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Résumé des premiers chapitres d'Eldorado

eldorado de laurent gaudé lecture de la partie 1 l'ombre de catane à catane en ce jour le pavé des ruelles du quartier du duomo sentait la poiscaille sur les étals serré du marché des centaines de poissons morts faisait briller le soleil de midi des sceaux à terre recueillait les entrailles de la mer que les hommes vis des d'un geste sec les tons et les sp rapidement été exposés comme des trophées précieux les pêcheurs rester derrière leurs tréteaux avec l'oeil plissée du commerçant aux aguets la foule se pressait lentement comme si elle avait décidé de passer en revue tous les poissons regardant ce que chacun proposait jugeant en silence du poids du prix et de la fraîcheur de la marchandise les femmes du quartier remplissaient leurs paniers d'osier les jeunes gens eux venez trouver de quoi distraire leurs ennuis on s'observait d'un trottoir à l'autre on se saluait parfois l'air du matin enveloppait les hommes d'un parfum de mer c'était comme si les eau avaient glissé de nuit dans les ruelles laissant au petit matin les poissons en offrande qu'avaient fait les habitants de catane pour mériter pareil récompense nul ne le savait mais il ne fallait pas risquer de mécontenter la mer en méprisant c'est cadeau les hommes et les femmes passaient devant les étals avec le respect de celui qui reçoit en ce jour encore la mer à des données il serait peut être un temps où elle refuserait d'ouvrir son ventre aux pêcheurs ou les poissons seraient retrouvés morts dans les filets ou maigre ou invarié le cataclysme n'est jamais loin l'homme attend faute et qu aucune punition l'aide à exclure la mère un jour les affame ray peut-être temps qu'elle offrait il fallait honorer ces présents le commandant salvatore pirates chi déambulait dans ses ruelles lentement en se laissant porter par le mouvement de la foule il observait les rangées de poids sont disposés sur la glace dieu mort et ventre ouvert son esprit était comme happé par ce spectacle il ne pouvait plus les quitter des yeux et ceux qui pour toute autre personne était une profusion joyeuse de nourriture lui semblait à lui une macabre exposition il dû se faire violence pour se soustraire à cette vision il continua à suivre un temps le flot des badauds puis il s'arrêta devant la table de son poissonnier habituel et le salua d'un signe de tête l'homme immédiatement saisi son couteau et coupa une belle tranche d'espadon sans dire un mot tant ils étaient habitués aux commandes de son client c'est là que le commandant senti pour la première fois sa présence quelqu'un le regarder il en était certain il avait la conviction qu'on les pièces que quelqu'un dans son dos le fixer avec insistance il se retourna d'un coup mais ne vit rien rien d'autre dans la foule que les badauds qui avançait à petit pas il croisa certain regard des hommes et des femmes s'étaient tournés vers lui mais ce n'était pas cela ceux là observait parce qu'il s'était retournée brusquement et que la célérité de son geste était étrange dans le mouvement lent de la foule le poissonnier lui même surpris par le geste de son client lui lança en lui tendant sa tranche d'espadon enrobé dans un sac plastique alors commandant on s'est fait caresser par un fantôme il dit cela sans rire comme une chose possible et le commandant ne sachant que répondre se pressa de payer pour pouvoir disparaître il marcha encore un peu dans le labyrinthe des rues empuanti respirant avec bonheur l'odeur de la mer qui montait de partout il retrouvait avec joie les bruits du peuple de la rue mais au coeur de cette foule compacte sa solitude devenait plus oppressante qu'à l'ordinaire il s'était séparé de sa femme quatre ans plus tôt elle vivait maintenant à gênes il repense à elle et comme à chaque fois il se demanda ce qu'il se passerait s'il lui prenait l'idée de lui téléphoner elle était parti depuis trop longtemps pour qu'il puisse espérer ou même vouloir la reconquérir non c'était simplement appelé pour vérifier qu'elle était là bien là qu'elle avait toujours la même voie qu'elle pouvait encore reconnaître la sienne que tous n'avaient pas disparus ou définitivement changé oui décidément il était seul le fils de plus personne ni père ni mari un homme de 40 ans qui mène sa vie sans personne pour poser un regard dessus il allait persévérer dans l'existence réussir ou échouer sans que nul ne hurle de joie ou ne pleure