s'étaient joints aux palabres de femmes a enfin ils arrivèrent ceux du comité le griot en tête babou et les 11 autres membres du comité avec le délégué du sous-préfet suivie par l'autre moitié des villageois et les gens se répandirent sur les nattes étendu autour des cases femme a le président babou et le délégué du sous préfet et au droit à des chaises longues les deux grilles odiah moreau et le griot du comité se tient debout au milieu de l'assemblée les griots d'abord il préface r le palabre par l'air de fraternité d'humanisme dallas de la recherche ser et de tous les petits grains de la vérité et pour rassurer la population en chômage saisonnier craignant d'être frustré d'un spectacle de qualité les griots annoncèrent que le palabre serait long deux ou trois nuit s'il le fallait pour creuser et tirer la vérité pure et blanche comme une pépite d'or les griots passèrent l'opa lab ababou l'assemblée se mit à bruire dès l'ouverture de la bouche tout le conciliateur le rusé fils d'esclave se révéla le président du comité avancé dans le dire comme on marche dans un marais en tâtant en promenant des regards interrogatifs recueillant quelques approbation avant de lâcher un autre mot dans sa bouche femmes à 2,20 un grand militant l'intéressé même fut interloqué par l'affirmation le parti était la lutte conte la colonisation et femmes avaient défié les toubabs à taux global a même ne l'avait-on pas spolier de la chefferie et dans le sud ensuite et un flot de flat eric ou là on passa le palabre afamah il ne se fatigue un même pas à prononcer trois mots un doumbia convenait gens ne pouvaient pas sans se rapetissent et parlé longuement au pied d'un comité de fils d'esclave et dia mort ou son griot était là le griot dans la parole était dans le propre de ça tu as tu comme un doux bouya dans la guerre en poisson dans l'eau en oiseaux dans le ciel il accumula les dires sans respirer sans que jamais un ressemble à l'autre la quatrième prière arriva trop tôt mais on la courbe à très scrupuleusement puis la nuit suivi les grands feux de bois illuminèrent et autour le pas la bosse organisa jusqu'au premier chant du coq on se retrouva dans l'après midi de jeudi et tous le soirs les voies tonnerre devant un public amusé et attentif femme a sommeillé enfin la vérité éclate à le délégué étrangers hillion rang des coutumes alain t se répétait se redresser et rebondissait un conciliante toujours indomptables comme le sexe d'un âne enragé fama devait c'était les consignes il ne voulait pas en entendre d'autres s'agenouillaient au pied du président du comité frotter à terre les lèvres et se dédire juré sur le coran ouvert la fidélité aux partis au comité et à la révolution juré sur le coran ouvert que jamais temps dans l'ombre que dans le jour jamais il entretiendrait dans son coeur la haine la médisance aux comptes le comité et le parti disons vrai cela était aussi un faisable comment j'ai les crocs d'un chien vos propositions cria diamant ou ne ressemble pas à votre accord le délégué ouvrit la bouche de celui ci se surprend sur la pelouse d'une vipère il ne sut pas qu'aux gros du remue-ménage cantou déborda des bras des villageois les anciens eurent peur a laissé se continuer il y aurait plus d'humanisme de fraternité plus d' équilibre des forces invisibles qui sauve le village mais la haine entre les familles la colère des génies la malédiction des mannes il fallait s'arranger détourner les malheurs de la division le conseil secret des anciens palabras évoqua les choses anciennes femmes à resterait le chef coutumier baboo le président officiel et les choses futur aussi les soleils des indépendances et du parti unique passeront comme les soleils de samory les toubabs alors que les bas boulet doumbouya resteront toujours à taux global a aussitôt après ces mots pour les habitants exténué défait par le longs palabres les partisans du comité et ce même du comité les partisans de fama et femmes à diamou roues et bal à tous ça genouillères pouces supplièrent le délégué se leva et bailly après un silence il accepta que fama entra au comité [Musique] le contentement du petit oiseau sur la branche au réveil du soleil et les traquant femmes à cette nuit là bas il sombra dans le sommeil d'un homme qui s'est cassé le court tong sang ronfler puce ou punaises et cancre las le vert et s'acharnèrent sur tout son corps même sur les oreilles crevin il ne bougea pas jusqu'au premier chant du coq la bâtardise n'avait pas gagné et aux gobelins merci merci à tous [Musique] pourquoi les malinkés fait il les funérailles du 40e jour d'un intérêt parce que 40 jours exactement après la sépulture les morses wav l'arrivant mais ne lui cède une place et des braz hospitalier dé s'ils sont tous ivres de sang donc rien ne peut être plus bénéfique pour le partant que de tuer de beaucoup tué à l'occasion du 40e jour amont les soleils des indépendances et les soleils décolonisation le 40ème jour d'un grand malin tu es faisait déferler des marigots de sang mais maintenant avec le parti unique l'indépendance le manque les famines et les épidémies aux funérailles des plus grands enterré on tue au mieux un bouc et quelle sorte de boue très souvent un bourg famélique gouttes en moins de sens qu'une par aps et quelle qualité de sang du sang aussi pauvre que les menstrues d'une vieille fille sèche c'était pour ces raisons que balla et mais affirmé que tous les morts des soleils des indépendances vivait au céret dans l'au-delà pour avoir été pouces mal accueillis par leurs devanciers fama baladia mourou avait décidé de préparer pour le cousin décédé un au delà large et pour cela il remontait aux grandes traditions émirats la tâche au milieu de la cour des doubles ya le matin des funérailles du 40e jour quatre bleus nous disons bien quatre bus donc exactement 4 à tuer un carnage une ripaille aussi viandes et bouleversa toute la province elle ne tolérerait pas d'absence et tous les habitants du roudourou qu'il devait et qui ne le devaient pas après tout les dons bruit a été les chefs et kg pouvait et qu'ils ne le pouvaient pas en cette saison morte ce le vert et marchèrent sur togo balla pour les funérailles du 40e jour de l'enterrer la silla le défunt cousin de femmes de tous les horizons du village surgir les étrangers les malinkés des villages environnants rien ne manquait au marche d'un chasseur ancien griot femmes filles et jeunes garçons labrousse bruit sert comme écrasé par deux compacts troupeau d'éléphants et cela pendant un soleil entier du lever au coucher et même dans la nuit on dénombra quelques entrées et puis toute la matinée du lendemain jusqu'à midi la mise en place commencent à après la 2e prière les marabouts des prestigieux il y avait même de l adie s'accroupir au centre à un pas des plats et se mirent à feu y étaient des papiers jaunis fa matrona à droite du plus grand de tous les marabouts le plus haut avec le plus grand tueur ben dhia mourou c'est un derrière son maître les balles à avait été reléguée loin juste avant la marmaille et les chiens parce que le féticheur était un paf tous attendaient pour ouvrir deux grandes funérailles dignes d'un don royal 4e au centre tout brillant tout le gland d'innombrables calebasse et pau d'aliments cuits et autour des gens assis jusque dans les cours environnantes et à la baie et ferry la marmaille et la meute des chiens pelé le grand marabout fille commander le silence par le griot puis lança un gros bisou blaye et chantonnay les versets et les rares privilégiés qui connaissait le coran dans les textes lu hao touvois le gros des assisses ces raids et en dire les oreilles mais toutes les mains fut rejointe est portée à hauteur des francs lui sans au soleil finissant tous commune hier dans une seule prière pour obtenir la clémence dallas et des manettes des aïeux le grand marabout coupe à la prière et passa le palabre aux griots tous les griots fürth abondant est intarissable même les plus minables car chacun connaissait la généalogie et les exploits des doubles ou ya dans le worodougou vingt longs moments des présents chaque grande famille en offrit merci merci à tous puis ce fut un cri est un signe du marabout tous les solides et die hard ou se levèrent il se dégagèrent et se débarrassèrent des boubous torse nu il s'adaptait robots et avant qu'on les dit il les maîtrisait relais hier les firent tomber et les égorgeurs le grand couteau flamboyant fouillèrent d'épaisseur et tant cher tout cela dans le sang mais le sang vous ne le savez pas parce que vous n'êtes pas malick et le sang est prodigieux criard et enivrant de loin de très loin les oiseaux le voit flamboyer les morts l'entendent et il en livre les veaux le sang qui coule est une fille un double qui s'échappe et son soupir inaudible pour nous remplit d'univers et réveille les morts quatre bus vers ce trop de sang l'enchaînement ne pouvait être endigué les chiens sans rage air et chargeurs demeuré jusqu'ici peu et attentif derrière la marmaille ils avaient été les premiers à d'un pont au combat tous les mâles étaient assis se précipitèrent s'organisèrent et à coups de bâtons se défendirent avec succès contre les crocs de la meute avec succès malgré l'intrépidité des chiens parce que les hommes était de beaucoup plus nombreux des fers aux foulées vaincu la discorde et la grêle ravagèrent les pas beaux ils s'entre déchirent r les oreilles et centre arrachèrent les yeux dans des aboiements d'enfer la deuxième victoire des hommes furent emportés sur les charognards éveillé et affolés par le sang les charognards tapis certes où le ciel est assombri le jour dans des cris sauvages aide les éperviers se détacher