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Classification des Hadiths en Islam

Je suis rempli de riz. C'est arrêté hier au 4e Bait, lorsque l'auteur a défini le hadith al-Sahih, et il a dit que c'était le hadith al-Isna, dont la chaîne de transmission était ininterrompue, et dont cette chaîne de transmission était préservée de toute marginalité et de tout défaut préjudiciable. Et donc, le rapporteur sera doté d'une droiture dans sa pratique religieuse et dans sa relation avec les gens, et qualifié de deux caractéristiques qui sont la mémorisation et l'assimilation. donc la mémorisation comment il va réciter le hadith et alhazm la fermeté sans aucun doute ni hésitation on passe au deuxième type de hadith c'est le hadith al-hasan c'est celui qui est entre le sahih et le taif Al-Hassan, l'auteur dit al-ma'rufu turqan turqan donc ici à cause de al-darura shi'riya à cause de la nécessité poétique l'auteur a mis un soukoun sur le ra mais à la base c'est turuq et turuq c'est le pluriel de tariq celui dont les voix sont connues Celui dont les voix sont connues. Et ça, ça va exclure le daif. Celui dont les voix sont connues, ça va exclure le daif. Parce que dans le daif, dans toutes ses formes, il y a des éléments inconnus dans les voies de transmission. Et c'est à cause de ça que, justement, le hadith est daif. Ensuite. Et ça c'est aussi un point commun avec le sahih. C'est un point commun avec le sahih. Parce que le hadith al-Hassan, il a un point commun avec le sahih. Et pas un point commun, mais un point proche du daif. Donc al-ma'ruf wa-turqan, celui dont les voix sont connues, ce qui lui donne un point commun avec le sahih, et ce qui va exclure. le darif. C'est-à-dire dont les hommes sont connus. Donc c'est un hadith dont les voix sont connues et dont les hommes sont connus, mais ils ne le sont pas comme dans le hadith sahih. Ils ne le sont pas comme dans le hadith al-sahih. Il faut savoir que les ulamas du hadith, ils ont beaucoup divergé sur la définition du hadith al-Hassan. Pourquoi ils ont beaucoup divergé à ce sujet-là ? C'est qu'en fait, c'est un terme qu'on ne trouve pas beaucoup chez les moutaqadimi. C'est un terme qu'on ne va pas beaucoup trouver chez les anciens, chez les premières générations des muhaddifi. Et un de ceux qu'il a le plus employé dans les premières générations, c'est Abu Issa, qui est le délire Ahmadou Allahi, allez, dans son jami. Et comme justement ce hadith Hassan, il a un peu de sahih, il a un peu de baif, il est difficile à distinguer. Il est difficile à distinguer. Et comme il est difficile à distinguer, il est difficile à définir. Et comme il est difficile à définir, alors les savants ont divergé sur la définition du hasen. Beaucoup. Quand on rentre dans les définitions chez les ulama, on va trouver un bon nombre de définitions différentes pour le hadith al-hasen. Et là, il y en a qui vont venir te dire, c'est quoi cette science où pour un mot il y a 20 définitions ? L'un répondra que si les haqqans, si les jugements de notre religion étaient clairs, Le ammi pourrait être moujtahid. Il n'y aurait aucun mérite au moujtahid pour extraire les jugements du texte. Et n'importe qui pourrait savoir de lui-même les choses. Donc l'irtilaf, qu'est-ce qu'il a comme faïda ? Il a comme faïda de laisser le moujtahid au-dessus du ammi, à travers sa capacité à justement définir les choses. à distinguer les choses et à extraire les jugements des textes. Ça, c'est la première des choses. Ensuite, quand on dit que les hommes du hadith al-Hassan ne sont pas comme les hommes du hadith al-Sahih, c'est là, justement, que viendra la différence entre le hadith sahih et le hadith al-Hassan. Donc, on reprend la définition du hadith sahih. Et ça, ça nette. Chagrin de transmission ininterrompue. Ça, c'est une condition aussi pour le hadith al-Hassan. Ça, ça rentre dans Les voix du hadith, elles sont connues. Il n'y a pas d'interruption dedans. Donc c'est un hadith qui n'est pas marginal, isolé. Il n'y a pas de chouzoun, comme dans le hadith sahih. Et il n'y a pas de défaut préjudicial. Quand il y a un défaut préjudicial, C'est-à-dire que c'est un défaut qui va empêcher d'accepter la riwaya du rapporteur, qui va empêcher d'accepter la narration du rapporteur. Mais il peut exister un défaut qui ne va pas empêcher la narration du rapporteur. D'accord ? Et donc, c'est la première des choses. La deuxième, c'est dans le dapte. Le dapte, c'est donc la maîtrise du rapporteur du hadith qu'il va rapporter. La mémorisation et la fermeté. Donc, le rapporteur, dans le hadith al-Sahih, il devra être tamoudabt. Il devra avoir une assimilation complète. C'est vrai ? Chez le rapporteur du hadith al-Hassan, il devra être hafifoudabt. C'est-à-dire, il a un dabt, il a une assimilation, mais elle est légère, elle n'est pas complète, comme celle du Sahih. Et la différence du hadith daif, il a un dapte, il a une assimilation, mais elle n'est pas parfaite et complète comme celle du rapporteur du hadith sahih. Elles sont là les différences. Elles sont là les différences. Dans la nature du défaut du rapporteur et dans la nature de l'assimilation. Donc il y aura des défauts. Il y aura des défauts qui ne vont pas empêcher l'acceptation de la narration. Et il y a un dopte, une assimilation, même si elle n'est pas complète, qui n'empêchera pas l'acceptation de la narration. Mais comme le rapporteur a un défaut, même si ce n'est pas un défaut grave, et il n'a pas un dopte term, c'est-à-dire une assimilation complète, on ne pourra pas lui donner le jugement du sahih. Mais comme il n'est pas non plus avec un défaut grave ou une assimilation absente, on ne pourra pas lui donner le jugement du naif. Alors, on va le mettre dans une matabe entre les deux, dans un étage entre les deux, et on l'appellera le hassan. Donc le hadith al-hasan, c'est le hadith qui a les mêmes conditions que le hadith sahih, sauf que le rapporteur n'aura pas une assimilation complète et pourra avoir un défaut qui n'empêchera pas l'acceptation de sa narration. Qui n'empêchera pas l'acceptation de sa narration. C'est