bien le bonjour à tous donc aujourd'hui j'ai décidé de faire une première capsule qui risque en fait d'en comporter plusieurs sur le terminal aka la ligne de commande linux en fait c'est un C'est un terminal, en fait, une ligne de commande, comme on voit ici. qui en effraie plusieurs, surtout si vous faites vos débuts avec Linux. Donc, aujourd'hui, on va voir comment utiliser le terminal et, bref, faire en sorte qu'on soit à l'aise et confortable avec l'utilisation de celui-ci. En fait, vous allez voir même que je dirais que l'utilisation du terminal facilite de beaucoup la navigation dans Linux et voilà.
Donc, sans plus tarder, allons-y avec la description de ce qu'on voit présentement à l'écran. Donc, en effet, lorsqu'on lance le terminal, vous pouvez simplement passer par le menu des applications ici, faire une petite recherche dans Ubuntu et taper terminal pour le lancer comme suit. Ou vous pouvez également utiliser un raccourci clavier et donc faire...
CTRL, ALT et T pour lancer une fenêtre de terminal comme ça. Donc, lorsque le terminal s'ouvre, en fait, on a déjà de l'information à l'écran. Ici, on a, avant le A commercial, juste ici, on a Gabriel.
Bonjour, c'est mon nom, je me présente. En fait, Gabriel ici représente l'utilisateur qui est présentement connecté sur le terminal. Bien que vous... Vous puissiez vous dire que c'est évident qu'on sait déjà quel utilisateur qui est là. Sachez qu'on peut quand même changer d'utilisateur à travers le terminal.
Donc, on peut parfois passer d'un utilisateur à un autre et ne plus savoir avec lequel on est rendu. Donc, avoir l'utilisateur toujours affiché ici peut s'avérer très utile. Ensuite, on a le A commercial qui sert ni plus ni moins qu'en tant que délimitateur. En fait, ce commercial va délimiter le nom d'utilisateur ici du nom de l'ordinateur.
Donc ici, ce qu'on voit, c'est le nom de l'ordinateur. Donc, ubgab est le nom que j'ai donné à cette machine-là. On a un deux points qui suit. Donc, encore une fois, un autre délimitateur. Et cette fois-ci, on va avoir des caractères un peu spéciaux.
Donc, on a le premier caractère qui est le tilde. Donc le tilde se trouve être cette petite vaguette que je tape présentement ici à l'écran. Donc un tilde comme ça, c'est un alias. En fait, ça signifie qu'en ce moment, nous nous trouvons dans notre répertoire personnel.
Donc répertoire personnel, c'est l'équivalent de ce répertoire-ci. Donc c'est là que je me trouve en ce moment. Et donc Linux représente ce répertoire-là. par un tilde. Voilà.
Donc ensuite, on a un signe de dollar. Le signe de dollar va signifier en fait qu'on est en ce moment en mode utilisateur standard. C'est-à-dire qu'il faut comprendre, puis ça c'est un concept qui est assez connu sous Windows aussi, il y a des choses qu'on ne peut pas faire en tant qu'utilisateur. On a besoin d'être en mode super utilisateur ou en mode administrateur si vous préférez le vocabulaire Windows. Et donc, lorsqu'on voit un signe de dollar, c'est pour nous rappeler qu'on est en mode utilisateur.
Par contre, si au lieu du signe de dollar, vous voyez ce symbole, ce symbole signifie que vous êtes présentement en mode super utilisateur. Ce qui veut dire que vous devriez faire attention à ce que vous faites, puisque les conséquences d'une action en mode super utilisateur, sans trop savoir ce que vous faites, pourrait s'avérer plus grave que vous ne le pensez. Donc, voilà déjà de savoir ce qui est affiché à l'écran en lançant le terminal.
