mon cher ami je vous envoie un petit ouvrage dont on ne pourrait pas dire sans injustice qu'il n'a ni queue ni tête puisque tout au contraire y est à la fois tu étais que alternativement et réciproquement considéré je vous prie quelle admirable commodités cette combinaison nous offre à tous à vous à moi et aux lecteurs nous pouvons couper ou nous voulons moi ma rêverie vous le manuscrit le lecteur sa lecture car je ne suspend pas la volonté rétive de celui ci aux files interminables d'une intrigue superflu enlever une vertèbre et les deux morceaux de cette tortueuse fantaisie se rejoindront centaine à chela en nombreux fragments et vous verrez que chacun peut exister à part dans l'espérance que quelques-uns de ces tronçons seront assez vivant pour vous plaire et vous amuser j'ose vous dédié le serpent tout entier j'ai une petite confession à vous faire c'est en feuilletant pour la 20e fois au moins le fameux gaspard de la nuit daloz youth bertrand un livre connu de vous de moi et de quelques-uns de nos amis n'at-il pas tous les droits à être appelé fameux que l'idée m'est venue de tenter quelque chose d'analogue et d'appliquer à la description de la vie moderne ou plutôt d'une vie moderne et plus abstraite le procédé qu'il avait appliqué à la peinture de la vie ancienne si étrangement pittoresque quel est celui de nous qui n'a pas dansé jour d'ambition rêver le miracle d'une prose poétique musical sans rythme et sans rimes assez souple et assez heurtée pour s'adapter aux mouvements lyrique de l'âme aux ondulations de la rêverie aux soubresauts de la conscience c'est surtout de la fréquentation des villes énorme c'est du croisement de leurs innombrables rapports que naisse est idéal obsédant vous même mon cher ami n'avez vous pas tenté de traduire en une chanson le cri strident du vitrier et d'exprimer dans une prose lyrique tout les désolantes suggestion que ce cri en voie jusqu'aux mansarde à travers les plus hautes brumes de la rue mais pour dire le vrai je crains que ma jalousie ne met pas porté bonheur si tôt que j'ai commencé le travail je m'aperçus que non seulement je reste est bien loin de mon mystérieux et brillant modèle mais encore que je faisais quelque chose si cela peut s'appeler quelque chose de singulièrement différent accident dans tout autre que moi s'enorgueillir est sans doute mais qui ne peut qu humilier profondément un esprit qui regardent comme le plus grand honneur du poète d'accomplir juste ce qui l'a projeté de faire votre bien affectionner charles baudelaire l'étranger qui émeut tu lemieux homme énigmatique et dit ton père ta mère sa soeur ou son frère je n'ai ni père ni mère ni soeur ni frères des amis vous servez là d'une parole dans le sens mais resté jusqu'à ce jour inconnue ta patrie j'ignore sous quelle latitude elle est située la beauté je l'aimerais volontiers ds est immortel lors je le hais comme vous haïssez dieu et comme tu donc extraordinaire étrangers j'aime les nuages les nuages qui passent là-bas là bas les merveilleux nuages le désespoir de la vieille la petite vieille ratatiner se sentit tout réjoui en voyant ce joli enfants à qui chacun faisait la fête à qui tout le monde voulait plaire ce joli être si fragile comme elle la petite vieille et comme elle aussi sans dents et sans cheveux et elle s'approcha de lui voulant lui faire des risettes et des mines agréable mais l'enfant épouvanté se débattent et sous les caresses de la bonne femme décrit pitt et remplissez la maison de ces glapissements alors la bonne vieille se retira dans sa solitude éternelle et elle pleurait dans un coin se disant ah pour nous malheureuse de vieilles femelles là j'ai passé de plaire même aux innocents et nous faisons horreur aux petits enfants que nous voulons et mais le compte huit erreurs de l'artiste que les fins de journées d'automne sont pénétrante à pénétrante jusqu'à la douleur car il est de certaine sensation délicieuse dont le vague n'exclut pas l'intensité et il n'est pas de points de plus acérées que celle de l'infini grand délice que celui de noyer son regard dans l'immensité du ciel et de la mer solitude silence incomparable chasteté de l'azur une petite voix le frissonnante à l'horizon et qui par sa petitesse et son isolement imite mon irrémédiable existence mélodies monotone de la poule toutes ces choses pense par mois où je pense pareil cas dans la grandeur de la rêverie le mois se perd vite elle pense dis-je mais musicalement et pittoresque m'en sens arguties sans syllogisme sans déduction toutefois c'est penser qu'elle sorte deux mois où s'élance des choses deviennent bientôt trop intense l'énergie dans la volonté créer un malaise et une souffrance positive meinert trop tendu ne donne plus que des vibrations criardes et douloureuse et maintenant la profondeur du ciel me consterne sa limpidité m'exaspère l'insensibilité de la mer l'immuabilité du spectacle me révolte a faut-il éternellement souffrir ou fuir éternellement le bo nature enchanteresse sans pitié rival toujours victorieuse laisse-moi cesse de tenter mes désirs et mon orgueil l'étude du bo est un duel où l'artiste cris de frayeur avant d'être vaincu un plaisant c'était l'explosion du nouvel an ko debout et de neige traversée 2000 carrosse est insolent de joujoux et de bonbons grouillant de cupidité de désespoir délire officielle d'une grande ville fait pour troubler le cerveau du solitaire le plus fort au milieu de ce tohu bohu et de ce vacarme un âne trotter vivement harcelé par un malotru armé d'un fouet comme l'âne allait tourner l'angle d'un trottoir un beau monsieur gantés vernis cruellement cravatés et emprisonnés dans des habits tout neufs s'inclina cérémonieusement devant l'humble bête et lui dit en ôtant son chapeau je vous la souhaite bonne et heureuse puis se retournant vers je ne sais quel camarades avec un air de fatuité comme pour les prier d'ajouter leur approbation à son contentement là ne vivent pas ce bourg plaisant et continua de courir avec zèle ou l'appeler son devoir pour moi je fus pris subitement d'une incommensurable rage contre ce magnifique imbéciles qui me parut concentré en lui tout l'esprit de la france la chambre double une chambre qui ressemble à une rêverie une chambre véritablement spirituel où l'atmosphère stagnante et légèrement teinté de rose et de bleu l'ami prend un bain de paresse aromatisés par leur gré et le désir c'est quelque chose de crépusculaire de bleuâtre et de rosâtre un rêve de volupté pendant une éclipse les meubles ont des formes allongées prostré alanguie les meubles ont l'air de rêver on les dirait doué d'une vie somnambulique comme le végétal et le minéral les étoffes parle une langue muette comme les fleurs comme les ciels comme lé soleil couchant sur les murs nus l'abomination artistique relativement au rêve pur a l'impression non analysé l'art définit l'art positif est un blasphème ici tout alla suffisante clarté et la délicieuse obscurité de l'harmonie une senteur infinitésimale du choix le plus exquis à laquelle se mêle une très légère humidité nage dans cette atmosphère où l'esprit sommeillant est bercée par des sensations de serre chaude la mousseline pleut abondamment devant les fenêtres et devant le lit elle s'épanche en cascade neigeuse sur ce lit et couché l'idole la souveraine des rêves mais comment est-elle ici qu'il a amené quels pouvoirs magiques installé sur ce trône de rêverie et de volupté qu'importe la voilà je la reconnais voilà bien ses yeux dont la flamme traverse le crépuscule c'est subtil et terrible mirettes que je reconnais à leur effrayante malice elle attire elle subjugue elle dévore le regard de l'imprudent qui les contemplent je les ai souvent étudié ces étoiles noires qui commande la curiosité et l'admiration à quels démons bienveillant dois-je d'être ainsi entourée de mystère de silence de paix et de parfums aux béatitudes ce que nous nommons généralement la vie même dans son expansion la plus heureuse n'a rien de commun avec cette vie suprême dont j'ai maintenant connaissance et que je savoure minute par minute seconde par seconde non il n'est plus de minutes il n'est plus de seconde le temps a disparu c'est l'éternité qui règne une éternité de dellys mais un coup terrible lourd a retenti à la porte et comme dans les rêves inferno il m'a semblé que je recevais un coup de pioche dans l'estomac et puis un spectre est entré c'est un huissier qui vient me torturer au nom de la loi une infâme concubine qui vient crier misère et ajouter les trivialités de sa vie aux douleurs de la mienne ou bien le saute ruisseau d'un directeur de journal qui réclame la suite du manuscrit la chambre paradisiaque l'idole la souveraine des rêves la sylphide comme disait le grand rhône et toute cette magie a disparu au conte brutale frappé par le spectre horreur je me souviens je me souviens oui ce te dit ce séjour de l'éternel ennuis et bien le mien voici les meubles saupoudre e écorné la cheminée s'enflammer sans breizh souilhe et de crachats les tristes fenêtre où la pluie a tracé des sillons dans la poussière les manuscrits raturé ou incomplets l'almanach ou le crayon a marqué les dates sinistre et ce parfum d'un autre monde dont je m'enivre est avec une sensibilité perfectionner hélas il est remplacé par une fétide odeur de tabac mais léa je ne sais quel nauséabond de moisissures on respire ici maintenant le rend si de la désolation dans ce monde étroit mais si plein de dégoût un seul objet connu me sourit la fiole de laudanum une vieille et terrible amis comme tout les amis hélas fécondant caresser en traîtrise oui le temps a reparu le temps régnant souverain maintenant et avec le guide vieillard est revenu tout sont démoniaques cortège de souvenirs de regret de ce pass de peur d'angoissé le cauchemar de colère et de névrose je vous assure que les seconds maintenant sont fortement et solonnellement accentuée et chacune en jaillissant de la pendue le dit je suis la vie l'insupportable l'implacable vie il n'ya qu'une seconde dans la vie humaine qui est mission d'annoncer une bonne nouvelle la bonne nouvelle qu'ils causent à chacun une inexplicable peur oui le temps règne il a repris sa brutale dictature et il me pousse comme si j'étais un boeuf avec son double et guillon et eut donc bourrique sud on encaisse clave vie donc d'années chacun sa chimère sous un grand ciel gris dans une grande plaine poudreuse son chemin sans gazon sans un chardon sans une ortie je rencontrais plusieurs hommes marchaient courbet chacun d'eux portait sur son dos une énorme chimères aussi lourde qu'un sac de farine ou de charbon ou le fournit monde un fantassin roman mais la monstrueuse bête n'était pas un poids inerte au contraire est l'enveloppé est opprimé l'homme de ses muscles élastique et puissant elle s'aggravait avec ses deux vastes griffe à la poitrine de sa monture et sa tête fabuleuse surmonter le front de l'homme comme un de ces casques horrible par lesquels les anciens guerriers espérer ajouter à la terreur de l'ennemi je questionnais l'un de ces hommes et je lui demandais où il allait ainsi il me répondit qu'il n'en savait rien ni lui ni les autres mais qui évidemment il aller quelque part puisqu'il était poussé par un invincible besoin de marché chose curieuse à noter aucun de ces voyageurs n'avaient l'air irrité contre la bête féroce suspendu à son cou est collé à son dos on eût dit qu'il la considérait comme faisant partie de lui même tous ces visages fatigués sérieux ne témoignait d'aucun désespoir sous la coupole le spleenétique du ciel les pieds plongés dans la poussière d'un sol aussi désolée que ce ciel il cheminait avec la physionomie résigné de ceux qui sont condamnés à espérer toujours et le cortège passe à côté de moi et s'enfonça dans l'atmosphère de l'horizon à l'endroit où la surface arrondi de la planète se dérobe à la curiosité du regard humain et pendant quelques instants je m'obstine et à vouloir comprendre ce mystère mais bientôt l'irrésistible indifférence s'abattit sur moi et j'en fus plus lourdement accablé qu'il ne l'était eux mêmes par leur écrasante chimères le fouet la vénus quelle admirable journée le vaste parc ce pas mme soleil brûlant du soleil comme la jeunesse sous la domination de l'amour l'extase universel des choses ne s'exprime par aucun bruit les eaux elles mêmes sont comme endormi bien différente des fêtes humaine c'est ici une orgie silencieuse on dirait qu'une lumière toujours croissante fait de plus en plus est un seul et les objets que les fleurs excité brûle du désir de rivaliser avec l'azur du ciel par l'énergie de leurs couleurs et que la chaleur rendant visibles les parfums les fait monter vers l'astre comme des fumées cependant dans cette jouissance universel j'ai aperçu un être affligé au pied d'une colossale venus un de ces fous artificiel un de ces bouffons volontaires chargés de faire rire les rois quand le remords ou l'ennui les obsède affublé d'un costume éclatant est ridicule coiffées de cornes et de sonnettes tout ramassé contre le piédestal lève des yeux pleins de larmes vers l'immortel ds et ses yeux disent je suis le dernier et le plus solitaire des humains privés d'amour et d'amitié est bien inférieure en cela au plus un parfait des animaux cependant je suis fait moi aussi pour comprendre et sentir l'immortel beauté rare ds ayez pitié de ma maîtresse et de mon délire mais l'implacable venus regarde au loin je ne sais quoi avec ses yeux de marbre le chien et le flacon mon beau chien mon bon chien mon cher toutou approcher et venez respirer un excellent parfum acheté chez le meilleur parfumeur de la ville et le chien en frétillant de là que ce qui est je crois chez ces pauvres êtres le signe correspondant du rire et du sourire s'approche et pose de curieusement son et humide sur le flacon débouchés puis reculant soudainement avec effroi il aboie contre moi en manière de reproches la misérable chien si je vous avais offert un paquet d'excréments vous l'auriez flairé avec délice et peut être dévoré ainsi vous même indigne compagnon de ma triste vie vous ressemblez au public à qui il ne faut jamais présenté des parfums délicats qui l'exaspère mais des ordures soigneusement choisis le mauvais vitrier il y a des nature purement contemplative et tout à fait impropre à l'action qui cependant sous une impulsion mystérieuse et inconnue agissent quelquefois avec une rapidité dont elle se serait cru en elle même incapable tel qui craignant de trouver chez son concierge une nouvelle chérie nantes road lâchement une heure devant sa porte sans oser rentrée tels qu'ils gardent quinze jours une lettre sans la des caches tu es ou ne se résignent qu'au bout de 10 mois à opérer une démarche nécessaire depuis un an se sentent quelquefois brusquement précipité vers l'action par une force irrésistible comme la flèche d'un arc le moraliste et le médecin qui prétendent tout savoir ne peuvent pas expliquer d'où vient si subitement une si folle énergie à ces âmes paresseuse et voluptueuse et comment incapable d'accomplir les choses les plus simples et les plus nécessaires elle trouva une certaine minutes un courage de luxe pour exécuter les actes les plus absurdes et souvent même les plus dangereux un de mes amis le plus inoffensif ce rêveur qui est exister am il ne faut pas le feu à une forêt pour voir disait-il si le feu prenait avec autant de facilité qu'ont la firme généralement dix fois de suite l'expérience manca mais à la 11e elle réussit beaucoup trop bien un autre allure à un cigare à côté d'un tonneau de poudre pour voir pour savoir pour tenter la destinée pour se contraindre lui-même à faire preuve d'énergie pour faire le joueur pour connaître les plaisirs de l'anxiété pour rien par caprice par désoeuvrement c'est une espèce d'énergie qui jaillit de l'ennui et de la rêverie et ceux en qui elle se manifeste si inopinément sont en général comme je les 10 les plus indolent et les plus rêveurs des êtres un autre timide à ce point qu'ils baissent les yeux même devant les regards des hommes à ce point qui lui il faut rassembler toute sa pauvre volonté pour entrer dans un café où passer devant le bureau d'un théâtre où les contrôleurs lui paraissent investi de la majesté de minos des ac et de rats d'amante sauteur a brusquement au coût d'un vieillard qui passe à côté de lui et lembras sera avec enthousiasme devant la foule étonné pourquoi parce que parce que cette physionomie lui était irrésistiblement sympathique peut-être mais il est plus légitime ne supposez que lui-même il ne sais pas pourquoi j'ai été plus d'une fois victime de ces crises et de ses élans qui nous autorisent à croire que des démons malicieux se glissant nous et nous font accomplir à notre insu leur plus absurde volonté un matin je m'étais levé mossad triste fatigue et d'oisiveté et poussé me semblait-il à faire quelque chose de grand une action d'éclat et j'ouvre la fenêtre hélas observé je vous prie que l'esprit de mystification qui chez quelques personnes n'est pas le résultat d'un travail ou d'une combinaison mais d'une inspiration fortuite participants beaucoup ne fût ce que par l'ardeur du désir de cette humeur hystérique selon les médecins satanique selon ce qu'ils pensent un peu mieux que les médecins qui nous pousse sans résistance vers une foule d'actions dangereuses ou inconvenante la première personne que j'ai aperçu dans la rue ce fut un vitrier dans le cri perçant discordants monta jusqu'à moi à travers la lourde et salle atmosphère parisienne il me serait d'ailleurs impossible de dire pourquoi je fus pris à l'égard de ce pauvre homme d'une haine aussi soudaine que despotique et je lui criais de monter cependant je réfléchissais non sans quelques gaieté que la chambre étant au sixième étage et l'escalier fort étroit l'homme devait éprouver quelques peines à opérer son ascension est accroché en main pour droit les angles de sa fragile marchandise enfin il parut j'examine et curieusement toutes ses vitres et je lui dis comment vous n'avez pas de verres de couleur des verts roses rouges bleues des vitres magique des vitres de paradis impudent que vous êtes vous osez vous promener dans des quartiers pauvres et vous n'avez pas même des vitres qui fasse voir la vie en beau et je le poussais vivement vers l'escalier où il trébucha en grognant je m'approchais du balcon et je me saisis d'un petit pot de fleurs et quand l'homme reparu au débouché de la porte je laissais tomber perpendiculaire roman mon engin de guerre sur le rebord postérieur de ses crochets et le choc le renversant il acheva de briser sous son dos tout ça pauvre fortune ambulatoire qui rendit le bruit éclatant d'un palais de cristal crevé par la foudre et ivre de ma folie je lui criais furieusement la vie en beau la vie en beau ses plaisanteries nerveuse ne sont pas sans péril et on peut souvent les payer cher mais qu'importe que l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance à une heure du matin enfin seul on n'entend plus que le roulement de quelques fiacre attardé éreinté dans quelques heures nous posséderons le silence sinon le repos enfin la tyrannie de la race humaine a disparu et je ne souffrirai plus que par moi même enfin il met donc permis de me délasser dans un bain de ténèbres d'abord un double tour à la serrure il me semble que ce tour de clef augmentera ma solitude et fortifiera