vrai, ce n'était pas trop rapide. Quand on sait ça, on peut alors dire que le Hassan, il se divise en deux catégories. Al-Hassan li-dhatihi et le bon pour les autres. Je vous laisse. Maintenant qu'on sait ça, on peut revenir au sahih. Rapidement, brièvement. Le sahih se divise en deux catégories. Al-sahih li-zatihi Vous mettez du T-Bex, hein ? Vous arrêtez de me regarder avec cette terre méchante. Maintenant qu'on sait ça, c'est qu'on le hassan, on peut revenir au sahih. et dire qu'il se divise en deux catégories. Le sahih, le hadith sahih en lui-même, et le hadith sahih par autrui. Le hadith sahih par autrui. Le hadith sahih en lui-même, c'est celui qu'on a vu hier. Tout simplement. Le hadith sahih par autrui, c'est en fait un regroupement de hadith hassan. On va prendre plusieurs hadith hassan. En fait, si vous voulez, c'est un hadith dont toutes les voies de transmission sont hassanah et elles vont se cumuler pour atteindre le degré de sahih. Pour atteindre le degré de sahih. En gros, si vous voulez, si le hadith hassan, c'est le hadith qui est rapporté par un rapporteur dans l'assimilation légère. Mais si on prend deux rapporteurs qui ont cette assimilation légère, elles vont se cumuler et elles vont donner une assimilation complète. Et à ce moment-là, elles feront atteindre à leur hadith le degré du sahih. Mais comme il n'est pas sahih tout seul, il sera sahih par cumul. d'accord ? Sahih li raymihi Donc quand tu as plusieurs chaînes de transmission avec plusieurs hommes et ces hommes-là, ils rapportent tous le même hadith et tous ces rapporteurs-là, ils ont un docteur rafif, une assimilation légère, eh bien, ils vont s'additionner, s'assembler pour donner un docteur. Et faire... et faire évoluer le hadith Hassan vers le hadith Sahih li ghayrihi. Donc on comprend qu'un hadith Sahih li ghayrihi, ce n'est jamais un hadith tout seul. Ou plutôt, ce n'est jamais une chaîne de transmission toute seule. Ce sera toujours au minimum deux chaînes de transmission. Donc le Sahih li ghayrihi, le Sahih li datihi, pardon, le Sahih li ghayrihi. Le Sahih li datihi, c'est le hadith rahim, le Sahih. Et le hadith Sahih li ghayrihi. c'est un regroupement de hadiths hasan parce que le dopte rafif de deux rapporteurs donne un dopte thal, deux minutes et plus on a, mieux c'est et cette façon de faire chez les anciens elle existe même si elle n'est pas mansous alayha, c'est pas quelque chose qui est écrit mais celui qui va lire dans les écrits des anciens, il va trouver cette façon de faire. Yartakî ilasséhhati limajmou'i turuqayhi comme il dit. C'est un hadith qui va évoluer vers le degré d'authenticité en regroupant toutes ces voix. C'est pour ça que chez les muta'akhirî, chez les dernières générations des muaddifis, il y en a certains qui ont renié l'existence du hadith al-sahih li ghayrihi Et ce n'est pas possible que... qu'on atteigne un dapd complet avec deux personnes différentes. Pourquoi ? Imaginons le rapporteur A, son dapd, il est rafif par rapport à son hifd, par rapport à sa mémorisation. On va dire Ali, il retenait, mais pas à 100%, il retenait en nouveau. C'est ça la hifad, la légèreté de son dapd, de son assimilation. Puis j'ai Redouane à côté, il y a Hfar, laquelle il y a Khalid. Il retient, mais il mélange. Donc comment moi je peux faire un d'acte complet alors que le défaut de chaque rapporteur, ce n'est pas le même ? Il y en a qui se sont posé cette question. Et ils ont dit, en plus de ça, on ne trouve pas de hadith sahih dans les chalimotakadimi. Ils ont dit que ça n'existe pas. C'est pour ça que... ceux qui vont dire si le Sahih Al-Iraq il existe ils vont te dire qu'en fait on va pas regarder, on va prendre plus il y aura de Turoq mieux c'est Et que ce doute-là, il disparaîtra avec la multitude de rapporteurs. Plus il y aura des rapporteurs, plus ces défauts pourront se combler les uns les autres. Même s'ils ne sont pas de la même nature. D'accord, maintenant on revient au Hassan. Vous pouvez revenir à la première phrase que je vous ai donnée. Le Hassan aussi, il se déplace en deux catégories. Hassan, c'est celui qu'on vient de voir. Et Hassan, c'est celui qu'on vient de voir. Hassan ni Ghayrihi. Et donc, je vous le donne en mille, le hadith al-Hassan ni Ghayrihi, c'est plusieurs taïfs qui vont se regrouper pour atteindre le degré du Hassan. Et comme on l'a expliqué, la divergence chez les dernières générations du muhadithin sur l'existence du Sahih ni Ghayrihi, et bien de la même façon, est-ce que le Hassan ni Ghayrihi, il existe ? Mais c'est encore pire, ils ont dit. Je dis parce que si, c'est dans... Le rapporteur a un dapte rafif, dans le daif il n'a pas de dapte. Donc comment est-ce que je peux rendre quelque chose de fort en assimilant que des choses faibles ? Ça, ça n'existe pas. Après nous, on n'est pas là pour dire qu'il y a raison, qu'il y a d'autre. Mais juste pour vous dire, parce que comme je vous l'ai dit tout à l'heure, des fois tu vas entendre aujourd'hui, tu vas sur Twitter, tu vas regarder un chat qui clique du skateboard, et puis juste en dessous, le hadith s'en vient, il n'existe pas. On m'aurait menti Et là après quand tu vas prendre des livres N'importe quoi ça n'existe pas En fait tu regardes les chefs et tu vois ce qu'ils font Donc c'est malheureusement Des choses qu'on doit préciser aujourd'hui Vous savez qu'aujourd'hui des gens s'attaquent à des livres comme le Mouhari Ne t'étonnent de rien Ne t'étonnent plus de rien Tout est possible Il n'y a plus aucune limite Et donc maintenant qu'on a évoqué Sommairement le daif Et bien, qu'est-ce que le daif Et tout ce qui est inférieur au degré du hasan Le husn ici, ça a été adapté au vers de poésie pour que les voyelles correspondent. Wa kullumaa arrut batil husni qasur Donc tout ce qui est inférieur, c'est-à-dire qui n'atteint pas le degré du hassan. Lam yansil ila dana jati al hassan Ça veut dire quoi ? Que les conditions du sahih et du hassan ne sont pas atteintes. soit l'une ou soit toute. D'accord ? Et celle qui est dans les deux définitions précédemment données, la plus proche, c'est khafif