Bienvenue à toutes et à tous dans ce 26e épisode déjà du podcast Virage Prépa. Aujourd'hui, on a une invitée assez spéciale, on a la chance de recevoir Émilie, qui est colleuse à Danilou en anglais et qui a également intégré HEC. Merci Émilie déjà d'être parmi nous, parmi Virage Prépa. Beaucoup de personnes vont forcément s'inspirer de ton parcours, de la prépa à HEC, même du lycée jusqu'à HEC. je te laisse te présenter en...
en deux mots et après on reviendra sur ton parcours plus en profondeur ok alors du coup moi je m'appelle Emilie au lycée j'ai fait les spécialités maths anglais enfin LLCE et SES et après en terminale j'ai choisi maths et SES je m'étais intéressée à la prépa parce que je voulais avoir une formation qui me permettait de continuer d'avoir plein de matières différentes et de me laisser un peu plus le temps de réfléchir sur ce que je voulais faire ok Merci. Du coup, après le lycée, j'ai intégré Danielou. J'y suis restée pendant deux ans avec les options à maths appliquées ESH parce que c'était la première année où il y avait la réforme.
Et du coup, à l'issue de ces deux ans, j'ai eu la chance d'intégrer HEC. Et après, aujourd'hui, je fais d'école d'anglais. Et là, c'est ma deuxième année, donc je suis en première année de master.
Ok. Déjà, félicitations pour ce parcours vraiment inspirant pour le coup. ok bon de suite on va revenir étape par étape sur ton parcours sur ta scolarité première question déjà quel type d'élève tu étais au lycée dans tes 16-17 ans on va dire est-ce que tu savais que tu voulais faire une prépa ou pas du tout et à quel lycée t'étais aussi alors en type d'élève c'est vrai que j'étais assez sérieuse mais ça me prenait pas beaucoup de temps les devoirs, enfin je passais beaucoup de temps à lire et à regarder des séries par ailleurs mais parce que j'étais assez efficace sur mon travail ...
Donc, ce n'est pas que je ne travaillais pas, c'est juste que je m'organisais. Organiser, oui. Voilà, c'est ça. Et après, par rapport à la prépa, je n'avais pas tant d'idées. Je m'intéressais beaucoup, on va dire, à l'actualité, un peu à l'économie.
Et en fait, ma mère avait fait une classe préparatoire aussi. Et dans mon lycée, on entendait beaucoup parler. Et en fait, ce qui m'a vraiment attirée, c'est le côté garder des mathématiques, de l'éco et aussi des langues, avoir un peu de philosophie. C'est vraiment le côté plein de matières différentes qu'on approfondit quand même plutôt bien, qui m'a vraiment attirée dans cette formation.
Ok, super. Tes notes au bac, c'était quoi à peu près ? Alors nous, on n'a pas pu passer les épreuves du Covid, mais en tout, j'ai eu... Ça va durer la moyenne, on va dire. La question, c'est plutôt quelles notes il faut pour intégrer Danielou en trépas ?
Ah ! En fait, pour intégrer Danielou, c'est pas tant les notes qui comptent, mais plutôt le classement par matière. Et donc du coup, c'était assez conseillé d'être dans le top 10, voire 5, parce que par exemple, moi, sur mon bulletin, il y avait la moyenne, la moyenne de la classe, et aussi le rang par matière.
Du coup, j'avais l'impression que pour les prépas privés, en tout cas, étaient plus attentifs au ranking dans la classe qu'à la note brute, qui pouvait être très différente en fonction des lycées. Ok. Tu étais à quel lycée, toi-même ?
Moi, j'étais à Sainte-Marie-de-Neuilly. donc en privé d'accord donc à Paris aussi d'accord donc derrière tu intègres Danielou c'est déjà une grande étape quand même parce qu'au vu du nombre de candidats qu'il y a chaque année c'est pas une prépa qui est pas facile du tout à intégrer rapidement juste pour le lycée est-ce que tu avais des méthodes de travail bien efficaces est-ce que tu disais que t'arrivais à travailler de manière intelligente, à t'organiser. Concrètement, une semaine type pour toi au lycée, c'était quoi ? Je ne travaillais pas avant les cours, ça j'ai commencé à le faire en prépa, mais au lycée, on pouvait parfois rester un peu plus longtemps après les cours, pas forcément très longtemps, mais en tout cas, moi je pense que je travaillais peut-être une heure, une heure et demie par jour en plus des cours, mais c'était principalement... Est-ce que tu faisais les devoirs juste ou est-ce que tu t'arrivais quand même à t'organiser, à réviser des DS qui arrivaient le jour prochain ou pas du tout ?
Oui, oui. Après, en fait, c'est juste que le travail que je faisais en plus par rapport aux nécessaires qui étaient demandés, c'était surtout pour les mathématiques parce que c'était une matière qui, dès le lycée, m'a demandé beaucoup de travail. Et du coup, je me faisais des exercices en plus que ceux qui étaient demandés.