C'est une première étape. Ces informations-là sont souvent ignorées, mais sachez que Linux est vraiment un système qui a été bien pensé et bien créé. Donc, généralement, il y a rarement des éléments qui sont là et qui ne veulent rien dire. Maintenant. On va commencer sans plus tarder avec une première commande.
La commande que je vais vous montrer, c'est CD. Donc la commande CD comme suit. Cette commande-là signifie ni plus ni moins Change Directory.
Vous pouvez même le traduire en français par changement de dossier. C'est cette commande qui va me permettre de me promener dans l'ordinateur. En ce moment, je vous avais dit que j'étais dans mon répertoire personnel.
Si je tape CD, barre oblique, on voit que je suis maintenant rendu à la racine du disque. De même que si je tape CD, barre oblique, VAR, me voilà rendu dans le dossier variable à la racine du disque. Donc, sachez également que...
Un peu comme dans l'explorateur Windows, il y a un espèce de bouton back pour reculer. Ce bouton back, il faut le taper. C'est CD, point, point.
Ça va me permettre de reculer d'une étape. Normalement, je reviendrai à ma barre oblique, comme ceci. Ça me permet de reculer d'un dossier, finalement, de revenir au dossier parent.
Le dossier qui est supérieur. Voilà pour CD, point, point. En fait, il y a une notion par contre qui vient avec CD dont il faut parler immédiatement. C'est la notion de chemin relatif versus un chemin absolu. Qu'est-ce que ça veut dire ?
Le chemin absolu, en fait, c'est le chemin qu'on va taper vers un dossier et qui démarre de la racine du disque. Par exemple, pour aller dans mon répertoire personnel avec un chemin absolu, je devrais taper CD, Home. Gabriel, comme suit.
Ça, c'est le chemin absolu pour me rendre dans mon répertoire personnel. Parce que je démarre depuis la racine du disque et je m'en vais jusque dans mon répertoire personnel. Si je viens à la racine du disque encore et que j'aurais voulu, par exemple, aller dans mon répertoire document, j'aurais pu faire en chemin absolu toujours CD, Home, Gabriel, document.
Donc, vous voilà, je suis maintenant rendu dans mon répertoire personnel et plus précisément dans le répertoire document. Donc, le chemin absolu, en fait, c'est le chemin total qui mène à un dossier ou à un sous-dossier. Les chemins relatifs, quant à eux, ils portent bien leur nom. En fait, c'est ça, ils sont relatifs.
Ils dépendent finalement d'où on se trouve présentement dans l'ordinateur. Prenons un exemple. Si je me retrouve présentement dans le dossier VAR log, comme ceci, et que je souhaite aller directement dans mon dossier personnel.
Donc, pour me rendre dans mon dossier personnel, je devrais taper Enchemins absolus, CD, VAR, pas vrai, pardon, CD, OM, Gabriel. Et là, je me retrouverai dans mon répertoire personnel. Ça, c'est le chemin absolu.
Maintenant, si je voulais taper un chemin relatif, je pourrais, en fait, il faudrait taper le chemin à partir de var log, qui est l'emplacement où je me trouve présentement. Donc, je pourrais taper point, point pour reculer d'une étape. Et là, je serai dans le dossier variable.
Donc, je voudrais encore taper point, point pour revenir à la racine du disque. Et puis ensuite, une fois la racine du disque, « om » puis « Gabriel » . Donc ça, ce serait le chemin relatif, puisque je pars du dossier « log » qui se trouve dans « variables » .
Maintenant, quel chemin utiliser à quel moment, tout va dépendre du contexte. Puisqu'évidemment, parfois le chemin relatif peut être plus court, parfois le chemin relatif peut être plus long. Prenons un autre exemple.
Si je suis dans mon répertoire personnel, comme en ce moment, et que je désire toujours aller dans mon dossier documents. Donc, je pourrais taper le chemin absolu CD, Home, Gabriel, documents. Ça, ce serait le chemin absolu.
