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Étude de l'adoration et du Tawakkul

Le Seigneur est le Seigneur de l'univers. Mes très chers frères et sœurs, nous sommes aujourd'hui dans la cinquième journée du mois de Dhul-Qaeda, 1434, c'est-à-dire le 11 septembre 2013. Nous reprenons où nous nous sommes arrêtés la dernière fois dans l'étude de ce livre qui se nomme Salat al-usul wa adillatuhah Donc vous n'êtes pas sans savoir qu'il ne nous reste que deux séances avant la fin de cette session. On va donc devoir accélérer un peu afin de conclure, de clôturer le livre en temps voulu. On s'est arrêté. Laul Mouallif Rahimahou Allah dit Wa anwa'ul ibadati allatiyamalallahu biha mithlul islami wal imani wal ihsan Donc le Mouallif, Rahimahoullah, nous donne des exemples de l'adoration qu'Allah Ta'ala a ordonné. On a vu à l'Islam, on a vu à l'Iman, on a vu à l'Ihsan. L'ibada, Ibn Taymiyyah, Rahimahoullah, l'a défini comme étant Ismoun Jami'a. Ismoun Jami'a, c'est-à-dire c'est un nom général. C'est un nom général, ismoun jami'a, les kullima yuhibbuhun laahu wa yarbaah, de tout ce qu'Allah Ta'ala aime et agrée, de tout ce qu'Allah Ta'ala aime et agrée, minal aqwali wal a'mal, que ce soit des actions ou des paroles. Min al-aqwali wal-a'mal al-zahira wal-batina Qu'elle soit visible ou non Ou cachée Qu'elle soit visible C'est-à-dire avec les membres Ou cachée C'est-à-dire avec le cœur Voici pour la définition de l'adoration comme la voyait Ibn Taymiyyah, dans son livre Al-Ubudiyya Les amants ont différentes définitions pour le mot ibadah mais elles tournent toutes autour de cela. Donc ismun jami'un li kulli ma yuhibbuhu Allah wa yarzah, nal aqwali wal a'mali al zahirati wal batira C'est un nom général qui englobe tout le monde. Tout ce qu'Allah aime et agrée comme paroles et actions, qu'elles soient visibles ou non. Et on a vu donc à l'islam, ou à l'iman, ou à l'ihsan. Et après le Mouallif, il en cite d'autres, la vocation. la peur l'espoir on va laisser comme ça pareil le rabaissement spirituel la crainte le repentir la demande d'aide la demande de refuge la demande de secours le sacrifice la promesse et d'autres encore adorations qu'Allah a ordonnées qui doivent toutes être vouées à Allah subhanahu wa ta'ala donc on passe entre guillemets vite dessus parce que juste après le moellefi reprend chacune d'entre elles et il appuie cela avec une preuve du Quran et le preuve c'est ce que dit Allah subhanahu wa ta'ala et le preuve c'est après avoir cité différents types d'adorations et après nous avoir dit que ces adorations ne doivent être vouées qu'à Allah il nous le prouve avec des textes on a déjà vu ce verset précédemment et dans ce verset on a l'interdiction de la part d'Allah subhanahu wa ta'ala à ce qu'on adore, à ce qu'on invoque autre que lui et on a vu que l'invocation était l'adoration quiconque attribue quoi que ce soit de ces différentes adorations à autre qu'Allah sera un associé un associateur mécréant sera un associateur mécréant et on pourrait justifier le fait que le mot allif rahimahullah est commencé par mouchrik avant de dire kafir car il y a une différence entre l'association et la mécréance comme Allah ta'ala fait référence dans le Coran Dans surat Ghafir, lorsque le croyant qui cachait sa foi dans la famille de Pharaon a dit O ya qawmima li ad'uukum ilan najati wa tad'unani ilan nar, tad'unani li akfura billahi wa usurani ilan najati Vous m'appelez à ce que je m'écrois en Allah et que je lui associe ce en quoi je n'ai aucune science, aucune preuve. Donc ici Allah Ta'ala a fait une distinction entre les deux choses, entre la mécréance et l'association. On va la retrouver. Le moucherique, en faisant de l'association majeure, est forcément mécréant. Et le