au d'art C'est-à-dire que si le rapporteur, il n'a pas de d'art, même si les autres conditions, elles sont réunies, hadith khataif Si le rapporteur, il est tarn au d'art les autres conditions sont réunies, elles ne sont pas réunies, hadith khataif Elle a la différence. Donc on a dit que dans la différence entre le sahih et le hasad, elle concerne le raoui, le rapporteur seulement. Toutes les autres conditions sont les mêmes. Le halif, le ta'if, c'est celui qui n'arrive pas au degré du hasad. D'accord ? Il n'arrive pas au degré du hasad. Et la différence entre le hasad et le sahih, c'est dans le doigt du rapporteur. D'accord ? Donc la première chose qu'on va regarder... c'est est-ce que le rapporteur il est soit il a une assimilation complète soit il a une assimilation légère soit il n'a pas d'assimilation on apprend la mémorisation et la fermeté mais on rajoute à ça que dès lors qu'il manque une condition en dehors de du rapporteur, des conditions du sahih, il sera le tarif. Donc si le salade est monquata, il est interrompu, le salade sera le tarif. Si il est chaide, on va dire que le chaide c'est un quismes d'un salade tarif, mais ce n'est pas vraiment un tarif. On verra après, incha'Allah. Si il a une île, il est tarif. Et tout ce qui est de la haute bâtie, le chassour, le chassour, c'est... L'amiance, il n'a pas pu arriver. Quand on dit Qasulat yaduhu Aïn la main de quelqu'un n'est pas assez longue pour attraper quelque chose. Qasr dans ce sens-là, il n'est pas arrivé au degré du hasard. Qasr c'est le daif et donc vous voyez l'opposition au sahih et toujours le lien avec le champ lexical. de la santé. Donc, Sahih, c'est celui qui n'a aucun symptôme de maladie. Et Al-Da'if, c'est le faible. C'est l'inverse du Sahih. Le faible, c'est celui qui a un symptôme de maladie. Fahwa Al-Da'if, wa huwa aqsaman. Aqsaman, c'est le mot qui est inscrit dans le texte. Wa hunaka qalb. Wa aswa kathura aqsaman. Et il est divisé en plusieurs aqsam, plusieurs catégories. Kathur, c'est le verbe. Il y en a beaucoup. Kothur, c'est le pluriel de kathir. D'accord ? Kathir. Kothur. Et pourquoi on préfère kathura à kothur ? Pour deux raisons. La première, le monasabah. Parce que c'est kathur. et après c'est c'est les mêmes voyeurs donc d'un point de vue poétique c'est meilleur ensuite parce que si même si on a le droit de casser les règles grammaticales il aurait dû l'être aussi ensuite Par rapport au O et A Alors que si on dit que c'est Kathour et que c'est le verbe, alors le mot qui vient après pourra être Mansour même si ici l'ordre a été annoncé. Donc en fait, pourquoi il y a beaucoup de catégories dans le Daif Parce qu'en fait, chaque condition du hadith Sahih quand elle n'est pas respectée, elle engendrera une catégorie du hadith Daif Quand on croit la première condition, c'est etissa lus sanet c'est la chaîne de transmission ininterrompue. On a vu, nous, que l'interruption de la chaîne de transmission était de plusieurs types. Soit elle est au début, soit elle est au milieu, soit elle est à la fin, soit il y en a une, soit il y en a plusieurs, soit il y en a plusieurs qui se suivent, soit il y en a plusieurs qui ne se suivent pas, soit il y en a qui sont évidentes, soit il y en a qui sont cachées. Chacune de ces catégories de l'interruption de la chaîne de transmission aura un nom et fera sera une des catégories du hadith daif. Après, il y aura aussi des catégories du hadith daif en fonction des rapporteurs, ou de la façon de rapporter le hadith. Mais ça, on en reparlera après, incha'Allah. Et bien sûr, on ne peut pas dire que tous les daifs se valent. Parce que je suis vu que l'origine du jugement sur le hadith comme étant faible dépendra donc d'une des conditions. Alors, elles ne se valent pas. Et donc, comme elles ne se valent pas, tous les hadiths d'arif ne sont pas égaux. Il y a des hadiths d'arif qui sont d'arif pour certaines raisons et qui laissent sous-entendre. une probabilité qu'il ne soit pas vaif. Quand tu prends un rapporteur, tu vas dire Sayyikul khif Tu prends Soufiane Mouhammed, on va dire de lui Sayyikul khif La mauvaise, il apprend mal. Quand il apprend, il retient mal. Est-ce que ça veut dire que tout ce qu'il apprend, il l'apprend mal ? Non. Il y a forcément des choses dans ce qu'il apprend qu'il apprend bien. Lâqu'il bimujarra dî wujoudi hâdîn illatifî, yuhkamu alayhi ghebafî Seulement, avec la simple présence de ce défaut en lui, on le jugera comme étant faible. Pourquoi ? C'est bien d'autres. C'est ihtiyata C'est un lieu de dire de quelqu'un qui la prend mal, qu'il est faible, mutlaqal alors qu'il est possible que certaines choses qu'il rapporte ne soient pas mal apprises. Mais c'est la précaution. Donc là, l'importance, l'obligation de rapporter la parole du prophète sans somme telle qu'elle va... avoir le dessus sur le jugement qu'on va donner au rapporteur et à sa narration. D'accord ? Et là, c'est ce qu'on appelle un effacé. J'ai deux meufsadah ici. J'ai deux meufsadah. La première, c'est donner un jugement global à un rapporteur pour un défaut qui lui n'est pas global. C'est une meufsadah. C'est une meufsadah. De dire à quelqu'un, toi, je n'apprends rien, toi, parce que tu as une mauvaise mémoire. Oh, mais des fois, je n'ai pas forcément une mauvaise mémoire. Tout le temps. Et l'autre cas, c'est préserver la parole du prophète sans du mensonge. Et ça, c'est prioritaire à l'autre. L'intérêt de la préservation de la parole du prophète prime sur le jugement donné à l'individu. D'accord ? Et donc, dans ce cas-là, pour cette circonstance-là, on pourra rejeter la narration de la personne en question. Donc, On va... faire un jugement global par précaution. Et il faut faire attention au jugement, à la critique donnée au rapporteur. Comme les faiblesses, les types de faiblesse sont différents, alors les jugements donnés au rapporteur seront différents aussi. Il y a une différence entre un rapporteur qui a une mauvaise mémoire et qui sera donc faible, Et un fiqa, c'est le faible, c'est le de confiance, le fiable, qui se trompe, un fiqa qui se trompe. Est-ce qu'on va