Mais après, pour ce qui était, par exemple, histoire géo ou philo, je faisais surtout les devoirs. Et en fait, la technique que j'avais développée, en tout cas surtout en histoire et qui m'a servi en prépa, c'était vraiment la relecture de chaque soir, le cours du jour. et en fait... En faisant ça, ça me gagnait du temps quand on avait vraiment un contrôle parce qu'en ayant relu un peu tous les jours mon cahier, après, je n'avais pas tant de choses à apprendre et c'était moins la panique.
Et ça m'a pas mal servi en prépa aussi, cette technique. Ouais, d'accord, ça marche. Donc derrière, après, comment tu te prépares entre l'été de la terminale et la rentrée en prépa ?
Pour être honnête, vous nous avez envoyé une liste de livres à lire pour la culture générale qui était très longue. Et moi j'avais tout acheté parce que j'étais hyper anxieuse. J'en avais lu certains mais j'avais trouvé ça très ennuyeux parce que c'était des trucs d'antiquité. Donc pour la CG ça m'a pas tellement servi pendant l'année.
Donc je conseille pas forcément de lire plein de livres. Plutôt en deuxième année pendant l'été en fonction du thème de lire un ou deux livres qu'on aime bien en lien. Mais pour la première année j'ai pas trouvé ça très pertinent. Et après pour les maths on nous avait conseillé un livre je m'en souviens avec quelques exercices à faire. Et ça, je les ai faits et j'ai trouvé que c'était quand même plus utile parce qu'il y avait pas mal de répétitions sur les suites, les fonctions, des questions de cours.
Et ça, pour le coup, ça a été utile. Et après, l'anglais et ma LV2 qui était russe, c'était plus de se tenir au courant de l'actualité et de regarder un peu des films, de lire de temps en temps. Et je pense que ce qui est utile, c'est de ne pas perdre ces notions de maths parce que c'est ça qui m'a le plus aidée, même si c'était quand même très dur à la rentrée.
Ok, ouais. Ok, ça marche. Donc derrière, après la rentrée, comment ça se déroule pour toi à Danielou ? Est-ce que le rythme est intense d'entrée ou est-ce que c'est plus relax ou comment ça se passe ?
Moi, j'ai trouvé que globalement, en première année, c'était un lycée très renforcé, surtout par rapport au volume rare de travail personnel qu'il fallait fournir, dont je n'avais absolument pas l'habitude. et du coup on avait vraiment un rythme où la prépa était ouverte jusqu'à 22h format classique, c'était qu'on finissait les cours à 5h, ensuite parfois on avait une ou deux cols, on avait un dîner qui commençait, enfin la cantine ouvrait à 18h50, on mangeait pendant 30 minutes, et après on travaillait le soir, et au début je me suis dit, mais ça sert à quoi d'avoir tant d'heures, au bout d'un moment j'aurais fini mes devoirs, mais en fait, quand on commence l'année, on a des feuilles de TD qu'on n'arrive pas forcément à finir, reprendre les chapitres d'écho, en fait la grande différence avec le lycée, je pense, c'est qu'en 1h ou en 1h30 de cours de prépa, on apprend énormément. par rapport à une heure de cours d'histoire au lycée par exemple.
Et du coup, le soir, il fallait que je prenne mon chapitre d'écho, que je le fiche, que je le diminue, que j'assimile un peu les notions. Et du coup, je n'ai pas complètement changé ma méthode, mais j'ai juste travaillé plus parce qu'il y avait tellement de contenu en plus à assimiler. C'était surtout ça la différence.
La permanence à Danielou, c'est comment le soir ? Est-ce que c'est obligatoire de travailler ? Est-ce que c'est obligatoire d'y aller ? Comment ça se passe ? Pas du tout obligatoire, mais en fait, à Danylou, comme c'est assez excentré et qu'il y a plein de personnes qui n'habitent pas à Rue Ma Maison, on a un système où la plupart des gens ont une chambre de bonne, qui loue chez des personnes âgées.
Et du coup, il n'y a pas trop un espace pour travailler. Moi, j'avais une chaise et un bureau, mais ce n'était pas très confortable. Et j'ai beaucoup aimé le fait de séparer le lieu de travail et le lieu où je dormais.
Et donc, du coup, c'était plus agréable pour moi de me dire tant que je suis à la prépa, je travaille. et quand je rentre chez moi je prends ma douche, je me laisse un petit peu de temps sur mon téléphone et je m'endors. et cette séparation des deux endroits, c'est surtout ça que j'ai trouvé très bénéfique. Et au final, tout le monde le fait parce que c'est pratique, parce qu'on est dans une bibliothèque, on voit d'autres gens travailler, et du coup, ça nous motive pour travailler. Donc, je trouve que c'est assez bénéfique.
Ah ouais, c'est une motivation forcément. D'ailleurs, toi, tu travaillais plutôt avec des camarades, toute seule, comment tu faisais ? Alors moi, j'étais plutôt solitaire, mais ce que je trouvais vraiment intéressant, c'est que quand on était dans la bibliothèque, si on faisait un exercice de maths, et qu'on voyait qu'il y avait quelqu'un qui faisait des maths à côté de nous, on pouvait un peu aller le déranger pour lui poser une question, même si ça n'était pas que ce soit un tempestif, il y avait quand même un petit peu d'entraide. Et après, pour les autres matières, moi, par exemple, en anglais, parfois, les gens venaient me voir pour me poser une question sur leur copie ou quelque chose comme ça, même si ça ne dérangeait pas. Mais il y avait des moments où, quand la personne a son casque anti-bruit, on sait qu'il ne faut pas la déranger.