par escadrille wreck teisseire en avant et par des pics et audacieux j'étais relais froid et la panique dans la cérémonie les malinkés contre la terre et vin qu'ils les oiseaux des faits se répandirent s'éloignèrent et disparurent dans l'eau profond qu'une vraie du ciel il fallait en finir parce que les gens étaient épuisés et le déchaînement des animaux et des choses devenaient impétueux dans la fièvre et le broie les calebasses et les cuvettes de nourriture furent rapidement au dc billet est enlevée puis les hommes rompirent le cercle se dispersèrent s'éloignèrent après eux il ne resta que les issers et les entrailles abandonné à la marmaille aussitôt après la dernière prière l'étang bâtir dans la cour des doumbouya ils bâtirent toute la nuit [Musique] ce furent des funérailles pleinement réussi mais pourquoi diamou raw et balla les jours suivants temps dans des palabres et des palabres on décomptait les innombrables signe de funérailles exaucé un idiot un enfant euros comme ça les aurait relevé un signe incontestable était ce rassemblement de malinkés plus nombreux que ce que force le parti unique à danser à l'arrivée de son président d'ailleurs comme toujours en pareille occasion tous les présents n'étaient pas des hommes des génies des maths des aïeux et même des animaux avaient profité de ce rassemblement et s'étaient ajoutés à la foule balla qui avait été à l'occasion un objet périphériques et avait été placée juste avant les chiens et les enfants en savait quelque chose 18 au moins des gens qui l'ont dépassé flairé le génie le monde l'animal ou le diable un autre signe incontestable aussi le bouleversement de l'univers des bousculades pareil de bêtes et d'hommes pour du sang de funérailles bâle a en appelé connu tout le long de sa longue vie trois seulement et diamant rouge 4 donc on pouvait admettre que depuis les soleils de samory dans le worodougou il y eut trois ou quatre funérailles aussi réussie que celle du défunt cousin lassina donc inutile de fatigue et la bouche pour le dire le sacrifice avait été acceptée totalement exaucé heureux étaient tous les morts surtout les aïeux de femme a déjà l'enterrer lassina les avaient rejoints jamais plus on double nerja derrière les cases ne hantera les rênes inquiète de la place qui assure le calme de l'intérieur [Musique] un voyage s'est tu dis on consulte le sorcier le marabout en chercher l'eau sort du voyage qui se dégage favorable au maléfique favorable on jette le sacrifice de deux collaborent au mann et au génie pour les remercier maléfique on renonce mais si renoncer et un faisable et il se présente de pareil voyage on patiente on court chez le marabout le sorcier des sacrifices adoucissent le mauvais sort et même décoré mais leclerc le droit le sang reste le sans ennui s'est arrêtée un voyage marqué par le mauvais sens un sacrifice qui dira s'il sera oui ou non accepter maintenant dites le moi le voyage de fama dans la capitale d'une lune disait-il son retour près de salimata près de ses amis et connaissances pour leur apprendre son désir de vivre définitivement à togo bas là pour arranger ses affaires vraiment dites le moi cela était-il vraiment vraiment nécessaire non et non or le voyage de femmes à porter un sort très maléfique seules de très bons sacrifice pouvait l'adoucir et pour le détourner de très durs sacrifices balala 10010 fama a durci les oreilles il lui fallait partir une certaine crânerie nous conduit à notre perte qu'allait-il chercher ailleurs il avait sous ses mains à ses pieds à taux global à l'honneur membres du comité et chefs coutumiers l'argent balla et djamourou payer et le mariage une jeune femme féconde en mariam pourquoi tourner le dos à tout cela pour marcher un mauvais vrillage personne ne peut aller en dehors de la voie de son destin balla était ahuris après tout femme tu as beau être le dernier des dons brouilla le maître de tout le worodougou tu ne valait que le petit-fils de bala ignorants comme tu étais des vieilles choses est aussi aveugle et sourd dans le monde invisible des mânes et des génies kobal alité dans notre monde tu te devais d'écouter le vieux féticheur un voyage au mauvais sort c'est un accident grave est stupide où une terrible maladie ou la mort ou une intrigue fama voulait partir et ils partiraient et bien qu'il fut assurée de l'accueil du chien que salimata servirait à marianne il accepta que celle ci fut du voyage une vraie entreprise de posséder ils quittèrent togo balla à pied pour la ville frontière où c'était jour de marché et où s'arrêter les talons du sud deux porteurs et mariam en tête fama au milieu des accompagnateurs tous les vieux s'étaient déplacés baffie dia moreau balle à celui ci s'arrêta après la dernière case du village m et fils jette à bandol là il ne connaît tous les dessous de ce monde et des soleils des indépendances un jour c'est déjà long ça contient beaucoup de choses que dire du nul et je suis trop vieux la vie des hommes sous les olé des indépendances ne réside plus que dans l'aube ou de nori cullers prête à prendre l'envol si je mourais mes balles à tuer encore très loin de la mort et ortaffa main et c'est moi balle et le soleil commence à monter à qui une fois tu as dit s'être entendu avec la mort sur un terme donc si je mourais avant ton retour je dirais beaucoup de bien de toi a déjà eu sous terre je serai pourquoi un manne très favorable et à ton tour tu n'oublierai jamais de mais j'étais dedans en temps utile on se dit qu la plante dans tous les cas ne restait jamais loin des tombes des aïeux un boubou yade descendants de souleymane nos pouces ne prospère ne fleurit et ne fructifie caporaux bala ajoutons qu'après le départ des voyageurs le soleil monte à rapidement et cela ne s'était jamais vu en plein harmattan dans le worodougou des nuages assombrir le ciel vers le milieu du jour des tonnerres grondair et moururent du côté où était parti fama en vérité un maléfique déplacement [Musique] 1 enfants [Musique] du train ils débarquèrent dans la capitale fama et sa jeune femme marianne la veuve du défunt lacina le matin était couleurs petit mil et moite un matin de sous bois après une nuit d'orage il récupère les bagages toutes les cales aux bases de mariam avaient été piétinés écrasé un taxi les emporta pour la première fois elle posait les fesses sur le cou ceint d'une voiture et les dépose à mariam chez des amis fama devant la porte ouest de la concession salimata un allégresse aux rues à la rencontre et salua femme a dans l'après-midi un palabres fut convoqué est assis mariam 20 on la présente à à saly matin voilà sa coépouse considère la commune petite soeur les gens du village et l'ont envoyé pour t'aider dans ton grand et magnifique travail accompli au service du mari femme à salimata avait salué avec joie la coépouse est expliqué avec rancoeur esprit qu'une famille avec une seule femme était comme un escabeau un pied ou un homme à une jambe ça ne tient qu'en appuyant sur un étranger il ne fallait pas la croire car c'est en dressage est dur est exactement neuf jours fama et ces deux femmes occupaient la petite pièce avec un seul lit de bambou un seul tard à la femme celle à qui appartenait la nuit montaient à côté du mari l'autre se recroqueviller sur une natte au pied du tara mais salimata pour être féconde on se le rappelle ne saute eolite après avoir longuement prier brûler des feuilles s'être enduit de beurre et avoir dansé dansé jusqu'à en perdre le souffle et la raison sorcellerie prière et danses étaient gênés marianne gênait et elle était moqueuse comme une mouche et disait ton féconde en une souris à chaque réveil salimata regarder le ventre de l'aquip use et le ventre semblé pousser oui ils poussaient salimata devint jalouse puis folle et un matin elle explosa injuria les deux coépouses comme deux poules ce assaillir sadly perd l'une au panier de l'autre mariam voulait coûte que coûte tombait le panier de salimata afin que chacun vit la matrice à dati née d'une stérile et salimata dévêtir mariam afin que tout le monde reconnu la chose pour y est incommensurable d'une on les sépare à les injures fusent air toute la journée même la nuit une nuit qui appartenait à marianne après les prières en et eni et on se couche à mais malheureusement le tard à grincer avez vous déjà couché sur un terrain il grince jeun comme si vous rouliez dans les feuilles mortes d'un sous bois en plein d'armes attend donc dans les ténèbres quand marianne et femmes accouchent r le tara grèce salimata hurla le tassement diable trépigne à se précipita et les rejoigne au lit il s'ensuivit une lutte dans les ténèbres combat de silures dans les franges on allume à samedi matin se précipita dehors revint en pointant en coutelas et en hurlant je suis dans gablé le grincement diable mariam se réfugier derrière le tara fama et les voisins accourus maîtrisèrent la posséder les deux femmes du recoucher le reste de la nuit à même le plancher chacune sur une natte il en fut toujours ainsi les nuits suivantes car salimata ne voulait pas ne pouvait pas monter même après des exercices femme à la crise pas l'effrayer et surtout leuthard a grincé est le grincement déchirer les oreilles brûler les yeux piquent et son esprit et quand la nuit appartenait à marianne il y avait toujours le même grassement du tara qui le dit les allures les à courir chercher le couteau à vouloir tuer tout ce qui se passait entre marianne et salimata avait été pourtant bien prévisible on ne rassemble pas des oiseaux quand on craint le bruit des ailes et les soucis qui chauffe et fama avait été bien mérité ils étaient les singles mouche qui forcément harcèle