juger d'un fiqa qu'il est faible parce qu'il s'est trompé ? Là, quand on a constaté que qui ne se trompe pas. Et ça, on trouve des hadiths et même des livres tout écrits, même musulmans, il y en a un qui s'appelle le Taliyyiz. Et dans ce livre-là, justement, il traite des akhba chez les fiqats. Il va donner plein d'exemples comme ça, de hadiths où des rapporteurs fiables ont rapporté des hadiths avec des erreurs. Et là, quelqu'un dit comment on fait ? Ça prouve ce qu'on disait, de ne pas prendre les hadiths, parce qu'on ne pourra jamais être sûr que le rapporteur n'ait pas trompé. Et là, on va lui dire écoute, les sapins se sont posés la question avant toi, C'est pour ça qu'ils comparent les versions, ils comparent les narrations. Et ils ne vont pas dire, Ah, ça a été fait, toi, on prend tout ce que tu dis, elle va être dans l'éventualité où il y a une erreur. Et ils reconnaissent les erreurs aussi. Ils les reconnaissent. Donc quand Imam Malik, on va lui rapporter un hadith et qu'il va voir l'erreur dedans, alors qu'est-ce qu'il va faire ? Il va chercher l'erreur où elle est. Vous vous souvenez dans Al-Rihla fit-tara bil-hadith al-Khatib al-Baghdadi Il a une longue histoire avec Shou'ba ibn al-Hadjaj, quand il a giflé. Après, il a fait le tour du monde pour se rendre compte à la fin qu'il y avait plein de rapporteurs qui manquaient. Vous vous souvenez ? Donc, c'était comme ça qu'ils faisaient. C'était des hommes, ils avaient une maîtrise du hadith extraordinaire. Et d'ailleurs, dans Saïha al-Bukhari, il y a un hadith raconté par Abdullah ibn Abbas, dans lequel il dit que le prophète, sallallahu alayhi wa sallam, il a épousé Maïmouna. Il a épousé Maïmouna bin Al-Harith, sa tante maternelle, alors qu'il était en ihram. Alors qu'il était entré dans l'ihram, le mariage. Et on a un autre hadith rapporté par Maïmouna elle-même, donc l'épouse, qui dit que le prophète l'a épousé halal, il n'était pas en ihram. Donc en fait pourquoi le Bokhari a-t-il fait ce hadith le temps au Sahih ? Parce que les conditions du Sahih elles sont respectées l'Ittisad s'anad, Salim amina al-Shudud, wal Ilal al-Qadiha et l'Akhirih Elles sont respectées de Ibn Abbas jusqu'à le Bokhari le hadith est Sahih, mais le plus mauvais est Ibn Abbas Mais Ibn Abbas radiyallahu anhumah ala jalalati qadrihi wa imamatihi wa uluwika'bihi malgré sa science et sur i'il akhiri il s'est trompé. Et ça, on trouve que chez les plus grands, comme il disait Al-Kissari, le meilleur des chevaux, il peut trébucher. Donc, au jour de l'enquête, ce n'est pas à prendre en compte dans ce qui va donner comme jugement au rapporteur qu'il est faible. Donc, à partir du moment où on sait que... Il y a un intérêt, il y a une disparité. entre les différents types de faiblesses, il y aura donc forcément cette même disparité entre les différents hadiths baifs. Et là, on revient à ce qu'on a dit tout à l'heure, le hasal nira ilihi, le hasal qui est en fait le cumul de plusieurs hadiths baifs. Ce n'est possible que si le baaf, la faiblesse qui va donc résulter du jugement, soit rafif, soit léger. C'est une faiblesse légère. Donc quand on aura un hadith avec plusieurs voies de transmission dans lesquelles on trouvera une faiblesse qui sera légère, alors on pourra l'accumuler pour donner au hadith le jugement du hasen li-ra'ilihi, du hasen par autrui. Par contre, si les faiblesses dans ces hadiths-là sont fortes, on ne pourra pas l'accumuler pour... leur donner le jugement du Hassan et les réunir. Si le rapporteur, il est moutaham, il est accusé dans son ville, il faisait des grands péchés, ou s'il était à cet amour-tadir et qu'il défendait sa bid'ah, ou s'il était connu pour mentir, ça c'est une faiblesse qu'on acceptera. C'est une grosse faiblesse, on l'a, on l'acceptera. Taïm. Et tous ceux qui sont de la même taille sont des fausses et des fausses. Et puis l'auteur dit, les catégories du fausse vont venir après Le titre que l'auteur a choisi dans le programme est spécial. Il n'y a pas de taille. logique entre qui, il va passer du sa'adhaif au marfu'u maqtouh alors que logiquement, il aurait été comment dire, ça aurait été plus normal d'évoquer les catégories du daif par la suite. La quête de l'automne, il ne s'est pas mis comme condition cette règle-là et quand on voit la formulation des abiyat qui est assez simple et qui ne rentre pas dans le détail, alors... On comprend pourquoi ce poème est plus adressé aux enfants ou aux gens qui ne sont pas des étudiants qu'à ceux qui sont nés des étudiants. Qala rahimahullah wa ma udhifa linnabiyi al marfu'u wa ma litabi'in huwa al maqtu'u Donc là, on va passer à la classification du hadith en fonction de celui à qui il est. ajouté, de celui à qui il est attribué. Voilà, exactement, plus simple. Attribué, là. Et là, ça n'a pas de rapport avec son degré d'authenticité. Il n'y a pas de rapport. Donc, en fonction de celui à qui le hadith est attribué, il aura un nom différent. Le premier, c'est al-marfu' » . Al-marfu' » , c'est le maf'ul de rafa'a Rafa'a, ça veut dire l'élevé. Rafa'a, élevé. Al-Marfu'a, c'est celui qui est élevé. D'un point de vue linguistique. Ma waqa'a al-raf'u alayhi. Et chez les ulamas du hadith, le hadith Al-Marfu'a, c'est celui qui sera attribué au prophète alayhi salatu wassalam. Il sera attribué au prophète al-Rasim, que ce soit lui qui parle. ou que ce soit quelqu'un qui parle de lui. Comme par exemple, on va dire que le prophète, il faisait siwak quand il rentrait chez lui, ça a dit marfou'parce que ça concerne le prophète. Après, dans le marfou'on a deux types. Le marfou'lafdan et le marfou'hukman. Le marfou'lafdan dans sa forme, quand c'est le prophète qui va parler directement. ou lorsqu'on parlera d'une action du prophète directement à l'Israël. Le Marfouh, l'Afdal, dans sa forme verbale, si vous voulez, sa forme verbale, c'est pas mécrite. Et le Marfouh, Hukman, c'est le hadith qui a le jugement du Marfouh. Le jugement du Marfouh dans le sens où c'est un compagnon qui va parler, mais comme ce qu'il va dire. Ça ne peut pas être sa parole à lui, on lui donnera le jugement