les barricades qui me séparent actuellement du monde horrible vie horrible ville récapitulons la journée avoir eu plusieurs hommes de lettres dont l'âme a demandé si l'on pouvait aller en russie par voie de terre il prenait sans doute la russie pour une île avoir disputé généreusement contre le directeur d'une revue qui à chaque objections répondait syfy si le parti des honnêtes gens ce qui implique tous les autres journaux sont rédigées par des coquins avoir salué une vingtaine de personnes dont 15 me sont inconnus avoir distribué des poignées de main dans la même proportion et cela sans avoir pris la précaution d'acheter des gants est remonté pour tuer le temps pendant une averse chez une sauteuse qui m'a prié de lui dessiner un costume de vénus trt avoir fait ma cour à un directeur de théâtre qui m'a dit en me congédiant vous feriez peut-être bien de vous adresser à z c'est le plus lourd le plus haut et le plus célèbre de tous les auteurs avec lui vous pourriez peut-être aboutir à quelque chose voyez le et puis nous verrons m vente et pourquoi de plusieurs glen actions que je n'ai jamais commise et avoir lâchement nier quelques autres méfaits que j'ai accompli avec joie délit de faux phare au nahd crime de respect humain avoir refusé à un ami un service facile et donné une recommandation écrite imparfait drôle au est bien fini mécontent de tous ces mécontents de moi je voudrais bien me racheter et m'enorgueillis un peu dans le silence et la solitude de la nuit âme de ce que j'ai aimé âmes de ceux que j'ai chanté fortifiée mois soutenez mois éloigné de moi le mensonge et les vapeurs corruptrice du monde et vous seigneur mon dieu accordez-moi la grâce de produire quelques beaux verres qui me prouver à moi même que je ne suis pas le dernier des hommes que je ne suis pas inférieure à ce que je méprise la femme sauvage et la petite maîtresse vraiment ma chère vous me fatiguez sur mesure et sans pitié on dirait à vous entendre soupiré que vous souffrez plus que les glaneuses sexagénaire est clé vieille mendiante qui ramassent des croûtes de pain à la porte des cabarets si au moins vous soupire exprimer leur mort ils vous ferai quelques honneurs mais ils ne traduisent que la satiété du bien-être et l'accablement du repos et puis vous ne cessez de vous répondre en paroles inutiles et mais moi bien j'en ai tant besoin consolez mois par ci caresser mois par la donne et je veux essayer de vous guérir nous en trouverons peut-être le moyen pour de sol au milieu d'une fête et sans aller bien loin considérons bien je vous prie cette solide cage de fer derrière laquelle s'agite hurlant comme un damné secouant les barreaux comme un orang outan exaspérés par l'exil imitant dans la perfection tantôt les bons circulaire du tigre tantôt les dandinement stupide de l'ours blanc ce monstre poilu dans la forme imite assez vaguement la vôtre ce monstre est un de ces animaux qu'on appelle généralement mon ange c'est à dire une femme l'autre monstre celui qui crie à tue-tête un bâton à la main est un mari il a enchaîné sa femme légitime comme une bête et la montre dans les faubourgs les jours de foire avec permission des magistrats cela va sans dire faites bien attention voyez avec quelle voracité non simulés peut-être elle déchire des lapins vivants et des volailles payante que lui jette son cornac allons dit il il ne faut pas manger tous sont bien en un jour et sur sept sages paroles il lui arrache cruellement la proie dont les boyaux dévider reste un instant accrochés aux dents de la bête féroce de la femme que je dire allons un bon coup de bâton pour la calmer car elle d'art des yeux terrible de convoitises sur la nourriture enlevé rang dieu le bâton n'est pas un bâton de comédie avez vous entendu résonner la chaire malgré le poil postiches aussi les yeux lui sortent maintenant de la tête elle hurle plus naturellement dans sa rage elle est un sel tout entière comme le fer combat telles sont les moeurs conjugale de ces deux descendants d'eve et d'adam ses oeuvres de vos mains oh mon dieu cette femme est incontestablement malheureuse quoique après tout peut-être les jouissances titillant de la gloire ne lui sera pas inconnu il y a des malheurs plus irrémédiable et sans compensation mais dans le monde où elle a été jetée elle n'a jamais pu croire que la femme mérite à une autre destinée maintenant à nous de chair précieuse à voir les enfers dans le monde est peuplé que voulez vous que je pense de votre joli enfer vous qu'il ne reposer que sur des étoffes aussi douce que votre peau qui ne manger que de la viande cuite et pour qui un domestique habile prend soin de découper les morceaux et que peuvent signifier pour moi tous ces petits soupirs qui conflue votre poitrine parfumé robuste coquette et toutes ces affections apprises dans les livres et cet infatigable mélancolie fait pour inspirer aux spectateurs un tout autre sentiment que la pitié en vérité il me prend quelquefois envie de vous apprendre ce que c'est que le vrai malheur à vous voir ainsi ma belle délicate les pieds dans la fange et les yeux tournés vaporeuse mans vers le ciel comme pour lui demander un roi on dirait vraisemblablement une jeune grenouille kit invoquerait l'idéal si vous méprisez le ce niveau ce que je suis maintenant comme vous savez bien garé la grue qui vous croquera vous cobra et vous tuera à son plaisir dans poète que je sois je ne suis pas aussi dupe que vous voudriez le croire et si vous me fatiguez trop souvent de vos précieuses pleurnicheries je voudrais en femme sauvage où je vous jetterait par la fenêtre comme une bouteille vide les foules il n'est pas donné à chacun de prendre un bain de multitudes jouir de la foule est un art et celui là seul peut faire aux dépens du genre humain une ribotte de vitalité à qui ne fait à insuffler dans son berceau le goût du travestissement et du masque la haine du domicile et la passion du voyage multitude solitude termes égaux et convertibles pour le poète actifs et fécond qui ne s'est pas peupler sa solitude ne sais pas non plus être seul dans une foule à ferrer le poète jouit de cette incomparable privilège qu'il peut à sa guise être lui même et autrui comme ces âmes errantes qui cherchent un corps il entre quand il veut dans le personnage de chacun pour lui seul tout est vacant et si de certaines places paraissent lui être fermé c'est qu'à ses yeux elles ne valent pas la peine d'être visité le promeneur solitaire et pensif tire une singulière ivresse de cet universel communion celui là qui épousent facilement la foule connaît des jouissances fiévreuse dons seront éternellement privé l'égoïste fermé comme un coffre et le paresseux interné comme un mollusque il adopte comme sienne toutes les professions toutes les joies et toutes les misères que la circonstance lui présente ce que les hommes nomme amour est bien petit bien restreint est bien faible comparé à cet ineffable orgie à cette sainte prostitution de l'âme qui se donne tout entière poésie et charité à l'imprévu qui se montre à l'inconnu qui passe il est bon d'apprendre quelquefois aux heureux de ce monde ne fût ce que pour humilier un instant leurs sauts orgueil qu'il ait des bonheurs supérieur au leur plus vaste et plus raffiné les fondateurs de colonies les pasteurs deux peuples les prêtres missionnaires exilé au bout du monde connaît sans doute quelque chose de ces mystérieuses ivresse et au sein de la vaste famille que leur génie c'est fait ils doivent rire quelquefois de ce qu'il est plein pour leur fortune si agitée et pour leur vie si chasse les veuves von arx dit que dans les jardins publics il aider à les hanter principalement par l'ambition déçue par les inventeurs malheureux par les gloires avortée par les coeurs brisés par toutes ces âmes tumultueuse et fermé en qui gronde encore les derniers soupirs d'un orage et qui reculent loin du regard insolent des joyeux et des oisifs ces retraites nombreuses sont les rendez-vous des éclopés de la vie c'est surtout vers ces lieux que le poète et le philosophe aime diriger leur avis de conjectures il y a là une pâture certaine car s'il est une place qu'il dédaigne de visiter comme je l'insinuait tout à l'heure c'est surtout la joie des riches cette turbulence dans le vide n'a rien qui les attire au contraire ils se sentent irrésistiblement entraîner vers tout ce qui est faible ruiné compte restée orphelins un oeil expérimentés ne s'y trompe jamais dansé très rigide ou abattus dans ses yeux cave et terne où briand des derniers éclair de la lutte dans ses rides profondes et nombreuses dans ces démarches si lente ou si saccadé il des chiffres tout de suite les innombrables légende de l'amour trompe et du dévouement méconnu des efforts non récompensés de la faim et du froid humblement silencieusement supporter avez vous quelques fois aperçu des veuves sur ses bancs solitaire des veuves pauvres quel soir un deuil ou non il est facile de les reconnaître d'ailleurs il y a toujours dans le deuil du pauvre quelque chose qui manque une absence d'harmonie qui le rend plus navrant il est contraint de lésiner sur sa douleur leriche porte la sienne au grand complet quelle est la veuve la plus triste et la plus attristante seul qui traîne à sa main un bambin avec qui elle ne peut pas partager sa rêverie ou celle qui est tout à fait seul je ne sais il m'est arrivé une fois de suivre pendant de longues heures 9e affligé de cette espèce celle là roide droite sous un petit chat le musée porter dans tout son être une fierté de stoïcienne elle était évidemment condamné par une absolue solitude à des habitudes de vieux célibataires et le caractère masculin de ses moeurs ajouté à un pic en mystérieux à leur austérité je ne sais dans quelle misérable café et de quelle façon elle déjeune à jeu l'a suivi au cabinet de lecture et jeux les pieds longtemps pendant qu'elle cherchait dans les gazettes avec des yeux actifs jadis brûlé par les larmes des nouvelles d'un intérêts puissants et personnel enfin dans l'après midi sous un ciel d'automne charmant un de ces ciel d'où descendent en full les regrets et les souvenirs elle s'assied à l'écart dans un jardin pour entendre loin de la foule un de ses concerts dont la musique des régiments gratifie le peuple parisien c'était sans doute là la petite débauche de cette vieille innocente ou de cette vieille purifier la consolation bien gagner d'une de ses lourdes journée sans amis sans causerie sans joie sans confident que dieu laissez tomber sur elle depuis bien des ans peut-être 365 fois par an une autre encore je ne puis jamais m'empêcher de jeter un regard sinon universellement sympathique au moins curieux sur la foule de paria qui se pressent autour de l'enceinte d'un concert public l'orchestré est à travers la nuit des champs de fait le triomphe de volupté les robes traîne miroitant les regards se croisent les oisifs fatigué de n'avoir rien fait se dandine feignant de déguster indolemment la musique ici rien que de riches de re rien qui ne respirait n'inspire l'insouciance et le plaisir de se laisser vivre rien excepté l'aspect de cette tourbe qui s'appuient là bas sur la barrière extérieur attrapant gratis au gré du vent un lambeau de musique et regardant l'étincelante fournaise intérieur c'est toujours choses intéressantes que ce reflet de la joie du riche au fond de la vie du pauvre mais ce jour là à travers ce peuple vêtus de blouses et d'indiennes j'aperçus un être dont la noblesse faisait un éclatant contraste avec toute la trivialité environnantes c'était une femme grande majestueuse et si noble dans tout son air que je n'ai pas souvenir d'avoir vu ça pareil dans les collections des aristocratique beauté du passé un parfum de hautaine vertus émaner de toute sa personne son visage triste et amaigri et est en parfaite accordance avec le grand deuil dont elles étaient revêtus elle aussi comme la plèbe à laquelle elles s'étaient mêlés et qu'elle ne voyait pas elle regardait le monde lumineux avec un deuil profond et l écouter en hochant doucement la tête singulière vision à coup sûr me dis-je cette pauvreté la cie ouvre t il y a ne doit pas admettre l'économie sordide ainsi noble visage mans répond pourquoi donc reste-t-elle volontairement dans un milieu où elle fait une tâche si éclatante mais en passant curieusement auprès d'elle je crée en deviner la raison la grande veuve tenait par la main un enfant comme elle vêtue de noir si modique le prix d'entrée ce prix il suffisait peut-être pour payer un des besoins du petit être mieux encore une super fuite est un jouet elle sera rentré à pied méditant erévan seul toujours seul car l'enfant et turbulent égoïste sans douceur et sans patience il ne peut même pas comme le pur animal comme le chien et le chat servir de confident aux douleurs solitaire le vieux saltimbanques par tous est allé se répandait s'ébaudit c'est le peuple en vacances c'était une de ces solennité sur lesquels pendant un long temps compte les saltimbanques les faiseurs de tours les montreurs d'animaux et les boutiquiers ambulants pour compenser les mauvais temps de l'année en ces jours là il me semble que le peuple oublie tout la douleur et le travail il devient pareille aux enfants pour les petits c'est un jour de congé c'est l'horreur de l'école renvoyait à 24 heures pour les grands c'est un armistice conclu avec les puissances malfaisante de la vie un répit dans la contention et la lutte universelle l'homme du monde lui-même et l'homme occupé de travaux spirituel échappe difficilement à l' influence de ce jubilé populaire il absorbe sans le vouloir leur part de cette atmosphère d'insouciance pour moi je ne manque jamais en vrai parisien de passer la revue de toutes les baraques qui se pavane à ces époques solonnel elle se faisait en vérité une concurrence formidable elle payait beuglait hurlaient c'était un mélange de cris de détonation de cuivre et d'explosions de fusée les rouges et les jo crise convulsé les traits de leur visage basané racornie par le vent la pluie et le soleil il lançait avec l'aplomb des comédiens sur de leurs effets des bons mots étaient plaisanterie d'un comics l'idée lourds comme celui de molière les hercules fier de l'énormité de leur membre sans front et sans crâne comme les orangs outans se prélasser majestueusement sous les maillots l'avait la veille pour la circonstance les danseuses belle comme des faits ou des princesses sauter cabriolet sous le feu des lanternes qui remplissaient leurs jupes d'étincelles tout n'était que lumière poussière crédit joie tumulte les uns dépenses et les autres gagner les uns et les autres également joyeux les enfants se suspendait aux jupons de leur mère pour obtenir quelques bâtons de sucre ou monte sur les épaules de leurs pairs pour mieux voir un escamoteurs éblouissant comme un dieu est partout circulait dominant tous les parfums une odeur de friture qui était comme le sens de cette fête au bout à l'extrême bout de la rangée de barak comme si on te il s'était exilé lui-même de toutes ses splendeurs je viens pauvre saltimbanques voûte est caduc décrépit une ruine d'hommes à dos et contraints des poteaux de sa cahute une cahute plus misérable que celle du sauvage le plus abouti et dont deux bouts de chandelles coulant et fumant éclairé trop bien encore la détresse partout la joie le gain la débauche partout la certitude du pain pour les lendemains partout l'explosion frénétique de la vitalité ici la misère absolue la misère affublé pour comble d'horreur de haillons comique où la nécessité bien plus que l'art avait introduit le contraste il ne riez pas le misérable il ne pleurait pas il ne dansait pas il ne gesticule est pas il ne criait pas il ne chantait aucune chanson ni gay ni lamentable il ne pleurait pas il était muet et immobile il avait renoncé il avait abdiqué sa destinée est fait mais quel regard profond inoubliable il promenait sur la foule et les lumières dont le flou mouvance arrêté à quelques pas de sa répulsive misère je senti ma gorge serrée par la main terrible de l'hystérie il me sembla que mes regards étaient offusqués par ces larmes rebelle qui ne veulent pas tomber que faire à quoi bon demander à l'infortuné quelle curiosité quelle merveille il avait à montrer dans ces ténèbres puantes derrière son rideau déchiqueté en vérité je n'osais et du la raison de ma timidité vous fait rire j'avouerai que je craignais de l'humilier enfin je venais de me résoudre à déposer en passant quelque argent sur une de ces planches espérant qu'il deviendrait mon attention quand un grand reflux de peuples causés par je ne sais quel trouble m'entraîna loin de lui et m'en retourne en obsédé par cette vision je cherchais à analyser ma soudaine douleur et je me dis je viens de voir l'image du vieil homme de lettres qui a survécu à la génération dont il fut le brillant amuseurs du vieux poète sans amis sans famille sans enfant dégradé par sa misère et par l'ingratitude public et dans la baraque de qui le monde oublieux ne veut plus entrer le gâteau je voyageais le paysage au milieu duquel j'étais placé était d'une grandeur et d'une noblesse irrésistible il en passe a sans doute en ce moment quelque chose dans mon âme mes pensées voltiger avec une légèreté égale à celle de l'atmosphère les patients vulgaire tels que la haine et l'amour profane m'apparaissait maintenant aussi éloignés que les nuées qui défilait au fond des abîmes sous mes pieds on a me semblait aussi vaste et aussi pure que la coupole du ciel dont j'étais envelopper le souvenir des choses terrestres n'arrivait à mon coeur est affaibli et diminuer comme leçon de la clochette des bestiaux à perceptible qui paie c'est long bien loin sur le versant d'une autre montagne sur le petit lac immobile le noir de son immense profondeur passe et quelquefois l'ombre d'un nuage comme le reflet du manteau d'un géant aérien volant à travers le ciel et je me souviens que cette sensation cela n'a l'air a causé par un grand mouvement parfaitement silencieux me remplissait d'une joie mêlée de peur bref je me sentais grâce à l'enthousiasmé de beauté d'ange étaient environnés en parfaite paix avec moi-même et avec l'univers je crois même que dans la parfaite béatitude et le monde total oublie de tout le mal terrestre j'en étais venu à ne plus trouver si ridicules les journaux qui prétendent que l'homme est naît bon qu'en la matière incurable renouvelant ses exigences je songeais à réparer la fatigue et à soulager l'appétit causée par une si longue ascension jeu tiré de ma poche un gros morceau de pain une tasse de cuir et un flacon d'incertaines élixir que les pharmaciens vendait dans ce temps-là aux touristes pour le mêler dans l'occasion avec de l'eau de neige je découpe et tranquillement mon pain quand un bruit très léger me fit lever les yeux devant moi se tenait un petit être des guenilles et noir est pourri faits dont les yeux creux farouche et comme suppliant dévorer le morceau de pain et je l'entendis soupiré d'une voix basse et rock le mot gâteau je ne pus m'empêcher de rire en entendant l'appellation il voulait bien honorer mon pain presque blanc et jean coupe est pour lui une belle tranche que je lui offrit lentement il se rapprocha ne quittant pas des yeux l'objet de sa convoitise puis apprend le morceau avec sa main ce recul a vivement comme si le crains que mon offre