celui qui a réuni un troupeau de crapauds femmes à penser que tout allait finir par s'arranger même la gappe mason et le crapaud finissent par se leurrer quand on les enferme dans une même case et pourquoi par maria mesalles et matin du ctu et il ne fallait pas s'en préoccuper mais s'éloigner de la maison le plus longtemps possible dans la journée n'écouter personne ignorer les querelles les cris et les explications et la situation en côte d ébène offrait à femme a les moyens de suivre cette règle de sagesse le pays couverts une insurrection et nuit et jour femmes accourent et de palabres en palabres les bruits les plus invraisemblables et les plus contradictoires se chuchotait d'oreilles à oreille ont parlé de complot de grève d'assassinats politiques femme a exulté il rendait visite à ses anciens amis politiques ses compagnons de l'époque anticolonialiste ceci ne dissimulaient plus leur soucis ils avaient tous peur femme a aimé les entrants de dire que tout pouvait tomber sur le pays d'un instant à l'autre les incendies le désordre de la famine et la mort est au fond femme a souhaité tout cela à la fois et d'ailleurs après réflexion il lui paru impossible que tous ces malheurs ne tombe à spa qu'ils ne vendent pas balayer les pouvoirs d illégitime et des fils d'esclave oui toute ombre est inévitable pour la raison simple que les républiques des soleils des indépendances n'avait pas prévu des institutions comme les fétiches où les sorciers pour parer les malheurs dans toute l'afrique d'avant les soleils des indépendances les malheurs du village ce prévenait par des sacrifices on se souciait de deviner de dévoiler l'avenir trompeur qui dit que l'avenir reste et dissimulé comme un fauve au tapis dans le four et rien n'arrive sans annoncer la pluie averti par les vents les ombres et les éclairs la terre qu'elle va frapper la mort par les rêves l'homme qui doit finir les malinkés duo roues du goût le savez bien et quel village et malinkés n'avait pas ses propres de 20 togo bas la capitale de tulou au roudourou entretenez de zorap une et yen et un serpent bois la plus âgée des hyènes des montagnes du corps ou d'où on l'appelait respectueusement l'ancien hurlait armand dans les nuits de taux global à tout le village femmes hommes et enfants reconnaissait la raucité et la fourniture hurlements et dès que l'ancien lyonnais elle commençait généralement avant le coucher du soleil poux se taisait même les chiens les vieux du village comptait sur les doigts les ou lit elle ne partait de la montagne descendait s'approchait et s'approchait entrée dans le village parle au nord du côté du fromager pas ces concessions et cases et s'arrêter au pied du baobab la hurlait hurlait fouiller le sol se vit du lait et se taisait on lui égorgé une chèvre ou un chien l'ancien la paix et disparaissaient dans la nuit silencieuse la vie et les bruits du village repartez les vieux du village bâle a en tête se réunissaient interpréter le message décidé les offrandes qu'est les sacrifices et le serpent aussi âgé que l'ancien aussi gros que le coude un taurillon 20 pas de longueur on l'appelait le révérend du marigot du marigot parce que les matins et les soirs frais il se réchauffer en travers de la piste du marigot les passants le saluer et l'enjamber les ménagères l'utilisaient comme ses choix les enfants comme siège souvent ils se promenaient derrière les cases mais jamais nui ou jours art matin ou hivernage il ne passait les portes du village sauf quand il avait un message à l'avenir malheureux a dévoilé un grand sacrifice a indiqué alors le serpent partait du marigot droits sur taux global a filé comme un orage les herbes sont couchées sous son passage il franchissait les portes du village contourner case et concessions faisait le tour de baobab est ce le vais tout essoufflé touba vent dans le creux de l'arbre la nouvelle parcours et le village et le teint retentissaient ou voyez ton le coup malienne le serpent enroulé de 20 de la république d ébène nulle part il demeurait bien connu que les dirigeants des soleils des indépendances consulter très souvent nos marabouts le sorcier elle devint mais pour qui le faisait qui et pourquoi fama pouvait répondre il le savait ce n'était jamais pour la communauté jamais pour le pays il consultait toujours les sorciers pour eux mêmes pour affermir leur pouvoir augmenter leur force j'étais un mauvais sort à leurs ennemis et les malheurs annoncé devait d'arrivée sûrement il se déclencherait une des ses nuits et souffle et sans l'adoucissement est l'obstacle que seuls les bons sacrifice peuvent produire ou dressés et les événements parures les premiers jours donné raison à femmes à des slogans anti-gouvernementaux apparurent sur les murs de la capitale d ordre de grève circulait une nuit une bombe éclate à des incendies salut mère d'un des poudrières environnantes avec ou sans sacrifice avec housse aryenne le régime entrepris de conjurer le sort le président et le parti unique et primaire de ministres des députés et trois conseillers furent ceinture est en pleine rue conduit à l'aérodrome j'étais dans des avions est expulsé un conseil des ministres extraordinaire fut convoqué délibéra tout l'après-midi et se termina par un grand festin à l'issue duquel quatre ministres furent appréhendés sur le perron du palais ceinturée mais notez et conduit en prison tout cela constituait des cris d'alarmé que fama aurait dû entendre il aurait dû retirer ses mains et pieds de la politique pour s'occuper des palabres de ces femmes la politique n'a mieux n'y aurait ni coeur en politique le vrai et le mensonge portait le même panier le juste et l'injuste marché de pair le bien et le mal s'achète ou se vendre au même prix fama continue a pourtant un marché de balles à blanc palabres à courir salué la nuit tel député del ministre tel conseiller un jour ce fut un d'abord un autre jour 2 et enfin trois anciens amis de femme a disparu sûrement appréhendé dans la nuit femmes à subodorer les premières fumées de l'incendié qui le menaçait il pouvait s'enfuir mais un goût boy à un vrai ne donne pas le dos aux dangers se vante at il il ne vit même pas que ce qu'on ceinturait ou qui disparaissait dans les nuits n'étaient pas du même cercle de en temps que lui ils s'étaient tous enrichis avec l'indépendance rouler en voiture dépensé des billets de banque comme des feuilles mortes ramassées par terres possédées parfois quatre ou cinq femmes qui sympathisait comme des brebis et faisait des enfants comme des souris femme a persisté et crier dans les palabres qu'il n'aurait de cesse tant que ses anciens amis ne serait pas libéré le coup galles a été pris au piège quelle raison à l'eau francolins de se jetter rouler à terre en disant qu'il ne passera pas la nuit à trop se mettre en peine pour d'autres le malheur qui n'était pas notre nous frappe fama n'avait pas voulu entendre le tonnerre il avait l'orage et la foudre une nuit alors qu'il sortait de la villa d'un ministre avec son ami bakary tous deux furent assaillis terrasse est saturé bousculés jusqu'à la présidence ou en les poussa dans les caves femme à y trouva tout ce qu'ils cherchaient comme eux il était arrêté il devait subir dans les caves du palais les premiers interrogatoires combien de nuits passera-t-il il ne le savait pas dans les caves les plafonniers rester constamment allumée et on ignorait quand venait le matin et quand commencé le soir on y subissaient la torture on y respire la puanteur le ventre et y siffler la fin la mort de temps en temps il retentissait et parfois aussi les éclats de rire ivre des jolies évident des bouteilles d'alcool race omanais des aïeux et par la volonté du tout puissant fama a survécu une nuit on le tire à des caves avec d'autres co détenus on les pousse à dans des camions au petit matin il arrivait aux grilles d'un camp où ils furent d'internés comment s'appelait ce camp il ne possédait pas de nom puisque les jolies eux mêmes ne le savais pas et c'était bien ainsi les choses qui ne peuvent pas être dit tu ne méritais pas de nom et ce camp ne saurait jamais être utile d'abord on y perdait la notion de la durée un matin on comptait qu'on y avait vécu depuis des années le soir on trouvait qu'on y était arrivé depuis des semaines seulement et cela parce qu'on y débarquer toujours presque mourant l'esprit empli de cauchemar les yeux clos les oreilles sourdes puis on est passé des jours plus longue des mois et des saisons plus courte que des semelles en pleine nuit le soleil a éclaté en plein jour la lune apparaissait on ne réussissait pas dormir la nuit et toute la journée on tituber ivre de sommeil ce camp était la nuit et la mort la mort et la nuit tous y exécuter la nuit le ravitaillement les départs les arrivées les enterrements une nuit on appela femme a et on le fit monter avec quelques autres détenus dans un camion au petit matin ils s'arrêtèrent devant une caserne bâti à l'entrée d'une ville là on voyait la vie on entendait le matin ils débarquèrent et ans conduisait femme a dans une cellule où était couché deux autres détenus ceci lui apprirent qu'il venait d'arriver leur la caserne dôme à yako ou saint-uze l affaire et aurait lieu le jugement les juges d'instruction était sur place et à l'oeuvre le lendemain matin au plus tard fama devrait être entendu la justice et est recluse dans une vaste villa entourée d'un jardin juges greffiers d'aptilo y travailler et y vivait sous la garde de tirailleurs en fit asseoir fama aux milliers de degas est à un pas de la table du juge d'instruction celui-ci négligemment à billets fraîchement lavés et raser les sentait la savonnette les fleurs