de la parole du prophète. Donc quand M. le compagnon va parler d'une des choses en rapport avec le monde de l'invisible, il ne peut l'avoir vendue que du prophète sallallahu alayhi wa sallam, à condition que ce ne soit pas un compagnon connu pour prendre l'israéliette. Ça c'est une condition. Si le compagnon est connu pour prendre l'israéliette, on ne pourra pas affirmer que le hadith est marrefour hukman. à cause de l'éhtimal, de la supposition où il est pris cette information dans les récits israélites Torah ou Jinn c'est par contre le compagnon inconnu pour ne pas prendre dans l'israélienne alors, et qu'il parle de l'invisible, les actions de l'invisible, alors on donnera cette parole là, le jugement de la parole du prophète pareil dans l'ibadat, pareil dans comme la base de l'adoration c'est l'interdiction si un compagnon vient à nous dire qu'il faut faire telle ou telle chose on part du principe où c'est forcément une chose qu'il a vu du prophète donc on lui donnera le jugement de la parole du prophète sauf si c'est une adoration qui peut être sujet à l'analogie qu'on a vu que dans les adorations il n'y a pas d'analogie possible quand on part du principe où on connaît pas la Illa la cause de l'adoration si par contre on la connaît alors il existe certains cas où l'analogie est possible ça ça ça on le développe dans son oeuvre donc là c'est pour le marfoua et bien sûr le marfoua Il peut être daif, il peut être sahih, il peut être hassan, ça n'a rien à voir. Quand tu vas entendre le hadith marfou'a, tu sauras que c'est le prophète qui parle, sallallahu alayhi wa sallam, directement, ou que c'est un compagnon qui nous transmet une parole qui vient du prophète, même s'il nous a pas dit, qu'à l'assuré. Wa ma li tabi'in huwa al-maqtou'u Al-tabi'in donc là il est important de faire le tarif, c'est celui qui a rencontré un compagnon. Le tabiri, c'est celui qui a rencontré un compagnon. Moumina billahi wa mata ala lalika. C'est la personne qui a rencontré un compagnon en étant croyant et qui est mort sur l'islam. C'est ça le tabiri. Et les tabiris, ils se divisent en trois catégories. Tabaka al-kubra, tabaka al-wusda, tabaka al-sugra. Il y a La grande, la moyenne et la petite. La grande catégorie des tabéris, ce sont ceux qui ont plus rapporté des sahabas que des tabéris. On verra par la suite le Moudabadj. C'est lorsque l'on rapporte de quelqu'un de la même tabaka. On n'en parlera pas. Et on a la moyenne, c'est la catégorie des tabéris. qui vont rapporter autant des sahabas que des tabiris. Et après, on a le souhra, c'est le tabiri qui va plus rapporter des tabiris que des sahabas. Donc, lorsque le hadith, il sera attribué à un tabiri, qui me donne un tabiri là ? C'est pas un tabiri, c'est une affaire. Taouss, non plus. Hassan al-Basri Hassan al-Basri Hassan Moubak Comme il a dit lui Comment Abu Hanifa Il a dit comme quoi il a rencontré Anas J'ai entendu qu'il était faible Et en plus pour la faillite Abu Hanifa est faible dans le boitre Elias Al-A'raj N'a'am Hassan Comme il a dit lui Elias Hassan M. Hassan ibn Abdullah Ibn Omar Badr Nafi, pa'al-nafi, nafi, ahsad. Pas de son doute ? Ibrahim Nakhais, il s'est fait un tabou. C'est encore. Oui, ok. Hein ? Aikrimah, ahsad, mawla bni Abbas. Lassim. Mohamed, ou là-là ? Zuhri ? Je connais Mohamed Ibn Hassan. Bon, c'est la blague. Moujahid, Ahsad, Cédric. Orwa, nous nous paie. Saïd Moussaïb, je l'ai trouvé ? Bon, je vais le mettre dans la main de l'unité. Voilà, l'unité. Aïssan, merci beaucoup. Thabit El Mounani. L'Ouzaï, non, c'est pas le même. Bon, les autres, Mohamed El Moussirine, Thabit El Mounani, Hassan El Basri, Urwa El Moussoubeir, El Aaraj, et l'autre, que l'on trouve naffé, parce qu'on trouve dans les... dans les... Tu ne peux pas dire Mohamed El Zouré, c'est pas lui ? Mohamed El Zouré ? Et bien sûr, on verra par la suite, le monqaté'a. On va voir après, inshallah, le monqaté'a, c'est un des types du hadith dha'if. Il ne faut pas confondre le maqto'et le monqaté'a. C'est des choses différentes. Après, comme on vient de le dire, Le maqto'c'est le tabi'in. Wa qrabu nidhu al-maqto'Al-maqto'c'est le hadith qui est attribué à un compagnon. L'auteur va en parler par la suite. Mais il aurait été meilleur de le citer ici. Bien sûr, la mouna sabashiria, marfu'a, maqto'a, ça va ensemble. Donc c'est plus facile. Mais le fait d'avoir évoqué la classification du hadith par rapport à celui à qui il a attribué avec le marfou et le marfou et de citer le marfou tout seul après Fihi Nadar Fihi Nadar Là on passe à un autre type de hadith sans que ça n'ait de lien avec son degré d'authenticité ni que ça n'ait de lien avec celui à qui il est attribué. Là, c'est un nom du hadith en fonction de l'état de sa chaîne de transmission. Il s'appelle al-musnad. Après, le mot musnad, c'est un terme qu'on retrouve souvent, mais pas forcément avec le même sens. Déjà, le musnad, c'est le nom qu'on donne à un livre de hadith. qui va répertorier les hadiths par les compagnons, comme c'est le cas dans le Moussad d'Ibn Ahmad. Dans le Moussad d'Ibn Ahmad, les hadiths sont classés par rapporteurs chez les compagnons. Moussad Abibakar, Moussad Omar, Moussad Ilakhri. C'est comme ça que les hadiths sont classés dedans. Mais ce n'est pas le seul type de livre de hadiths qu'on appelle Moussad. Même le livre de hadith ou les hadiths seront classés par les chapitres du fiqh qu'on connaît, on l'appellera aussi Mousned. Sahih al-Bukhari, il ne s'appelle pas le Janu'a, al-Sahih, al-Mousned, c'est aussi son nom. D'accord ? Donc on va employer ce terme-là pour définir ces livres qui regroupent les hadiths, comme on se servira aussi du Mousned. pour le mâle-foua, le mâle-coua, le mâle-couf. Et Meloutère, lui, dit ici, Rahima Allah, hatta al-Mustafa Al-Mustafa c'est le Nabi, sallallahu alayhi wa sallam, c'est celui qu'Allah, il a élu. En référence au verset où Allah, ta'ala, dit Qulil hamdu lillahi wassalamun ala ibadihi alladhina astafa Alladhina astafa Wa qaqqulu wa subhanahu wa ta'ala wadhkur Après, je vous ai remarqué que certains doigts, certains humains, ils