ne fut pas sincère ou que je mens repenti ceux déjà mais au même instant il fut culbuter par un autre petit sauvage sortie je ne sais d'où et si parfaitement semblable au premier qu'on aurait pu le prendre pauvre son frère jumeau ensemble ils roulaient sur le sol se disputant la précieuse 3 aucun ne voulant sans doute sacrifier la moitié pour son frère le premier est exaspéré empoigna le second par les cheveux celui ci lui saisit l'oreille avec les dents et en crache un petit morceau semblant avec un superbe jurons patois le légitime propriétaire du gâteau essaya d'enfance et ses petites griffes dans les yeux de l'usurpateur à son tour celui ci applique à toutes ses forces à étrangler son adversaire d'une main pendant que de l'autre il tâchait de glisser dans sa poche le prix du combat mais ravivé par le désespoir le vaincu se redresse à et fit rouler le vainqueur par terre d'un coup de tête dans l'estomac à quoi bon d'écrire une lutte hideuse qui durera en vérité plus longtemps que leurs forces enfantine ne semblait le promettre le cateau voyager demain en main échangée de poche à chaque instant mais hélas il changeait aussi de volume et lorsqu'enfin exténué haletant sanglant ils s'arrêtèrent par impossibilité de continuer il n'y avait plus à vrai dire aucun sujet de bataille le morceau de pain avaient disparu et il était éparpillée en miettes semblable au grain de sable auquel il était mêlé ce spectacle m'avait embrumé le paysage et la joie calme oc baudis et mon âme avant d'avoir vu ces petits hommes avaient totalement disparu j'en restais triste assez longtemps me répétant sans cesse il y a donc un pays superbe où le pain s'appelle du gâteaux friandises si rare qu'elle suffit pour engendrer une guerre parfaitement fratricide l'horloge les chinois voient leur dans l'oeil des chats un jour un missionnaire se promenant dans la banlieue de nankin s'aperçut qu'il avait oublié sa montre et demande un petit garçon de quelle heure il était le gamin du céleste empire mais hésitent à d'abord puis ce ravissant il répondit je vais vous le dire pezens temps après ils leur parut tenant dans ses bras un fort gros chat et le regardant comme on dit dans le blanc des yeux il affirma sans hésiter il n'est pas encore tout à fait midi ce qui était vrai pour moi si je me penche vers la belle féline l'a si bien nommé qui est à la fois l'honneur de son sexe l'orgueil de mon coeur et le parfum de mon esprit que ce soit la nuit que sur le jour dans la pleine lumière ou dans l'ombre opaque au fond de ses yeux adorable je vois toujours leur distinctement toujours la même une heure vaste solonnel grande comme l'espace sans division 2 minutes ni de seconde une heure immobile qui n'est pas marqué sur les horloges et cependant légère comme un soupir rapide comme un coup d'oeil et si quelqu'un porte un venait me déranger pendant que mon regard repose sur ce délicieux cadran si quelques génies malhonnête et intolérant quelques démons du contretemps venait me dire que regarde tu là avec tant de soin que cherches-tu dans les yeux de cet être y vois tu leur mortels prodigués fainéants je répondrai sans hésiter oui je vois leur île et l'éternité n'est ce pas madame nous voici un madrigal vraiment méritoire et aussi emphatique que vous même en vérité j'ai eu tant de plaisir à broder cette prétentieuse galanterie que je ne vous demanderai rien en échange un hémisphère dans une chevelure la semoy respirer longtemps longtemps l'odeur de tes cheveux il plongeait tout mon visage comme un homme altéré dans l'eau d'une source et les agités avec ma main comme un mouchoir odorant pour secouer des souvenirs dans l'air si tu pouvais savoir tout ce que je vois tout ce que je sens tout ce que j'entends dans tes cheveux mon âme voyage sur le parfum comme l'âme des autres hommes sur la musique des cheveux contiennent tout un rêve plein de voitures et de mature ils contiennent de grandes mères dont les moussons me portent vers deux charmants climat où l'espace est plus bleu est plus profond où l'atmosphère est parfumé par les fruits par les feuilles et par la peau humaine dans l'océan de ta chevelure j'entrevois un port fourmillant de chant mélancolique d'hommes vigoureux de toute nation et de navires de toutes formes découpant leur architecture fine et compliqué sur un ciel immense où se prélassent l'éternel chaleur dans les caresses de ta chevelure je retrouve les longueurs des longues heures passées sur un divan dans la chambre d'un beau navire bercé par le roulis imperceptible du port entre les pots de fleurs et les gargoulette rafraîchissante dans l'art dans foyer de ta chevelure je respire l'odeur du tabac mais les à l'opium et au sucre dans la nuit de ta chevelure je vois resplendir l'infini de l'azur tropicale sur les rivages du vt de ta chevelure je m'enivre des odeurs combiné du goudron du musc et de l'huile de coco laisse-moi mordre longtemps détresse lourde et noir quand je mords 10 des cheveux élastique rebelles il me semble que je mange des souvenirs l'invitation au voyage il est un pays superbe un pays de cocagne dit on que je rêve de visiter avec une vieille amie pays singulier et noyé dans les brumes de notre nord et qu'on pourrait appeler l'orient de l'occident la chine de l'europe dans la chaude et capricieuse fantasy xi et donner carrière tant elle l'a patiemment et opiniâtrement illustré de ses savantes et délicate végétation un vrai pays de cocagne où tout est beau riche tranquille honnête où le luxe a plaisir à se mirer dans l'ordre où la vie est grasse et douce à respirer d'où le désordre la turbulence et l'imprévu sont exclues ou le bonheur est mariée au silence ou la cuisine elle-même et politique grâce et excitante à la fois où tout vous ressemble mon cher ange tu connais cette maladie fiévreuse qui s'empare de nous dans les froides misère et de nostalgie du pays qu'on ignore cette angoisse de la curiosité il est une contrée qui te ressemble où tout est beau riche tranquille et honnête où la fantaisie abati et décorer une chine occidentale où la vie est douce à respirer ont le bonheur est mariée au silence c'est là qu'il faut aller vivre c'est là qu'il faut aller mourir oui c'est là qu'il faut aller respirer rêver et allonger les heures par l'infini des sensations un musicien a écrit l'invitation à la valse lse lui composera l'invitation au voyage on puisse offrir à la femme aimée à la soeur d'élections oui c'est dans cette atmosphère qu'il ferait bon vivre là bas où les heurs plus lente contiennent plus de pensée où les horloges sonne le bonheur avec une plus profonde et plus significatives solennité sur des panneaux louise ans ou sur des cuirs dorés et d'une richesse sombre vivent discrètement des peintures béate calme et profondes comme les âmes des artistes qu'ils et créèrent les soleils couchants qui colore si richement la salle à manger où le salon sont amusés par de belles étoffes ou par ses hautes fenêtres ouvrages et que le plomb divise en nombreux compartiments les meubles sont basses curieux bizarre armée de serrures et de secret comme des âmes raffiner les miroirs les métaux les étoffes l'orfèvrerie et la faïence y joue pour les yeux une symphonie muette et mystérieuse et de toute chose de tous les coins des fissures des tiroirs et des plis des étoffes s'échappe un parfum singulier un revenez-y de sumatra qui est comme l'âme de l'appartement un vrai pays de cocagne de diges où tout est riche propre et luisant comme une belle conscience comme une magnifique batterie de cuisine comme une splendide orfèvrerie comme une bijouterie bariolés et trésors du monde y affluent comme dans la maison d'un homme laborieux et qui a bien mérité du monde entier pays singulier supérieur aux autres comme la relaient à la nature où celle ci est réformé par le rêve ou à les corriger embellie refondu qu'il cherche qu ils cherchent encore qu'il recule sans cesse les limites de leur bonheur ces alchimistes de l'horticulture qu'ils proposent des prix de 60 et 200 mille florin pour qui résoudra leur ambitieux problème moi j'ai trouvé ma tunique noire et monde alia bleus fleurs incomparable tulipes retrouver allégorique d'allier asselah n'est ce pas dans ce beau pays si calme et si rêveur il faudrait aller vivre et fleurir ne serais tu pas encadrées dans ton analogies et ne pourrais tu admires et pour parler comme les mystiques dans ta propre correspondance des rêves toujours des rêves et plus l'âme est ambitieuse et délicate plus les rêves l'éloignent du possible chaque homme porte en lui sa dose d'opium naturel incessamment sécréter est renouvelé et de la naissance à la mort combien quand on other rempli par la jouissance positive par l'action réussi et décider vivrons-nous jamais passerons-nous jamais dans ce tableau cas pas mon esprit ce tableau qui te ressemblent ces trésors ses meubles ce luxe cet ordre ses parfums ses fleurs miraculeuse c'est toi c'est encore toi ses grands fleuves et ses canaux tranquille c'est énorme navire qu'il charrie tout chargé de richesses et de monte les champs monotone de la manoeuvre ce sont mes pensées qui dorment ou qui roule sur un an sont tus les conduit doucement vers la mer qui est l'infini tout en réfléchissant les profondeurs du ciel dans la limpidité de ta belle âme et quand fatigué par la roue l'égorger de produits de lorient il rentre au port natale se sont encore mes pensées enrichi qui reviennent de l'infini bertoua des rêves toujours des rêves et plus l'âme est ambitieuse et délicate plus les rêves l'éloignent du possible chaque homme porte en lui sa dose d'opium naturel incessamment sécréter et renouveler et de la naissance à la mort combien quand on nous donne rempli par la jouissance positive par l'action réussi et décider vivrons-nous jamais passerons-nous jamais dans ce tableau cas pas mon esprit ce tableau qui te ressemblent ces trésors ses meubles ce luxe cet ordre ses parfums ses fleurs miraculeuse c'est toi c'est encore toi ses grands fleuves et ses canaux 30 il c'est énorme navire qu'il charrie tout chargé de richesses et de monte les champs monotone de la manoeuvre ce sont mes pensées qui dorment ou qui roule sur rance en tulle et conduit doucement vers la mer qui est l'infini tout en réfléchissant les profondeurs du ciel dans la limpidité de ta belle âme et quand fatigué par la roue l'égorger de produits de lorient il rentre au port natale se sont encore mes pensées enrichi qui reviennent de l'infini bertoua le joujou du pauvre je veux donner l'idée d'un divertissement innocent il y ait si peu d'amusement qui ne soit pas coupable quand vous sortirez le matin avec l'intention décidé de flâner sur les grandes routes remplissez vos poches de petites inventions à un sol tels que le polichinelle plat mû par un seul fils les forgerons qui bat l'enclume le cavalier et son cheval dans la cueillette un sifflet et le landais cabaret au pied des arbres fête en hommage aux enfants inconnu et pauvres que vous rencontrerez vous verrez leurs yeux s'agrandir démesurément d'abord ils n'oseront pas prendre il douteront de leur bonheur puis leurs mains à grippe auront vivement le cadeau et ils s'enfuiront comme font les chats qui vont manger loin de vous le morceau que vous leur avez donné ayant appris à se défier de l'homme sur une route derrière la grille d'un vaste jardin au bout duquel apparaît c'est la planche heures d'un joli château frappé par le soleil se tenait un enfant beau et frais habillé de ses vêtements de campagne si plein de coquetterie le luxe l'insouciance et le spectacle habituel de la richesse rendre ses enfants la si jolie qu'on les croirait fait d'une autre pâte que les enfants de la médiocrité ou de la pauvreté à côté de lui gisait sur l'herbe un joujou splendide aussi frais que son maître vernis de ré vêtue d'une robe pourpre et couverts de plumes et et de verroterie mais l'enfant ne s'occupait pas de son juges ont préféré et voici ce qu'il regardait de l'autre côté de la grille sur la route entre les chardons et les orties il y avait un autre enfant salle chétif fuligineux un de ses marmots paria dont un oeil impartiale découvrirez la beauté si comme l'oeil du connaisseur devine une peinture idéal sous un vernis de carrossier il le nettoyait de la répugnante patine de la misère à travers ses barreaux symbolique séparant de monde la grande route et le château l'enfant pauvre montrer à l'enfant riches sont propres joujou que celui-ci examiné alignement comme un objet rare est inconnue or ce joujou que le petit souillon agacé agitée et secouer dans une boîte grillé c'était un rat vivant les parents par économie sans doute avait tiré le joug de la vie elle-même et les deux enfants seraient l'un à l'autre fraternellement avec des dents d'une égale blancheur les dons des faits c'était grande assemblée des faits pour procéder à la répartition des dons parmi tous les nouveaux nés arrivé à la vie depuis 24 heures toutes ces antiques et capricieux soeur du destin toutes ces mères bizarre de la joie et de la douleur était fort diverses les unes avaient l'air sombre et rechigner les autres 1ère folâtrer malins les une jeune qui avait toujours été jeunes les autres vieilles qui avait toujours été viennent tous les pères qui ont foi dans les faits étaient venus chacun important son nouveau-né dans ses bras les dons les facultés les bons hasard les circonstances invincible étaient accumulés à côté du tribunal comme les prix sur l'estrade dans une distribution de prix ce qu'il y avait ici de particulier c'est que les deux n'étaient pas la récompense d'un effort mais tout au contraire une grâce accordée à celui qui n'avait pas encore vécu une grasse pouvant déterminer sa destinée et devenir aussi bien la source de son malheur que de son bonheur les pauvres fait était très affairé car la foule des solliciteurs était grande et le monde intermédiaire placé entre l'homme et dieu est soumis comme nous à la terrible loi du temps et de son infinie postérité les jours les heures les minutes les seconds en vérité elle était aussi à ulrich des ministres un jour d'audience où des employés du mont-de-piété quand une fête nationale autorise les dégagements gratuit je crois même qu'elle regardait de temps à autres l'aiguillé de l'horloge avec autant d'impatience que des juges humain qui siégeant depuis le matin ne peuvent s'empêcher de rêver au dîner à la famille et à leurs chères pantoufles si dans la justice surnaturel il y a un peu de précipitation et de hasard ne nous étonnons pas qu'il en soit de même quelques fois dans la justice humaine nous serions nous mêmes en ce cas des jugent injuste aussi furent commises ce jour là quelques bourdes qu'on pourrait considérer comme d'izard si la prudence plutôt que le caprice était le caractère distinctif éternel des faits ainsi la puissance d'attirer magnétiquement la fortune fut adjugée à l'héritier une et que d'une famille très riche qui n'étant doué de 15 sens de charité non plus que d' aucune convoitise pour les biens les plus visibles de la vie devait se trouver plus tard prodigieusement embarrassé de ces millions ainsi furent donné l'amour du beau et de la puissance poétique office d'un sombre que carrie et de son état qui ne pouvait en aucune façon aider les facultés ni soulager les besoins de sa déplorable progéniture j'ai oublié de vous dire que la distribution en ces cas solonnel est sans appel et qu'aucun don ne peut être refusé toutes les faits se levait croyons leurs corvées accompli car il ne restait plus aucun cadeau aucune largesses à jeter à tous se frotte un humain quand un brave homme un pauvre petit commerçant je crois se leva et empoignant par sa robe de vapeur multicolores la fée qui était le plus à sa portée s'écria est madame vous nous oublier il ya encore mon petit je ne veux pas être venu pour rien la fée pouvait être embarrassée car il ne restait plus rien cependant elle se souvint attendent une loi bien connu quoique rarement appliquée dans le monde surnaturel habité par céder it et impalpable ami de l'homme est souvent contraintes de s'adapter à ses passions telle que les faits les gnomes les salamandres les sylphides les sylphes les knicks les ondes 1 et les ondines je veux parler de la loi qui concède au fait dans un cas semblable à celui ci c'est à dire le cas d'épuisement des lots la faculté d'en donner encore un supplémentaire est exceptionnel pourvu toutefois qu'elle est l'imagination suffisante pour le créer immédiatement donc la bonne fée répondit avec un aplomb digne de son rang je donne à mon fils je lui donne le don de plaire et terre comme en mer l'air pourquoi demanda opiniâtrement le petit boutiquier qui était sans doute un de ces réseaux nurses' comme un incapable de s'élever jusqu'à la logique de l'absurde parce que parce que réplique à la feco rousset en lui tournant le dos et rejoignent le cortège de ses compagnes elle leur disait comment trouvez-vous ce petit français vaniteux qui veut tout comprendre et qui ayant obtenu pour son fils le meilleur des lots aux encore interroger et discuter l'indiscutable les tentations ou eros plus et la gloire deux superbes satan et une diablesse no - extraordinaire on la nuit dernière monte l'escalier mystérieux par ou l'enfer donne à sow à la faiblesse de l'homme qui dort et communiquent en secret avec lui et ils sont venus se poser blot rieuse mans devant moi debout comme sur une estrade une splendeur sulfureuse émanait de ces trois personnages qui se détachaient ainsi du fond opaque de la nuit il avait l'air si fiers et si pleins de domination que je les prie d'abord tous les trois pour de vrai dieu le visage du premier satan était d'un sexe ambiguë et il y avait aussi dans les lignes de son corps la mollesse des anciens bacchus cebolla languissant d'une couleur ténébreuse et indécise ressembler à des violettes charger encore des lourds pleurs de l'orage et ses lèvres entrouvertes à des casseurs est chaude douce exhalait la bonne odeur d'une parfumerie et à chaque fois qu'il soupirait des insectes musquet s'illuminait en vo le temps aux ardeurs de son souffle autour de sa tunique de pourpre été roulé en manière de ceinture un serpent chatoyant qui la tête relevé tournée langoureusement vers lui ses yeux de braise à cette ceinture vivantes étaient suspendus alternant avec des fioles plein de liqueur sinistre de briand couteaux et des instruments de chirurgie dans sa main droite il tenait une autre fioles dans le contenu était d'un rouge lumineux et qui portait pour étiquettes ces mots bizarres buvez ceci est mon sang un parfait cordiale dans la gauche un violon qui lui servait sans doute à chanter ses plaisirs et ses douleurs et à répandre la contagion de sa folie dans les nuits de sabha à ses chevilles délicate traîner quelques anneaux d'une chaîne d'or rompu et quand la gêne qui en résulte est le forcer à baisser les yeux vers la terre il contemplait vaniteusement les ongles de ses pieds brillants et polis comme des pierres bien travaillé il me regarda avec ses yeux inconsolable mans navré d'où s'écoule et une insidieuse ivresse et il me dit d'une voix chantante si tu veux si tu veux je te ferai le seigneur des âmes et tu seras le maître de la matière vivante plus encore que le sculpteur peut l'être de l'argile et tu connaîtras le plaisir sans cesse renaissante de sortir de toi même pour oublier dans autrui