Donc, j'avais une façon de travailler assez solitaire, mais de temps en temps, je demandais de l'aide. et pour la deuxième année on est très encouragé à faire des groupes de révision et donc du coup moi je suis partie en révision avec deux autres filles Et en fait, on ne travaillait pas ensemble, on avait le même, un peu, de se motiver aussi, sans faire de la collaboration. Ok, top. Du coup, comment se passent les premiers DS en première année, en termes de notes, en termes de classement, comment tu t'es positionnée ?
Le but, c'est vraiment de voir l'évolution que tu as eue. Est-ce que tu étais à l'aise directement ou est-ce que tu as eu des difficultés ? Moi, en fait, c'est un peu étrange, mais j'étais plus à l'aise au début.
Et après, niveau classement, en deuxième année, c'était beaucoup plus dur parce qu'au début, peut-être que j'ai eu tendance à me reposer sur mes acquis. En fait, je sais qu'au début, j'ai travaillé les mathématiques comme je le faisais au lycée sans me rendre compte qu'il y avait beaucoup plus de travail à fournir. Du coup, le premier CB, je crois que j'étais 13e, quelque chose comme ça. Et à la fin de l'année, j'étais dans les 20 et en deuxième année, 24 ou un truc comme ça. Mais après, pour les autres matières, je sais que l'anglais, pendant les deux ans, ça a toujours été ma meilleure matière et j'avais tout le temps quasiment la meilleure note.
Et après, pour les maths, j'ai commencé à 11 et au bout d'un moment, ça descendait plutôt. C'est pas mal 11 quand même déjà. Donc, oui, mais par rapport à la classe, 11, c'était moyen plus, on va dire.
Et après, j'ai descendu, j'ai remonté avant les concours, quoi, globalement. Ah, ok. Mais j'ai quand même mieux travaillé, donc... Ouais, d'accord. Et du coup, en termes de notes, concrètement, est-ce que tu avais tes premiers CB, tes premiers DS ?
Ça donnait quoi en termes de classement ou même de notes ? Tu m'as dit 11 en maths, par exemple, mais en ESH, en langue, concrètement, pour que les gens, ils s'imaginent... J'avais souvent entre 10 et 12, ce qui était assez correct par rapport à la classe, parce que les meilleures copies, elles avaient à partir de 13, entre 13 et 16, c'était les meilleures.
Donc 10-12, ça voulait dire que j'avais bien compris le sujet, que j'avais bien utilisé mes références, que ce n'était pas excellent, mais que c'était correct. Pour la culture générale, je crois que le premier sujet nous avait un peu déstabilisés, et j'avais dû avoir 8,5, quelque chose comme ça. Et en deuxième année, j'ai un peu plus progressé, j'ai réussi à avoir 11-12, un peu comme en ESH. Donc ça, c'était plus définitif.
Et après, qu'est-ce qui reste comme matière ? Oui, le russe, c'était très dur au début parce que je partais d'une élève très bonne de lycée à un niveau de LV2. Mais ça, c'est pareil pour l'allemand et l'espagnol.
Souvent, la LV2 en prépa, au début, c'est un peu la dégringolade. Mais après, j'ai vraiment beaucoup travaillé en première année. Et du coup, ça m'a vraiment permis de faire des progrès.
Et à la fin, j'ai réussi à avoir 14-15 et j'ai eu 18 au concours. Et après, qu'est-ce qui manque comme matière ? Du coup, j'ai déjà dit l'anglais.
Non, c'est bon. globalement Ça marche. Et du coup, comment tu fais au fil de l'année ? Donc, on va dire octobre, novembre, c'est ok.
Décembre, à partir de décembre, on va dire moitié d'année quasiment. Comment est-ce que tu te positionnes en termes de classement au niveau de la classe ? Est-ce que tu es plutôt bon élève, moyen ? En fait, nous, à Danilo, on a trois concours blancs en première année et deux en deuxième année.