mécréant, chez certains savants, n'est pas forcément moucherique. Chez d'autres, il le sera forcément. Et le dit Allah, A-t-il vu celui qui a fait de ses passions sa divinité ? Donc même s'il n'adore pas autre chose qu'Allah Azzawajal Le fait de s'être soumis complètement à ses passions En lui obéissant corps et âme C'est comme s'il avait fait de ses passions une divinité Ce qui le rend alors moshrik, quiconque attribue quoi que ce soit de l'adoration à autre qu'Allah subhanahu wa ta'ala sera un associateur et un mécréant et bien entendu ici on fait référence à la grande association et la grande mécréance Celle qui fait sortir celui qui l'accomplit du cercle de l'islam. Ouad dalil. Donc la preuve que celui qui attribue l'adoration entre qu'Allah subhanahu wa ta'ala, quelle qu'elle soit, Le verset 117 de suratul mu'minun où Allah Ta'ala dit et quiconque invoque avec Allah une autre divinité Il n'a aucune preuve auprès de son Seigneur, c'est-à-dire qu'il ne pourra pas justifier son acte avec un argument accepté devant Allah subhanahu wa ta'ala. Ça veut dire qu'il ne sera pas excusé d'avoir agi ainsi. La burhan alahu bih, il n'a aucun argument aussi. A travers celui qu'il a invoqué en dehors d'Allah. Au contraire, ceux qui ont invoqué d'autres divinités en dehors d'Allah, ces divinités-là renieront leur adoration le jour du jugement et se désavoueront d'eux. Et ceux désavoueront d'eux. Donc premièrement, il n'aura pas d'excuses devant Allah d'avoir agi ainsi. Et deuxièmement, cette idole qu'il a osé adorer en dehors d'Allah, ne lui sera d'aucun secours et d'aucun recours. Devant Allah subhanahu wa ta'ala. Ça équivaut à dire, il n'aura aucun jugement si ce n'est devant son Seigneur. Ce qui signifie que celui qu'il a osé adorer ou invoquer en dehors d'Allah subhanahu wa ta'ala, ne le jugera pas. Et le hisab découle du hisab, du jugement. La rétribution en bien et en mal. La récompense et la punition. Pourquoi alors ? Adorer ou invoquer autre qu'Allah tout en sachant que celui-ci ne peut en rien lui apporter ce qu'il espère, c'est-à-dire une récompense ou qu'il le préserve de ce qu'il craint, c'est-à-dire d'une punition. Alors il dit, Les mécréants ne gagneront jamais. Al-Falah, en arabe, ça implique deux choses. L'obtenir de ce qui est besoin et le sauver de ce qui est attendu. Le bénéfice, c'est pour toi. Le fait d'obtenir ce qu'on voulait et d'être préservé de ce qu'on craignait. Quand quelqu'un a quelque chose qu'il espère, quelque chose qu'il craint, qu'il a réussi à avoir ce qu'il espérait et qu'il a été préservé de ce qu'il craignait, on dira هذا من المفلح C'est lui le Mouflih. Izaa faatahu shay'un minhumaa, lam yastahiqa an yusafa bidhalika alwasf Lorsqu'il manquera un des deux, on ne pourra pas dire de lui qu'il fera partie des mouflihines C'est-à-dire donc que ici Allah Ta'ala, dans le siyak, le contexte du vers, Verset, il nous parle de ceux qui invoquent avec lui d'autres idoles. Qu'ils n'ont aucune preuve, aucun argument à travers ceux qu'ils ont invoqués en dehors d'Allah. Et qu'ils ne trouveront aucun jugement auprès de ceux qu'ils ont invoqués en dehors d'Allah. Au contraire, devant Allah, ils ne trouveront aucune excuse. Et leurs idoles se désavoueront d'eux et renieront avoir été adorés. Et en plus de cela, cet associateur ne sera pas préservé de ce qu'il craint, tout comme il n'obtiendra pas ce qu'il espère. Et ici, comme on parle, on est dans un même contexte, on comprend que Al-Kafirun revient à celui qui a invoqué autre qu'Allah. Qui a invoqué, comme au début du verset Et celui qui invoque avec Allah une autre divinité, un autre idole Donc quiconque invoque avec Allah un autre idole, une idole quelconque Et bien c'est un kafir, comme le moallif l'a dit Donc