et d'attirer les autres femmes jusqu'à les confondre avec la tienne et je lui répondis grand merci je n'ai que faire de cette pacotille d'être qui sans doute ne valent pas mieux que mon pauvre mois bien que j'ai quelques on a me souvenir je ne veux rien oublié et quand même je ne te connaîtraient pas vieux monstre la mystérieuse coutellerie des fioles équivoque les chaînes dont les pieds sont empêtrés sont des symboles qui explique assez clairement les inconvénients de ton amitié gardes étaient présents le second satan n'avait ni ses terres à la fois tragique et souriant nice est belle manière insignifiante ni cette beauté délicate et parfumée c'était un homme vaste agro visage sans yeux dont la lourde bedaine surplomber les cuisses et dont toute la peau et est doré et illustré comme d'un tatouage d'une foule de petites figures mouvante représentant les formes nombreuses de la misère universel il y avait de petits hommes et flanqué qui se suspendait volontairement à un clou il y avait de petits gnomes difforme maigre dont les yeux suppliant réclamé l'aumône mieux encore que leurs mains tremblantes et puis de vieilles mères portant des avorton accrochés à leurs mamelles exténué il y en avait encore bien d'autres le grosse attente ap avec son poing sur son immense ventre d'où sortait alors un long et retentissant cliquetis de métal qui se terminait en un vague gémissements fait de nombreuses voix humaine il riait en montrant impudemment ses dents gâtées d'un énorme rire imbéciles comme certains hommes de tous les pays quand ils ont trop bien dîners et celui là me dis je puis te donner ce qui obtient tout ce qui vaut tous ceux qui remplacent tous il t'a pas sur son ventre monstrueux dont l'écho sonore qui le commentaire de sa grossière parole je me détourner avec dégoût et je répondis je n'ai besoin pour ma jouissance de la misère de personnes et je ne veux pas d'une richesse attristé comme un papier de tentures de tous les malheurs représenté sur ta peau quant à la diablesse je mentirais si je n'avais pas qu'à première vue je lui trouvais un blizzard charme pour définir ce charme je ne serai le comparer à rien de mieux qu à celui des très belles femmes sur le retour il cependant ne vieillissent plus et dont la beauté garde la magie pénétrante des ruines elle avait l'air à la fois impérieux et dé guingamp d et c ie quoique a battu contenait une force fascinate rice ce qui me frappe a le plus ce fut le mystère de sa voie dans laquelle je retrouvais le souvenir des contres alti les plus délicieux et aussi un peu de l'enrouement des gosiers incessamment lavé par l'eau de vie veux-tu connaître ma puissance 10 la fosse ds avec sa voix charmante et paradoxale écoute et l embouche a alors une gigantesque trompette enrubanné comme un mirliton des titres de tous les journaux de l'univers et à travers cette trompette elle crie à mon nom qui roule à 1,6 à travers l'espace avec le bruit de 100000 tonnerre et me revint répercuté par l'écho de la plus lointaine planète diable fige à moitié subjugué voilà qui est précieux mais en examinant plus attentivement la séduisante virago et me sembla vaguement que je la reconnais c'est pour l'avoir vu trinquant avec quelques drôles de ma connaissance et le son rauque du cuivre a porta à mes oreilles je ne sais quel souvenir d'une trompette prostituées aussi je répondis avec tout le monde et d'un 20 ans je ne suis pas fait pour épouser la maîtresse de certains que je ne veux pas nommer certes d'une si courageuse abnégation et j'avais le droit d'être fiers mais malheureusement je me réveillais et toute ma force ma bandeau n'a en vérité me dis-je il fallait que je fusse bien lourdement assoupi pour montrer de tels scrupules art s'il pouvait revenir pendant que je suis éveillé je ne ferai pas tant le délicat et je les invoquer à haute voix les suppliant de me pardonner leur offrant de me déshonorait aussi souvent qu'il le faudrait pour mériter leur faveur mais je les avais sans doute fortement aux français car ils ne sont jamais revenus le crépuscule du soir le jour tombe un grand apaisement se fait dans les pauvres esprits fatigués du labeur de la journée et leurs pensées prennent maintenant les couleurs tendres et indécise du crépuscule cependant du haut de la montagne arrive à mon balcon à travers les nus transparente du soir un grand hurlements composé d'une foule de cris discordants que l'espace transforme en une lugubre harmonie comme celle de la marée qui monte ou d'une tempête qui s'éveille quels sont les infortunés que le soir ne calme pas et qu'ils prennent comme les hiboux la venue de la nuit pour un signal de saab à cette sinistre ulule à sion nous arrive du noir auspices perché sur la montagne et le soir en fumant et en contemplant le repos de l'immense ballet hérisset de maisons dont chaque fenêtre dit c'est ici la paix maintenant c'est ici la joie de la famille je puis quand le vent souffle de là où bercé ma pensée est sonné à cette imitation des harmonies de l'enfer le crépuscule excite les foules je me souviens que j'ai eu deux amis que le crépuscule rendait tout malade l'un mais connaissait alors tous les rapports d'amitié et de politesse et mal traitée comme un sauvage le premier venu je l' ai vu jeter à la tête d'un maître d'hôtel un excellent poulet dans lequel ils croyaient voir je ne sais quelle insulte en hiéroglyphes le soir précurseur des voluptés profonde lui gâtés les choses les plus succulentes l'autre un ambitieux blessés devenait à mesure que le jour baissait plus aigre plus sombre plus taquins indulgent et sociable encore pendant la journée il était impitoyable le soir et ce n'était pas seulement sur autrui mais aussi sur lui-même que s'exercer rageusement samani crépusculaire le premier est mort fou incapable de reconnaître sa femme et son enfant le second portant lui l'inquiétude d'un malaise perpétuel et futile gratifié de tous les honneurs que peuvent conférer les républiques et les princes je crois que le crépuscule à l'humour est encore en lui la brûlante envie de distinction imaginaire la nuit qui mettait ses ténèbres dans leur esprit fait la lumière dans le mien est bien qu'il ne soit pas rare de voir la même cause engendrer des effets contraires j'en suis toujours comme intrigué et à l'armée aux nuits au rafraîchissante aux ténèbres vous êtes pour moi le signal d'une fête intérieur vous êtes la délivrance d'une angoisse dans la solitude des plaines dans les labyrinthes pierreux d'une capitale scintillement des étoiles explosion des lanternes vous êtes le feu d'artifice de la déesse liberté crépuscule comme vous êtes doux et tendre les lueurs rose qui traînent encore à l'horizon comme l'agonie du jour sur l'oppression victorieuse de sa nuit les feux des candélabres qui font des tâches d'un rouge opaque sur les dernières gloire du couchant les lourdes draps peu ric une main invisible attire des profondeurs de lorient imite tous les sentiments compliqués qui luttent dans le coeur de l'homme hauser solennel de la vie on dirait encore une de ses robes étrange de danseuses ou une gaze transparente et sombre laisse entrevoir les splendeurs amorti d'une jupe éclatante comme sous le noir présent transperce le délicieux passé et les étoiles vacillante d'or et d'argent dont l esm et représentent ces feux de la fantaisie qui ne s'allume bien que sous le deuil profond de la nuit la solitude un gaz au thier philanthrope me dis que la solitude est mauvaise pour l'homme et à l'appui de sa thèse il cite comme tous les incrédules des paroles des pères de l'église je sais que le démon fréquente volontiers les lieux arides et que l'esprit de meurtre et de lubricité s'enflamme merveilleusement dans les solitudes mais il serait possible que cette solitude ne fut dangereuse que pour la monsoise iv divagante qui la peuplent de ses passions et de ses chimères il est certain qu un bavard dont le suprême plaisir consiste à parler du haut d'une chair ou d'une tribune risquez fort de devenir fou furieux dans l'île de robinson je n'exige pas de mon gazetiers les courageuses vertu de crusoé mais je demande qu'il ne décrète pas d'accusation les amoureux de la solitude et du mystère il y a dans nos races jackass hier des individus qui accepterait avec moins de répugnance le supplice suprême s'il leur était permis de faire du haut de l'échafaud une copieuse harangue sans craindre que les tambours de santerre ne leur compass intempestivement la parole je ne les plains pas parce que je devine que leurs effusions oratoire leur procure des voluptés égale à celle que d'autres tirs du silence et du recueillement mais je les méprise je désire surtout que mont maudit gazetiers melesse m'amuser à ma guise vous n'éprouvez donc jamais me dit-il avec un ton donné très apostolique le besoin de partager vos jouissance voyez-vous le subtil envieux il sait que je dédaigne les siennes et il vient s'insinuer dans les miennes lehideux trouble fête ce grand malheur de ne pouvoir être seul ni quelque part la bruyère comme pour faire honte à tous ceux qui courent s'oublier dans la foule craignant sans doute de ne pouvoir se supporter eux mêmes reste que tous nos malheurs nous viennent de n'avoir pas su rester dans notre chambre dit à notre sage pascal je crois rappelant ainsi dans la cellule du recueillement tout s'est affolé qui cherchent le bonheur dans le mouvement et dans une prostitution que je pourrais appeler fraternité si je voulais parler la belle langue de mon siècle les projets il se disait en se promenant dans un grand parc solitaire comme elle se révèle dans un costume de cour compliqué fastueux descendant à travers l'atmosphère d'un beau soir les degrés de marbre d'un palais en face des grandes pelouses et des bassins car elle a naturellement l'air d'une princesse en passant plus tard dans une rue il s'arrêta devant une boutique de gravure et trouvant dans un carton une estampe représentant un paysage tropical il se dit non ce n'est pas dans un palais que je voudrais posséder sa chaire vie nous n'y serions pas chez nous d'ailleurs ces murs criblés d'or ne laisserai pas une place pour accrocher son image dans ces solonnel galerie il n'y a pas un coin pour l'intimité décidément c'est là qu'il faudrait demeurer pour cultiver le rêve de ma vie et tout en en analysant des yeux les détails de la gravure il continue et mentalement au port de la mer une belle case en bois enveloppé de tous ces arts au blizzard et luisant dont j'ai oublié les noms dans l'atmosphère une odeur enivrante indéfinissable dans la case un puissant parfum de rose et de muscle loin derrière notre petit domaine des bouts de maba lancés par la foule autour de nous au delà de la chambre éclairé d'une lumière rose tamisée par les stores décoré de notes fraîches et de fleurs capiteuse avec de rares au siège maroco portugais d'un poids lourd et ténébreux on leur posera si calme c'est bien éventé fumant le tabac légèrement opiacés ou delà de la varende le tapage des zozos ivre de lumière et le jacassements des petites négresse la nuit pour servir d'accompagnement un message le chant plaintif des arbres à musique des mélancoliques filaos oui en vérité c'est bien là le décor que je cherchais déjà faire de palais et plus loin comme il suivait une grande avenue il a perçu une auberge propres aides ou d'une fenêtre égayée par des rideaux d'indiennes bariolés se penchait de tête rieuse et tout de suite il faut se dit il comme à penser soit une grande vagabonde pour aller chercher si loin ce qui est si près de moi le plaisir le bonheur sont dans la première auberge venu dans l'auberge du hasard si féconde en volupté un grand feu défaillance voyante un souper passable un vin rude et un lit très large avec des draps un peu âpre mais ferait quoi de mieux et on rentre en seul chez lui à cette heure où les conseils de la sagesse ne sont plus étouffée par les bourdonnements de la vie extérieure il se dit j'ai eu aujourd'hui en rêve trois domiciles où j'ai trouvé un égal plaisir pourquoi contraindre mon corps a changé de place puisque mon âme voyage si lestement ya quoi bon exécuter des projets puisque le projet est en lui même une jouissance suffisante label dorothée le soleil accable la ville de sa lumière droite est terrible le sable est éblouissant et la mer miroite le monde stupéfié s'affaisse lâchement et fait la sieste une sieste qui est une espèce de mort savoureuse où le dormeur admis éveillé gouttes les voluptés de son anéantissement cependant dorothée fort et fier comme le soleil s'avance dans la rue déserte seules vivant à cette heure sous l'immense azur et faisant sur la lumière comme une attache éclatante et noir elle s'avance balançant mollement sont or ceux-ci mains sur ses hanches aussi large sa robe de soie collante d'un ton clair et rose tranche vivement sur les ténèbres de sa peau et moules exactement sa taille aux longues son dos creux et sa gorge pointus sont enbrel rouge tamisant la lumière projette sur son visage sombre le phare semblant de ses reflets le poids de son énorme chevelure presque bleu tire en arrière sa tête délicate et lui donne un air triomphant et paresseux de lourdes pendeloques gazouille secrètement assez mignonne aux oreilles de temps en temps la brise de mer soulève par le coin sa jupe flottante et montre sa jambe luisantes est superbe et son pied pareil au pied des déesses de marbre que l'europe en ferme dans ses musées imprime fidèlement sa forme sur le sable fin car dorothée et si prodigieusement coquette que le plaisir d'être admiré l'emportent chez elle sur l'orgueil de la franchise et bien qu'elle soit libre elle marche sans souliers elle s'avance ainsi harmonieusement heureuse de vivre et souriant d'un blanc sourire comme si elle apercevait au loin dans l'espace un miroir reflétant sa démarche et sa beauté à l'heure où les chiens eux mêmes gémit de douleur sous le soleil qu'il est mort quel puissant motif est donc allé ainsi la paresseuse dorothée belle et froides comme le bronze pourquoi at elle quitté sa petite case si complètement arranger dont les fleurs et les nattes fonds a si peu de frais un parfait boudoir où elle prend autant de plaisir à se baigner à fumer à se faire et vanter ou à se regarder dans le miroir de ses grand éventail de plumes pendant que la mère qui bat la plage à 100 pas de la fe à ses rêveries indécise impuissant et monotone accompagnement et que la marmite de fer ou cuits un ragoût de crabes ory et au safran lui envoie du fond de la cour ses parfums excitant peut-être at-elle un rendez vous avec quelques jeunes officiers qui sur des plages de lointaines a entendu parler par ses camarades de la célèbre dorothée infailliblement est le prirent à la simple créatures de lui décrire le bal de l'opéra et lui demandera si on peut y aller pieds nus comme aux danses du dimanche où les vieilles kaffrine elle-même deviennent ivre et furieuse de joie et puis encore si les balles dame de paris sont toutes plus belle qu'elle dorothée est admiré et choyé de tous et elle serait parfaitement heureuse si elle n'était obligée d'en passer piastres sur piastres pour racheter sa petite soeur qui a bien onze ans et qui déjà mûr est si belle elle réussira sans doute la bonne dorothée le maître de l'enfant ici à vars trop avare pour comprendre une autre beauté que celle des écus les yeux des pauvres à vous voulez savoir pourquoi je vous ai aujourd'hui il vous sera sans doute moins facile de le comprendre qu'à moi de vous l'expliquer car vous êtes je crois le plus bel exemple d'imperméabilité féminine qui se puisse rencontrer nous avions passé ensemble une longue journée qui m'avait paru courte nous étions bien promis que toutes nos pensées nous serait commune à l'un et à l'autre et que nos deux âmes désormais n'en ferait plus qu'une un rêve qui n'a rien d'original après tout si ce n'est que rêvée par tous les hommes il n'a été réalisé par aucun le soir un peu fatigué vous voulu te vous asseoir devant un café 9 qui formaient le coin d'un boulevard 9 encore tout plein de gras voix et montrant déjà glorieusement ses splendeurs inachevé le café est un seul est le gaz lui-même il déployait toute l'ardeur d'un début et éclairé de toutes ses forces les murs aveugles en de blancheur les nappes éblouissante des miroirs les ors des baguettes et des corniches les pages aux joues rebondies traîné par les chiens en laisse les dames riant aux faucons perchés sur leur coin les nymphes et les déesses portant sur leur tête des fruits des pâtés et du gibier les bébés et les ganymède présentant à bras tendu la petite enfance à bavaroise ou l'obélisque bicolore des glaces panaché toute l'histoire est toute la mythologie mise au service de la goinfrerie droit devant nous sur la chaussée était planté un brave homme d'une quarantaine d'années au visage fatigué à la barbe grisonnante tenant d'une main un petit garçon et portant sur l'autre bras un petit être trop faible pour marcher il remplissait l'office de bonnes et faisait prendre à ses enfants l'air du soir tous en guenilles ces trois visages étaient extraordinairement sérieux et ses 6 ie contempler fixement le café nouveau avec une admiration égal mais nuance est diversement par l'âge les yeux du père disait cpo que c'est beau on dirait que tout l'or du pauvre monde est venu se porter sur ses murs les yeux du petit garçon que c'est beau que c'est beau mais c'est une maison peuvent se rentrer les gens qui ne sont pas comme nous quant aux yeux du plus petit église des troupes quant aux yeux du plus petit il était trop fasciné pour exprimer autre chose qu'une joie stupide et profonde les chansonniers disent que le plaisir en l'homme bonne et lamouchi le choeur la chanson avez raison ce soir là relativement à moi non seulement j'étais attendri par cette famille et dieu mais je me sentais un peu honte de nos verres et de nos carafe plus grand que notre soif je tournais mes regards vers les vôtres cher amour pour y lire ma pensée le plonger dans vos yeux si beau et si bizarre au monde ou dans vos yeux verts habité par le caprice est inspiré par la lune quand vous me dites ces gens là me sont insupportables avec leurs yeux ouverts comme des portes cochères ne pourriez vous pas prier le maître du café de les éloigner d'ici tant il est difficile de s'entendre mon cher ange étant la pensée est incommunicable même entre gens qui s'aiment une mort héroïque fanjul était un admirable bouffon et presque un des amis du prince mais pour les personnes flouées par état au comique les choses sérieuses ont de fatal attraction et bien qu'il puisse paraître bizarre que les idées de patrie et de liberté sans par despotiquement du cerveau d'un histrion un jour fans foulent entra dans une conspiration formé par quelques gentilles sommes mécontents il existe partout des hommes de bien pour dénoncer au pouvoir ces individus d'humeur atrabilaire qui veulent déposer les princes et opérer sans la consulter le déménagement d'une société les seigneurs en questions furent arrêtés ainsi que feng shui est voué à une mort certaine je croirais volontiers que le prince fut presque fâché de trouver son comédien favori parmi les rebelles le prince n'était ni meilleure ni pire qu'un autre mais une excessive sensibilité le rendait en beaucoup de cas plus cruel et plus des spots que tout c'est pareil amoureux passionnés des