de tam à se ronger les ongles très distinctif de foule avons réduit les droits lèvres minces il compulse avec nonchalance le dossier comme si femme n'existait pas dissimulation ou affectation dissimulation puisqu'il faire mal au dossier avec précipitation leva les yeux et comme s'ils se reprocher les minutes perdues interrogea rapidement et d'un ton ferme terminant chaque question par aller vite femme a répondu il était bien femmes à dubaï allait vers 1905 à taux global 1 euro du goût des rapports avec nakouh qui était du pur nakouh aller vite fama connaissait nakouh l'ancien ministre considéré comme la tête du complot malinkés comme femme a diplômé de paris et comme tous les jeunes malades débarquant de france impoli a flairé comme un bouc les fesses de sa maman arrogant comme le sexe d'un an circoncis oui fama le connaissait bien mais comment sans jamais réussir à lui serrer la main femme a par deux fois s'était aventuré schena coup dans l'espoir d'être gratifié au moins du prix de deux noix de cola comme le mérite un légitime doumbouya une première fois au ministère après qu'on lui eut demandé son nom prénom profession et adresse un margouillat de peloton lui indiqua que les affaires personnelles se disait se régler au domicile femme à un soir marcha et arriva au domicile à l'étagé du bungalow le jeune ministre n'accouche appuyer une femme et les éclats de rire résonné jusque dans le jardin et puis la femme et le juge d'instruction coupa net indiqua à femmes à la salle de torture où on savait faire parler personne ne voulait connaître comme en à coude tournée ou savourer les femmes femmes à devait s'expliquer au sujet du rêve et du sacrifice du rêve pour lequel bas prix avait été un émissaire et bakary avait déjà parlé fama devait confirmer aller vite oui c'était vrai fama avait rêvé avait été aveuglé une nuit par un de ses rêves qui vous restent dans les yeux toute la vie qui vous marque comme le jour de votre circoncision un rêve concernant nakouh oui il en avait parlé à bas paris à ce rêve qui fumaient la mort et la peur d'abord une atmosphère le spectacle d'un après-midi de feux de brousse d'armes attend des reptiles serpents ou caïman pharma ne le distinguait pas mais tous avaient des écailles escaladée en se tortillant une autre termitière tapissé extérieurement de mousse verdâtre la termitière contenait la capitale de la côte d ébène de la crête de la termitière dur bord du gouffre qui était une sorte de tombeau vide et par des hyènes se voyait au fond toute la ville grouillante balayée par la flamme est étrangement dans les rues apparaît c'est çà et là parmi les cases à ruines des murs récemment bâti comment ont-ils pu être épargnées par la fumée au loin deux cases continuer de fumer comme deux pour lambres au pied des morts et où sont-ils les morts comme écho aux interrogations de femmes a ainsi noté fall a surgi de la fumée et à sauter à terre ils avaient l'église de flamme de flamme qui vacille est il poursuivait les hommes tout nu et musclé mais fou dépôt vente qui se débandent est le siège en rattraper un le grimper comme le chimiste sa chienne se délecter puis re pu sauter un port à terre rebondissait pour chasser ça traînait était toujours couler le flammes et rattraper un autre homme et le montet louange à allah le singe répugnant épargna femmes mais de la fumée lointaine où il disparut émergea une femme entièrement voilée de blanc sauf les pieds et les mains noires du noir luisant du plumage de corbeaux femme a épouvanté d'état là mais il fut vite rejoint par la femme vient du têt la famille méthon moi l'étape moi de vouloir du mal ne m'assimile pas celui-là poursuivi tel emprunt avec mépris du singe p1 désignant l'endroit où le monstre avait disparu j'ai à te dire concernant la cour ajoute adèle toujours terrorisé femme a objecté qu'il ne fréquente et parakou et puis pourquoi moi femme pourquoi à moi alors que makoun ne manque pas d'un team dans la ville et puis la femme interdite femme a passé une porte une deuxième porte une troisième porte puis s'arrêter devant la quatrième ce n'est pas chercher une case mais c'est chercher une qualité d'homme et elle poursuivi deanna coude et tué un peuvent à sacrifices et elle indiqua beaucoup d'autres offrandes mais elle murmuré seebach coffin malentendu bas et elle disparut femmes à la recherche à convainc elles avaient définitivement disparu il persista et en fouillant il découvrit un homme nu comme un tronc de baobab économique comme un fuseau genou à terre balayant le sable de ses lèvres et femmes a inspiré s'écria j'ai compris tout entendu une intrigue dont morgan à coups d honneur à la ville messina coutu le sacrifice et s'en sortira plus tard est beaucoup plus tard les intrigants seront démasqués et honni à ces mots la femme voilée ressurgit elle était éclatante de joie oui tu as compris dit elle tout entendu mais rappelle toi qu'un malheur quel que soit l'on atteint les mouz et jamais et quand j'ai jamais lointain bien au contraire bien le contraire fama se réveilla pétrifié et dans ses oreilles continuèrent de retentir les est au contraire un rêve de cette fatalité funeste et pouvait dans le ter demande afamah le juge de la tête convainquent non alors en lui femmes à ne voulait plus retourner seule chaîne à coup il entretint bakary qui d'ailleurs objecta c'est un devoir pour nous de leur l'avertir mais je sais que c'est parfaitement inutiles ces jeunes gens débarquer de l'au delà des mers ne pense plus comme des et lui d'un silence était ce parce qu'obama était le premier interrogé de la journée ou parce qu'il reconnaissait le premier une participation effective aux complots tous greffiers policiers dactylographe médusés et coup dès le juge coupal le silence fama avait t'il autre chose a déclaré rien on le menace a vraiment rien le dactylo fille clac et et puis crépitent et la chine fama racontant une deuxième fois son rêve le juge traduisait en français répéter les phrases buté sur des mots tout en rongeant les ongles de sa main droite il inculpe afamah de participation à un complot tendant à assassiner le président et à renverser la république de la côte d ébène qu'en pharma se leva pour partir le juge lui demanda pourquoi il n'avait pas couru au réveil raconter son rêve à une personnalité importante du régime le président ou le secrétaire général du parti unique femme à ne répondit pas dommage dommage s'écria le juge on l'aurait interpréter et suite été utile beaucoup de malheurs survenus depuis re et éviter peut-être l'ignorent tu ajoute-t-il le ministre n'a coup s'est pendu dans sa cellule après avoir tous confessé [Musique] femme a attendu des semaines convainc les informer de la date du jugement il se voyait déjà acquitté purement et simplement acquitté que les reprochés dont il avait rêvé elle pouvait jurer sur le coran même il n'avait fait que cela il n'avait participé à aucune autre action les rêves de femmes ain appartenaient à lui femmes à il pouvait en disposer comme il voulait d'ailleurs qui auparavant lui avait dit qu'il était tenu de raconter ses rêves aux dirigeants des soleils des indépendances et imaginait-on femme a le dernier des doumbouya sera baissé jusqu'à aller trouver le secrétaire général du parti et lui dire voilà secrétaire hier soir rien que le pense et femmes à se fâcher il n'aimait pas le secrétaire général du parti bâtard de bâtardise mahler des soleils des indépendances mais attention aux femmes à le jour du jugement il faut contrôler dire les choses posément dire par exemple que tu ne savais pas qu'il fallait raconter aux secrétaires l'élève funeste ou bien prétendre que tu avait chargé le minnesota coup de le rapporter dans tous les cas la coup ne pouvais pas te contredire il était mort et enterré fama murmurait ainsi des jours et des nuits ce qui allait être sa défense il le murmurait encore lorsqu'un matin il fut convoqué chez le juge quand entre deux gardes ils y arrivent à une cinquantaine de détenus attendait le juge procéda à l'appel après il suffit d'apporter un autre dossier l'ouvrît cérémonieusement ai lu très attentivement en marquant scrupuleusement la ponctuation un exposé interminable plein d'articles et de dialogue fama et beaucoup d'autres ni quand et rien un gars de mâlain tfue chargé d'interpréter ce que le j'utilisais cet interprète improvisait devait être un malinké de l'autre côté du fleuve oubangui il avait un langage militaire avec des phrases courtes vous êtes tous des chapelles vous ne comprenez pas le français et vous avez voulu tuer le président voilà ce que le juge a dit il a dit que le jugement était fait voilà vous qui êtes ici vous êtes de mauvais malinkés des bâtards un pur de chez nous ne participe à un complot maintenant ouvrez vos oreilles de l'epo reid et fermez vos gueules danubienne le juge va lire les peines que vous avez bien mérité voilà le juge donne à la liste des peines femme a été condamnée à 20 ans de réclusion criminelle les prisonniers furent ensuite reconduit dans les cellules et dès le lendemain fama commença sa vie de condamner 20 ans de réclusion pour un famas équivalait à une condamnation à perpétuité fama avait ce qu'il avait cherché il allait mourir à maya qu il serait intérêt à mailhac au sens revoir le worodougou sans revoir ça les matins tout cela était aussi clair que la paume de la grenouille on l'avait bien revenu les gens de l'indépendance ne connaissent ni la vérité ni l'honneur ils sont capables de tout même de fermer l'oeil sur une abeille on lui avait dit que là où les quatre en perse la coque des oeufs de pintade ce n'est pas un lieu où le mouton allen peut aller il s'est engagé il