Par contre, le chemin relatif dans ce cas-ci, étant donné que je suis déjà dans Home, Gabriel, je pourrais taper tout simplement CD, documents, comme ça. Donc, dans ce cas-ci, le chemin relatif est beaucoup plus court. Donc, faites bien attention de distinguer ça, ces notions de chemin absolu et chemin relatif, puisqu'ils ne sont évidemment pas les mêmes.
Et tout dépendant des contextes, vous pouvez finalement raccourcir votre quantité de mots à entrer pour vous rendre à quelque part. Donc, le but étant d'être le plus efficace possible à la ligne de commande. Donc, la commande CD nous permet de se déplacer dans l'ordinateur.
Maintenant, passons à une autre commande, la commande LS. La commande LS, donc LS comme ceci, signifie liste. Donc en fait, on veut lister le contenu d'un dossier.
Donc présentement, on voit que je suis dans mon répertoire personnel. Je tape LS et on voit les répertoires qui s'affichent présentement. Évidemment, on va voir qu'avec certaines commandes, on a la possibilité de rajouter des commutateurs.
En fait, ce qu'on appelle des commutateurs, Ce sont des éléments qui vont venir modifier ou du moins adapter le comportement d'une commande. Par exemple, ici, ls affiche le contenu de mon dossier. Par contre, si je fais ls-l, le "-l signifie long ou long", la commande va agir différemment et cette fois-ci, elle va m'afficher plus de détails.
Donc, en ajoutant un commutateur ou plusieurs commutateurs, une commande donnée peut agir légèrement différemment ou s'adapter en fonction de ce que vous lui demandez. Donc ça, c'est pour les commutateurs. Maintenant, sachez qu'avec les commandes, on peut entrer, oui, des commutateurs qui vont généralement suivre la commande, comme dans l'exemple que je viens de donner, mais on peut également entrer des paramètres. Ces paramètres-là, en fait, ça va très souvent être des noms de dossier ou des noms de fichier. En fait, les paramètres vont indiquer sur quoi ou sur qui.
on applique la commande. Donc par exemple si je fais ls moins l, mais qu'en paramètres cette fois-ci je mets le dossier var log comme ceci, mais cette fois-ci, pardon pour l'affichage, j'avais pas un écran asséant, cette fois-ci on voit que, en fait, oui, mon ls moins l s'est encore une fois effectué. Au lieu de s'effectuer dans mon répertoire personnel, le LS-L a été s'effectuer dans le répertoire que j'ai mis en paramètres.
Donc, prenez bien soin de différencier les commutateurs des paramètres. Donc, la commande se veut, dans le fond, être séparée en trois sections. On a la commande elle-même, donc LS dans ce cas-ci, le ou les commutateurs, le moins L ici.
Et on peut avoir des paramètres. Parfois, des paramètres seront obligatoires. Parfois, les paramètres seront facultatifs. Voilà.
Au niveau des commutateurs, prenez note également que selon les différentes commandes, on peut avoir des commutateurs qui sont composés d'une lettre ou des commutateurs qui sont composés de mots. Je reprends toujours la commande LS, donc dans mon répertoire personnel. On avait vu que la commande ls m'affichait le contenu comme ceci de mon répertoire.
Un peu plus tôt, je vous ai montré le commutateur "-l", qui signifiait long, donc qui donnait plus de détails. Maintenant, je sais qu'il existe aussi un commutateur "-a", qui signifie all, mais on peut aussi écrire littéralement all si on met un deuxième slash, pas un slash, un deuxième trait d'union. comme ceci et on écrit all comme ça. Donc, que j'écrive ls dash dash all ou que j'écrive ls dash a, le résultat est exactement le même. En fait, il s'agit d'un commutateur qui va nous afficher tous les fichiers, même les fichiers cachés.