beaux-arts excellent connaisseur d'ailleurs il était vraiment insatiable de volupté assez indifférent relativement aux hommes et à la morale véritable artiste lui-même il ne connaissait d'ennemis dangereux que l'ennui et les efforts bizarre qu'il faisait pour fuir ou pour vaincre ce tyran du monde lui aurait certainement attirer de la part d'un historien sévère l'épithète de monstres s'il avait été permis dans ces domaines d'écrire quoi que ce soit qui fut qui ne t'en dis pas uniquement aux plaisirs ou à l'étonnement qui est une des formes les plus délicates du plaisir le grand malheur de ce prince fut qu'il n'eut jamais un théâtre assez vaste pour son génie il y à de jeunes néron qui étouffe dans des limites trop étroite et dont les siècles à venir ignorons toujours le nom et la bonne volonté l'un prévoyante providence avait donné à celui ci des facultés plus grande que ces états tout d'un coup le bruit courut que le souverain voulait faire grâce à tous les conjurés et l'origine de ce bruit füle annonce d'un grand spectacle ou funk soul devait jouer l'un de ses principaux et de ses meilleurs rôles et auquel assisterait même disait ton les gentilhommes condamné signe évident ajouté les esprits superficiels des tendances généreuse du prince offensé de la part d'un homme aussi naturellement et volontairement excentrique tout était possible même la vertu même la clémence surtout s'il avait pu espérer y trouver des plaisirs inattendu mais pour ceux qui comme moi avaient pu pénétrer plus avant dans les profondeurs de cette âme curieuse est malade il était infiniment plus probable que le prince voulait juger de la valeur des talents scéniques d'un homme condamné à mort il voulait profiter de l'occasion pour faire une expérience physiologiques d'un intérêt capital et vérifier jusqu'à quel point les facultés habituel d'un artiste pouvait être altéré ou modifiées par la situation extraordinaire où il se trouvait au delà existait-il dans son âme une intention plus ou moins arrêtés de clémence c'est un point qui n'a jamais pu être éclaircie enfin le grand jour arrive et cette petite cour déploya toutes ses pompes et il serait difficile de concevoir à moins de l'avoir vu tout ce que la classe privilégiée d'un petit état à ressources restreintes peut montrer de splendeur pour une vraie solennité celle là était doublement vrai d'abord par la magie du luxe est allé ensuite par l'intérêt moral et mystérieux qui était attaché le surf and fuel excellent et surtout dans les rôles muets ou peu chargé de paroles qui sont souvent les principaux dans ces drames féerique dont l'objet est de représenter symboliquement le mystère de la vie il entra en scène légèrement et avec une aisance parfaite ce qui contribua à fortifier dans le noble public l'idée de douceur et de pardon quand on dit d'un comédien voilà un bon comédien on se sert d'une formule qui implique que sous le personnage se laisse encore deviné le comédien c'est à dire l'art l'effort la volonté or si un comédien arriver à être relativement aux personnages qui les chargeait d'exprimer ce que les meilleurs statues de l'antiquité miraculeusement animé vivante marchante voyante serait relativement à l'idée générale est confuse de beauté ce serait là sans doute un cas singulier est tout à fait imprévue fanjul fut ce soir là une parfaite idéalisation qu'il était impossible de ne pas supposer vivante possible réel ce bouffon allait venir y ai pleuré se convulse et avec une indestructible auréole autour de la tête auréole invisible pour tous mais visible pour moi et où se mêlaient dans un étrange amalgame les rayons de l'art et la gloire du martyr fanjul introduisait par je ne sais quelle grâce spéciale le divin et le surnaturel jusque dans les plus extravagantes bouffonnerie ma plume tremble et des larmes d'une émotion toujours présente me montent aux yeux pendant que je cherche à vous décrire cet inoubliable soirée feng shui me prouvait d'une manière péremptoire irréfutable que l'ivresse dollars et plus apte que tout autre à voile et les terreurs du gouffre que le génie peut jouer la comédie au bord de la tombe avec une joie qui l'empêchent de voir la tombe perdu comme il est dans un paradis excluant toute idée de tombes et de destructions tout ce public si blasé et frivole qu'il peut être suivie bientôt la toute-puissante domination de l'artiste personne ne rêve à plus de morts de deuil ni de supplice chacun sa bande ona sans inquiétude aux voluptés multiplier que donne la vue d'un chef-d'oeuvre d'arts vivants les explosions de la joie et de l'admiration ébranlèrent à plusieurs reprises les voûtes de l'édifice avec l'énergie d'un tonnerre continue le prince lui-même enivrer mais là ces applaudissements à ceux de sa cour cependant pour un avec les revoyant son ivresse à lui n'était pas à 100 mais l'ange se sentait-il vaincu dans son pouvoir de despote humilié dans son art de terrifier les coeurs et d'engourdir les esprits frustré de ses espérances et bafoué dans ses prévisions de telles suppositions d'un exactement justifié menin absolument injustifiable traversèrent mon esprit pendant que je contemplais le visage du prince sur lequel une pâleur nouvelle s'ajoute est sans cesse à sa pâleur habituels comme la neige s'ajoute à la neige ses lèvres se resserrait de plus en plus et c ie s'éclairait d'un feu intérieur semblable à celui de la jalousie et de la rancune même pendant qu'ils applaudissent est ostensiblement les talents de son vieil ami l'étrange bouffon qui bouffent le nez si bien la mort un certain moment je vis son altesse pencher vers un petit page placé derrière elle et lui parlait à l'oreille la physionomie espiègle du joli enfants s'illumina d'un sourire et puis il quitta vivement la loge princière comme pour s'acquitter d'une commission urgente quelques minutes plus tard un coup de sifflet aiguë prolonger interrompit fanjul dans un de ses meilleurs moments et déchira à la fois les oreilles et les choeurs et de l'endroit de la salle d'où avait jailli cette désapprobation inattendu un enfant se précipiter dans un corridor avec des rires étouffés fanjul secoué réveillait de son rêve faire m'a d'abord les yeux puis les rouvre y presqu'aussitôt démesurément a grandi ouvrez ensuite la bouche comme pour respirer convulsivement chance là un peu en avant un peu en arrière et puis tomba roi de morts sur les plages le sifflet rapide comme un glaive avait il réellement frustré le bourreau le prince avait dit lui-même devinettes août l'homicide efficacité de sa ruse il est permis d'en douter regrette at-il sont chers et inimitable fioul il est doux et légitime de le croire les gentilhommes coupable avait joué pour la dernière fois du spectacle de la comédie dans la même nuit ils furent effacé de la vie depuis lors plusieurs mines justement appréciée dans différents pays sont venus jouer devant la cour mais aucun d'eux n'a pu rappeler les merveilleux talents de funk soul nie s'élever jusqu'à la même faveur la fausse monnaie comme nous nous éloignons du bureau de tabac mon ami fit un soigneux triage de sa monnaie dans la poche gauche de son gilet il glissa de petites pièces d'or dans la droite de petites pièces d'argent dans la poche gauche de sa culotte une masse de gros saule et enfin dans la droite une pièce d'argent de 2 francs qu'il avait particulièrement examiné singulière et minutieuse répartition me dis-je en moi même nous fîmes la rencontre d'un pauvre qui nous tandis sa casquette en tremblant je ne connais rien de plus inquiétant que l'éloquence muette de ses yeux suppliant qui contiennent à la fois pour l'homme sensible qui c'est y lire tant d'humilité tant de reproches ils y trouvent quelque chose approchant cette profondeur de sentiments compliqués dans les yeux larmoyants des chiens qu'on souhaite l'offrande de mon ami fut beaucoup plus considérables que la mienne et je lui dit vous avez raison après le plaisir d'être étonné il n'en est pas de plus grand que celui de causer une surprise c'était la pièce fausse me répondit-il tranquillement comme pour se justifier de sa prodigalité mais dans mon misérable cerveau toujours occupé à chercher midi à quatorze heures de quelle fatigue en difficulté la nature m'a fait cadeau entre a soudainement cette idée qu'une pareille conduite de la part de mon ami n'était excusable que par le désir de créer un événement dans la vie de ce pauvre diable peut-être même de connaître les conséquences diverses funeste ou autre que peut engendrer une pièce fausse dans la main d'un mendiant ne pouvait-elle pas se multiplier en pièces vrai ne pouvait-elle pas aussi le conduire en prison un kabar aussi un boulanger par exemple allez peut-être le faire arrêter comme faux monnayeurs ou comme propagateurs de fausse monnaie tout aussi bien la pièce fo serait peut-être pour un pauvre petit spéculateurs le germe d'une richesse de quelques jours et ainsi ma fantaisie aller son train prétendez elle a l'esprit de mon ami et tirant toutes les déductions possibles de toutes les hypothèses possibles mais celui-ci rompit brusquement ma rêverie en reprenant mes propres paroles oui vous avez raison il n'est pas de plaisir plus doux que de surprendre un homme en lui donnant plus qu'il l'espère je le regarder dans le blanc des yeux je fus épouvanté de voir que ses yeux brillaient d'une incontestable candeur je vis alors clairement qu'il avait voulu faire à la fois la charité est une bonne affaire gagner 40 sol et le coeur de dieu emporté le paradis économiquement enfin attrapé gratis un brevet d'homme charitables je lui aurais presque par donner le désir de la criminelle jouissance dont je le supposais tout à l'heure capable j'aurais trouvé curieux singulier qu'il s'amuse à à compromettre les pauvres mais je ne lui pardonnerai jamais l'ineptie de son calcul on n'est jamais excusable d'être méchant mais il y a quelques mérites à savoir qu'on l'ait et le plus irréparable davis et de faire le mal art bêtise le joueur généreux hier à travers la foule du boulevard je me sentis frôlait par un être mystérieux que j'avais toujours désiré connaître et que je reconnu tout de suite quoique je ne lis jamais vu il y avait sans doute chez lui relativement à moi un désir analogue car il me fit en passant un clignement d'oeil significatif auquel je me hâte est d'obéir je le suivis attentivement et bientôt je descendis derrière lui dans une demeure souterraine éblouissante ou éclater un luxe dont aucune des habitations supérieur de paris ne pourrait fournir un exemple approchant il me parut singulier que juste pu passer si souvent à côté de ce prestigieux repères sans en deviner l'entrée la régnait une atmosphère exquise quoique capiteuse qui faisait oublier presque instantanément toutes les fastidieuses horreur de la vie on y respire est une béatitude sombre analogue à celle que du réprouvé les mangeurs de lotus qu'en débarquant dans une île enchantée éclairé des lueurs d'une éternelle après midi il senti renaître en eux au sont assoupis sand et mélodieuse cascade le désir de ne jamais revoir leurs pénates leurs femmes leurs enfants et de ne jamais remonter sur les oat l'âme de la mer il y avait là des visages étrange d'hommes et de femmes marquées d'une beauté fatale qu'il me semblait avoir vu déjà des époques et dans des pays dont il m'était impossible de me souvenir exactement et qui m'inspirent est plutôt une sympathie fraternel que cette crainte qui n'est ordinairement à l'aspect de l'inconnu si je voulais essayer de définir d'une manière quelconque l'expression singulière de leur regard je dirais que jamais je ne vis dieu brillant plus énergiquement de l'horreur de l'ennui et du désir immortel de se sentir vivre mon hôte et moi nous étions déjà nous asseyons de vieux est parfait amis nous mangeable nous pûmes outre mesure de toutes sortes de vins extraordinaire et choses non moins extraordinaire il me semblait après plusieurs heures que je n'étais pas plus vivre que lui cependant le jeu ce plaisir surhumain avait coupé à divers intervalles nos fréquences libations et je dois dire que j'avais joué et perdu mon âme en partie liée avec une insouciance et une légèreté héroïque l'âme est une chose si impalpable si souvent inutiles et quelquefois si gênante que je n'éprouve et quant à cette perte qu'un peu moins d'émotion que si j'avais égaré dans une promenade ma carte de visite nous fûmes longuement quelques cigares dont la saveur est le parfum incomparable donné à l'âme la nostalgie de pays et de bonheur inconnu et enivré de toutes ces délices j'osais dans un accès de familiarité qui me parut pas lui déplaire mais crier en menant par an d'une coupe pleine jusqu'aux bords à votre immortel santé vieux bouc nous cause un mossi de l'univers de sa création et de sa future destruction de la grande idée du siècle c'est à dire du progrès et de la perfectibilité est en général de toutes les formes de l'infatuation humaine sur ce sujet là son altesse ne tarissaient pas en plaisanterie légère et irréfutables et elle s'exprimait avec une suavité de diction et une tranquillité dans la drôlerie que je n'ai trouvé dans aucun des plus célèbres causeur de l'humanité elle m'explique à l'absurdité des différentes philosophies qui avait jusqu'à présent pris possession du cerveau humain et dénia même faire confidences de quelques principes fondamentaux dont il ne me convient pas de partager les bénéfices et la propriété avec qui que ce soit elle ne se plaignait en aucune façon de la mauvaise réputation dont elle jouit dans toutes les parties du monde m'assura qu'elle était elle-même la personne n'a plus intéressé à la destruction de la superstition et ma voix qu'elle n'avait eu peur relativement à son propre pouvoir qu'une seule fois c'était le jour où elle avait entendu un prédicateur plus subtil que ses confrères s'écrier enchères mes chers frères n'oubliez jamais quand vous entendrez vente et le progrès des lumières que la plus belle des ruses du diable et de vous persuader qu'il n'existe pas le souvenir de ce célèbre orateur nous conduisit naturellement vers le sujet des académies et mon étrange convives m'affirma qu'il ne dédaignait pas en beaucoup de cas d'inspirer la plume la parole et la conscience des pédagogues et qu'il assistait presque toujours en personne quoique invisible à toutes les séances académique encouragé par tant de bonté je lui demandais des nouvelles de dieu et s'il avait vu récemment il me répondit avec une insouciance nuances et d'une certaine tristesse nous nous saluons quand nous nous rencontrons mais comme deux vieux gentilhomme ont qu une politesse in et ne saurait atteindre tout à fait le souvenir d'anciennes rancunes il est douteux que son altesse et jamais donné une si longue audience un simple mortel et je craignais d'abuser enfin comme loupe frissonnante blanchisse et les vitres ce célèbre personnage chanté par tant de poètes et servi par tant de philosophes qui travaille à sa gloire sans le savoir me dit je veux que vous gardiez de moi un bon souvenir et vous prouver que moi dont on dit tant de mal je suis quelquefois bon diable pour me servir d'une de vos locution vulgaire afin de compenser la perte irrémédiable que vous avez fait de votre âme je vous donne l'enjeu que vous auriez gagné si le sort avait été pour vous c'est à dire la possibilité de soulager de vaincre pendant toute votre vie cette bizarre affection de l'ennui qui est la source de toutes vos maladies et de tous vos misérable progrès jamais un désir ne sera formé par vous que je ne vous aident à le réaliser vous régnerait sur vos vulgaire semblables vous serez fourni de flatterie mêmes d'adoration l'argent l'or les diamants les palets féerique viendront vous chercher et vous prions de les accepter sans que vous ayez fait un effort pour les gagner vous changerez de patrie et de contrées aussi souvent que votre fantaisie vos l'ordonnera vous vous sous leur et de volupté sans lassitude dans des pays charmant où il fait toujours chaud et où les femmes sont aussi bons que les fleurs etc etc ajouta-t-il en se levant et en me congédiant avec un bon sourire si ce n'était la crainte de m'humilier devant une aussi grande assemblée je serais volontiers tombé au pied de ce joueur généreux pour le remercier de son inouïe munificence mais peu à peu après que je lui quitté l'incurable défiance rentra dans mon sein je n'osais plus croire à un psy prodigieux bonheur et en me couchant faisons encore ma prière par un reste d'habitude imbécile et je répétais dans un demi sommeil mon dieu seigneur mon dieu faites que le diable me tienne sa parole la corde à edouard manet les illusions me disait mon ami sont aussi innombrables peut-être que les rapports des hommes entre eux ou des hommes avec les choses et quand l'illusion disparaît c'est à dire quand nous voyons lettres ou le fait tel qu'il existe en dehors de nous nous éprouvons un blizzard sentiments compliqués moitié de regret pour le fantôme disparu moitié de surprise agréable devant la nouveauté devant le fait réel s'il existe un phénomène évident trivial toujours semblable est d'une nature à laquelle il soit impossible de se tromper c'est l'amour maternel il est aussi difficile de supposer une mer sans amour maternel qu'une lumière sans chaleur n'est-il donc pas parfaitement légitime d'attribuer à l'amour maternel toutes les actions et les paroles d'une mère relatives à son enfant est cependant écouter cette petite histoire où j'ai été singulièrement mystifié par l'illusion la plus naturelle ma profession de peintres me pousse à regarder attentivement les visages les physionomies qui s'offrent dans ma route et vous savez quelle jouissance nous tirons de cette faculté qui rend à nos yeux la vie plus vivante et plus significative que pour les autres hommes dans le quartier reculé que j'habitais ou de passes des espaces gazonnés sépare encore les bâtiments j'observais souvent un enfant dont la physionomie ardente et espiègle plus que toutes les autres me séduisit tout d'abord ils apposaient plus d'une fois pour moi et je les transforme et tantôt en petit bohémiens tantôt en ange tantôt en amour mythologiques je lui ai fait porter le violon du vagabond la couronne d'épinés et les clous de la passion et la torche deros je prie enfin à toute la drôlerie de ce gamin un plaisir si vif que je priais un jour ses parents de pauvres gens de vouloir bien me le cd promettant de bien l'habiller de lui donner quelque argent et de ne pas lui imposer d'autres peines que de nettoyer mes pinceaux et de fermer commission cet enfant débarbouiller de vin charmant et la vie qu'il menait chez moi lui semblait un paradis comparativement à celle qu'il aurait subies dans le taudis paternel seulement je dois dire que ce petit bonhomme m'étonna quelquefois par des crises singulière de tristesse précoce et qu'il manifeste à bientôt un goût immodéré pour le sucre et les liqueurs si bien qu'un jour où je constatais que malgré mes nombreux avertissements il avait encore commis un nouveau larcin de ce genre je le menaçait de le renvoyer à ses parents puis je sortis et mes affaires me retins assez longtemps hors de chez moi quelles ne furent pas mon horreur et mon étonnement qu'en rentrant à la maison le premier objet qui fera pas mais regard fut mon petit bonhomme l'espiègle compagnon de ma vie pendu aux panneaux de