a voulu terrasser les soleils des indépendances il a été vaincu il ne ressemblait maintenant qu'à une et yen est tombé dans un puits il ne lui restait à attendre que de la volonté d'allah que de la volonté de la mort parfois ils pensaient à la force qui le sollicitaient qui l'a amené à montrer des démérité de verges dan qui l'ont plongé dans ce trou lui fama n'avait pas écouté les paroles prophétiques du grand sorcier balla lors du départ de taux global à cela lui paraissait maintenant incroyable et c'était pourtant frais pourquoi tant d'entêtement parce que fama suivait son destin les paroles de bala n'ont pas été écoutés parce qu'elle applique aux chais sur le fond des oreilles d'un homme sollicité par son destin le destin prescrit aux derniers doumbouya femme a maintenant il n'y a plus de doute tu es le dernier doumbouya c'est une vérité net comme une aile d'une plaine dans une nuit d'art matin tu es la dernière goutte du grand fleuve qui se perd et sèche dans le désert cela a été dit et écrit des siècles avant toi accepte son sort tu vas mourir à mailhac au lait doumbouya finiront à mailhac haut et non à taux global à long mur et il est courageusement il pensait à autre chose fama n'était pas astreints aux travaux pénibles mais son état de santé se dégrade et des verts de guinée poussé dans les genoux et sous les aisselles constamment île des seychelles ses yeux s'enfoncer dans des orbites plus profonde que des tombes c'est aurait décharné s'élargissait et c'est proéminente comme chez aller pour reed aux aguets les lèvres s'amincissent est et se rétrécissait les cheveux se raréfier [Musique] malgré cet état chaque matin il se réveiller avant lé chant du coq pour se livrer à la bonne prière du matin qui prépare la rencontre avec les mânes des ancêtres et le dernier jugement dalle au fond il était heureux de finir il regrettait très peu de choses et parmi celles ci il y avait sali matin fama s'était toujours dit que quelques instants avant sa mort il aurait convoqué salimata l'aurait priée de pardonner les années de malheur qui lui avait fait vivre il ne le pourra pas les à la connaissait les bonnes intentions allah dit que le paradis de la femme se gagner dans la fumée de l'accomplissement du devoir de son mari alors à la pouvait prévoir pour salimata une place de repos dans son paradis éternel elle avait fait son devoir plus que son devoir elle avait souffert pour les autres et pour femmes à 100 le bénéfice est la récompense dallas femmes a déploré aussi que ses restes ne reposerait pas dans les terres du worodougou ils s'apercevaient maintenant des mensonges de tous les marabouts de tous les sorciers de vin qui constamment lui avait prédit que son sort était d'arriver un mater taux global à un grand chef accompagné d'un cortège étonnant avant de mourir dans nos corps ou du goût avant d'être enterré dans le cimetière où repose et ses aïeux tout cela s'avérait faux à moins que les possibilités du tout-puissant était ça encore [Musique] des journées entières passées à ruminer des idées aussi triste sur la mort remplissez les lui de fama de rêve terrible un matin quelques instants avant le réveil un songe éclata devant ses yeux et qu'elle songe onu cria regarder toi regarde toi tu es vivant et fort tu es grand accueillir toi à califourchon sur un coursier blanc femmes à voler plutôt la vie qu'est boubou plan au vent les trier et les prends d'or une escorte dévoué paré d'or l'honorait le flat est vrai doumbouya authentique le prince des toules oro dougoud le seul le grand le plus grand de tous au dessous fuyez un manque un désir quelque chose qui avait glissé à travers les doigts et est un show valent une femme famas courbât se pencha mais ne plus rien distinguer le manque filet comme le vent il était luisant comme la traîner de que d'un lointain feux de brousse à bride abattue femmes al poursuivait penney de le poursuivre et cela fuyait d'état les plus vite menacé de disparaître et sa disparition on se le disait laisserait l'univers orphelins avec le malheur de la sécheresse du coeur et pourtant fama exultait se pâmer de joie se disant la chose court à sa perte sur le chemin lacan solide comme un roc celui qui l'a papara et enivrait de joie fama éclata de rire d'un rire fou il récit fort qu il se réveilla et réveiller continua à s'esclaffer a pouffé jusqu'à [Musique] le matin et elle a le soleil au remplissait la cellule de tout son feu autour le pétillement assourdissant après un sommeil profond et à rire bruyant lors de la première prière avait passé il aurait été ridicule de se courber par un soleil aussi loin des éclats de rire des voix des sifflotements et des spas se faisait entendre derrière la porte intrigué femmes attendent ils oreilles toute la caserne vibrer bruisser du brouhaha de l'orage bas quand la forêt il voulu écouter on pousse à la porte l'ouvré des gardes présentèrent afamah en bouffant 9 un grand boubou une chéchia et des babouches l'oeuf aussi fama devait les revêtir immédiatement et suivre les gardes en s'habillant il constata qu'au milieu de la caserne sur la place d'armes des ouvriers et des soldats se dépêcher de donner les derniers coups de marteau à la tribune qu'ils avaient construite dans la nuit est d'aligner des chaises et des bancs des voitures étaient stationnées pêle-mêle derrière la caserne lorsque fama sans mal à avec les gardes ceci lui apprirent que depuis les premières lueurs du matin des voitures et des arrivées de toutes les provinces de la république tous les ministres secrétaires généraux députés conseillers économiques et généraux étaient déjà là mais ils ne purent en dire plus c'était déjà la place d'armes les gardes faire asseoir fama sur un banc parmi d'autres détenus derrière la tribune les griots et griottes les tam-tams les balafons les cornistes et les danseurs constituait une foule compacte et bigarrée des officiels arrivait choisissez des chaises et s'asseyait mais soudain les accents métalliques des griottes autant tire les cris des griots suivirent et ensemble tous les instruments de danse donnèrent alors le président oui le président de la république d ébène lui-même suivi de toutes les grandes personnalités du régime apparu le vacarme des cris et des tam tams poursuivie jusqu'au moment où il monta à la tribune et s'installa majestueusement à la place d'honneur le discours commence à le président parle à d'abord bus man tranquillement et avec cette voix sourde et convaincantes dont le président seul avait le secret il parle par là de la fraternité qui lient tous les noirs du l'humanisme de l'afrique de la bonté du coeur de l'africa il expliqua ce qui rendait doux et accueillant notre pays c'était l'oubli des offenses l'amour du prochain l'amour de notre pays fama n'en croyait pas son louis de temps en temps ils enfonçaient l'auriculaire dans ses oreilles pour les débouchés il se demandait constamment s'ils ne continuaient pas à rêver le président demandé aux détenus d'oublier le passé de le pardonner de ne penser qu'à l'avenir cet avenir que nous voulons tous radieux tous les prisonniers et libéré tous et tous immédiatement tous allaient entrer dans leurs biens pourquoi lui le président avait t-il pris cette décision pour des raisons très importante lui le président était la mère de la république et tous les citoyens en étaient les enfants la mère a le devoir d'être parfois dur avec les enfants la mère fait connaître la dureté de ces dureté lorsque les enfants vers ce parterre le plat de riz que la maman a préparé pour son amant et l'amant à lui le président était le développement économique du pays et le complot compromettait gravement cet avenir versé par terre c'est à venir une des raisons de cette libération décider en toute connaissance de cause était que la méchanceté la colère l'injustice l'impatience le mal et la vilenie tout comme la maladie sont un état provisoire alors que la bonté la douceur la justice et la patience sont comme la santé elles peuvent être permanentes les tensions politiques et la discorde installés dans le pays amenuisait l'audience internationale du président les investisseurs s'éloigner de nous les journaux supputer ma faim prochaine et des présidents des états voisins me faisais des affronts les anciens proverbe de nos aïeux restait toujours frais la plus belle harmonie ce n'est ni l'accord des tambours ni l'accord des kilos faune ni l'accord des trompettes c'est l'accord des hommes c'est pour réaliser l'entente dans le pays que tous les détenus étaient libérés tomtom et applaudissements repartir chaque détenu pouvait demander ce qu'il voulait le parti et le gouvernement l'accorderait les ex détenus malades seront soignés et s'il le faut envoyer en france ou en amérique dans les grands hôpitaux et centres de cure vive la république d ébène vive la réconciliation des choeurs les applaudissements les tam-tams et l'écrit saluèrent la fin du discours se poursuivirent et ne s'arrêtera plus le président se fit présentait ensuite à tous les libérer il les embrasse à l'un après l'autre est remis à chaque une épaisse liasse de billets de banque évidemment chaque embrassades était saluée par des cris des applaudissements et des thèmes temps puis le programme de la fête de la réconciliation fut annoncé ce sera dans la capitale que la fête battra son plein les libérer feront le tour de la ville dans les voitures découverte les menteurs qui avait raconté qu'ils étaient tous morts seront contredit par les faits un spectacle de feux d'artifice sera donné à 21h suivi d'un grand dîner tout sera clôturé par des balles et des danses qui se poursuivront jusqu'au matin le président