c'est pour ça qu'il a appuyé cette information Que quiconque attribue quoi que ce soit d'adoration à autre qu'Allah Et bien c'est un mécréant associateur et la preuve est le verset 117 de surat al-mu'minun et dans le hadith et ce hadith là il est rapporté par Al-Timidi d'après Anas Ibn Malik mais il contient quelques faiblesses qui nous empêchent de l'attribuer au prophète de cette façon Abu Dawud rapporte le hadith différemment avec une chaîne de transmission plus plus forte qui nous permet d'attribuer aux prophètes alaïs salat wa salam qui est à deux à roues à l'arrivée d'un à la place de mon trou à l'arrivée d'un à la place de mon trou à l'arrivée d'un mou ce n'est pas comme les maghrébins pense le cerveau les maghrébins ont appelé le cerveau mou parce qu'en fait elle mou c'est la moelle elle mou c'est la moelle soit quand tu te cannes tu prends un os, tu le casses en deux, tu trouves à l'intérieur une certaine matière qu'on appelle la moelle. Et c'est le mouh. C'est ce qu'on trouve à l'intérieur de l'os. Comme le cerveau, il est à l'intérieur de la boîte crânienne. Donc d'une certaine façon, c'est un mouh. Même si c'est pas un mouh. A tout qui n'a rien à voir, mais le nom de famille de ma mère, avant qu'elle ne se marie, c'est Mkhakh. Et Mkhakh, c'est le pluriel de mouh. Elle a Mkhakh. Donc, dans la famille... famille se sont fait appeler les cerveaux à la moustalache marariba mais quand tu vois les gens sur le dos des cerveaux à la colléale Donc c'est l'intérieur Pourquoi on l'a appelé dans le hadith ? Parce que ce hadith là on a dit On ne peut pas cette forme là Elle n'est pas authentique Si on l'attribue au prophète Cependant Elle est authentique en tant que parole de compagnon Il a été prouvé que Abdallah ibn Omar a dit cela Donc là il y a un tachbir Il y a une comparaison Plus précisément il y a ici une métaphore Parce que Ce que la différence entre la comparaison et la métaphore, c'est la présence de l'outil comparatif. S'il y a comme ou tel, on dirait que c'est une comparaison. Si l'outil comparatif disparaît, le comparant ou le comparé, alors ça devient une métaphore. En arabe, on appelle ça une isti'ara. Ce n'est pas du chinois, c'est dans le français, c'est comme ça aussi. Je ne peux pas vous faire un char de la comparaison quand même. Comparer, comparant, comparatif quand même. Je vous ai dit que je partais de la fac, études de littérature. Ici, il n'y a pas d'outil comparatif. C'est comme si l'invocation était un os, un squelette. Et que l'intérieur de ce squelette, c'est-à-dire le plus profond, déjà le corps il n'est articulé que pour l'invocation. Le biais du squelette, avant que tu sois en avertébré, ce que des fois je me demande quand je vois ça te montre où. Ensuite, cette articulation, ce squelette qui, comment dirais-je, voilà, il est lui-même. Il est lui-même rempli de cette moelle, el moukh. Donc en gros, el doa, moukh al ibadah. Sans moelle, il n'y a pas de squelette. Et sans squelette, il n'y a pas de corps. Parmi les défauts qui rendent la bête à sacrifier pour le jour de l'Eid Al-Adha, celle qu'on appelle Al-Hazila. C'est quoi Al-Hazila ? Al-Hazila c'est celle qui n'a pas de moindre. dans ses os. Vous allez me dire comment on fait nous pour savoir si un mouton ou bien une vache ou bien un chameau n'a pas de moelle dans ses os. Très simple, l'os qui est dépourvu de moelle, il est beaucoup plus fragile que celui qui en a. Il se casse plus facilement et il a plus de mal à porter le corps que celui qui est plein de moelle. Donc quand tu fais une comparaison et que tu choisis deux éléments avec un point commun, il faut bien que tu cernes la comparaison pour bien comprendre. ce qui a été voulu à travers cette comparaison là enlève le mour tu te retrouves