cette armoire ses pieds touchaient presque le plancher une chaise qu'il avait sans doute repousser du pied était renversé à côté de lui sa tête était penché convulsivement sur une épaule son visage boursouflé et ses yeux tout grand ouvert avec une crique site est effrayante mot causèrent d'abord l'illusion de la vie le dépendent n'était pas une besogne aussi facile que vous le pouvez croire il était déjà fort roide et j'avais une répugnance inexplicable à le faire brusquement tombée sur le sol il fallait le soutenir tout entier avec un bras avec la main de l'autre bras coupé la corde mais cela fait tout n'était pas fini le petit monstre s'était servi d'une ficelle fort minces qui était entré profondément dans les chairs il fallait maintenant avec demain ce ciseau chercher la corde entre les deux bourrelets de l'enflure pour lui dégager le coup j'ai négligé de vous dire que j'avais vivement appelé au secours mais tous mes voisins avaient refusé de me venir en aide fidèle en cela aux habitudes de l'homme civilisé qui ne veut jamais je ne sais pourquoi se mêler des affaires des pendus enfin vingt médecins qui déclara que l'enfant était mort depuis plusieurs heures quand plus tard nous eûmes à le déshabiller pour l'ensevelissement la rigidité cadavérique était telle que désespérant de fléchir les membres nous dûmes la cirés et coupez les vêtements pour les lui enlever le commissaire a qui naturellement je dû déclarer l'accident me regarde à travers il me dit voilà qui est louche nu sans doute par un désir invétéré est une habitude d'état de faire peur à tout hasard aux innocents comme aux coupables restait une tache suprême à accomplir dans la seule pensée me causer une angoisse terrible il fallait avertir les parents mes pieds refusé de me conduire enfin j'ai eu ce courage mais à mon grand étonnement la mère fut impassible pas une larme dessus un tas du coin de son oeil j'attribue et cette étrangeté à l'horreur même qu'elle devait éprouver et je me souviens de la sentence connu les douleurs les plus terribles sont les douleurs muettes quant au père il se contenta de dire d'un air moitié abrutis moitié rêveur après tout cela vaut peut être mieux ainsi il aurait toujours mal fini cependant le corps était étendu sur mon divan est assisté d'une servante je m'occupais des derniers préparatifs quand la mère entra dans mon atelier elle voulait disait tel voir le cadavre de son fils je ne pouvais pas en vérité l'empêcher de son livre et de son malheur et lui refuser cette suprême et sombre consolation ensuite elle me pria de lui montrer l'endroit où son petit s'était pendu au renault madame lui répondis-je cela vous ferait mal et comme involontairement mes yeux se tourner vers la funèbre armoires je m'aperçus avec un dégoût mais les d'horreur et de colère que le clou était resté fichiers dans la paroisse avec un long bout de corde qui traînaient encore je m'élançais vivement pour arracher ces derniers vestiges du malheur et comme jallet les lancers au dehors par la fenêtre ouverte la pauvre femme saisit mon bras et me dit d'une voix irrésistible en monsieur les six mois cela je vous en prie je vous en supplie son désespoir l'avez sans doute me paraît utile tellement affolé qu'elle sait prenait de tendresse maintenant pour ceux qui avaient servi d'instrument à la mort de son fils et je voulais garder comme une horrible et cher reliques et elle s'empara du cloud et de la ficelle enfin enfin toutes été accomplis il ne me restait plus qu'à me remettre au travail plus vivement encore cas d'habitude pour chasser peu à peu ce petit cadavre qui hantait les replis de mon cerveau et dont le fantôme est fatigué de ses grands yeux x mais le lendemain j'ai reçu un paquet de lettres les unes des locataires de ma maison quelques autres des maisons voisines l'une du premier étage l'autre du second l'autre du troisième et ainsi de suite les unes en style demi plaisant comme cherchant à déguisée sous un apparat badinage la sincérité de la demande les autres lourdement effrontée et ce en orthographe mais tout tendant au même but c'est à dire à obtenir de moi un morceau de la funeste et béatifique corde parmi les signataires il y avait je dois le dire plus de femmes que d'hommes mais tous croyez le bien n'appartenait pas à la place un film et vulgaire j'ai gardé ses lettres et alors soudainement une lueur se fit dans mon cerveau et je compris pourquoi la mère tenait tant à m'arracher la ficelle et par quels commerces elle entendait se consoler les vocations dans un beau jardin où les rayons d'un soleil automnal semblait s'attarder à plaisir sous un ciel déjà verdâtre où des nuages d'or flotter comme des continents en voyage quatre beaux enfants quatre garçons là de jouer sans doute causé entre eux l'un d'eux disait hier on m'a mené au théâtre dans des spas les grands et triste au fond desquelles on voit la mer et le ciel des hommes et des femmes sérieux et triste aussi mais bien plus beau et bien mieux habillée que ce que nous voyons partout parle avec une voix chantante il se menacent ils supplient il se désole et ils appuient souvent leurs mains sur un poignard enfoncés dans leurs ceintures à c'est bien beau les femmes sont bien plus bel et bien plus grande que celle qu'ils viennent nous voir à la maison et quoique avec leurs grands yeux creux et leurs joueuses enflammé lé l'air terrible on ne peut pas s'empêcher de les aimer on a peur on a envie de pleurer et cependant l'on est content et puis ce qui est plus singulier cela donne envie d'être habillé de même de dire et de faire les mêmes choses et de parler avec la même voie l'un des quatre enfants qui depuis quelques secondes n'écoutait plus le discours de son camarade est observée avec une fixité étonnante je ne sais quel con du ciel dit tout à coup regardez regardez là bas le voyez vous il est à 6 ce petit nuage isolé ce petit nuage couleur de feu qui marche doucement lui aussi on dirait qu'ils nous regardent mais qui donc demandeur les autres monsieur répond dit il avec un accent parfait de conviction il est déjà bien loin tout à l'heure vous ne pourrez plus le voir sans doute il voyage pour visiter tous les pays tenez il a passé derrière cette rangée d'arbres qui est presque à l'horizon et maintenant ils descendent derrière le clocher à on ne voit plus l'enfant resta longtemps tournée du même côté fixant sur la ligne qui sépare la terre du ciel des yeux où brillaient une inexprimable expression d'extase et de regrets utile bête celui là avec son bon dieu que lui seul peut apercevoir dit alors le troisième dont toute la petite personne et est marqué d'une vivacité et d'une vitalité singulière moi je vais vous raconter comment il m'est arrivé quelque chose qui ne vous est jamais arrivé et qui est un peu plus intéressante que votre théâtre et beaux nuages il y a quelques jours mes parents m'ont emmené en voyage avec eux et comme dans l'auberge nous nous sommes arrêtés il n'y avait pas assez de lits pour nous tous il a été décidé que je dormirai dans le même lit que ma bonne il attira ses camarades plus près de lui et par là d'une voix plus basse ça fait un singulier effet aller de n'être pas couché seul est d'être dans un lit avec sa bonne dans les ténèbres comme je ne dormais pas je me suis amusé pendant qu'elle dormait à passer ma main sur ses bras sur son cou et sur ses épaules elle a les bras et le coup bien plus gros que toutes les autres femmes et la peau en essid aussi douce qu'on dirait du papier à lettres ou du papier de soie j'avais tant de plaisir que j'aurai longtemps continuer si je n'avais pas eu peur lors de la réveiller d'abord et puis encore peur de je ne sais quoi ensuite j'ai fourré ma tête dans ses cheveux qui pendait dans son dos et pète comme une crinière il sentait aussi bon je vous assure que les fleurs du jardin à cette heure ci essayez quand vous pourrez d'en faire autant que moi et vous verrez le jeune auteur de cette prodigieuse révélations avaient en faisant son récit les yeux écarquillés par une sorte de stupéfaction de ce qu'il éprouvait encore et les rayons du soleil couchant en glissant à travers les boucles rousses de sa chevelure ébouriffée et allumé comme une auréole sulfureuse de passion il était facile de deviner que celui là ne perdrait pas sa vie à chercher la divinité dans les nuées et qui la trouvera est fréquemment ailleurs enfin le quatrième 10 vous savez que je ne m'amuse guerre à la maison on ne mène jamais au spectacle et mon tuteur est trop bavard monsieur ne s'occupe pas de moi et de mon ennui et je n'ai pas une belle bonne pour me dorloter il m'a souvent semblait que mon plaisir serait d'aller toujours droit devant moi sans savoir où sans que personne s'en inquiète et de voir toujours des pays nouveaux je ne suis jamais bien nulle part et je crois toujours que je serai mieux ailleurs que là où je suis eh bien j'ai vu à la dernière foire du village voisin trois hommes qui vivent comme je voudrais vivre vous n'y avez pas fait attention vous autres il était grand presque noir et très fier quoique en guenilles avec l'air de n'avoir besoin de personne leurs grands yeux sombres sont devenus tout à fait brillant pendant qu'il faisait de la musique une musique si surprenante qu'elle donne envie tantôt de danser et tente ou de pleurer ou de faire les deux à la fois et qu'on deviendrait comme fou si on les écoutait trop longtemps l'un entraînant son archet sur son violon semblait raconté un chagrin et l'autre en faisant se tirait son petit marteau sur les cordes d'un petit piano suspendu à son cou par une courroie avait l'air de se moquer de la plainte de son voisin tandis que le troisième choqué de temps à autre ses cymbales avec une violence extraordinaire ils étaient si contents d'eux mêmes qui les ont continué à jouer leur musique de sauvage même après que la foule s'est dispersée enfin ils ont ramassé leur saoul ont chargé leurs bagages sur leur dos et son parti moi voulant savoir où il demeurait je les ai suivis de loin jusqu'au bord de la forêt où j'ai compris seulement alors qu'il ne demeurait nulle part alors lundi faut-il déployer attentes ma foi non a répondu l'autre il fait une si belle nuit le troisième disait en comptant la recette ces gens là ne sent pas la musique et leurs femmes dansent comme des ours heureusement avant un mois ne seront en autriche où nous trouverons un peuple plus aimable nous pourrions peut-être mieux d'aller vers l'espagne car voici la saison qui s'avance et fuyons avant les pluies et ne mouillent on pas que notre gosiers à 10 un des deux autres j'ai tout retenu comme vous voyez ensuite ils ont bu chacun une tasse d'eau de vie et se sont endormis le feront tourner vers les étoiles j'avais eu d'abord envie de les prier de m'emmener avec eux et de m'apprendre à jouer de leurs instruments mais je n'ai pas osé sans doute parce qu'il est toujours très difficile de se décider à n'importe quoi et aussi parce que j'avais peur d'être rattrapé avant d'être hors de france l'eire peut intéresser des trois autres camarades me donne à penser que ce petit était déjà un incompris je le regardais attentivement il y avait dans son oeil et dent son front ce je-ne-sais-quoi de précocement fatale qui éloigne généralement la sympathie et qui je ne sais pourquoi exciter la mienne au point que j'ai eu un instant l'idée bizarre que je pouvais avoir un frère à moi-même inconnu le soleil s'était couché la nuit solonnel avaient pris place les enfants se séparèrent chacun allant à son insu selon les circonstances et les hasards mûrir sa destinée scandalisé ses proches et gravité vers la gloire ou vers le déshonneur le tir ce à franz liszt ce qu'un tir selon le sens moral et politique c'est un emblème sacerdotal dans la main des prêtres ou des prêtresses célébrant la divinité dont ils sont les interprètes et les serviteurs mais physiquement ce n'est qu'un bâton un pur bâton cherche à oublier tuteur de vignes sec durée droit autour de ce bâton dans des méandres capricieux se joue et folâtres des tiges et des fleurs celle-ci sinueuse et fuyarde celle-là pencher comme des cloches ou des coupes renversé il ne boira étonnante jaillit de cette complexité de lignes et de couleurs tendres ou éclatante ne dirait on pas que la ligne courbe et la spirale fond le recours à la ligne droite et dansent autour dans une muette adoration ne dirait on pas que toutes ses corolles délicate tous ces khalifes explosion de senteurs et de couleurs exécute un mystique fandango autour du bâton et hiératique et qu'elle est cependant le mortel imprudents qui osera décider si les fleurs et les pampres ont été faits pour le bâton ou si le bâton n'est que le prétexte pour montrer la beauté des pampres et des fleurs le tir ce et la représentation de votre étonnante dualité m puissant et vénéré cheikh bâ camp de la beauté mystérieuse et passionné j'amène un exaspérés par l'invincible bacchus ne se croise on tire sur les têtes de ses compagnes affolé avec autant d'énergie et de caprices que vous agitez votre génie sur les coeurs de vos frères le bâton c'est votre volonté droite ferme et inébranlable les fleurs c'est la promenade de votre fantaisie autour de votre volonté c'est l'élément féminin exécutant autour du mal ces prestigieuses pirouette ligne droite et ligne arabesques intentions et expressions roi d'heure de la volonté sinuosités du verbe unité du but variété des moyens amalgame tout puissant et indivisible du génie qu'est l'analyste aura le détestable courage de vous diviser et de vous séparer chaire liste à travers les brumes par delà les fleuves par dessus les villes où les piano chante votre gloire ou l'imprimerie traduit votre sagesse en quelques lieux que vous soyez dans les splendeurs de la ville éternelle ou dans les brumes des pays rêveur que console cambrinus improvisant des champs de délectation ou d'ineffable douleur ou confiant au papier vos méditation abstruses chantre de la volupté et de l'angoissé ternel philosophes poètes et artistes je vous salue en l'immortalité enivrez-vous il faut être toujours ivre tout est là c'est l'unique question pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brisent vos épaules et vous plongera terre il faut vous enivrer sans trêve mais de quoi de 20 de poésie ou de vertu à votre guise mais enivrez-vous et si quelquefois sur les marches d'un palais sur l'herbe verte d'infos c'est dans la solitude morne de votre chambre vous vous réveillez l'ivresse déjà diminué ou disparus demandez au vent à la vague à l'étoile à l'oiseau à l'horloge à tous ceux qui fuient à tous ceux qui gémit à tous ceux qui roulent à tous ceux qui chantent à tous ceux qui parlent demander quelle heure glay et le vent la vague l'étoile oiseaux l'horloge vous répondront il est l'heure de s'enivrer pour n'être pas les esclaves martyrisé du temps enivrez vous enivrez vous sans cesse de vin de poésie ou de vertu à votre guise déjà 100 fois déjà le soleil avait jailli radieux ou attristé de cette cuve immense de la mer dont les bords ne serait ce qu'à peine à percevoir 100 fois il s'était replonger est insolent au morose dans son immense bain du soir depuis nombre de jours nous pouvions contempler l'autre côté du firmament et déchiré l'alphabet céleste des antipodes et chacun des passagers gémissait et grogner on eût dit que la proche de la terre exaspéré leurs souffrances quand donc disait-il c'est serons-nous de dormir un sommeil secoué par la lame troublé par un vent qui ronfle plus haut que nous quand pourrons-nous manger de la viande qui ne soit pas allé comme l'élément infâme qui nous porte quand pourrons-nous digérer dans un fauteuil immobile il y en avait qui pensaient à leur foyer qui regrettaient leur femme infidèle et maussade et leur progéniture criardes tous étaient si affolé par l'image de la terre absente qu'ils auraient je crois manger de l'herbe avec plus d'enthousiasmé que les bêtes enfin un rivage fut signalé et nous vîmes en approchant que c'était une terre magnifique éblouissante il semblait que les musiques de la vie s'en détacher en un vague murmures et que de ses côtes riche en verdure de toutes sortes s'exhaler jusqu'à plusieurs lieux une délicieuse odeur de fleurs et de fruits aussitôt chacun fut joyeux chacun abdiqua sa mauvaise humeur toutes les querelles furent oubliés tous les torts réciproques pardonner les duels convenu fut rayée de la mémoire et les rancunes s'envolèrent comme des fumées moi seul j'étais triste inconcevablement triste semblable à un prêtre à qui on arracherait sa divinité je ne pouvais sans une navrante amertume me détacher de cette mer si monstrueusement séduisante de cette mer si infiniment variées dans son effrayante simplicité et qui semble contenir en elle est représentée par ses jeux ses allures ses colères et ses sourires les humeurs les agonies et les extases de toutes les âmes qui ont vécu qui vivent et qui vivront en disant adieu à cette incomparable beauté je me sentais a battu jusqu'à la mort et c'est pourquoi quand chacun de mes compagnons dit enfin je ne peux crier que déjà cependant c'était la terre la terre avec ses bruits ses passions ses commodités c'est fait c'était une terre riche et magnifique plein de promesses qui nous envoyait un mystérieux parfum de rose et de musc et d'où les musiques de la vie nous arriver en un amoureux murmurent les fenêtres celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée il n'est pas d'objet plus profond plus mystérieux plus féconds plus ténébreux plus éblouissant qu'une fenêtre éclairée d'une chandelle ce qu'on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre dans ce trou noir ou lumineux vie la vie rêve ou la vie souffre la vie par delà des vagues de toi j'aperçois une femme mûre rider déjà ouvre toujours penché sur quelque chose et qui ne sort jamais avec son visage avec son vêtement avec son geste avec presque rien j'ai refait l'histoire de cette femme ou plutôt sa légende et quelquefois je me la raconte à moi-même en pleurant si tu étais un pauvre vieux hommes j'aurais refait la sienne tout aussi aisément et je me couche fier d'avoir vécu et souffert dans d'autres que moi même peut-être me direz vous es tu sûr que cette légende soit la vraie qu'importe ce que peut être la réalité placés hors de moi si elle m'a aidé à vivre à sentir que je suis ce que je suis le désir de peindre malheureux peut être l'homme mais euros l'artiste que le désir déchire je brûle de peindre celle qui m'est apparu si rarement et qui a fui si vite comme une belle chose regrettable derrière le voyageur emporté dans la nuit comme il ya longtemps déjà qu'elle a disparu elle est belle est plus que belle elle est surprenante en elle le noir abondent et tout ce qu'elle inspire et nocturne est profond ses yeux sont deux entre où scintillent vaguement le mystère et son regard s'illumine comme l'éclair c'est une explosion dans les ténèbres je la comparerais un soleil noir si l'on pouvait concevoir un astre noir perçant la lumière et le bonheur mais elle fait plus volontiers penser à la lune qui sans doute la marque et de sa redoutable influence non pas la lune blanche des idylles qui ressemble à une froide marier mais la lune sinistre et enivrante suspendu au fond d'une nuit orageuse est bousculé par les nuées qui courent non pas la lune paisible et discrète visitant le sommeil des hommes