appellent le code comme le Mustafa ou comme le Habib. C'est faux, parce que le prophète n'est pas le seul Moustapha. Tous les prophètes, Allah les a élus dans leur peuple, et tous les prophètes, Allah les aide. Ils ont dit, le Khalil, c'est Ibrahim, et le Habib, c'est Mohamed. Non, le Khalil, c'est mieux que le Habib. Et le raisonnement, il est Khalil, a.s. Donc des fois, il y en a qui pensent bien faire, mais qui ne font pas forcément bien. Ils veulent choisir des noms, des attributs qui sont honorables, pas de problème, on ne dit pas le contraire, du prophète, et ils vont en faire une appellation de base. alors que en fait c'est une chose qu'on ne trouve pas d'ailleurs le fait d'appeler le prophète avec un seul nom tout le temps c'est quelque chose qui n'est pas connu chez les salafs ils appelaient pas le prophète tout le temps Moustapha ils appelaient pas le prophète tout le temps Al Habib non une fois marre marre la haraj amma al itlaq da'iman hadha mimma lam yu'arafi salafi hadhi donc l'auteur lui dit que hatal moustapha donc on peut comprendre cette parole là qu'il ne voit que le mousnad, c'est que le marfoua. On ne peut pas dire du maqtoua et du mawakouf qui sont mousnads. Ouah, c'est ça. Alors qu'en fait, on peut très bien considérer un hadith maqtoua ou un hadith mawakouf comme étant mousnad. Après, l'auteur, c'est quoi le hadith al-mousnad ? Il y a deux conditions. Il dit al-muttasid al-isnad min raweehi wa lam yabeen. D'accord ? Donc, c'est un hadith dont la chaîne de transmission, la chaîne des narrateurs, elle est liée. Chaque rapporteur est lié à celui qui le suit. Donc, on va le traduire par la liaison. Le mot tassé, c'est le lié. Et le mousned, c'est celui dont les rapporteurs sont liés dans la chaîne. c'est-à-dire que cette chaîne de narration, elle n'est pas coupée. Les rapporteurs, ils sont liés et elle n'est pas coupée. Donc, lorsque la chaîne de transmission, les rapporteurs, pardon, ils seront liés les uns aux autres et que la chaîne ne sera pas coupée dans aucun endroit, ni au début, ni à la fin, ni au milieu, alors on appellera ce Sénède. C'est ce hadith mousned. Donc c'est juste un nom en rapport avec l'état de la chaîne de narration qui n'a aucun impact sur son degré d'authenticité. Quand tu verras un hadith, il est mousned, tu comprendras qu'il n'y a pas d'interruption dans sa chaîne de transmission et que tous les rapporteurs, ils sont liés. Et que selon l'auteur, c'est un hadith marfoua. Hatal Moustafa, il s'arrête au prophète alayhi salatu wassalam. Mais selon l'avis majoritaire, c'est pas... forcément attribué au prophète. Ça peut être attribué à un compagnon, ça peut être attribué à un tablier. Chumakala, Rahimahou Allahou Ta'ala, wa ma bi sam'i kulli ra'u niyat tasil. Encore un autre nom du hadith en fonction de la façon dont il a été transmis d'un rapporteur à l'autre. En fonction de la façon dont il a été transmis d'un rapporteur à l'autre. Al-Muttasir. D'accord ? Tout à l'heure on a dit que c'est la liaison qui va être. faite entre les rapporteurs. Ici, l'auteur, il donne à cette liaison une forme spécifique. C'est quoi ? L'écoute. Il dit Donc, ce qui va être lié par l'écoute de chaque rapporteur. Nous, on a vu hier, vous vous souvenez, il y a différentes façons de transmettre l'information. Il y en a des huit. Il faut savoir qu'il y a un ijma'sur les deux premières. C'est l'écoute et la lecture. Les autres sont sujets à divergence. Les six autres sont sujets à divergence. Et bien sûr, ces huit façons de transmettre l'information, bien sûr, reposent sur des textes et des preuves. Donc l'auteur, lui, il a dit, c'était spécifique au hadith, qui était transmis d'un rapporteur à l'autre par la voix auditive c'est à dire ça a été entendu, que chaque rapporteur il dira Samia et tout, j'ai entendu et on sait, on vous souvenait d'un autre hadith là, lorsqu'on allait à l'adrémaline, il y a un collage le hadith de l'Abbas, il y a un vidéo il dit à les satans, vous vous entendez ou ils vous entendent ou ils vous entendent ou ils vous entendent Vous allez entendre, entre parenthèses, de moi, des choses qu'on entendra de vous. Donc vous allez les répéter et on les entendra de vous. Et ceux qui ont entendu de vous, on entendra. Et donc ce hadith-là, c'est une base pour établir que la base dans la façon de transmettre l'information, c'est la salle, c'est l'écoute. Est-ce que c'est la seule façon de faire ? Là, on a aussi un hadith avec la qira'a. Non, pas la qira'a. Si, la qira'a. Regardez comment ils ont fait. Donc il y a ces hadiths dedans, vas-y lis-le moi. Et moi je dis, en me le lisant, tu rapportes deux mots. D'où ça vient ça ? Il y a le hadith de Diman ibn Tha'alaba. Diman ibn Tha'alaba, comme dans le hadith qui est rapporté par Ibn Abbas, c'était un émissaire d'une tribu qu'on appelle Banu Bakran. Il est venu voir le prophète, il est rentré à Medina, il est extraordinaire. tous les harisans qui se racontent là, parce que les gens et je ne vais pas vous dire comment c'est fait et il rentre dans la mosquée il dit il y a un qui l'annonce la couleur quelqu'un qui fait preuve de douceur dans sa façon de s'exprimer c'est qui parmi vous le fils d'Ibn Abdel Muttalib la souveraineté il s'est éloqué il m'a dit il s'est éloqué Je vais te poser des questions, je veux être dur dans ma façon de te les poser, donc ne ressens rien contre moi de négatif. Pourquoi il dit ça ? C'est un badoui, c'est un arabi, c'est un bédouin. Les bédouins sont connus pour être durs, rilards, chidades, ils sont rustres. Parce qu'il dit, demande ce que tu veux. Après... Oudimam Ibn Sa'alaba dit est-ce que c'est Allah qui t'a envoyé pour qu'on n'adore que lui et qu'on arrête d'adorer l'Ostachie ? Il dit Allahou Man'a, il dit Anshadouka Billah. Il est un homme très beau, le hadith, le réel, le réel. Donc c'est lui en gros qui dicte, entre guillemets bien sûr, dicte. Il lit comme s'il lisait les vérités que le prophète va confirmer. De la même façon que le raoui, il va lire le hadith au shirk, il va donc confirmer la lecture. Et il va lui dire... Tu peux lui poser trois, quatre