avec un corps faible, fragile que personne dont personne ne peut tirer profit et bien la doa Si tu l'enlèves de l'ibadah, tu te trouves qu'une ibadah faible, fragile, dans laquelle il n'y a aucun bénéfice, vide quoi si tu veux. C'est quelque chose de vide. Et c'est ce qu'il y a... Appuyer, l'autre version du hadith, Ad-Dua, Hua l'ibad. L'invocation c'est l'adoration. T'enlèves l'invocation, y'a plus d'adoration. D'ailleurs, si le Moualif, rahimahullah, l'a choisi de commencer par Ad-Dua, ce n'est pas anodin. C'est parce que l'invocation a une place très très importante dans l'islam. A un point où il a été rapporté dans le hadith qu'Allah se met en colère lorsque son serviteur délaisse son invocation. Parce qu'Allah nous a créés pour son adoration. Et le sens linguistique du mot ibadah c'est ce qui est humilié. Il dit tariqun mu'abbad Ça veut dire mu'abbad ou mu'zallal C'est-à-dire que, par exemple, j'ai un chemin. on va dire qu'il y a un monde dans la mosquée plein de bosses, plein de trous plein de... difficile à prendre moi je vais venir avec un rouleau compresseur et je vais l'aplatir afin que les gens puissent le prendre et Allah dans le Coran il décrit la terre comme étant humiliée il dit et il a fait la terre humilité Le mot Zaloul, ça veut dire qui est humilié, dans le sens où elle n'a pas son mot à dire. Allah a employé le même terme pour décrire la vache, pour faire comprendre aux Bainous Israël quelle vache ils devaient. sacrifié elle n'est pas humiliée parce que le baccarat on l'a ramené là, on l'a fait faire ça on l'a ramené là, elle n'a pas son droit à dire et elle se soumet sans rien dire elle est humiliée donc c'est celui qui fait ce que lui dit de faire sans rien dire même si ce sont des basses besognes comme on dit en bon françois ici... La doua, on a dit que l'ibadah, ça tire son origine de l'humiliation. Et plus tu montres à Allah que tu t'humilies à lui, plus tu auras concrétisé cette fonction pour laquelle tu es. tu as été créé par nous, c'est l'adoration. Allah dit dans le Coran, Oh vous les gens, c'est vous qui avez besoin d'Allah. Quant à Allah, il est à l'abri. qui a du besoin, il vient de louange. Et il yacha, il yudhibu, comment yati bi khalqin jadid, wa ma thalika ala Allahi bi aziz. S'il le voulait, il vous ferait disparaître. Il amènerait à votre place une nouvelle création. Et ceci n'est en rien difficile pour Allah. Et donc, celui qui délaisse à la délaisse, Il délaisse le meilleur moyen de montrer son humiliation envers Allah subhanahu wa ta'ala. Il a donc délaissé ce qui caractérise l'adoration. On a dit qu'Allah il se met en colère quand tu délaisses... Son invocation, et le poète il a repris ce hadith en disant Ar-Rahmanu yaghdebu intarakta su'alahu wa bunayyu adama in sa'altahu yaghdebu Regarde la moqarana, regarde la comparaison Il dit Ar-Rahman, le tout miséricordieux se met en colère quand tu arrêtes de lui demander Alors que le fils d'Adam, il a dit pour montrer vraiment qu'il est haqir, comme quoi il est insignifiant le fils d'Adam. Le fiston, pour le montrer qu'il est vraiment petit. C'est quand tu lui demandes qu'il se met en colère. Et le fils d'Adam, il est besogneux, il ne possède rien. Pourquoi lui demander ? Surtout si, en plus de ça, quand je lui demande, il se met en colère. Et Allah Azza wa Jal, rani ! Comme dans le verset, des fois dans le verset du Coran il te laisse pensif, mais vraiment dans une longue réflexion. Il dit, si vous possédiez les trésors de la miséricorde de mon Seigneur, alors vous auriez gardé pour vous de peur de dépenser. Et l'être humain, il est avare. Il est cupide. Il est radin. Quand Allah Azza wa Jal, il donne, depuis le début de la création, comme dans le hadith, il y a un fait. Depuis le