purs mais la lune arraché du ciel vaincus et révolté que les sorcières et s'aliène contraignent durement à danser sur l'herbe terrifiés dans son petit front habite la volonté tenace et l'amour de la proie cependant au bas de ce visage inquiétant ou des narines mobile aspire l'inconnu et l'impossible éclate avec une grâce inexprimable le rire d'une grande bouche rouge et blanche délicieuse qui fait rêver au miracle d'une superbe fleurs éclosent dans un terrain volcanique il y à des femmes qui inspire l'envi de les vaincre de joueur d'aile et celle ci donne le désir de mourir lentement sous son regard les bienfaits de la lune la lune qui est le caprice même regarda par la fenêtre pendant que tu dormais dans son berceau et se dit c'est en forme play et elle descendit moelleusement son escalier de nuages et passa sans bruit à travers les litres puis elle s'étendit sur toi avec la tendresse souple d'une mère et elle dépose à ses couleurs sur ta face des prunelles en sont restées verte et déjoue extraordinairement pâle c'est en contemplant cette visiteuse que tes yeux se sont si bizarrement a grandi et elle t'a si tendrement serré à la gorge que tu en as garder pour toujours l' envie de pleurer cependant dans l'expansion de sa joie la lune remplissait toutes la chambre comme une atmosphère phosphorique comme un poisson lumineux et toute cette lumière vivante pensée et disait tu subiras éternellement l'influencent de mon baiser tu seras belle à ma manière tu aimeras ce que j'aime et ceux qui m'aiment l'eau les nuages le silence et la nuit la mer immense et verte l'oim forme et multiforme le lieu où tu ne seras pas là manque que tu ne connaîtra pas les fleurs monstrueuse les parfums qui font délirer les chats qui se pâment sur les pianos et qui gémissent comme les femmes d'une voix rauque et 12 et tu seras aimé de mes amants courtisé par les courtisans tu seras la reine des hommes aux yeux verts dont j'ai serré la gorge dans mes caresses nocturne de ceux là qui aiment la mer la mer immense tumultueuse et verte l'oim forme et multiforme le lieu où ils ne sont pas la femme qu'ils ne connaissent pas les fleurs sinistre qui ressemble aux encensoir d'une religion inconnu les parfums qui trouble la volonté et les animaux sauvages et voluptueux qui sont les emblèmes de leur folie et c'est pour cela maudite chers enfants gâtés que je suis maintenant coucher à tes pieds cherchant dans tout à personne le reflet de la redoutable divinités de la fatidique marraine de la nourrice empoisonneuse de tous les lunatiques laquelle hélas vrai j'ai connu une certaine bénédicta qui remplissaient l'atmosphère d'idéal et dont les yeux répandait le désir de la grandeur de la beauté de la gloire et de tout ce qui fait croire à l'immortalité mais cette fille miraculeuse était trop belle pour vivre longtemps aussi est-elle morte quelques jours après que j'ai fait sa connaissance et c'est moi même qu'il est enterré un jour que le printemps agité son enfant soir jusque dans les cimetières c'est moi qui les enterrait bien close dans une bière d'un bois parfumé et incorruptible comme les coffres de l'inde et comme mes yeux rester fichiers sur le lieu où étaient enfouis montrésor je vis subitement une petite personne qui ressemblait singulièrement à la défunte équipe piétinant sur la terre fraîche avec une violence hystérique et blizzard disait en éclatant de rire c'est moi la vraie bénédicta c'est moi une fameuse canaille et pour la punition de ta folie et de ton aveuglement tu m'aimeras tels que je suis et moi furieux j'ai répondu non non non et pour mieux accentuer mon refus j'ai frappé si violemment la terre du pied de ma jambe s'est enfoncée jusqu'aux genoux dans la sépulture récente et que comme un loup prise au piège je reste attaché pour toujours peut-être à la fosse de l'idéal à cheval de race elle est bien les dalles et délicieuse pourtant le temps et l'amour l'ont marqué de leurs griffes ils lui ont cruellement enseigner ce que chaque minute et chaque baiser emporte de jeunesse et de fraîcheur elle est vraiment laid des les fourmis araignée si vous voulez squelette même mais aussi à les breuvages magistère sorcellerie en somme elle est exquise le temps n'a pu rompre l'harmonie pétillante de sa démarche ni l'élégance indestructible de son armature l'amour n'a pas altéré la suavité de son haleine d'enfants le temps n'a rien arraché de son abondante crinière douce exhale en fauve parfum toute la vitalité endiablés du midi français nîmes aix arles avignon narbonne toulouse ville baignée du soleil amoureuse et charmante le ton et l'amour long vainement mordu à belles dents ils n'ont rien diminué ducharme vague mais éternel de sa poitrine garçonnière usées peut-être mais non fatigué et toujours héroïque elle fait penser à ces chevaux de grande race que l'oeil du véritable amateur reconnaît même attelé à un carrosse de louage ou un lourd chariot et puis elle est si douce et si fervente elle aime comme on aime en automne on dirait que les approches de l'hiver allume dans son coeur un feu nouveau et la servilité de sa tendresse n'a jamais rien de fatigue en le miroir un homme épouvantable entrées se regarde dans la glace pourquoi vous regardez vous au miroir puisque vous ne pouvez vous y voir qu'avec des plaisirs l'homme épouvantable me répond monsieur d'après les immortels principe de 89 tous les hommes sont égaux en droits donc je possède le droit de me mirent et avec plaisir ou des plaisirs cela ne regarde que ma conscience au nom du bon sens j'avais sans doute raison mais au point de vue de la loi il n'avait pas tort le port un port est un séjour charmant pour une âme fatigués des luttes de la vie l'ampleur du ciel l' architecture mobile des nuages les colorations changeantes de la mer le sentiment des phares sont un prisme merveilleusement propres a amusé les yeux sans jamais les lacets les formes élancées des navires au gréement compliqué auquel la houle imprime des oscillations harmonieuse servent à entretenir dans l'âme le goût du rythme et de la beauté et puis surtout il y à une sorte de plaisir mystérieux et aristocratique pour celui qui n'a plus ni curiosité ni ambition à contempler couché dans le belvédère ou accoudé sur le môle tous ces mouvements de ceux qui partent et de ceux qui reviennent de ceux qui ont encore la force de vouloir le désir de voyager ou de s'enrichir portrait de maîtresses dans un boudoir d'homme c'est à dire dans un fumoir attenant à un élégant tripot quatre hommes fumée et buvait il n'était précisément ni jeune ni vieux ni beau ni laid mais vieux ou jeunes il portait cette distinction non méconnaissable des vétérans de la joie est indescriptible je ne sais quoi cette tristesse froide et railleuse qui dit clairement nous avons fortement vécu et nous cherchons ce que nous pourrions aimé et estimé l'un d'eux goethe à la causerie sur le sujet des femmes il lui était plus philosophique donnant pas parlé du tout mais il ya des gens d'esprit qui après boire ne méprise pas les conversations banales on écoute alors celui qui parle comme on écouterait de la musique de danse tous les hommes disait celui ci ont eu l'âge de chérubins c'est l'époque où faute de dryades on embrasse son dégoût le tronc des chaînes c'est le premier degré de l'amour au second degré on commence à choisir pouvoir délibérer c'est déjà une décadence c'est alors qu'on recherche décidément la beauté pour moi messieurs je me fais gloire d'être arrivé depuis longtemps à l'époque climatériques du troisième degré où la beauté elle même ne suffit plus si elle n'est assaisonner par le parfum la parure etc j'avouerai même que j'aspire quelquefois comme un bonheur inconnu à un certain quatrième degré qui doit marquer le calme absolu mais durant toute ma vie excepté à l'âge de chérubins j'ai été plus sensible que tout autre à l'énervant sottise à l'irritante médiocrité des femmes ce que j'aime surtout dans les animaux c'est leur candeur jugez donc combien j'ai dû souffrir par ma dernière maîtresse c'était la bâtarde d'un prince belle cela va sans dire sans cela pourquoi l'aurais-je prises mais elles gâtés cette grande qualité par une ambition malséante et difforme c'était une femme qui voulait toujours faire l'homme vous n'êtes pas un homme ah si j'étais un homme de nous deux c'est moi qui suis l'homme tels étaient les insupportables refrain qui sortait de cette bouche douze jeunes auraient voulu voir s'envoler que des chansons à propos d'un livre d'un poème d'un opéra pour lequel je laissé échapper mon admiration vous croyez bien être que cela est très fort disent elles aussi tout est ce que vous vous connaissez en force elle argumenté un beau jour elle s'est mise à la chimie de sorte qu entre ma bouche est la sienne je trouvais désormais un masque de verre avec tout cela fort beagle si parfois je l'a bousculée par un geste un peu trop amoureux elle se convulse et comme une sensitive violée comment cela at il fini dit l'un des trois autres je ne vous savez pas si patients dieu au prg et il me le remettre dans le mal un jour je trouvais cette minerve affamés de force idéal en tête à tête avec mon dos mystique est dans une situation qui m'oblige à me retirer discrètement pour ne pas les faire rougir le soir je les congédier tous les deux en leur payant les arrérages de leurs gages pour moi au prix l'interrupteur je n'ai à me plaindre que de moi même le bonheur est venu habiter chez moi et je n'allais pas reconnu la destinée m'avait en ces derniers temps octroyé la jouissance d'une femme qui était bien la plus douce la plus soumise il a plus dévoués des créatures est toujours prête et sans enthousiasme je le veux bien puisque cela vous est agréable c'était sa réponse ordinaire vous donneriez la bastonnade à ce mur ou à ce canapé que vous en tireriez plus de soupirs que d'en tirer du sein de ma maîtresse les élans de l'amour le plus forcené après un an de vie commune elle ma voix qu'elle n'avait jamais connu le plaisir je me dégoûtait de ce duel inégal et cette fille incomparable se maria jus plus tard la fantaisie de la revoir et elle me dit en me montrant si beaux enfants eh bien mon cher ami l'épousé est encore aussi vierge que l'été votre maîtresse et un été changé dans cette personne quelquefois je la regrette j'aurais dû l'épousé les autres se mit à rire et un troisième dit à son tour messieurs j'ai connu des jouissances que vous avez peut-être négligé je veux parler du comique dans l'amour est d'un comique n'exclut pas l'admiration j'ai plus admirées ma dernière maîtresse que vous avez plus je crois haïr ou aimer les vôtres et tout le monde d'admirer autant que moi quand nous entrions dans un restaurant au bout de quelques minutes chacun oublier de manger pour la contempler les garçons eux mêmes et la dame du comptoir ressentait cette extase contagieuses jusqu'à oublier leur devoir bref j'ai vécu quelque temps en tête à tête avec un phénomène vivant elle mangeait mâché broyer dévorer engloutissez mais avec l'air le plus léger et le plus insouciants du monde elle m'a tenu aussi longtemps en extase elle avait une manière douce rêveuse anglaise et romanesque de dire j'ai faim et elle répétait ses mots jour et nuit en montrant les plus jolies dents du monde qui vous eu s'attendrit égayer à la fois j'aurais pu faire ma fortune en la montrant dans les x comme monstre polissage jeu la nourrice est bien est cependant elle m'a quittée pour un fournisseur ou vivre sans doute donc quelque chose d'approchant une espèce d'employés dans la tendance qui part quelques tours de bâton à lui connu fourni peut-être à cette pauvre enfant la ration de plusieurs soldats c'est du moins ce que j'ai supposé moi dit le quatrième j'ai enduré des souffrances atroces par le contraire de ce qu'on reproche en général à l'égoïste femelles je vous trouve malvenu trop fort tu n'es mortel à vous plaindre des imperfections de vaud maîtresse cela fut dit d'un ton fort sérieux par un homme d'un aspect nous est posée d'une physionomie presque clérical malheureusement illuminé par des yeux d'un gris clair de ses yeux dont le regard dit je veux où il faut ou bien je ne pardonne jamais si nerveux comme je vous connais vous gé lâche et léger comme vous êtes vous deux tas et j vous aviez été accouplé à une certaines femmes de ma connaissance où vous seriez enfui où vous seriez mort figurez-vous une personne incapable de commettre une erreur de sentiments ou de calculs figurez-vous une sérénité désolant de caractère un dévouement sans comédie et sans emphase une douceur sans faiblesse une énergie sans violence l'histoire de mon amour ressemble à un interminable voyage sur une surface pure et polis comme un miroir vertigineusement monotone qui auraient réfléchi tous mes sentiments et mes gestes avec l'exactitude ironique de ma propre conscience de sorte que je ne pouvais pas me permettre un geste ou un sentiment déraisonnable s'en apercevoir immédiatement leurs proches nuée de mon inséparables spectre l'amour m'apparaissait comme une tutelle que de sottises elle m'a empêché de faire que je regrette de n'avoir pas commises que de dette payés malgré moi elle me privait de tous les bénéfices que j'aurais pu tirer de ma folie personnel avec une froide et infranchissable règles elles barret tous mes caprices pour comble d'horreur elle n'exigeait pas de reconnaissance le danger passé combien de fois ne me suis-je pas retenu de lui sauter à la gorge en lui criant soit donc imparfaite misérable afin que je puisse t mais sans malaise et sans colère pendant plusieurs années je l'admiré le coeur plein de haine enfin ce n'est pas moi qui en suis mort à fuir les autres est donc morte oui cela ne pouvait continuer ainsi l'amour était devenu pour moi un cauchemar accablant vaincre ou mourir comme dit la politique telle est l alternative que m'a posé la destinée un soir dans un bois au bord d'une mer après une mélancolique promenade ou ses yeux à elles réfléchissent et la douceur du ciel et où mon coeur à moi était crispé comme l'enfer coup quoi comment que voulez vous dire c'était inévitable j'ai trop le sentiment de les quitter pour battre outragé ou congédier un serviteur irréprochable mais il fallait accorder ce sentiment avec leurs heures que cet être m'inspirer me débarrasser de cet être sans lui manquer de respect que voulez vous que je vis d'elle puisqu'elle était parfaite et trois autres compagnons regardèrent celui ci avec un regard vague et légèrement et bété comme feignant de ne pas comprendre et comme avoir implicitement qu'il ne se sentait pas quant à eux capables une action aussi rigoureuse quoique suffisamment expliqué d'ailleurs ensuite on fit apporter de nouvelles bouteilles pour tuer le temps qui a la vie si dur et accélérer la vie qui coule si lentement le galant tireur comme la voiture traverser le bois il la fit arrêté dans le voisinage d'un tir 10 ans qui lui serait agréable de tirer quelques balles pour tuer le temps tu es ce monstre là n'est ce pas l'occupation la plus ordinaire est la plus légitime de chacun et il offrit galamment la main à sa chair délicieuse et excécrable femmes à cette mystérieuse femme à laquelle il doit tant de plaisir tant de douleur et peut être aussi une grande partie de son génie plusieurs balles frappèrent loin du but de proposer l'une d'elles s'enfonça même dans le plafond et comme la charmante créature riet follement se moquant de la maladresse de son époux celui-ci se tourne a brusquement vers elle et lui dit observer cette coupe est là bas à droite qui porte le nez en l'air et qui a la mine si hautaine et bien chez orange je me figure que c'est vous il ferma les yeux et il lâche à la détente la poupée fut nettement décapité alors c'est un client vers sa chair sa délicieuse sont excécrables femmes sont inévitables et impitoyable muse et lui respectueusement la main il ajouta à mon cher ange combien je vous remercie de mon adresse le tir et le cimetière à la vue du cimetière estaminet singulière enseignes se dit notre promeneur mais bien fait pour donner soif un coup sûr le maître de ce cabaret s'est appréciée aux races et les poètes élèves des piqûres peut-être même connaît-il le raffinement profond des anciens égyptiens pour qui il n'y avait pas de bon festin sans squelette ou sans un emblème quelconque de la brièveté de la vie et il entra bu un verre de bière en face des tombes et fumât lentement un cigare puis la fantaisie le prix de descendre dans ce cimetière dont l'herbe et tessy haute et si invitante et ou renier ainsi riche soleil en effet la lumière et la chaleur y faisait rage et l'on nous dit que le soleil ivre se vautrait tout de son long sur un tapis de fleurs magnifiques engraissés par la destruction un immense bruissement de vie remplie seiler la vie d infiniment petit coupé à intervalles réguliers par l'accréditation des coups de feu d'un tir voisin qui éclataient comme l'explosion des bouchons de champagne dans le bourdonnement d'une symphonie en sourdine alors c'est le soleil qui lui chauffer le cerveau et dans l'atmosphère des ardents parfum de la mort il entendit une voix chuchotée sous la tombe où il s'était assis et cette voix 10 est maudite soit possible et vos carabine turbulent vivant qui vous soucie peu des défunts et de leurs divin repos maudite soit vos ambitions maudit soit vos calculs mortel un patient qui venait étudié l'art de tuer au près du sanctuaire de la mort si vous saviez comme le prix facile à gagner comme le but est facile à toucher et combien tout est né en excepté la mort vous ne vous fatiguez pas tant laborieux vivant et vous trouveriez moins souvent le sommeil de ceux qui depuis longtemps ont mis dans le but d'en le seul vrai but de la détestable vie perte d'eau réole et quoi vous ici mon cher vous dans un mauvais lieu vous le buveur de quintessence vous le mangeur d'ambroisie en vérité il y à là de quoi surprendre mon cher vous connaissez ma terreur des chevaux et des voitures tout à l'heure comme je traversais le boulevard en grande hâte et que je sautille et dans la boue à travers ce chaos mouvant où la mort arrive au galop de tous les côtés à la fois mon auréole dans un mouvement brusque a glissé de ma tête dans la fange du macadam je n'ai pas eu le courage de la ramasser j'ai jugé moins désagréable de perdre mais un signe que de me faire rompre les os et puis monsieur jeudi à quelque chose malheur est bon je puis maintenant me promener incognito faire des actions basse et me livrer à la crapule comme les simples mortels et me voici tous semblables à vous comme vous voyez vous devriez au moins faire afficher cette auréole ou la fé réclamée par le commissaire mort fois non je me trouve bien ici vous seul vous m'avez reconnu d'ailleurs la dignité m'ennuie ensuite je pense avec joie que quelques mauvais poète la ramassera et sans coiffera impudemment faire un heureux kheloui sens et surtout un heureux qui me fera rire penser à x x z1 comme ce sera drôle mademoiselle bistouri comme j'arrivais à l'extrémité du faubourg sous les éclairs du gaz je sentis un bras qui se couler doucement sous le mien et j'entendis une voix qui me disait à l'oreille vous êtes médecin monsieur je regardais c'était une grande fille robuste aux yeux très ouvert légèrement fardée les cheveux flottant au vent avec les brides de son bonnet non je ne suis pas médecin