donc euh c'est donc je m'en souviens qu'au deuxième j'étais à peu près pareil et c'est au troisième que j'étais vingtième mais... Vous êtes combien dans la classe ? On est 42 Ok Voilà Et du coup je pense que ce premier concours blanc ça m'a un petit peu... ça m'a pas trop challengé parce que comme entre guillemets j'étais arrivée à treizième je me disais bon bah en fait ça va, change rien et tout mais en fait avec la suite je me suis rendu compte que bah effectivement par exemple les mathématiques fallait pas que je me contente de ça parce que après les autres DST j'ai eu des moins bonnes notes et je me suis rendu compte qu'il fallait vraiment plus travailler et donc en fait c'est quoi la baisse des notes que t'as eu ? bah du coup je sais qu'en maths j'ai commencé, ma première DST j'ai dû avoir genre 11-12 et après je suis descendue un peu dans les 8 enfin globalement à la fin d'année du coup et après le début de deuxième année je crois que j'ai commencé à 6 et j'ai eu ma première note au dessus de 10 à l'avant dernier DST mais j'ai vraiment senti un déclic pendant les révisions pour ma part et ça m'a quand même permis d'avoir des très bonnes notes au concours je suis sortie en étant très contente mais c'était pas gagné d'avance en fait c'était vraiment un travail de très longue haleine et c'est pour ça que c'était plutôt pour soi-même et de se dire que c'est pas parce que j'ai 6 maintenant que je vais avoir 6 au concours et ça c'est important je pense pour tous les étudiants aussi qui ont des mauvaises notes peu importe leur prépa de leur expliquer qu'aujourd'hui ben c'est pas parce qu'ils ont 6, 7 qu'ils ont jamais plus de 10 au concours par exemple C'est vraiment un travail de fond, comme tu disais.
C'est que derrière, même toi, tu as commencé à 11, 12, après tu es descendu à 8, 6. Comment tu faisais mentalement, par exemple, derrière pour toujours être motivé, pour toujours te dire que c'est possible, que tu vas y arriver ? Comment tu faisais concrètement ? Parce que forcément, il y a plein d'élèves qui sont... Je pense que j'ai commencé à faire quelque chose que je détestais et que je trouvais très désagréable, c'était reprendre sa copie.
Parce qu'au lycée, souvent, quand on a une mauvaise note, on jette la copie, on n'y pense plus et on passe à autre chose. Et en fait, en prépa, comme de toute façon, toutes les notions qu'on revoit peuvent potentiellement tomber au concours, on ne peut pas se permettre de faire l'impasse. Et du coup, à partir du moment où j'ai vraiment commencé à étudier mes copies, à me faire des petites fiches des fautes que j'avais faites ça m'a vraiment aidé Et pareil pour les TD et les exercices qu'on avait, je notais ce que j'appelais les petites astuces, entre guillemets les choses que j'aurais jamais trouvées toute seule, mais dont j'avais bien compris que c'était quand même important.
Et du coup, en fait, pour réviser, j'avais un code couleur où par exemple, s'il y avait une question sur un exercice où je me trompais tout le temps, je l'entourais en rouge. Et du coup, quand je refaisais, je savais que ça, il fallait que je fasse attention. Et après, sur les corrigés qu'on nous donnait, je mettais du vert des trucs que j'avais déjà compris et je mettais en rose des trucs très très durs et en jaune des trucs absolument à savoir par cœur.
et du coup En fait, je ne refaisais pas l'exercice de manière trop rapprochée pour ne pas m'en souvenir, mais du coup, ça me permettait de me corriger plus efficacement et de voir si ça fait deux fois que je fais la même erreur au même moment. Il faut vraiment que je me note dans un coin ce TD-là, il faut encore que je le refasse parce que c'est quoi. En général, les sujets se ressemblent beaucoup, donc c'est important, même nous à tous les élèves au sein du dirige prépa que l'on a, on leur dit constamment d'avoir un carnet, à noter toutes les erreurs qu'ils ont faits durant les DS, même le logiciel qui...
qu'ils peuvent utiliser au sein de Virage Prépare. Et derrière, après, comme ça, ils ne refont plus les mêmes erreurs. Moi, j'ai commencé, notre prof nous avait conseillé d'avoir un carnet d'astuces.
Et du coup, je notais par exemple DST numéro 3 à la date. Et j'écrivais les 2-3 trucs hyper importants sur lesquels je m'étais trompée. Et parfois, avant les DST, je relisais ce carnet plus que de reprendre la copie en entier. Ça permettait de gagner du temps. Et même si ça n'a pas marché du jour au lendemain, au fur et à mesure, je me suis rendu compte, ah tiens en fait J'ai réussi cette question parce que je me suis souvenu que j'avais déjà vu dans mon carnet d'astuces une variation.
Et ça, ça m'a vraiment... Ça m'a changé la donne. Ce que je n'avais pas fait en première année, il y en a qui avaient déjà commencé en première année. Mais moi, ça m'a vraiment aidé pour la deuxième année en tout cas. Juste pour un petit rappel à tous ceux qui regardent le podcast aujourd'hui de Virage Prépa, nous sommes la première prépa complémentaire française en ligne.
On a les étudiants à intégrer le top 5 des grandes écoles de commerce et également d'ingénieurs. Nos professeurs sont des callers à Paris, exactement comme Emilie qui est présente aujourd'hui. La formule, c'est une base de 8 heures de cours par mois, 2 heures par semaine, du lundi au dimanche, de la matière de votre choix. C'est ça le gros avantage, c'est que chaque semaine, vous pouvez choisir une matière différente, les maths, la physique, l'éco, la géopo, les langues, etc., philo.