questions de ce genre-là ? Après, il lui a dit, je jure par Allah que je rajoute très bien, et j'enlèverai rien de tout ce que tu m'as dit. Puis il a trouvé chez lui. C'est lui qui a dit, sadaqayn, aflahayn sadaq. S'il a dit la vérité, il est entré dans le Jannah, il a gagné. Et après, d'un moment à l'autre, Zahraba est rentré à son peuple, il leur a répété la même chose, ils se sont tous convertis à l'islam. Ibn Abbas, il a dit, on n'a jamais, on n'a jamais vu plus d'un homme qui a dit ça. Vous savez, le Wafid, c'était l'émissaire qui était envoyé par une tribu. On n'a jamais eu quelqu'un de plus noble que Dima Moufah Naba, radhiallahu anhu wa raba. Sur le hadith, c'est une base pour révéler le hadith bilqira'a, à la shaykh. Donc, le fait de rapporter le hadith en le lisant au shaykh. Puis on a le hadith de... le hadith dans lequel le prophète, sallallahu alayhi wa sallam, il envoie les lettres aux rois et aux empereurs. voisins de l'Arabie. Et eux, ils ont pris ce hadith comme dalil, fi jawaz, riwayat al-hadith, bil kitaba, par le biais d'un support écrit. Puis il y a le hadith de Mu'arwiya bin Aghi Soufiane, où il envoie une lettre à Al-Murira bin Shu'ba, où il lui demande de lui écrire des paroles du prophète alayhi salatu wa salam. Et Al-Murira, il dicte à Warraq, son scribe, il lui dit, vas-y, écris. Et puis, Moawiyah, il a porté le hadith de l'mughira en tariq al-mukataba. Ils se sont envoyés la correspondance, vous l'avez dit hier en français, ils se sont envoyés des couilles. Donc, en fait, quand l'auteur s'arrête sur l'sama'a, il y a des raisons. Alors, il s'est... ça ne s'arrête pas que sur ce qui est rapporté en tariq al-sam'a, même si al-sam'a c'est a'la al-marati, c'est le degré supérieur et ultime Et il n'y a pas de divergence sur la légitimité de ce moyen pour transmettre le hadith. L'arrêté dessus, c'est à revoir toutes les façons de transmettre, elles rentrent dedans. Donc lorsque... le sanad, il sera, les rapporteurs du sanad seront liés les uns aux autres par l'écoute, alors il s'appellera al-muttasih. Et encore une fois, l'auteur il dit l'ilmustafa, il nous fait comprendre que selon lui, c'est que le marfoua, c'est que le marfoua, c'est que le marfoua, c'est que le marfoua, c'est que le marfoua, c'est que le marfoua, c'est que le marfoua, c'est que le marfoua, et ça encore une fois, c'est un à revoir, c'est un à revoir, c'est un à revoir, Donc ils sont en recouvre. Ida tabafara fi sanadiri yadashat, fahwa mottasir Donc même s'il sera attribué à un compagnon ou un tabiri, eh bien, il sera mottasir, contrairement à ce que l'auteur dit. Rahim Allahou ta'al Et on peut rajouter une dernière chose, c'est qu'il est possible de donner à un hadith plusieurs mots. Un hadith, il peut être marfou'a, mousned, mottassil, sahih. Donc comme ce sont des appellations différentes qui concernent des choses différentes, le cumul n'est pas impossible. Mais c'est quand il n'y a pas d'incohérence entre ces appellations. Tu ne peux pas dire dans un hadith qu'il est sahih, baif. Tu ne peux pas. Après quand c'est midi, il y a Hassan al-Sahih, il a son moustalah. À ce sujet-là, on en reparlera dans le moukhba, incha'Allah. Mais tu peux donner plusieurs appellations au même hadith à partir du moment où il n'y a pas d'incohérence entre les sens. Tout à l'heure, on a dit que le maqto'et le mounqate'c'est deux hadiths différents. Le maqto'c'est ce qui est attribué au tabiri et le mounqate'c'est celui dont je l'ai traduit. Elle est interrompue. Est-ce que je peux dire maqto'mon qat'i' » ? Oui, je peux dire maqto'mon qat'i' » parce que le hadith peut être attribué à un tabi'i et la chaîne peut être interrompue. D'accord ? Donc, c'est la chose sur laquelle nous allons nous arrêter aujourd'hui, incha'Allah. Ta'ala, avec vous, des questions. D'accord. alors oui non c'est pas le frère est demandé ce que nous connaîtrions divergence sur l'acceptation de cette catégorie qui est la salle des réunis on ne trouve pas chez les salafs en termes d'appellation est ce que on va trouver chez les salafs à salle des réunis ce sera introuvable Donc, est-ce que ça veut dire que forcément cette catégorie n'existait pas chez eux et qu'elle a existé par la suite ? Là, c'est ceux qui vont l'appeler comme ça par la suite, ils vont estimer dans la façon de faire des ulama, chez les anciens, qu'ils donnaient au hadith da'if un degré supérieur lorsqu'ils le cumulaient avec d'autres. Et c'est à partir de là qu'ils se disent, bon, ils le faisaient, mais ils ne lui donnaient pas de nom. Nous, on va l'appeler comme ça. Nous, on va l'appeler comme ça. On va l'appeler le hassan, les raïs. D'autres ont dit, comme il n'avait pas de nom à l'époque, on ne va pas lui en donner un. Et de cette façon de faire, ils ont estimé qu'elle n'existait pas non plus. Alors, ils ont renié l'appellation et l'action. Après, c'est une question qui est quand même assez complexe. Et ça, ça vous montre que les savants vont diverger sur le jugement du hadith ou sur l'existence de la catégorie du hadith. Ça, ça va remettre en cause énormément de haka. A partir du moment où tu pars du principe que dans certains abouab, dans certains sujets, tu ne prendras pas les jugements qui viennent de la hadith da'if dont le ta'af il est chadid, ou bien même si c'est certain du tout, même si le ta'af il est léger, tu vas comprendre pourquoi les salamands disent ba'j autant dans l'arqab. Pourquoi il y en a qui vont dire une chose, elle est obligatoire, ou du non, elle est permise, ou elle est interdite. Ou bien, chacun est bon en fonction de jugements qu'ils vont donner à la base au texte. Oui, c'est ça. Est-ce que le hasen, pareil pour Sahih, a dit da'j plus fort que les règles. Oui, le Hadith Sahih les-dâtés, il sera plus fort que le Hadith al-Sahih les-reilles. Pourquoi ? Parce que c'est à cause du fait que le cumul de deux dapts hafifs, même s'ils donneront un plus au Maroui, à ce qui est rapporté, ne pourra pas être plus fort qu'un dapte tam. Si je prends quelqu'un qui a un dapte tam, et je prends deux qui ont un dapte hafif, et je leur demande aux