laissez moi passer aussi vous êtes médecin je le vois bien venez chez moi vous serez bien content de moi allez sans doute j'irai vous voir mais plus tard après le médecin que diable a afit elle toujours suspendu à mon bras et en éclatant de rire vous êtes un médecin farceur j'en ai connu plusieurs dans ce genre là venaient j'aime passionnément le mystère parce que j'ai toujours l'espoir de le débrouiller je me laissais donc entraînés par cette compagne ou plutôt par cette énigme inespéré je mets la description du taudis on peut la trouver dans plusieurs vieux poète français bien connus seulement détails n'ont aperçu pas renier deux ou trois portraits de doctor célèbre étaient suspendus au mur comme je fus dorloter grand feu vin chaud cigares et en m'offrant ces bonnes choses et en allumant elle-même un cigare la bouffonne créatures me disait faites comme chez vous mon ami mettez vous à l'aise ça vous rappellera l'hôpital et le bon temps de la jeunesse ah ça ou donc avez vous gagné ses cheveux blancs vous n'étiez pas ainsi il n'y a pas encore bien longtemps quand vous étiez interne de l je me souviens que c'était vous qui l'assistent y ait dans les opérations grave en voilà un homme qui aime couper tailler et rogner c'était vous qui lui tendent y est les instruments les fid et les éponges et comme l'opération fait il disait fièrement en regardant sa montre cinq minutes messieurs moi je vais partout je connais bien ces messieurs quelques instants plus tard me tutoyant elle reprenait son antienne et me disait tu es médecin n'est ce pas mon chat cette inintelligible refrain me fit sauter sur mes jambes non grièges furieux chirurgie alors non on en a besoin de toi pour te couper la tête attendrie tél tu vas voir elle tira d'une armoire une liasse de papiers qui n'était autre chose que la collection des portraits des médecins illustre de ce temps lithographier par morin qu'on a pu voir étaler pendant plusieurs années sur le quai voltaire tient le reconnais tu celui ci oui c'est x le nom et touba d'ailleurs mais je le connais personnellement je savais bien tiens voilà z celui qui disait à son cours en parlant de x ce monstre qui porte sur son visage la noirceur de son âme tout cela parce que l'autre n'était pas de son avis dans la même affaire comme ont rayé de sa à l'école dans le temps c'est en souvient tiens voilà qu'à celui qui dénonçait au gouvernement les insurgés qu'il soignait à son hôpital c'était le temps des émeutes comment est ce possible qu un si bel homme est si peu de coeur voici maintenant w un fameux médecin anglais je les attrape et à son voyage à paris écrit il a l'air d'une demoiselle n'est ce pas et comme je touchais à un paquet ficelé poser aussi sur le guéridon attends un peu dit elle ça c'est les internes et ce paquet 6 cd externe et l déployant en éventail une masse des images photographiques représentants des physionomies beaucoup plus jeune quand nous nous reverrons tu me donneras ton portrait n'est ce pas chérie mais lui dis-je suivant à mon tour moi aussi mon idée fixe pourquoi me crois tu médecin c'est que tu es si gentil et si bon pour les femmes singulières logique vous dis-je à moi même oh je ne me trompe guère j'en ai connu un bon nombre j'aime tant ces messieurs que bien que je ne sois pas malade je vais quelquefois les voir rien que pour les voir il y en a qui me disent froidement vous n'êtes pas malade du tout mais il y en a d'autres qui me comprennent parce que je leur fais des mines et quand ils ne te comprennent pas d'âme comme je les ai déranger inutilement je laisse différend sur la cheminée c'est si bon aussi d'où ces hommes là j'ai découvert à la pitié un petit interne qui est jolie comme un ange et qu'il est poli et qui travaille le pauvre garçon ses camarades m'ont dit qu'ils n'avaient pas le sou parce que ses parents sont des pauvres qui ne peuvent rien lui envoyer cela m'a donné confiance après tout je suis assez belle femme quoique pas trop jeune je lui ai dit viens me voir même voir souvent et avec moi ne te gêne pas je n'ai pas besoin d'argent mais tu comprends que je lui ai fait entendre sa part une foule de façon je n'y ai pas dit tout crûment j'avais si peur de l'humilier ce cher en fonte et bien croire et tu que j'ai une drôle de vie que je n'ose pas lui dire je voudrais qu'il va me voir avec sa trousse et son tablier même avec un peu de sang dessus elle dit cela d'un air fort candide comme un homme sensible dirais à une comédienne qu'il aimerait je veux vous voir vêtus du costume que vous portiez dans ce fameux rôle que vous avez créés moi obstinant je repris peux-tu te souvenir de l'époque et de l'occasion où est né en toi cette passion si particulière difficilement je me fit comprendre enfin j par 20 mais alors elle me répondit d'un air très triste et même autant que je peux me souvenir en détournant les yeux je ne sais pas je ne me souviens pas quelle bizarrerie ne trouve-t-on pas dans une grande ville quand on sait se promener et regarder la vie fourmille de monstres innocent seigneur mon dieu vous le créateur vous le m vous qui avez fait la loi et la liberté vous le souverain qui laissait faire vous le juge qui pardonne et vous qui êtes plein de motifs et de cause et qui avait peut-être mis dans mon esprit le goût de l'horreur pour convertir mon coeur comme la guérison au bout d'une lame seigneur ayez pitié ayez pitié des fous et des folles aux créateurs peut-il exister des monstres aux yeux de celui là seule qui sait pourquoi il existe comment ils sont faits et comment il aurait pu ne pas se faire anywhere out of the world n'importe où hors du monde cette vie est un hôpital où chaque malade et posséder du désir de changer de lit celui ci voudrait souffrir en face du poil et celui là croit qu'il guérirait à côté de la fenêtre il me semble que je serai toujours bien là où je ne suis pas et cette question de déménagement en est une que je discute sans cesse avec mon âme dis moi mon âme pauvres âmes refroidi que penserait tu d'habiter lisbonne il doit y faire chaud et tutti ragaillardir est comme un lézard cette ville est au bord de l'eau on dit qu'elle est bâtie en marbre et que le peuple il ya une telle haine du végétal qui l'arrachent tous les arbres voilà un paysage selon son goût un paysage fait avec la lumière et le minéral et le liquide pour les réfléchir mon âme ne répond pas puisque tu aimes tant le repos avec le spectacle du mouvement veux-tu venir habiter la hollande cette terre béatifiant tu peut être te divertir as-tu dans cette contrée dont tu as souvent admiré l'image dans les musées que penserait tu de rotterdam toi qui aimes les forêt de mâts et les navires amarrés au pied des maisons mon âme reste muette batavia te sourire est peut-être davantage nous y trouverions d'ailleurs l'esprit de l'europe marié à la beauté tropicale pas un mot mon âme serait elle morte on était donc venu à ce point d'engourdissement que tu ne te plaise que dans ton mal s'il en est ainsi fuyant vers les pays qui sont les analogies de la mort je tiens notre affaire pauvres âmes nous ferons nos mâles pour torneo allons plus loin encore à l'extrême bout de la baltique encore plus loin de la vie si c'est possible installant nouveau pôle là le soleil neuf risque obliquement la terre et les landes alternative de la lumière et de la nuit supprime la variété et augmente la monotonie cette moitié du néant là nous pourrons prendre de longs bains de ténèbres cependant que pour nous divertir les aurores boréales nous enverrons de temps en temps leur gerbe rose comme des reflets d'un feu d'artifice de l'enfer enfin mon âme fait explosion et sagement elle me crie n'importe où n'importe où pourvu que ce soit hors de ce monde assommons les pauvres pendant quinze jours je m'étais confinés dans ma chambre et je m'étais entouré de livres à la mode dans ce temps là il y à 16 ou 17 ans je veux parler des livres où il est traité de l'art de rendre les peuples heureux ça âgées riche en 24 heures j'avais donc digéré avaler veut dire toutes les élucubrations de tous ces entrepreneurs de bonheur publique de ceux qui conseille à tous les pauvres de se faire esclaves et de ce qu'ils leur persuade qu'ils sont tous des rois détrôner on ne trouvera pas surprenant que je fusse alors dans un état d'esprit avoisinant le vertige où la stupidité il m'avait semblé seulement que je sentais confiné au fond de mon intellect le germe obscur d'une idée supérieure à toutes les formules de bonnes femmes dont j'avais récemment parcouru le dictionnaire mais ce n'était que l'idée d'une idée quelque chose d'infiniment vague et je sortis avec une grande soif car le goût passionnés des mauvaises lectures engendre un besoin proportionnelle du grand air et des rafraîchissant comme jallet entré dans un cabaret un mendiant me tendit son chapeau avec un de ces regard inoubliable qui culbute ferait les trônes si l'esprit de remuer la matière et si l'oeil d'un magnétiseur faisait mûrir les raisins comme jallet entré dans un cabaret un mendiant me tendit son chapeau avec un de ces regard inoubliable qui culbute trail et rhône si l'esprit remuer la matière et si l'oeil d'un magnétiseur faisait mûrir les raisins en même temps j'entends dit une voix qui chuchotait à mon oreille une voie que je reconnus bien c'était celle d'un ménage ou d'un bon démons qui m'accompagne partout puisque socrates avait son bon démons pourquoi n'aurais-je pas mon bon ange et pourquoi n'aurais-je pas l'honneur comme socrate d'obtenir mon brevet de folie signé du subtil l'élu et du bien avisé baillargé il existe cette différence entre le démon de socrate le mien que celui de socrate ne se manifestait à lui que pour défendre avertir empêcher et que le mien daigne conseiller suggéré persuadé ce pauvre socrates n'avait qu'un démon prohibit heures le mien est un grand affirme ateurs le mien est un démon d'action un démon de combat or sa voix me chuchoter ceux ci celui là seul est l'égal d'un autre qui le prouvent et celui là seul est digne de la liberté qui sait la conquérir immédiatement je sautais sur mon mendiants d'un seul coup de poing je lui boucher un oeil qui devint en une seconde gros comme une balle je cassais un de mes ongles à lui briser dedans et comme je ne me sentais pas assez fort et en est délicat et mettant peut exercer à la boxe pour assommer rapidement ce vieillard je le saisis d'une main par le collet de son habit de l'autre je l'en poignets à la gorge et je me mis à lui secouer vigoureusement la tête contre un mur je dois avouer que j'avais préalablement inspecté les environs d'un coup d'oeil et que j'avais vérifié que dans cette banlieue déserte je me trouvais pour un assez longtemps hors de la portée de tout agent de police ayant ensuite par un coup de pied lancé dans le dos à ses énergiques pour briser les omoplates terrassé ce sexagénaire a faibli je me saisis d'une grosse branche d'arbre qui traînait à terre et je le bâti avec l'énergie obstiné des cuisiniers qui veulent attendre et un bifteck tout à coup au miracle aux jouissances du philosophe qui vérifie l'excellence de sa théorie je vis cette antique car qu'à se retourner se redresser avec une énergie que je n'aurais jamais soupçonné dans une machine si singulièrement détraqué et avec un regard de haine qui me parut de bonne augure le malandrin décrépit se jeta sur moi me pochât les deux yeux me casse à 4 dans et avec la même branche d'arbre me bâti de rue comme plâtre par mon énergique médication je lui avais donc rendu l'orgueil et la vie alors je lui fis force signe pour lui faire comprendre que je considérais la discussion comme fini il me relevant avec la satisfaction d'un sophistes du portique je lui dis monsieur vous êtes mon égal veuillez me faire l'honneur de partager avec moi ma bourse et souvenez vous si vous êtes réellement philanthrope qu'il faut appliquer à tous vos confrères quand ils vous demanderont le monde la théorie que j'ai eu la douleur d'essayer sur votre dos il m'a bien juré qu'il avait compris ma théorie est qu'il obéirait à mes conseils les bons chiens à monsieur joseph stevens je n'ai jamais rougis même devant les jeunes écrivains de mon siècle de mon admiration pour buffon mais aujourd'hui ce n'est pas l'homme de ce peintre de la nature pompeuse que j'appellerai à mon aide non bien plus volontiers je m'adresserai à stern et je lui dirai descend du ciel ou montent vers moi des champs élyséens pour m'inspirer en faveur des bons chiens des pauvres chiens un champ digne de toi sentimentale farceur farceur incomparable revient à califourchon sur ce fameux than qui t'accompagne toujours dans la mémoire de la postérité et surtout que cette halle n'oublie pas de porte et délicatement suspendu entre ses lèvres sont immortels macarons arrière la muse académique je n'ai que faire de cette vieille eagle j'invoque la muse familière la citadine la vivante pour qu'elle m'aide à chanter les bons chiens les pauvres chiens les chiens crottés cela que chacun et cartes comme un pestiféré les pouilleux excepté le pauvre dont ils sont les associés et le poète qui les regardent d'un oeil fraternelle filles du chien bellâtre de ce fat quadrupèdes danois king charles carling en gros d'un psy enchanté de lui-même qu'il s'élance indiscrètement dans les jambes ou sur les genoux du visiteur comme s'il était sûr de plaire turbulent comme un enfant sont comme une laure est quelquefois hargneux et insolent comme un domestique fille surtout de ces serpents à quatre pattes frissonnant et désoeuvrés qu'on nomme levrette et qui ne logent même pas dans leur museau pointu assez de flair pour suivre la piste d'un ami ni dans leur tête aplatie assez d'intelligence pour jouer aux dominos à la niche tout c'est fatigant parasites qu'ils retournent à leur niche soyeuse et capitonné je chante le chien crottés le chien pauvres le chien sans domicile le chien flâneur le chien saltimbanques le chien dans l'instinct comme celui du pauvre du bois et mia et de l'histrion est merveilleusement aiguillonnés par la nécessité 7,6 bonne mère c'est un vraie patronne d intelligence je chante les chiens calamiteux soit ceux qui errent sur les terres dans les ravines sinueuses des immenses ville soit ceux qui ont dit à l'homme abandonné avec des yeux clignotants et spirituelle pour moi avec toi et de nos deux misères nous ferons peut-être une espèce de bonheur où vont les chiens disait autrefois nestor rock plon dans un immortel feuilleton qu'il a sans doute oublié et dont moi seul et sainte beuve peut-être nous nous souvenons encore aujourd'hui où vont les chiens dites-vous homme peu attentifs ils vont à leur affaire rendez vous d'affaires rendez vous d'amour à travers la brume à travers la neige à travers la crotte sous la canicule mordante sous la pluie ruisselante ils vont ils viennent il trotte il passe sous les voitures excités par les puces la passion le besoin ou le devoir comme nous ils se sont levés de bon matin ils cherchent leur vie ou cours à leur plaisir il y en a qui couchent dans une ruine de la banlieue et qui viennent chaque jour à heure fixe réclamer la sportul à la porte d'une cuisine du palais royal d'autres qui accourent par troupe de plus de 5 lieu pour partager le repas que leur a préparé la charité de certaines pucelle sexagénaire dont le coeur inoccupés ces données aux bêtes parce que les hommes imbéciles n'en veulent plus d'autres qui comme des marrons affolé d'amour qui tu as deux certains jours leur département pour venir à la ville gambader pendant une heure autour d'une belle chienne un peu négligé dans sa toilette mais fière et reconnaissante ils sont tous très exact sans carnet sans notes et sans portefeuille connaissez-vous la paresseuse belgique et avez vous admirez com - tous ces chiens vigoureux atteler à la charrette du boucher de la laitière ou du boulanger et qui témoignent par leurs aboiements tri enfants du plaisir orgueilleux qu'ils éprouvent à rivaliser avec les chevaux en voici deux qui appartiennent à un ordre encore plus civilisé permettez moi de vous introduire dans la chambre du saltimbanque absent un lit en bois peint sans rideau deux couvertures traînante et souillé de punaises de chaises de paille un poil de fonds d'1 ou 2 instruments de musique détraqué of le triste mobilier mais regardez je vous prie ces deux personnages intelligent habillés de vêtements à la fois éraillée et somptueux coiffé comme des troubadours ou des militaires qui surveille avec une attention de sorcier l'oeuvre sans nom qui mitonne sur le pot ale allumé et au centre de laquelle une longue cuillère se dresse planté comme un de ces mâts aérien qui annonce que la maçonnerie est achevée n'est-il pas jusque 2 6 et les comédiens de se mettre en route sans avoir laissé leur estomac d'une soupe puissante et solide et ne pardonnerait vous pas un peu de sensualité assez pauvre diable qu'ils ont à affronter tout le jour l'indifférence du public et les injustices d'un directeur qui se fait la grosse part et mange à lui seul plus de sous que quatre comédiens que de fois j'ai contemplé souriant et attendri tous ces philosophes à quatre pattes esclaves complaisant soumis ou dévoués que le dictionnaire républicains pourraient aussi bien qualifiés d'office yeux si la république trop occupé du bonheur des hommes avaient le temps de ménage et l'honneur des chiens et que de fois j'ai pensé qu'il y avait peut-être quelque part qui sait après tout pour récompenser tant de courage dans de patience de labeur un paradis spéciale pour les bons chiens les pauvres chiens et chiens crottés est désolé sveden borg affirme bien qu'il y en a un pour les turcs et un pour les hollandais les bergers de virgile et de théocrite attendait pour prix de leur chant alterné un bon fromage une flûte du meilleur faiseur ou une chèvre aux mamelles gonfler le poète qui a chanté les pauvres chiens a reçu pour récompense un beau gilet d'une couleur à la fois riche et fané qui fait penser au soleil d'automne à la beauté des fameux mur et aux étés de la saint martin aucun de ceux qui étaient présents dans la taverne de la rue villahermosa n'oubliera avec l pétulance le peintre s'est dépouillé de son gilet en faveur du poète dont il a bien compris qu'il était bon et honnête de chanter les pauvres chiens tel un magnifique tir en italien du bon temps au frais au divin art est en soi une dague enrichi de pierreries soit un manteau de cours en échange d'un précieux sonné ou d'un curieux poèmes satiriques et toutes les fois que le poète endosse le gilet du peintre il est contraint de penser aux bons chiens au chien philosophe aux étés de la saint-martin et à la beauté des femmes très mûr épilogue le coeur content je suis monté sur la montagne d'où l'on peut contempler la ville en son ampleur hôpital lupanar purgatoire en fer bagne où tout énormité fleuri comme une fleur tu sais bien au satan patron de ma détresse que je n'allais pas là pour répandre à 20 heures mais comme un vieux paillardes une vieille maîtresse je voulais m'enivrer de l'énorme cattin dont le charme infernal me rajeunit sans cesse que tu dormais encore dans les draps du matin lourdes obscur enrhumé ou que tu te pavanent dans les voiles du soir pas se monter leur faim je t'aime au capital infâme courtisane et bandits tel souvent vous offrez des plaisirs que ne comprennent pas les vulgaires profane