D'ailleurs, vous avez également accès à un mentor, qui est une personne aussi, par exemple, qui pourrait être Emilie, donc qui est passée par HEC, qui vous aidera sur tout l'aspect organisation. je pense qu'on en reviendra après avec les mini vraiment l'importance de l'organisation en prépa notre logiciel de maths également qui s'appelle ExoPlus sur lequel vous avez une multitude d'exercices à décorriger et puis également une nouvelle plateforme qui est en cours également sur lesquelles tous nos élèves auront accès à leur fiche d'économie, de géopolitique d'anglais aussi donc ça je reviendrai plus tard sur différentes vidéos, donc en tout cas si vous voulez candidater à nos programmes vous aurez le lien en description juste en dessous de cette vidéo Merci. ou bien sur notre site également virageprépa.com Juste pour revenir du coup Émilie l'été entre première et deuxième année comment tu t'organises ? Qu'est-ce que tu fais ? Parce que je pense que ça intéresse aussi beaucoup de monde juste avant la rentrée, qu'est-ce que tu fais concrètement ?
Bah du coup nous on nous avait vraiment conseillé d'avoir un vrai break après la première année pour se reposer mais du coup de commencer vers mi-août à vraiment refaire des maths pour pas perdre. Et du coup, c'est un peu ce que j'ai fait. On nous avait envoyé pas mal de fiches d'exo, mais plutôt des sujets type EDEC-EM pour refaire plein d'exo classiques. Et du coup, moi, c'est ce que j'ai fait.
Je me suis surtout concentrée sur les mathématiques, toujours en me tenant en courant de l'actualité dans le monde anglophone, mais de manière assez chill. Et après, pour la CG, je m'en souviens que j'avais dû acheter... un livre assez générique sur le monde parce que c'était notre thème et d'essayer de voir un peu les œuvres qui pourraient être intéressantes.
Et j'avais juste relu Brave New World, le meilleur des mondes, parce que c'était un livre que j'aimais bien et que je me disais que ça pouvait être intéressant de recaser. Mais en tout cas, je conseillerais vraiment de ne pas négliger les maths, mais de quand même faire une pause et de s'y remettre deux semaines avant la rentrée pour ne pas arriver en n'ayant rien fait. Ouais, d'accord.
Donc ça, c'est tes conseils pour... pour l'été. Maintenant, comment ça se passe le retour en deuxième année ?
Évidemment, ce que tu as dit, ça ne s'est pas hyper bien passé. Est-ce que tu as eu une mauvaise... Enfin, si, sans masque, que tu m'as dit c'est ça ? Oui, en fait, la rentrée, c'était beaucoup plus dur parce qu'on réalisait qu'en cours, ça se rapprochait quand même. Et en fait, on n'avait pas vraiment une année entière.
La deuxième année, on a l'impression, mais en fait, c'est très court. Et donc, du coup, il y avait toute cette pression qui commençait à s'accumuler. Moi, pour les mathématiques, on avait un professeur assez exigeant qui n'était pas, je trouvais qu'il n'était pas très, très positif, on va dire, pour les élèves qui avaient des difficultés. et du coup c'était assez dur mais Mais je trouve que j'ai réussi un peu à me détacher d'une ambiance négative ou de quelque chose qui aurait pu me faire mal parce que j'avais une mauvaise note, de me dire, bah oui, mais enfin là, c'est un fait. Il faut que tu reprennes ta copie.
Il faut que tu fasses, que tu continues de travailler. Et j'étais aussi entourée d'amis qui avaient moins de difficultés en maths, qui étaient d'accord pour m'aider, et aussi d'autres amis qui avaient plus de difficultés. Et du coup, on se motivait entre nous de nous dire, bah, il faut bien lâcher.
C'est quoi l'intérêt que tu vois justement à cette aide-là ? Aujourd'hui forcément que tu es colleuse à Paris dans un très grand lycée, tu donnes entre guillemets des cours, on peut dire ça comme ça, également sur notre plateforme aussi. Donc toi c'est quoi aujourd'hui concrètement la valeur ajoutée que tu vois d'une aide potentielle que ce soit par tes amis que tu avais ou aujourd'hui ce que tu apportes aussi aux élèves que tu as en cours, c'est quoi concrètement la valeur ajoutée que tu vois ?
En tout cas je trouve pour la partie colle, Ce que j'aime bien quand je reprends la colle d'un élève, c'est qu'en fait, j'ai noté toutes les fautes de grammaire qu'il a faites ou les confusions sur des points de civilisation. Et du coup, c'est vraiment l'aspect personnalisé parce que c'est vraiment en fonction de ce que la personne vient de dire. Et après, pour les cours où on fait plus des thèmes et des reprises d'essais, ça va être de faire réfléchir la personne en live sur ce qu'elle est en train de faire.
et moi j'ai vu la progression avec un de mes élèves où par exemple maintenant il a plus L'idée de s'auto-corriger quand il parle, alors qu'au début les gens sont un peu timides et n'osent pas forcément, et de dire à la fluidité orale, le correcteur préfère mille fois que tu te reprennes et que tu dises un truc bon, plutôt que tu fasses une faute et que tu traces ta route parce que non, on va le voir. L'anglais c'est... Adapter à la fois le niveau et ce que tu vas dire à ce que vient dire la personne. L'anglais c'est souvent une matière redoutée, je pense, pour la plupart des élèves. parce qu'en général si t'arrives en prépa et que tu parles déjà c'est bien derrière tu fais que progresser si tu parles vraiment du niveau zéro c'est compliqué aussi tu peux progresser mais nous on le voit par exemple au sein du virage prépa il y a beaucoup d'élèves qui apprennent carrément des phrases par coeur parce que derrière ils savent qu'ils vont pouvoir les ressortir et que ça risque d'être compliqué pour eux s'ils ont pas ça en tête toi t'en penses quoi par exemple de ça ?