Donc, comme vous pouvez le voir dans Linux, les fichiers cachés vont généralement commencer par un point. Donc, on le voit ici, on a des fichiers. qui sont cachés alors que si je fais LS, on ne les voit pas. Donc voilà au niveau de la commande LS. On a également parlé du bâti d'une commande, c'est-à-dire la commande elle-même, les commutateurs ainsi que les paramètres.
On peut donc passer maintenant à une autre commande très importante qui est la commande MAN qui signifie manuel. Donc la commande MAN... MAN, comme ceci, me permet d'ouvrir un manuel d'instruction concernant une commande. Donc ici, la commande manuelle va prendre un paramètre, et ce paramètre-là sera le nom d'une commande dont je désire consulter les instructions.
Par exemple, pour la commande LS, si je fais MAN LS comme ceci, on va voir que s'ouvre un manuel d'instruction où j'ai accès à toutes sortes... dans le fond, d'informations complémentaires pour utiliser la commande. On voit ici que j'ai des commutateurs.
On voit ici le format de la commande. Donc, vous voyez qu'on a LS. Ensuite, on a les options qui sont des commutateurs, finalement.
Et en paramètres, on va demander un dossier. Donc, voilà. Donc, vous avez, vous voyez, on a beaucoup, beaucoup d'informations.
Lorsque vous voulez quitter le manuel, par exemple, si j'ai eu l'information que j'avais besoin, j'appuie tout simplement sur la lettre. Q pour Quit et je reviens à l'écran comme ceci. Donc le manuel, n'ayez vraiment pas peur de le consulter régulièrement pour aller chercher de l'aide ou si vous avez oublié comment fonctionnait une commande, c'est un outil très, très, très utile à consulter. On va voir la commande maintenant Clear. Donc on voit en ce moment que dans mon écran, j'ai beaucoup de choses qui se sont écrites.
parce que j'ai utilisé dans le fond le terminal. Maintenant, si je rentre la commande clear comme ceci, on voit qu'en fait, cette commande-là vient vider l'écran tout simplement. Donc, pour une meilleure ergonomie de travail ainsi que pour vos yeux, prenez l'habitude de temps à autre d'écrire clear.
Vous pouvez également, donc si je fais une couple de commandes, Vous pouvez également appuyer sur le raccourci clavier CTRL et L, qui est un équivalent de Clear, qui va vous effacer le contenu de votre écran. Donc voilà pour la commande Clear. Autre commande très pertinente à voir, c'est la commande MKDir.
Donc la commande MKDir va me permettre de créer des répertoires ou des dossiers finalement. donc mkdir signifie make directory donc en français créer un dossier donc je peux par exemple créer un répertoire mkdir et l'appeler travaux simplement comme ceci donc voilà maintenant si j'entre la commande ls on va voir que j'ai un dossier supplémentaire ici qui s'appelle travaux donc simplement une commande qui permet de créer des dossiers comme ceci. Évidemment pour chaque commande que je vais vous montrer je ne vous parlerai pas de tous les commutateurs.
En fait comme vous avez vu comment consulter le manuel je vous invite à le consulter si vous avez besoin de savoir quels sont les commutateurs utilisables avec une commande donnée. Évidemment, on a vu comment créer un répertoire. Ce serait intéressant de voir comment en supprimer.
Pour supprimer les répertoires, il existe la commande RMDIR, mais la commande RMDIR est strictement réservée aux répertoires. Je ne suis pas un grand fan de cette commande-là. Par contre, sachez qu'elle existe. Il n'y a rien qui vous empêche d'utiliser RMDIR pour supprimer les répertoires. Par contre, en ce qui me concerne, j'aime mieux retenir tout simplement la commande « arm » puisque celle-ci est non seulement capable de supprimer des fichiers, mais elle fera office également de commande pour supprimer des dossiers avec les bons commutateurs.
Donc, par exemple, si je veux savoir comment supprimer un répertoire avec « arm » , je n'ai qu'à consulter le manuel. Donc, je peux venir ici. Et donc, on voit ici que le commutateur "-r", ou "-r", donc faites très attention, puisque sous Linux, des fois, le "-r", ne veut pas dire le "-r".