avait fini les parents et amis se ruèrent sur les détenus et se les arrachent r tout le monde embarqués dans des voitures il fallait partir immédiatement pour la capitale les voitures démarrèrent les unes après les autres [Musique] femme a voyagé avec son ami pas paris celui-ci ne cessez pas de l'embrasser ne regrette rien d'utile tu seras heureux maintenant une embrassade tu as de l'argent et tu pourras en avoir beaucoup plus une ambassade c'est vrai que tu es mal en point et le président a dit que tu pourras aller été retapée partout où tu voudras moi à ta place c'est vichy que je choisirais oui à vichy c'est là où vont les milliardaires une embrassade un corps et puis tu peux obtenir la situation que tu veux moi ta place je prendrais la direction d'une coopérative une embrassade tu vois qu'un malheur c'est parfois un bonheur bien emballé et quand tout s'use c'est le bonheur qu'ils tombent nous qui avons été libérés avant vous on n'a pas été aussi gâtés finalement ça a été a chance femmes à cette prison a été ta chance bakary voulu embrasser mes femmes à luffy éloigné avec lo poi pas par henin 6 tapas et peut-être s'aperçut est il que depuis qu'il s'était vu pham a n'avait pas prononcé un seul mot est peut-être regrette at il son grand enthousiasme et ses remarques ce fut au tour de bakary de démarrer et de se mettre dans la file des voitures bakary conduisit en silence mais lorsque la voiture sortie de la caserne il recommença à parler mais cette fois posément il comprenait les raisons du silence de fama les épouses de tous les détenus étaient venus chercher leur mari sauf celle de fama mais les femmes on ne devait pas trop s'en soucier tant qu on a l'argent on peut avoir des femmes les femmes de femmes à ne s'était pas respecté elle ne connaissait même pas un boulot honte aussi large que la main maintenant que fama a de l'argent c'est d'autres femmes qu'il lui faudrait acheter vraiment salimata et mariam avait très mal agi et bakar et raconte à ce qui s'était passé dans la courbe femme a en son absence dès qu'elle a pris hier l'arrestation elle se dépêchèrent de trouver des remplaçants salimata retourne à consulter abdoulaye le marabout qu'elle avait poignardé avec le couteau rouge de chant du coq ce et fier abdoulaye ne la crise paie plus depuis et plus tiécoura et mariam comme elle était broussard d'encore donc sans grand discernement elle s'approprie ya ce qu'elle avait sous la main le chauffeur de taxi qui l'a transporta de la gare femmes à rester toujours pensif toujours muet le cortège avançait dans le même continuelle bois qui énervait femme à mais pourquoi ne dit rien demanda bakary femmes alain répondit pas barry enchaîna encore il savait qu aux femmes a été malade très atteints mais c'était à allah appartenait la vie bakary d'ailleurs rassuré femme à la mort ne le visiteur est pas dans les prochaines années car lui bakary koné c'est la mort qui avait beaucoup de défauts elle mentait tromper mais jamais elle n'oserait surprendre un homme comme femme à qui pour la première fois posséder de l'argent puis après un court silence et comme s'il regrettait d'avoir parlé de la mort à un malade bakary s'écria j'allais oublié de te parler de taux global à de te donner les nouvelles de togo balla et il raconte à ce qui se passa aux oraux du goût pendant l'incarcération de femmes à un colporteur montant du sud avait annoncé à ceux de taux global à l'arrestation nouvelle aussi retentissante d'un décès le tambour sacrée capitale au comité et le conseil des anciens palabres air des sacrifices furent tués on cria la nouvelle dans l'oreille de bala qui ne manifesta aucune surprise il s'y attendait le vieux féticheur de naturel aussi prudent qu un margouillat à la tranchée déclaration le champ femme ana rivera plutôt combat là il pouvait s est trompé ses fétiches mal et jenny devait commencer à s'éloigner par la mort approcher du vieux clabaut une nuit l'ancien la vieille aile l'oracle de taux global à des 110 des montagnes perla et s'arrêta sur la place du village au pied du vieux baobab on lui jeta une et chèvres et on interprétait ses hurlements il disait une ancienne et grandes choses sera vaincue par une autre ancienne et grandes choses on était au gros de l'hivernage pourtant pendant quatre jours lui âgé pluie disparurent du firmament le cinquième matin 20 avant son heure mais le soleil ne sortit pas l'espace se distend dit pendant que les horizons se mirent à sourdre une atmosphère étrange les oiseaux comptèrent leur champ de réveil les vautours leur vol tout était silencieux tout était immobile les yeux se tournèrent vers la porte du vieux féticheur balin elle était close et bien close canton l'ouvrît l'eau sommeil avait trahi la mort avait frappé le vieux féticheur quand dormi et celui ci s'était éteint et ready alors le talent tam frappa fera pas dans tout au global à et les rivières les forêts et les montagnes déco en écho roulèr la nouvelle jusqu'à des villages ou d'autres tam-tam bâtir pour avertir d'autres villages plus lointain tout le worodougou pousse à un grand de surprise et la terre les animaux et les choses se réanime r le soleil éclata mais demeura immobile jusqu'à l'heure de la deuxième prière où il fut voilée par la petite averse qui chaque fois que se creusent la tombe d'un grand duo road ou goût ne manque pas de tomber pour détrempée le sol avant le premier coup de pioche comme bâle a été cadre on le conduisit sans prière et en ligne mas à l'ouest de togo balah au lieu de l'est ou sans terre les musulmans mais de grandiose funérailles de 7e et du 40e jour furent célébrés 4 buts à avant longtemps le worodougou ne connaîtraient pas un homme du savoir de bala après quelques instants de silence bakary exerça tout ça vers vous pour exagérer les derniers exploits entendez les dernières rory du vieux sorcier des femmes ils voulaient émouvoir ébouriffés pour arracher ce moins deux soupirs un petit mois femme a mais on était arrivé bakary fut obligé de s'interrompre la capitale patel a fait de la réconciliation nationale il lorgnait à son voisin toujours muet et pensif et commença à conduire avec la tension qui exigeait une ville en fête lorsque leur voiture arrive à hauteur de l'auto gare d'où partaient les camions pour le nord fama fit un signe bakary répondu qu'on ne pouvait pas s'arrêter on ne s'arrête pas dans un cortège officiel sans maquillage arrête et accompagne à l'injonction des gestes autoritaire et net du dernier descendant des bombes ou ya bakary compris qu'il fallait obéir sur le champ obéir sans discuter il se sert à sur le bas côté de la route est frais la femme à ouvrir la portière dessandier s'éloignant bakary serra les freins à main l'ont poursuivi et entrepris de le convaincre femmes à aller encore commettre les fautes où paraît-il maintenant qu'ils pouvaient tout à voir pourquoi ne voulait-il pas continuer la fête comme les autres femmes à contourner un cercle de balafon passa entre deux batteurs de tam-tam revint sur ses pas pour ne pas se faire écraser par des danseurs acrobates exécutant des sauts périlleux et vitale et jongleurs d'enfants et entre les cercles des charmeurs de serpents et les frappeurs de calebasse d'eau déboucha sur la place de l'autogare bakary suivait toujours est même un moment il pense à retenir femme à part les manches du boubou mais devant les réactions violentes prévisible il renonça et se fit plus pressants mais aussi plus convaincant et mielleux écoute fama on ne part pas quand on a la possibilité d'avoir l'argent d'avoir une situation d'être quelqu'un d'être utile aux amis et aux parents co feras tu as togo balle à la cheville est morte togba là est fini c'est un village en ruine tu n'es pas une feuille d'arbre qui jaunissent et tombent quand la saison change les soleils ont tourné avec la colonisation et l'indépendance sauf toi avec ces nouveaux soleil adapté doit accepter le monde ou bien est-ce pour les funérailles de bala que tu veux partir mais les funérailles ça peut toujours attendre reste femme a le président est prêt à payer pour se faire pardonner les morts qu'il a sur la conscience les tortures qui vous a fait subir il est prêt à payer pour que vous ne parlez pas de ce que vous avez vus profitent de cette aubaine buvons ensemble le lait de la vache de tes peines l'argent que tu a empoché qu'un deux fois en comparaison du panier que tu recevras femmes à marcher fièrement comme si les propos de bakrie n'était pas pour lui lorsque le prince atteignez un camion à moitié chargé il monta tranquillement les autres passagers se serrèrent pour lui laisser la place de s'allonger parce que visiblement femme a était très fatigué le dernier doumbouya s'installassent a remercié sans même saluer parce qu'il crut que les autres voyageurs s'étaient déranger pour honorer un prince bakary ne put in est à terre il sauta dans le camion et se mit à gourmande et femme à femme a tu n'as rien compris à la vie tu es un vautour et tu vas mourir en vous tour quoi tu que tous les hommes sont des sujets du road où tu vas mourir à taux global ah oui mourir dans la pauvreté alors qu'ici tu peut nous être utile tu peux avoir quelque chose tu peux aider les amis moi quand j'avais appris ta libération et si ce qu'on allait vous pour m j'étais heureux et voilà que le chauffeur du camion interrompu bakary et lui demanda de descendre c'était le départ comme le camion des marais et avancer doucement bakar éduquer eu le temps de s'écrier femme a en mourant tu te rappelleras d'avoir été un mauvais ami je compte sur toi pour vivre et le reste de mes jours et gagner de l'argent tu me laisses dans le désespoir tu es mauvais