je sais que pour l'allemand ça se faisait énormément d'apprendre des paragraphes entiers sur des sujets ... Moi, ce que je conseille pour l'anglais, c'est que c'est une très bonne idée d'apprendre des mots de structure. Par exemple, de dire « first of all » , « moreover » , des petits mots qui vont structurer l'essai. Et après, d'apprendre aussi des synonymes.
Par exemple, de dire « to highlight » , « to emphasize » , en fait, ça veut dire la même chose. Mais rien que le fait de changer de mot dans un essai, ça fait toute la différence parce que le correcteur va se dire « ah ben ça, c'est pas une répétition » , même si c'est un synonyme. Et du coup je conseille vraiment d'apprendre à... à structurer son essai avec des mots qui vont revenir souvent, et aussi d'avoir des petites structures.
Et après, par exemple, pour la civilisation, ça peut être intéressant aussi d'avoir quelques statistiques ou quelques faits. Mais après, le danger, je trouve, dans l'essai, en tout cas dans la dernière partie, c'est de ne pas faire un catalogue d'exemples. Et souvent, c'est le danger des élèves qui disent une phrase pour dire un truc, et en fait, on attend plus qu'il y ait deux, trois phrases sur la liste. Donc, il y a aussi ça. de peut-être pas trop raconter d'exemples, mais de bien les développer.
Donc voilà, ce sera un peu mes conseils. Vraiment, avoir une structure, c'est pas du tout péjoratif et on vous pénalisera jamais parce que vous avez mis des petits mots de liaison. Au contraire, c'est ce qui...
C'est ce qui va... L'authenticité. Et pour réviser la CV, comment tu le conseilles ? Alors moi c'est vrai qu'on avait des cours de civi en prépa où on avait des powerpoint avec un petit peu des bullet point et du coup j'essayais de retenir quelques faits que je trouvais intéressants mais pas tout. Mais sinon je sais que parfois je regardais les John Oliver sur Youtube qui est un journaliste américain qui fait des vidéos de 20 minutes sur des sujets assez complets.
Mais ça c'est plus quand on a un bon niveau. Je pense que quand on a des difficultés, vraiment prendre les cours de civi qu'on a en prépa. et se faire soi-même un mini résumé par exemple d'une page sur la monarchie avec juste l'essentiel. Ça peut être très utile après pour réviser facilement.
Donc je pense que c'est vraiment l'idée de retenir quelques petites informations. Et après, par exemple, si on a eu un article de col qui nous a plu sur un sujet qu'on trouve intéressant, à la fin de se dire qu'est-ce que je retiens de cet article et écrire deux, trois phrases quelque part. Comme ça, ça nous fait un exemple en tête.
L'idée, c'est d'avoir des petits sujets dont on peut dire un peu plus qu'une phrase sans s'étaler beaucoup, mais avoir deux, trois phrases dessus ... C'est toujours valorisé et ça permet de montrer qu'on ne parle pas juste en surface d'un exemple qu'on a lu une fois, mais qu'on sait un peu plus de quoi on parle. C'est plutôt ça.
Ok, super. Merci pour ces conseils qui sont forcément assez précieux venant de toi étant donné que tu es colleuse à Paris. Maintenant, par rapport à la deuxième année de prépa, comment ça se déroule ?
Comment tu vois une progression déjà ? Parce qu'encore une fois, tout est relatif, même si tu as eu une petite baisse en fin de première année. qui s'est encore montré en début de deuxième année. Comment tu as réussi derrière quand tu as travaillé concrètement pour remonter tout ça ?
C'était quoi tes notes, par exemple, à ton premier CB en deuxième année ? À ton deuxième, c'était quoi ? Il me semble bien qu'en première année, le premier CB de match, j'avais dû avoir genre 6 ou 7, quelque chose comme ça.
En deuxième année ? Oui, en deuxième année. Et en fait, comme en deuxième année, notre deuxième CB, il était avant les vacances de février. Je crois que j'avais eu 11 et j'étais hyper contente parce que c'était au-dessus de 10 et que c'était incroyable. Mais après, j'étais aussi inquiète parce que justement, comme dans ma classe, les gens aussi avaient progressé.
En fait, 11 n'était pas aussi bon que si j'avais eu 11 en début d'année. Mais je m'étais toujours dit qu'il fallait absolument que je continue à me comparer à moi-même et de me dire que moi, j'avançais, même si les gens à côté de moi avaient aussi fait des grands progrès. Donc je pense que c'est ce qui m'a aidé, c'est de se dire oui les gens autour de moi deviennent meilleurs, oui ils progressent, mais moi je fais quand même des progrès de mon côté. Il faut aussi que j'arrive à être fière de ça, parce que pour le moral c'est très important tout simplement.