Cette fois-ci, par contre, on voit qu'on a trois possibilités, donc le "-r", le "-r", et le mot recursive. Donc, en fait, on voit que ça supprime les répertoires et leur contenu de manière récursive. Et on voit même qu'on a le "-d", aussi, qui « remove empty directories » , donc qui supprime les dossiers vides. Donc, dans notre cas, ce serait parfait. Donc, « rm "-d » , tout simplement. Et puis, on va indiquer le nom du dossier en paramètres, donc « travaux » , comme ça. On entre la commande, on fait « ls » , et le dossier « travaux » n'est plus. Donc, il a été supprimé, tout simplement. Donc, pour mon prochain exemple, je réutilise ma commande Clear pour vider mon écran. Maintenant, nous allons parler de la commande Éco. Donc, Echo ne fait que retourner du texte à l'écran. En fait, peut-être qu'en ce moment, vous vous demandez un peu à quoi ça sert. C'est normal. Si je tape, par exemple, Echo, bonjour, on va voir qu'en fait, tout ce qui se passe, c'est que Linux m'affiche bonjour à l'écran. Donc, à quoi ça sert ? En fait, Echo va souvent être utilisé dans deux contextes bien précis. Le premier, c'est dans le contexte de script. donc dans des fichiers qui sont automatisés. On pourrait par exemple se servir d'écho pour aviser l'utilisateur d'une action ou d'un processus qui est en train de se dérouler en arrière-plan et ainsi éviter que l'utilisateur pense que notre script est arrêté ou défectueux. Ensuite, on peut également se servir d'écho pour envoyer du texte dans un fichier. Donc, intéressant. Si, par exemple, je fais écho et que je reprends encore le même exemple, donc bonjour, mais cette fois-ci, au lieu d'écrire bonjour tout simplement, je vais utiliser ce qu'on appelle une opérante. Donc, je vais utiliser, pardon, mauvaise touche, le plus grand que. Le plus grand que va rediriger la sortie de ma commande écho et là, je vais avoir le beau jeu de lui indiquer où. Par exemple, je vais dire « Envoie ça dans fichier 1 » . Par contre, on voit bien ici que dans mon dossier personnel, il n'existe pas de fichier 1. Alors, qu'est-ce qui va se produire ? Linux va le créer tout simplement et il va aller écrire « Bonjour » dans ce fichier-là. Si je fais « Enter » , on voit que le « Bonjour » n'a pas été écrit. Pourquoi ? Parce qu'il a tout simplement été envoyé dans le fichier 1. Si je fais LS, on voit que... Mon fichier 1 est ici et à l'intérieur, on va voir un peu plus tard avec une autre commande qu'on est capable d'aller lire le mot bonjour qui s'y trouve présentement. Donc, l'opérante de plus grand que permet d'envoyer du texte dans un fichier. Cependant, il faut faire très attention puisque si vous ne mettez qu'un seul plus grand que de cette façon-là et qu'il existe un fichier, comme dans ce cas-ci, On voit que fichier 1 existe. Donc, si je tapais écho salut et que j'utilisais la même opérante vers fichier 1, comme ceci, eh bien, ce qui va se produire, c'est que comme il y a déjà du texte dans fichier 1 ici, l'opérante que j'ai mis là va supprimer le contenu de fichier 1 pour aller inscrire salut. Donc à l'heure actuelle, ce n'est plus bonjour qui est écrit dans fichier 1, mais bien salut. Si, à la place, je préférerais ajouter du texte plutôt que de supprimer celui qui est déjà dans fichier 1, je pourrais doubler l'opérante, donc écho, et là je pourrais marquer par exemple comment ça va. Je double l'opérante cette fois, donc deux fois plus grand que, et j'envoie le tout dans le fichier 1. Donc maintenant, dans le fichier 1, je vais avoir une première ligne qui va être écrite où il va être écrit « Salut » et une deuxième ligne où il va être écrit « Comment ça va » . Donc voyons maintenant