avec lui il déambulait dans les rues du marché ressassant ses idées lorsque tout à coup il eut à nouveau le sentiment qu'on l'observé il se sentait le poids d'un regard dans son dos il en était certain il le sentait peser sur ses épaules cette fois il ne se retourne à pas il réfléchit des pickpockets avait peut-être entrepris de le filet c'était fréquent dans les ruelles du marché si c'était le cas le mieux était de leur montrer qu'ils se savaient suivi il n'aurait pas pour eux l'avantagé de la surprise il tourna alors la tête le plus calmement possible pour défier la violence si elle se présentait il fut saisi d'étonnement à quelques mètres de lui une femme le regardait elle était immobile le visage sans expression ni demande ni sourire tout entière dans l'attention qu'elle lui portait il fut frappé par la volonté qui émanait de cette immobilité et de ce calme elle le regardait comme on fixe un point lointain qu'on veut atteindre il essaya de sourire mais n'y parvient pas tout à fait il ne savait que penser de cette présence voilà que les femmes me regardent se dit il et moi qui m'imaginais déjà avoir à me battre puis il reprit sa marche et n'y pense à plus il quitta les ruelles engorgé du marché en laissant le soleil scintiller sur les toits et les pavés de catane il quitta les ruelles du marché sans s'apercevoir que la femme comme une ombre le suivait fin du chapitre on va résumer le premier chapitre du livre eldorado de laurent gaudé dans ce chapitre le lieu c'est le marché de catane catane c'est une ville en italie je ne sais pas si elle existe en vrai mais c'est une ville qui semble être une ville côtière au bord de la mer dans laquelle vivent des pêcheurs et cette ville elle est elle vit bien c'est une ville dans laquelle il ya de l'abondance il ya beaucoup de poissons et les habitants qui dépendent de la pêche ils savent qu'il faut être respectueux parce que ce qu'ils ont reçu pourrait très bien le perdre et en plus comme l'homme fait beaucoup de mal à la nature ça se peut qu'un jouet et plus rien dans les filets ou alors qu'il n'y ait que des poissons maigres ou avariés tout le monde est heureux dans ce marché et fait ses courses lentement ça fait une petite foule compacte qui se promènent mais on découvre un homme mieux qui est le commandant salvador pirates chi et on le suit cet homme il fait des courses ils achètent une tranche d'espadon et il sent qu'il ya quelqu'un qu'il regarde quelqu'un dans son dos il se retourne d'un coup et là tout le monde est surpris les gens qui font le marché s'arrête le regarde mais a personne derrière lui donc il se dit bon j'ai dû rêver il continue son chemin en même temps qu'ils marchent on voit que c'est un homme qui est malheureux il avait divorcé il ya quatre ans et encore maintenant il pense de temps en temps à son ex-femme et il se dit j'aimerais bien l'appeler juste pour entendre sa voix pour voir si elle est bien encore là sur la terre il n'a même pas l'espoir de la reconquérir mais il voudrait parfois avoir de ses nouvelles et cette femme elle vit à gênes et finalement on se rend compte que ce commandant c'est un homme qui est très seul parce que il n'est plus l'enfant de personnes apparemment ses parents sont décédés il n'a pas lui-même d'enfants il n'a pas de femme et il dit finalement sa vie elle passe sans que personne ne pose de regard sur sa vie il peut être heureux ou bien malheureux y aura personne qui sera là pour se réjouir de ces victoires ou pleurer avec lui quand il vivra des échecs et en même temps que cet homme là pensa à ses pensées qui sont assez triste il a encore le sentiment que quelqu'un l'observent dans son dos et il se dit aux marchés comme ça au milieu de la foule c'est sûrement des pickpockets alors il dit cette fois je vais me retourner et je vais défier cette personne qui me poursuit comme ça il se retourne prêt à se battre et là en face de lui il ya une femme une femme qui ne lui demande rien qui le regarde mais qu'ils regardent vaguement comme s'il regardait un point dans l'horizon ou un objectif à atteindre il voudrait bien sourire mais il n'y a pas de sourire qui sort et du coup ils voient cette femme qu'ils regardent sans rien demander et il finit par se retourner et s'en aller et il est surpris il se dit rebâtir est-ce que j'ai intéresserait les femmes par hasard ça le surprend plus tôt et il se dit que lui il était prêt à se battre mais que c'était juste une femme qu'ils regardent et le chapitre