C'est quoi une journée type d'une étudiante à Danilo en deuxième année ? Du coup moi en deuxième année j'ai commencé à venir travailler le matin, ce que je ne faisais pas en première année parce que je m'étais dit que ça pouvait être bénéfique. et du coup j'ai essayé plusieurs méthodes au début j'ai essayé de commencer à venir travailler dès 7h et ça m'a beaucoup fatiguée du coup en fait je suis arrivée à 7h20 on a l'impression que 20 minutes ça change pas mais en fait 20 minutes ça permet de se lever 20 minutes plus tard, d'avoir un tout petit peu plus de temps dans la douche et du coup ça m'a vraiment fait du bien et du coup j'arrivais environ à 7h20 j'amenais mon petit déj et on commençait les cours à 8h30 environ et du coup j'avais 1h où souvent ce que je faisais, c'était plutôt des langues parce que ça permettait de commencer la journée de manière assez facile.
Mais je faisais aussi de la LV2. Et après, du coup, on finissait les cours à 17h environ. Parfois, on devait préparer une colle à l'heure du déjeuner si on était les premiers à passer. Ça, c'est assez classique.
Mais quand on n'en avait pas, moi, je faisais une sieste. Je me mettais dans l'amphi et je dormais pendant 20 minutes parce que j'étais fatiguée, que ça me faisait du bien. Et après, du coup, à 17h, si j'avais pas de col, je travaillais jusqu'à 18h50.
Ensuite, je mettais mes 30 minutes pour dîner avec mes amis, parce qu'on faisait tout ça. Et ensuite, je travaillais. Mais ce que je faisais, c'est que j'essayais...
À 22h, je partais de la prépa, parce que c'était le moment où elle ferme, en fait. Et sauf que j'avais nos DST les samedis matins. Et du coup, là, je partais à 21h, une heure plus tôt, parce que j'étais fatiguée, quoi.
Ouais, ok. Ok, ça marche. Du coup... À l'approche du concours, comment est-ce que tu prépares tes concours, la phase de révision ?
Comment tu t'organises pour la période de révision ? Pour la période de révision, en fait, moi j'ai passé mes concours à Bordeaux, parce que j'avais une amie qui avait ses grands-parents qui habitaient là, et on avait un petit temps de transport pour y aller, et du coup on s'est dit dès le début qu'on allait se réveiller à la même heure à laquelle on devrait se réveiller pour les concours, mais on se couchait aussi très tôt. C'est-à-dire que moi, je me réveillais à 6h, mais je me couchais à 21h. Donc, c'était une manière différente de fonctionner, qui, moi, m'a convenu, mais après, c'est très personnel.
Et je commençais par des langues. Et en fait, je m'étais fait un petit tableau Excel où j'avais vraiment des slots par matière. Et j'écrivais ce que j'avais fait pendant ce temps. Parce que, en fait, je m'étais rendu compte que quand j'écrivais juste 2h de maths, à la fin de la semaine, je me disais, mais en fait, j'ai fait quoi pendant ces 2h de maths ? Et ça me motivait plus de me dire, bah...
J'ai fait le TD12, le DST3, et comme ça, à la fin, mon tableau Excel, j'ai fait plein de trucs, mais ça me motivait parce que je voyais que j'avais vraiment fait des choses. Et du coup, je conseillerais plutôt de travailler... Enfin, moi, ça m'a plus aidé de travailler par tranche horaire que par nombre de fiches révisées, par exemple, en mode je ne m'arrête pas tant que je n'ai pas fini le chapitre 12, parce que ça permettait de changer de matière et de se dire, si je n'ai pas fini, tant pis, parce que le jour de l'épreuve, si tu n'as pas fini, tu n'as pas du extra time. donc moi j'étais plus à à faire des tranches maximum en gros je faisais une heure, une heure et demie de langue le matin, ensuite deux heures de maths, ensuite une petite pause, ensuite deux heures de maths après on a fait une pause déj, après je faisais de l'écho Après, j'avais une petite pause goûtée. Après, un peu de CG.
Après, j'allais faire du sport, j'allais faire le dîner. Et après, le soir, je faisais un petit peu de langue, j'allais me coucher. Ok, top.
Et par rapport aux fiches, on n'a pas parlé en ESH. Je pense que du coup, tu faisais des fiches, c'est quasiment obligatoire en prépa. Comment tu organisais ces fiches-là ?
Comment tu les préparais ? Combien de temps tu notais à peu près ? Alors, c'est vrai qu'en fait, à chaque fois, quand on avait cours d'écho, je notais pas mal de choses que le prof disait.
Et après, le soir, quand je reprenais, en fait, le côté fiché, c'était juste d'enlever des informations que je trouvais moins intéressantes. Mais après, ce que j'appelais les super fiches, c'était en fait tout simplement le nom du chapitre et le nom de tous les auteurs qu'il y avait dans le chapitre. Et en gros, qui disait quoi avec l'auteur, l'ouvrage, l'année.