comment il est possible d'aller voir le contenu à l'intérieur d'un fichier. Donc pour voir le contenu... D'un fichier, on va utiliser une commande qui s'appelle la commande 4, donc C-A-T comme ça. Cette commande-là est en fait le diminutif de concaténer. Donc, on verra que cette commande-là a plusieurs fonctions. Pour l'instant, contentons-nous plutôt d'aller voir le contenu de fichier 1. Donc, je rentre la commande 4, fichier 1, et on voit à l'intérieur les phrases que j'ai écrites juste un peu plus tôt. Donc, dans fichier 1, en ce moment, se trouve ce texte-là. Maintenant, je vous disais justement que la commande était le diminutif de concaténer. En fait, le processus de concaténation est en fait le processus de fusionner deux fichiers, si on veut, ensemble. Donc, en fait, ce que je vais faire, je vais créer un deuxième fichier. Donc je vais écrire « Je suis votre enseignant » et je vais envoyer cette phrase-là dans un nouveau fichier que je vais appeler « Fichier 2 » . Et là, cette fois-ci, je vais faire « 4, fichier 1 » . Fichier 2. Et là, on aura le résultat total. Donc, on a une fusion des deux fichiers dans un seul bloc de texte comme ceci. Évidemment, ça c'est juste pour l'afficher à l'écran, mais il n'y a rien, encore une fois, qui m'empêcherait d'utiliser la même opérante. Donc, si je reprends ma commande et que j'envoie ça vers fichier 3, donc maintenant je devrais avoir fichier 1, fichier 2, fichier 3. Et donc... Donc, affichons le contenu de fichier 3 à l'écran. On a la totalité des fichiers 1 et 2 qui ont été fusionnés. Donc, la commande 4 permet d'afficher du contenu à l'écran. Elle permet également de fusionner ensemble des fichiers, donc de les concaténer. Et puis, voilà. Donc, c'est l'utilité de cette commande-là que vous allez sans doute vous servir. très souvent. Prochaine commande, on va voir la commande qui nous permet de renommer et de déplacer fichiers et dossiers. Donc en ce moment, j'ai trois fichiers qui s'appellent fichier 1, fichier 2 et fichier 3. Maintenant, si je voulais déplacer un de ces fichiers-là, disons que j'aimerais déplacer fichier 1. Sur mon bureau, je pourrais tout simplement utiliser la commande Move, donc MV, et je vais évidemment indiquer le fichier que je veux déplacer, donc il s'agit de fichier 1. Et maintenant, où je veux le déplacer ? Je veux le déplacer dans mon dossier Bureau, comme ceci. Et donc, on voit, je ne sais pas si vous avez pu le voir apparaître, mais on voit ici que mon fichier 1 est rendu maintenant sur... le bureau si je fais ls ici bien évidemment on ne voit plus fichier 1 puisqu'il a été déplacé maintenant la commande move est utile aussi pour renommer donc si par exemple fichier 2 je voulais le renommer informatique je pourrais utiliser la commande move donc je vais donc écrire fichier 2 et cette fois ci je vais tout simplement taper informatique comme ceci Cette fois-ci, mon fichier a été renommé. Je n'ai plus fichier 2, j'ai informatique et fichier 3. Ce qui est intéressant avec la commande Move aussi, c'est qu'elle est capable de faire les deux actions en une seule commande. Si, par exemple, je voulais déplacer le fichier 3 sur le bureau, tout en renommant fichier 3 test, Donc je pourrais... C'est un réflexe, la commande sudo, on en parlera plus tard. Donc, si j'entre la commande mv fichier 3, donc j'indique par la suite que je veux déplacer ce fichier-là dans le bureau, mais je veux le renommer à la fois test1. On voit que mon fichier s'est déplacé. J'ai maintenant test1 ici. Et si je fais la commande LS, on voit évidemment que maintenant je n'ai plus qu'informatique qui est restée dans mon dossier. Donc la commande