ami ce fut là dessus de bakary à cause de la fête de la réconciliation nationale le camion devait suivre un circuit des tournées très long pour sortir de la ville fama ne voulait plus revoir la capitale ses maisons ses rues ses hommes il ne voulait plus respirer son air il poussa un gros poids de dégoût ferma les yeux et se mit à réfléchir [Musique] brusquement fama éclata de rire tous les autres passagers surpris ce tueur et radar d'air ce vieux maître et décharné les yeux clos comme l aveugle rires comme un fou maintenant loin de bakary femmes à se moquer de son ami embarrassé et déçus qu'ils devaient du quai regardez le camion partir femmes à se féliciter de l'avoir tourné ainsi en dérision par le silence les petite causerie entre la panthère eliel au nord la seconde mais abaisse la première aussi soudainement qu'il avait commencé fama s'arrêta du rire et se remit à penser pourquoi voulez t-il partir pourquoi tant décor mansle et régner à la seule pensée de rester de revivre dans la capitale comme si c'était manger de la vomissure les yeux toujours blot fama écoute à quelques temps les échos de la fête les chuchotements de ses compagnons qui tous devaient avoir les regards fixés sur lui fama voulait partir parce qu'il savait que personne ne voulait lui lui dans la capitale que personne ne l'aimé pas car il ne l'aimé pas s'il avait paru heureux d'avoir retrouvé fama c'était parce que son ami avait besoin d'un homme aux dépens de qui ils pourraient vivre quelques temps salimata non plus ne voulait pas de lui louis salimata la seule personne qui l'aurait souhaité revoir ne voudrait plus de lui ceux qui avaient arrêté salimata ces derniers temps n'était ni l'amour ni le caractère sacré du mariage ni les longs souvenirs communs ce qu'ils avaient retenu salimata prisonnière dans l'union était l'impossibilité pour elle de vivre avec un autre pour la première fois donc de sa vie s'anime apte à supporter un autre homme peut-être l'aimer tel peut-être allait-elle avoir un enfant peut-être était-elle heureuse femme à le souhaiter mais pour kolo bonheur de salimata ne soit pas troublée fama avait le devoir de ne plus paraître dans la capitale où sa présence aurait été un continuel reproche morale pour ça ni matin elle méritait quelques jours de bonheur mariam non plus n'aimait pas femme ne souhaiterait pas le revoir mais celle-ci ne valait pas un grain de regrets une seule goutte eu de soucis le mariage de mariam avait été une faute le seul motif de satisfaction qu'aux femmes à en tirer et est que ce mariage avait appris à salimata à se détacher l'avait forcé à essayer de vivre avec un autre est donc avait contribué à préparer le bonheur de salimata [Musique] et est ce dire qu'aux femmes à aller à taux global à pour se refaire une vie non et non aussi paradoxal que cela puisse paraître femme apparaît dans l'eau au roudourou pour y mourir le plus tôt possible il était prédit depuis des siècles avant les soleils des indépendances que c'était près des tombes des aïeux que fama devait mourir et c'était peut-être s'était destinée qui expliquait pourquoi fama avait survécu aux tortures des caves de la présidence à la vie du camp sans nom c'était encore cette destinée qui expliquait cette surprenante libération qui leur lançaient dans un monde auquel il avait cru avoir dit adieu à maya qu en priant profondément et très souvent il s'était résigné il avait fini par accepter sa fin il était prêt pour le rendez vous avec les mâles prêt pour le jugement dalle la mort était devenu son seul compagnon ils se connaissaient ils s'aimaient fama avait déjà la mort dans son corps est la vie n'était pour lui comme mal famars ouvrit les yeux le camion sortait de la capitale le soir descendait bientôt ils furent au sommet de la colline surplombant la ville maintenant c'était fini il était parti il fallait jeter un dernier regard sur ce qui enfermaient salimata mais ce fut trop tard car au même moment la pagnol est descendu la pente opposé la ville disparue et le soir tombe à tout avait fini famars ferma les yeux et sommeil à [Musique] où il se réveillait au petit matin depuis la nuit la camionnette était arrivé à la frontière au bord du fleuve inter or au bout fama était en terre au robot goût tout lui appartenait ici tout même le fleuve qui coule est à ses pieds le fleuve et les crocodiles sacrés qu'il habitait en cet endroit bâtardise de la colonisation et d indépendance sans occupation des toubabs et les soleils des indépendances une fête un tam-tam des griots l'aurait accueilli réveiller un cortège et l'aurait accompagné mais tout cela était fini tout cela ne l'intéressait plus que la récolte du sorgho de l'harmattan prochain soit bonne ou mauvaise lomu rang s'en désintéressent plusieurs autres camions arrivés avant celui de femme à stationner dans les fossés du côté gauche de la route des voyageurs avec les femmes et les enfants dormaient sur des nattes autour de grands feux de brousse les cases des gardes frontaliers et les bureaux des douanes à droite se confondait indistinct dans la brume la route était barrée et fermée par un dense réseau de fils de fer barbelés à l'entrée du pont dans les deux au mirador surplombant le tout luizet les canons des fusils et des gardes de faction au delà du pont on devine est plutôt qu'on ne les voyait les miradors d'en face perdus dans les feuillages des fromages et toute la vallée était remplie d'une brune fine il n'y avait pas de vent ce furent les tisserins qui commencèrent il rend clair les touffes des fromagers et des mangues et par des gazouillis des piaillements les cocoricos des coques partir les chiens répondirent d'abord par les aboiements habituel du matin mais aussitôt après comment certes a hurlé aux morts d'une façon sinistre à vous arracher l'âme cela risquait d'annoncés de préparer une journée magnifique c'est pourquoi les charognards et les hirondelles des arbres et des toits c'est le verre et disparurent dans le ciel pour y tirer le soleil et il réussir le soleil aussitôt pointa les chiens serrures leur queue et fermer leur gueule et les crocodiles sacrés sortir de l'eau et après de brèves querelles de préséance occupèrent les bancs de sable est fermé les yeux pour mieux jouir des premiers rayons du soleil femmes à se sentir revigoré enlevée par le bon matin du haut doubs goût c'est dans le goût du coup qu'il fait bon de vivre et de mourir murmura-t-il mais le calme ne durera que quelques mouvements les chiens se relancèrent dans les cours et reprirent a hurlé aux morts la porte du bureau des douanes souffrit un garde en sortie il couru après les cabots et les fit taire à coups de bâtons et de cailloux après cette victoire il se dirigea vers les fils de fers aux pieds des miradors tous les voyageurs se précipitèrent pour aller savoir les dernières nouvelles ce qui était près des faits seuls verts et ceux qui étaient dans les camions en descendirent et en full tout le monde suivi le gardes frontaliers qui venait de faire taire les chiens celui ci était grand élégant dans l'uniforme et surtout fama allez le constater dans la suite très respectueux et très aimable comme elle nomme d'avant la colonisation et les indépendances il s'appelait face au co lorsque vassaux c'hoariva au fil de fer barbelé il arrêta fit face à la foule des voyageurs et après des sourires et des plaisanteries il annonça qu'il n'avait pas reçu de télécoms dans la nuit et que les choses étaient cambiaire il allait finir de parler lorsqu'il constate à de nouvelles figures il s'excusa et explique à ce qu'il avait appelé comme hier la frontière était fermé jusqu'à nouvel ordre dans les deux sens nous passage restée suspendue cette mesure était en vigueur depuis un mois elles étaient dues à la tension existant entre les deux pays [Musique] un cri de réprobation salut à ses explications le gardes frontaliers sans se départir de son sourire replica que la mesure était une décision politique et qu'il ne pouvait même pas indiqué quand la frontière serait ouverte à nouveau les voyageurs mécontents se dispersèrent et s'éloignèrent sauf femme a le prince du haut doubs goût ne pouvait évidemment pas se contenter des explications du garde va se creuse fallu afamah avec le même sourire et par là lui va soko et les autres du peloton ne faisait qu'exécuter les ordres et leur travail n'était pas facile les lois les ordres et les circulaires des soleils des indépendances étaient aussi nombreux que les poils d'un book est aussi complexe des mélanges et que le sexe d'un connard voilà un gars intelligent à qui on pouvait dire des choses sans s'énerver murmura fama est le dernier des doumbouya se présenta à face au co par là des limites géographiques du hauron du goût de la grandeur de sa dynastie expliqua qu'il était malade et devait assister aux funérailles de bala mais le garde s'empressa de répondre que personne ne laisserai pas ces femmes à et que même si de leur côté ils le permettait ceux d'en face n'est lui ouvrirait pas la porte de la république denis qui n'a d'ailleurs vasco voulait que fama présente les papiers qu'il avait sur lui le prince n'avait même pas une carte d'identité va soko décrocha un petit sourire sans papiers on ne pouvait pas passer le dernier des doumbouya déclara qu'il était un ex détenu politique le garde ou un autre petit sourire une circulaire interdisait de laisser sortir les ex détenus politiques femme a senti la colère monter en lui elle brûla les aisselles le cou et le dos le soleil était déjà au la brune s'était envolé le prince ait des doumbouya cherche un autour de lui un taille ou un bâton un fusil une bombe pour s'armer pour tuer va