se termine en disant il quitta les ruelles du marché s'en apercevoir que la femme comme une ombre le suivait et on va lire le chapitre su eldorado de laurent gaudé lecture du chapitre 2 de la partie 1 l'ombre de catane plus tard dans l'après midi il se mit à pleuvoir l'etna se penchait sur la ville de toute la menace de son ombre le commandant pirates chi décida de sortir à nouveau il était en permission depuis deux jours et n'avait pas encore eu le temps d'aller rejoindre son ami ange et l'eau lorsqu'il était à catane c'était la seule personne qu'il voyait avec avidité angers l'eau était âgé d'environ 60 ans c'était un homme petit au corps maigre mais au visage rasé ses cheveux blancs et ses yeux bleus lui donner un air de marin alors qu'il n'avait jamais pris la mer il avait travaillé comme ingénieur toute sa vie puis lorsque l'âge de la retraite était venu il avait acheté avec ses économies un petit local de la pièce à placido pour vendre des journaux c'est là que salvador pirates s'il avait rencontré à force de lui acheter tous les matins la presse il avait fini par discuter pirac si c'était le genre d'homme à être distant avec ses amis mais chaleureux avec les inconnus si bien qu'en geslot en avaient vite su plus sur lui que la plupart de ses proches après avoir boutonnet son imperméable il poussa la porte de l'immeuble c'est là qu'il se trouvait à nouveau face à face salvatore pirates chi se figea elle était là dans la même immobilité que la dernière fois le même visage têtus les mêmes yeux grands ouverts qui semblait vouloir ap le ciel il s'arrête à net ils ne savaient que faire il eu le temps de penser qu'il s'agissait peut être d'une folle mais son visage insidieusement lui disait quelque chose c'était très lointain et confus il l'a contempla pour tenter de trouver dans ses traits un souvenir enfoui mais n'y parvient pas elle n'était pas dénué de beauté une femme brune à la peau mate les yeux noirs le visage émacié tandis qu'il observait elle rompit le silence vous ne me reconnaissez pas commandant demanda-t-elle elle avait parlé avec un accent prononcé turc peut être mais sans faute salvatore pirates s'ils ne savaient que répondre il était incapable de dire qui était cette femme mais il sentait qu effectivement il ne la voyait pas pour la première fois ils savaient qu'ils ne la reconnaîtrait pas sans un peu dead il pressentait que lorsqu'elle lui serait révélé son identité allait lui causer un choc ou lège vue pense at-il en tentant dans la panique de faire défiler toute sa vie dans son esprit mais elle ne lui laissa pas le temps de chercher davantage elle sorti de sa poche un vieux portefeuille de cuir et en extirpe à une coupure de journal qu'elle lui tendit il la regarda avec une sorte d'appréhension il sentait que le moment de la surprise était proche lorsque ses yeux tombèrent sur la photo de l'article découper il entendit la voix de la femme qui a ajouté comme pour l'accompagner dans l'émergence de ce souvenir le vittoria 2004 le commandant pérac chine et pas besoin de lire l'article tout lui revient en tête le vitoria oui il se souvenait c'était le nom d'un navire qui l'avaient intercepté au large des côtes italiennes un bateau rempli des migrants des centaines d'hommes et de femmes qui dérivait depuis trois jours lorsque les marins italiens monter à bord munis de puissantes lampes de poche dont il balayait le pont ils furent face à un amas d'hommes en péril déshydratés et épuisés par le froid la faim et les embruns il se souvenait encore de cette forêt de tête immobile les rescapés ne marquèrent aucune joie aucune peur aucun soulagement il n'y avait que le silence entrecoupé parfois par le bruit des cordes qui dansaient au rythme du roulis la misère était la face à lui il se souvenait d'avoir essayé de les compter du moins de prendre la mesure de leur nombre mais il n'y parvint pas et en avait partout tous tournés vers lui avec ce même regard qui semblait dire qu'ils avaient déjà traversé trop de cauchemar pour pouvoir être sauvée tout à fait ils firent monter à bord chacun d'entre eux cela a pris du temps il faut les aider à se lever à marcher certains étaient trop faibles et nécessité qu'ont les portes une fois à bord il distribuait des couvertures et des boissons chaudes ce jour-là il laisse aux verts d'une mort lente et certaine mais ces hommes et femmes étaient allés trop loin dans le dégoût et l'épuisement il n'y avait plus rien à fêter pas même leur