Move permet de renommer, de déplacer et peut faire les deux en même temps. Donc les deux actions en même temps. Maintenant, on va voir une prochaine commande. On va parler de la commande PWD. La commande PWD comme ça signifie Print Working Directory. En fait, cette commande-là nous permet d'imprimer tout simplement à l'écran où nous sommes actuellement dans l'ordinateur. Même si ça peut vous paraître comme évident, puisque souvent, bien pas souvent, mais dans Ubuntu, on a le chemin qui est indiqué ici. Donc, si je me déplace vers Log, bien on voit que j'ai le chemin qui m'indique où je suis présentement. Mais sachez que ce n'est pas tous les Linux et encore moins tous les interpréteurs de commandes qui l'affichent. Donc ça, ce serait facultatif, je ne serais pas obligé de l'afficher. Et donc, pour quelqu'un qui travaille sans l'afficher, ça peut devenir difficile de se souvenir parfois où on en est dans l'ordinateur. Et dans ces cas-là, on peut utiliser la commande PWD qui va simplement nous rappeler où on se trouve dans l'ordinateur. Donc voilà pour PWD. On va parler de la commande de copie. Donc la commande copie, vous vous en douterez, ça permet de copier des fichiers, voire des dossiers. Donc on l'utilise de la manière, je dirais, la plus simple, c'est-à-dire... que je peux rentrer la commande copie, aller par exemple sur mon bureau chercher le fichier que ça appelle test1 et si je veux le copier dans mon répertoire personnel, donc le répertoire où je me trouve présentement, je peux rentrer tout simplement .slash. Donc le .slash comme ça signifie mon répertoire où je me trouve. En fait, c'est un alias qui signifie répertoire courant. Donc si je tape entrer, Mais voilà, je devrais avoir une copie de test 1 qui est juste ici. Donc, une copie qui s'est faite à partir du bureau. Donc, évidemment, la destination de la copie, c'est vous qui décidez de ça. Et je vous laisse consulter le manuel pour voir si vous avez besoin d'entrer un commutateur dans le cas de dossier, de copie de dossier, pardon. Maintenant. Parlons des commandes, deux commandes que je vais jumeler ensemble, les commandes de head et tail. Donc les commandes de head qui s'écrit comme ça et tail qui s'écrit comme ça. En fait, les deux commandes agissent sensiblement de la même façon, c'est-à-dire qu'ils vont nous afficher une partie d'un fichier. Donc en fait, ce qu'il faut comprendre, c'est que parfois vous pouvez avoir de très très gros fichiers. Tantôt, à titre d'exemple, nous sommes allés dans le dossier variables log. Parmi ces fichiers-là que vous voyez ici, il y en a qui sont très gros. Par exemple, si je faisais un 4 de 6 logs, on voit qu'il y a beaucoup de contenu. Vous avez vu, mon écran s'est rempli très rapidement et je pourrais remonter une bonne partie du temps comme ça. Donc ce qui arrive, c'est que ces fichiers-là, parfois, on n'a pas besoin d'en voir la totalité, on a juste besoin d'en voir la fin ou le commencement. Et c'est exactement à ça que EDD et TEL vont servir. Donc si par exemple j'utilisais la commande EDD et que j'allais voir le fichier syslog que je viens d'ouvrir, bien voyez-vous, cette fois je n'ai que les 10 premières lignes. Donc, les 10 lignes du sommet, si on peut qualifier ça ainsi, du fichier. Et donc, je suis en mesure de regarder les 10 premières lignes. Donc, ça peut être à toutes sortes de fins pratiques. Je peux également, rapidement, vous montrer comment on peut définir un nombre de lignes. Par exemple, si je voulais seulement les 5 premières, je peux rentrer le chiffre 5 en commutateur comme ça, toujours avec le nom de fichier en paramètre. et cette fois-ci ben je n'ai que cinq