Et en fait, finalement, c'est surtout ça qui m'a aidée à réviser pendant les concours parce que j'avais plus le temps de relire tout le chapitre sur la mondialisation. Par contre, j'avais ma fiche. avec tous les auteurs qu'il fallait connaître.
Et du coup, c'était beaucoup plus facile à relire. Mais c'est vrai que c'est un peu laborieux parce que globalement, c'est des listes d'auteurs. Et à la fin, je rajoutais, par exemple, s'il y avait un schéma ou un truc particulier dans ce chapitre que je trouvais pertinent. Par exemple, ISLM sur le système monétaire, je l'avais rajouté en dessous des auteurs. Enfin, les petites démonstrations et choses comme ça.
C'est comme ça que je faisais. Ok, ça marche. Et du coup, au concours, c'est quoi les notes que tu obtiens au final ? Alors...
Du coup en maths j'ai eu des très bonnes notes, en tout cas pour les parisiennes, il me semble que j'ai eu 17,8 à maths 1, 16 à maths 2, par contre le M Lyon j'ai eu 12, c'était la première épreuve de maths et je sais pas ça m'a pas trop plu, et à l'EDHEC j'ai eu 16. Après en fait j'ai eu des notes un peu contrastées en échos, par exemple j'ai eu 11 à HEC mais 17 à l'ESCP, et pour la CG je m'en souviens que j'ai eu 15 à HEC et 12 à l'ESSEC, donc Donc voilà. J'ai eu 15,3, mais en fait, en sortant de l'épreuve, j'étais un peu déçue et je savais que j'avais fait moins bien que d'habitude. Par contre, en rue, je savais que j'avais bien réussi et là, j'ai eu, je crois, 18,5 ou quelque chose comme ça.
Voilà. La synthèse, je crois que j'ai eu 12. Voilà. Et j'étais très contente parce que j'étais vraiment sortie de l'épreuve.
Ok. Top. Super.
Bah du coup, bravo à toi pour ce parcours. Parlons rapidement de ton expérience à HEC. Comment ça se passe pour toi ?
Qu'est-ce que tu fais ? Du coup, grande différence avec la prépa, on a beaucoup moins d'heures de cours. Et du coup, ça permettait de plus se lancer dans des projets associatifs.
Et du coup, moi, j'ai rejoint le club de basket et aussi l'assaut de cinéma. Et c'est vraiment sympa parce qu'on a la possibilité de s'investir à la fois dans une assaut de sport et plein d'autres choses qui nous intéressent. Après, il y a toute la période des recrutements d'assaut où on a des apéros pour rencontrer, deuxième année, pour apprendre à se connecter.
qui est complètement différente. Et sinon, je pense que en début d'année, tout le monde est un peu... Enfin, est très très content d'être là.
Et je trouve que... En tout cas, en venant d'une grande prépa, c'est facile de rester avec des gens qu'on connaît déjà parce qu'on a un peu déjà... On retrouve beaucoup d'amis. Mais je trouve que la richesse des associations, justement, ça va être d'être en contact avec... Découvrir.
Même le sport. Et du coup, j'ai beaucoup aimé sortir de ma prépa. Même si j'étais très contente d'être avec des gens que j'aimais beaucoup. C'est un peu le conseil que j'ai bien aimé aussi. Ok, ouais.
Donc bon retour sur HEC. Oui, après, j'ai pas aimé toutes les matières. Il y a les matières qui sont très brillantes.
Mais je trouve que l'esprit campus est très sympa, parce que du coup, on peut toujours se voir facilement, on est tous au même endroit et c'est très agréable. Ok, super. Du coup, encore une fois, n'hésitez pas, pour ceux qui veulent candidater au programme, vous avez juste le lien juste en dessous.
ou sur notre site virageprépa.com ou également sur Instagram sur lequel vous allez pouvoir retrouver des extraits de ce podcast et sur Youtube pour la totalité du podcast Est-ce que Emilie tu as des choses à rajouter des conseils à donner sur les étudiants qui nous regardent, qui sont en prépa est-ce que tu as un mot de la fin pour cet épisode Je pense qu'en deuxième année il ne faut pas négliger la période janvier-février que j'ai trouvé vraiment horrible sur le côté tout le temps très hivernales, etc. Mais en fait, être en contact, si vous avez l'occasion de parler à des intégrés et des gens que vous connaissez qui ont déjà réussi les concours, il faut vraiment que vous ayez cette lumière qui continue de vous motiver et de vous dire que finalement, on peut tous progresser. Et moi, par exemple, j'ai vraiment senti que j'avais progressé en maths de manière très intéressante pendant les révisions. je veux dire on est perdu même si au dernier concours blanc on n'a pas une performance incroyable c'est pas du tout enfin il se passe vraiment beaucoup de choses pendant les révisions et On a vraiment une chance de bien s'en sortir quand même. Ok.
Émilie, merci beaucoup pour ce podcast. Pour rappel, tu es calleuse à Danielou en anglais, qui est une des meilleures prépa en France. Tu es intégrée à HEC. Merci pour tout.
Merci pour ces conseils. N'hésitez pas à vous abonner. On se retrouve pour un prochain épisode.
C'était Virage Prépa. Merci.