sauvetage il était au delà de ça il n'avait aucune idée de ce que voulait cette femme ce qu'elle allait advenir de la façon dont elle l'avait retrouvée mais il s'entendit lui dire venez ne restons pas sous la pluie montée il lui tend la porte il exquis sans un geste de la main pour l'inviter à entrer quelque chose d'imperceptibles comme pour lui toucher l'épaule la réconforter mais il s'arrêta avant de parfaire son geste il ne réalisa pas qu'il avait eu ce même geste deux ans auparavant en 2004 lorsqu'il lui avait tendu le bras pour qu'elle ne chancelle pas en franchissant à la passerelle jetée entre les deux navires le même geste est là aussi il n'était pas allé jusqu'au bout et avait retiré sa main c'est qu'alors sur cette passerelle incertaine comme ce soir en passant la porte de son immeuble il avait senti dans le regard de cette femme qu'elle ne voulait aucune aide qu elle marcherait seul et droite tant qu'elle déciderait de vivre alors il s'efface a devant elle et la laisse à monter chez lui fin de la lecture du chapitre 2 on va résumer le deuxième chapitre du livre eldorado de laurent gaudé dans la partie l'ombre de catane donc le commandant est de retour chez lui et il a deux jours de permission donc on ne sait pas trop s'il est dans l'armée ou quoi en tout cas il est pendant deux jours chez lui et il va aller voir la seule personne qu'il aime bien à qui il aime bien rendre visite quand il est à catane et cette personne c'est angèle aux anges et l'eau c'est un monsieur d'une soixantaine d'années qui a un visage de marin alors qu'il n'a jamais pris la mer la mer c'était un monsieur qui était ingénieur et au passage le capitaine lui il a 40 ans donc ce monsieur angelo il a rencontré parce que une fois à la retraite il a acheté un kiosque à journal et y vend des journaux est en fait ce monsieur angelo c'est quelqu'un qui a un caractère à être plus familier avec les inconnus mais très fermé avec ses proches et finalement le capitaine pirate chic a pris l'habitude d'aller acheter son journal régulièrement chez angèle au il en sait plus sur la vie de ce monsieur que ses proches donc il sort de chez lui pour aller voir angelo et là il tombe nez à nez avec la femme du marché elle est encore une fois planté devant lui donc il réfléchit dins pas possible ou est ce que j'ai déjà vu cette femme qu'est ce qu'elle me veut il pense qu'il l'a déjà vu mais il n'arrive pas du tout à se rappeler où est la femme lui dit avec un accent assez prononcé il dit c'est peut-être un accent turcs mais sans aucune faute de langues elle lui dit vous ne me reconnaissez pas vous ne savez pas qui je suis alors le pâtir le capitaine effectivement il ne voit pas qui elle est et elle sort de son sac un papier c'est une coupure de journal elle lui donne et lui il sait que quand il va ouvrir cette papier ce papier il a tout de suite savoir qui est laid est en fait en l'ouvrant et lui dit pour accompagner sa mémoire c'est le vitoria et lui quand il voit la photo du bateau évidemment il s'est tout de suite qui élève est en fait ce capitaine il a récupéré un bateau de migrants et il dit que quand il est arrivé dans le bateau les gens ils étaient à dénutri déshydraté il était glacée enfin c'était vraiment des rescapés il les a fait monter un par un dans son bateau il dit mais les ans les gens ils avaient été trop loin dans le malheur et du coup il n'y avait pas de faits qui avait pas de joie d'être sauvé même s'il était allé tellement loin qu'il ne pouvait plus revenir à un état de joie donc ils sont remontés un par un il y en a qui était tellement faible qu'il a fallu les porter et il se rappelle d'avoir vu cette femme là et du coup il sait pas pourquoi mais il lui dit bah écoute est entré venez vous pouvez monter à la maison il ne sait pas encore ce qu'elle va lui demander mais d'instinct il lui dit ok c'est possible et quand elle passe à côté de lui il voudrait faire un geste sympathique mais il ose pas et en fait ce qui se passe à ce moment là ça s'était déjà passé deux ans auparavant quand ils l'avaient fait monter dans le bateau il avait eu le même élan de vouloir l'aider et de s'être arrêté est en fait le chapitre se termine comme ça en réalité c'est une femme envers laquelle il se permet pas d'avoir un geste amical parce que c'est une femme qui a l'air de vouloir dire tant que je vivrai je vivrai sans demander des aides et du coup ils la laissent pas c est cette femme monte on ne sait pas encore c'est