sococé chef les indépendances le monde en ce moment pour chacun de nous il n'y avait rien à sa portée est peut-être le garder compris la menace puisque il s'éloigna les 100 femmes passifs devant la grille une porte qui était faite du côté du parapet gauche un doumbia un vrai père doumbouya merde ou brouillards avait-il besoin de l'autorisation de tous les bâtards de fils des chiens et d'esclaves haut pour aller à torgau bâle a évidemment non fama le plus tranquillement du monde compte s'il entrait dans son jardin tir à la porte et se trouva sur le banc il redresse à sa coiffure repli à les manches de son boubou et fièrement comme un vrai hôtel panthères marcha vers l'autre au bout du pont après quelques pas craignant que tous ces enfants de la colonisation et d indépendance d'identifier son départ à une fuite il s'arrêta et cria à tue tête comme un possédé regard des femmes à regarder le mari de salimata voyez moi fils de bâtard fils d'esclave regardez-moi partir des cris de stupeur échappèrent aux voyageurs les gardes en faction dans les miradors lancèrent la première sommation halte là face au coc se précipita du poste des douanes et en courant cria à l'intention des sentinelles ne tirez pas il est fou fou femmes 1 avec sa dignité habituel marchand a encore quelques pas puis s'arrêta encore et scandant les mots regardez doumbouya le prince du hauron du goût regardez le mari légitime de salimata admirer moi fils de chien fils d indépendance halte là il est fou ne tirez pas je l'attrapé ray va soko rapidement et est arrivé au barrage l'avait passé et couraient sur le pont fama était déjà à l'auto bout au pied de la grille de la république denis kindl et chercher une issue mais les files étaient croisée de près et à aucun endroit n'apparaissait un interstice par lequel pouvait passer un point désespérée femmes à se retournant le garde courait vers lui fama marshall au long du barrage il n'y avait aucune possibilité de monter femmes à se retourna encore voit ce qu avait fait la moitié du chemin ils allaient attrapé fama mais un doumbia ne se laisse pas saisir comme un lièvre épuisé fama s'avança vers le côté gauche du pont le parapet n'était pas au et sous le pont en cet endroit c'était la berge les gros caïman sacré flottait dans l'eau ou se réchauffer sur les bancs de sable les caïmans sacré duo roues du goût nous aurons s'attaquer aux derniers descendants des boubous ya vassaux qu'on n'était plus qu'à quelques pas femme à escalader le parapet et se laissa tomber sur un banc de sable il se releva l'eau n'arrivait pas à la hauteur du genou il voulu faire un pas mais aperçu un crime en sacré fonçant sur lui comme une flèche des berges on entendit un cri un coup de fusil éclata d'un mirador de la république d ébène une sentinelle avait tiré le crocodile atteint grogna d'une manière horrible à faire éclater la terre a déchiré le ciel est d'un tourbillon dos et 200 il s'élança dans le bief où il continue à se débattre et à grogner et comme toujours dans le auro dugourd en pareilles circonstances ce furent les animaux sauvages qui les premiers comprirent la portée historique du cri de l'homme du grognement de la bête et du coup de fusil qui venait de troubler le matin il le montre air en se comportant bizarrement les oiseaux vautours épervier tisserin tourterelles en poussant des cris sinistre s'échappèrent des feuillages mais au lieu de s'élever font dire sur les animaux terrestres et les sommes surpris par cette attaque inhabituelle les fauves en hurlant foncèrent sur les cases des villages les crocodiles sortir de l'eau et s'enfuir dans la forêt pendant que les hommes et les chiens dans des cris et des aboiements inferno se débandent est et s'enfuir dans la brousse les forêts multiplièrent les échos déclenchèrent défend pour transporter aux villages les plus reculés et aux tombes les plus profondes le criq venait de pousser le dernier double et dans tout le worodougou les échos du cri du grognement et du fusil déclenchèrent la même panique les mêmes stupeur fama inconscient gisait dans le sens où le pont le crocodile raleigh se débattait dans l'eau tumultueuse tout n'avait duré que le temps d'un éclair car aussitôt après un deuxième coup de fusil résonna les montagnes les rivières les forêts et les plaines encore une deuxième fois ce relais hier pour faire entendre la détonation à tout le pays les oiseaux les animaux et les hommes rebroussèrent les oiseaux celles vers les hommes et les chiens revers les bêtes sauvages regagnèrent la brousse puis ce fut le troisième et le quatrième coup de feu un autre va et vient dans le tumulte assourdissant des oiseaux des animaux et des hommes les gardes frontaliers par dessus le fleuve ce livre est un véritable duel ceux d'en face avaient cru que l'on avait tiré sur un fugitif se trouvant déjà sur leur sol fama gisaient toujours sous le pont le caïman se débattait dans un tourbillon de sang et d'eau les coups de feu s'arrêtèrent mais le matin était troublé tout le worodougou était inconsolable parce que la dynastie doumbouya finissait les chiens qui les premiers avaient prédit que la journée serait maléfique hurlait aux morts tout gorgé déployer sans se préoccuper des tailles ou que les gardent leur lancée les fauves répondait des forêts par des rugissements les caïmans par des grognements les hommes priait pour le dernier doumbouya les femmes pleuraient les tisserins gazouillait dans les feuillages des fromagers et des manguiers alors que très haut dans les nuages les charognards et les éperviers patrouillé pour superviser le bâtard pourtant la fusillade était arrêté les gardes frontaliers de la république dénis kindl drapeau blanc dans les mains vingt relevé femme à qui avait été atteint sous la partie du pont relevant de leur juridiction il le transporter dans leur poste leur brigade il examina il était grièvement atteinte à mort par le saurien le convoi des marins au chevet de fama dans l'ambulance deux infirmiers veillait il examine r et lorsqu'ils constatèrent qu'il n'y avait aucune trace de balle il se récrie hier allah le tout puissant un cahier man sacré n'attaque que lorsqu'il est dépêchée par lehman pour tuer un transgresseurs des lois des coutumes ou un grand sorcier ou un grand chef ce malade n'est donc pas un homme ordinaire lui femmes à délirer rêvasser mouret des cauchemars quel cauchemar une douleur massive dure cloud et sa jambe tranquille reste tranquille calme toi femme à est-ce que ça va mieux mais au mur a sur un ton compatissant l'infirmier de gauche sama ne répondit pas tout son corps était devenu un caillou il ne se sentait vivent que dans la gorge où il devait pousser pour inspirer dans le nez qui soufflait du brûlant dans les oreilles abasourdi et dans les yeux vifs à travers les voiles de l'ambulance des troncs des ponts et parfois des villages des filets on partait mais où mais oui nature rien entendu femme a tu vas à togo balla togo balladur oraux du goût voilà les jours espérer la bâtardise balayé la chefferie revenu le worodougou t'appartient ton cortège de prince je suis dans porte ne vois tu pas ton cortège et doré non je ne veux pas doré donc argenté mais attention caisse femmes à ne vois tu pas les gains étaient cernés femme a avec la souplesse et la dignité avec n'est pas content et d'un prince du hauron de gauche aux portes devant la cohue des guerriers hurle se balance sur place et s'immobilise lâche pleutre enfants des indépendances bâtard vos mères ont fleuri mais n'ont pas accouché d'hommes femmes à seul essai unique doivent où tu auras vous me trahira la multitude la cohue poltronne de troupeaux diène moutain brouille et en masse chante s'incliner se relève comme le champ de riz en herbe qu'emballer les vents femmes à l'unité le grand le fort le viril le seul possédant du rigide entre les jambes il se réveilla deux infirmiers le maîtriser sur le brancard un autre agiter une seringue at il été piqué femmes à l'ignorer mais il voyait à nouveau entendez à nouveau les pétards les feux les secousses la poussière mais pourquoi femme à qui allez à la puissance au pouvoir rêvait-il pas de lune n'est-il pas certain que rêvent toujours de lune ce qu'ils ont sur leur chemin la grande fortune le grand honneur la lune la lune de femmes à sa lune la lune femme assure un coursier blanc qui galope crottes s'outiller caracol il est comblé il est superbe l'oiseau miséricordieux mais femmes à se retourne son escorte s'est évanoui où ont-ils disparu mais suivant proteste-t-il et les seuls il sent la solitude venir l assaillent pénètre dans son nez qui souffle un nuage de fumée balles et les yeux répand les larmes vide le coeur rempli les oreilles et de la nausée jusqu'à ce que pointe et sortait la queue fuyante et le manque fama les pourchassons soudain un éclair explose et par billère le ciel et la terre et le coursier ce câble au bord du gouffre femmes atteint belote une prière tout s'arrange doux et kehl la douceur qui glisse la femme qui console et l'homme est la rencontre d'un sous bois frais et vous et les sables meunier fin et pousse au fond et coule doucement et calmement [Musique] femme a cool il veut tenter un petit effort [Musique] va ma avait fini était finie on en avertit le chef du convoi sanitaires il fallait rouler jusqu'au prochain village où on allait s'arrêter ce village était à quelques kilomètres il s'appelait dogo bala au global à due au redoux un malinké et dément suivront les joue jusqu'au 7e fou et les funérailles du septième jour puis se succéderont les semaines et arrivera le gros cube et frapperont les funérailles du kraken jours [Musique] non [Musique] nous [Musique]