lignes pour la commande tell c'est exactement le même principe en fait c'est jusqu'au lieu de voir le début où le sommet du fichier on va voir son pied ou la fin donc par exemple si je faisais tell de syslog ben je sais pas si vous avez remarqué tantôt donc je vais le refaire head syslog quand je fais head on voit des informations qui datent du 1er septembre et lorsque je fais tell tel, mes informations datent du 7 septembre, donc on sait qu'entre les deux, on a un très très grand nombre de lignes, mais ici, on est capable de voir le début et la fin du fichier avec ces commandes-là. Sachez également que tel aussi est capable de prendre un nombre en commutateur, donc par exemple 3 sur 6 logs, mais on voit qu'ici, j'ai 3 lignes. En fait, n'oubliez pas, peut-être que vous avez l'impression qu'il y a plus de lignes, mais c'est ma fenêtre qui ne prend pas la totalité, puisque si j'agrandissais vraiment au maximum, je n'aurais que trois lignes. Donc, si vous voulez avoir un petit truc ici rapidement, on a trois fois une ligne qui commence par la date. Donc, j'ai bel et bien trois lignes. Donc, pour les commandes de head et tail, il en va ici. Maintenant, on va conclure cette première capsule-là, puisque... Je ne veux pas non plus vous embourber la tête de commande et que vous tentiez de mémoriser ça tout en même temps. Donc, pour cette première capsule-là, on va terminer avec la commande sudo. Donc, sudo, en fait, ce que ça veut dire, sudo comme ça, concrètement, c'est le diminutif de super user do. En gros, ce qu'il faut comprendre, c'est que tout comme dans Windows, il y a des commandes. Donc, toutes les commandes qui vont avoir une incidence directe sur le système vont nécessiter des droits, des privilèges, en fait. Et ces privilèges-là sont réservés à ce que, sous Windows, on appelle un administrateur. En Linux, on appelle ça un super utilisateur. Dans Ubuntu, le premier utilisateur que vous créez lorsque vous installez le système est automatiquement ajouté dans le groupe sudo. Effectivement, ce qu'il faut savoir, c'est que sudo, c'est un groupe et n'est pas sudo qui veut. Donc, si je crée un utilisateur tout de suite dans mon Linux, il ne sera pas forcément sudo. Il va falloir que je l'ajoute. Évidemment, le groupe des sudoers... et réservé aux administrateurs d'un système. Et la commande sudo, donc en fait, on va l'utiliser avant d'entrer une commande qui est nécessaire pour... En fait, je reformule. Donc, on va utiliser la commande sudo avant des commandes qui nécessitent des privilèges. Donc, si par exemple, j'essaie d'utiliser la commande reboot now, On voit que le redémarrage n'est pas permis. Donc, avec l'utilisateur, seul un super utilisateur est autorisé d'utiliser cette commande-là. Donc, si je fais sudo maintenant, reboot now, on va me demander mon password pour valider que, évidemment, c'est bien moi. Et voilà, donc, la commande s'est opérée. Donc, la commande de sudo... nécessite absolument d'être dans le groupe des sudoers et bien ça vous aura donné également l'occasion de voir par la bande la commande reboot donc la commande reboot que je me suis servi pour redémarrer mon système donc commande qui n'était pas prévu au programme aujourd'hui mais bon vous l'avez vu donc voilà j'espère que ça vous aura donné un bon petit coup de et puis de toute façon Ne vous en faites pas, on aura l'occasion de se reparler dans une autre capsule où on pourra poursuivre avec d'autres commandes Linux. Et tranquillement, comme ça, on va avancer de plus en plus dans des commandes un peu plus complexes et un peu plus complètes aussi, je dirais. Alors, merci pour votre écoute. Bonne fin de journée.