trois de me réciter la même chose, celui qui aura le dapte tam, il sera toujours meilleur que les deux qui ont un dapte hafif. C'est pour cela que le hassan, le sahih, sera plus fort que le sahih, le ghayri. Pareil pour le hassan. Oui, vous voyez. Qadihah. En fait, voilà, c'est l'élan. Qadihah, c'est défaut préjudiciable, il ne faut pas qu'il y en ait dans le sahih, ni dans le daif. Maintenant, il y a certains ilal, ça aussi c'est une chose dans laquelle les savants, ils divergent en fonction de, est-ce qu'ils vont considérer ça comme ilal ou non ? C'est un défaut, mais est-ce que ce sera un défaut en rapport avec la narration, ou en rapport avec le narrateur ? Donc, ça rentre dans la classification des ilal, en fait. Et quand on va rentrer dedans, incha'Allah, de façon plus approfondie, on pourra mieux répondre à la question. Maintenant, quand tu vas prendre la narration d'un moubtadir, il a un défaut, c'est sa bid'a, mais c'est un défaut qui concerne la personne. Maintenant, avec les conditions qui nous permettent d'accepter la narration du moubtadir, on acceptera sa narration lorsqu'elle sera exemptée des défauts qui vont entacher la narration. Donc il y a des défauts qui vont entacher le rapporteur, il y a des défauts qui vont entacher la narration. Et ils ne sont pas tous au même degré. Il y a des défauts qui vont empêcher l'acceptation du rapporteur, des défauts qui vont empêcher l'acceptation de la narration, et des défauts qui n'empêcheront ni l'un ni l'autre. Donc, ils ne sont pas à la largeur de l'un et de l'autre, ils ne sont pas tous au même degré. Ce sera après, au cas par cas, et les défauts qui lui seront donnés. Et des fois, ces défauts seront sujets de divergence. D'accord ? On va dire, Flamme, il a quelques-tels défauts. Oui, mais ce n'est pas grave, on prend quand même. Non, on ne prend pas. Tu vois, donc c'est assez... C'est comme si c'était très vaste, c'est difficile à réglementer. on va le considérer comme étant chef mais là pourquoi on va le considérer comme étant chef d'un point de vue de définition quand on va l'opposer au hadith de Maïmouna par rapport à ce qui est rapporté mais on a dit que le chef c'est en rapport avec les rapporteurs pas avec ce qui est rapporté d'accord ? on a dit Donc, si tous les rapporteurs sont siqa, qu'il n'y a pas de tafahout, on ne pourra pas dire qu'il est chaise, parce qu'on devrait regarder la fiabilité des rapporteurs. Donc, si, je ne pourrais pas dire à ce niveau-là est-ce que c'est le cas, mais en tout cas, si tous les rapporteurs sont siqa, parce qu'on parle du passé, parce que c'est le Bukhari, et qu'ils sont tous tafahout, donc à ce moment-là, on va le juger comme étant un khata. et pas le juger comme étant chef. D'accord ? Oui Khaled, vas-y voir. Ah, masha'Allah, c'est une bonne question. Donc il y a des halifs maoukoufa qui sont attribués aux compagnons qui ont le jugement du raf'a, de la parole du prophète a.s. Est-ce qu'on peut en faire autant avec le tabiri ? On ne peut pas ? à moins que, là-bas c'est qu'on ne peut pas, parce que c'est très très rare qu'un tabirie ne rapporte que d'un seul compagnon, c'est très rare. À moins qu'on ait la certitude que ce tabirie ne rapporte que de ce compagnon-là, alors on pourra dire, d'un point de vue théorique, ce sera possible. Si Sabit al-Bunani ne rapportait que d'Ibn Abbas, de Anas pardon, et que... il ne dit rien de lui-même et chaque fois qu'il parle, il dit si un jour il ne dit pas si un jour il ne dit pas on dira que c'est une parole de Anas mais c'est limite introuvable, c'est rare de trouver quelqu'un qui rapporte que d'un compagnon et sans le citer, on n'a pas de il y a toujours ce doute de, ça peut être sa parole, ça peut être la parole d'un autre tabi'i, ça peut être la parole d'un compagnon Il y a toujours cette signal-là qui nous empêchera d'avoir un jugement qata'i. Alors que le compagnon ou le prophète, c'est plus facile à déterminer. Parce que si le compagnon va parler d'une chose qu'il ne peut pas dire de lui-même, c'est forcément le prophète qui va s'éteindre. Oui, oui, yassir. Ce qui veut dire qu'Abu'l-Aliya, dans sa parole sur le salat de Allah, c'est pas mal faux, ça veut dire. Non, c'est son avis à lui, c'est sa définition à lui. Et quand Abu'l-Aliya, rahimallah, il définit le salat à l'Abbé, comme quoi, salat Allah, alayhi fil ma'alaihi al'a'la, il s'est rapporté par le Bukhari. La tariqa du Bukhari dans son sahih, c'est de citer ce qu'il trouve de plus authentique dans la mas'ala. Donc il a cherché dans les hadiths sahihas, dans les paroles, les hadiths marufu'a, l'amnijid. Dans les hadiths marufu'a, l'amnijid. Il a trouvé quoi ? Abu'l-Ali. C'est le plus proche du prophète par rapport au tabi'i. Alors, et c'est venu à lui d'une tariqa sahiha, alors il a cité dans son sahih. C'est pour ça qu'il a cité dans son sahih. L'homme qui a rencontré un compagnon alors qu'il était mécréant, puis il est mort musulman, c'est un tabi'i. C'est la même condition que pour... que pour le... Il faut, au moment où il a rencontré, qu'il soit musulman, comme pour le compagnon. Est-ce que l'endroit qui doit être pur est uniquement où on se pose pour prier ? Donc ça, on va en parler par la suite, inshallah. Il faut que les parties du corps qui vont être en contact avec le sol soient pures. Donc imaginons des impuretés. dispersé à l'endroit où je me trouve. Là où je pose mes mains, là où je pose mes genoux, mes pieds, mon front n'est pas souillé par l'impureté, je pourrais prier dessus. Alors comment elle fait le regroupement pour le Hassan des Raïdési ? Il faut chercher toutes les chaînes de narration qui rapportent le même hadith et comparer les rapporteurs pour à la fin donner un jugement global à toutes ces chaînes de narration, bien entendu. cette caïphia, à les connoisseurs et les spécialistes de la chose. Et Dieu le sait, il a fait la prière pour le prophète Mohamed et pour ses familles et ses amis. Subhanakallah, et la grâce est à Dieu. Nous vous remercions et nous vous remercions. Et la grâce est à Dieu, le Seigneur des mondes. Et la grâce est à Dieu.