début du Réveil de la Création, il dépense. Les mains d'Allah elles sont pleines. Il donne depuis le début de la Création à toutes les créatures. Et il ne retient rien. Et Allah dit dans le Coran, Ce qu'il y a auprès de vous, diminue, disparaît. Est-ce qu'il y a auprès d'Allah Ta'ala subsiste ? Pour les Yahouds, ils ont dit Les juifs disent les mains d'Allah sont fermées. C'est pour ça vise là l'avarice. Que leurs mains soient fermées. C'est-à-dire qu'ils soient punis par ce qu'ils nous ont attribué. Et finalement, une des cifettes les plus reconnues chez les juifs, c'est leur avarice et leur cupidité. Après il dit, et il répond, Au contraire, ses mains sont pleinement ouvertes. Il dépense comme il le veut. souhaite. Mais les juifs ne sont pas arrêtés là. En plus d'avoir décrit Allah Ta'ala comme étant avare, ils l'ont aussi décrit comme étant pauvre et dans le besoin. Certes, Allah a très bien entendu ceux qui ont dit Allah est dans le besoin, quant à nous, nous sommes riches. Pourquoi ils ont dit ça ? Parce que dans le corps, Allah Ta'ala dit Celui qui prête, qui fait un bon prêt à Allah Ta'ala, Allah lui multipliera et il aura une récompense énorme. Alors qu'est-ce qu'ils ont dit les Yahouts ? Ils ont dit Iftaqara Rabbou Muhammadin Faistaqradahum Ils ont dit le seigneur de Mohamed est pauvre, est devenu pauvre, alors il leur demande de lui prêter. Et là il a répondu. Alors qu'au final on s'est éloigné. Vous savez malgré le khuf, malgré la laideur de ces paroles, Et bien, les juifs, malgré ça, ont reconnu à Allah des mains, comme dans le verset, Et dans cette communauté, il y a des gens qui disent qu'Allah n'a pas de mains. Les deux ont décrit Allah Azza wa Jal avec un attribut d'imperfection. Les premiers ont reconnu à Allah ses mains en lui reconnaissant l'avarice et la pauvreté. Les seconds ont reconnu Allah, sa richesse et sa générosité, mais n'ont pas reconnu de lui ses mains. Et en reniant cet attribut qui est celui des mains, soit ils ont considéré Allah comme ne sachant pas s'exprimer, Ou soit comme n'étant pas véridique, parce qu'il dit qu'il a des mains. Ou soit comme étant plus ignorant de lui-même qu'eux. Naaam, Allah il dit j'ai des mains. Eux ils disent Allah il n'a pas des mains. Donc soit Allah il ne sait pas s'exprimer, Ou soit Allah il ment, Ou soit ils sont plus savants que lui sur lui. Et ça c'est important à savoir, très important, ces trois choses là, toute personne qui vient vous dire Allah il n'a pas d'œil, de main, de ci, de ça, comme ce qu'Allah s'attribue lui-même dans le Coran Dites-lui ces trois choses là, ce que tu signifies, non tu dis est-ce que tu crois qu'Allah Ta'ala s'exprime le mieux, emploie les meilleurs mots que ce soit il est obligé de te dire oui, si tu te dis non il est kfour te dire oui Allah dit dans l'expression d'accord, est-ce que tu crois qu'Allah le plus véridique ? Il ne peut te dire que oui si tu dis non et kfour. Troisièmement, est-ce que tu crois qu'Allah se connaît mieux que qui que ce soit ? Il ne peut te dire que oui si tu dis non et kfour. Dis-toi en remettant en question ces vers du Coran, tu remets en question ces trois choses-là. et sans avoir besoin d'énormément de science, n'importe quel interprète ceux qui interprètent les tribus d'Allah Ta'ala se retrouvera devant toi incapable de répondre à la cule hal la Dua on a dit il a une place particulière dans l'adoration donc on a dit la Hadith on a expliqué pourquoi Et là ça revient à ce qu'on a dit tout à l'heure, parce que si Allah te l'a appelé à doa, il l'a appelé à ibadah, regardez. Au début, il dit, invoquez-moi, je vous répondrai. Ici, il parle d'une invocation à la Dua. Après, il dit, ceux qui font preuve d'orgueil. quant à mon adoration, il a remplacé le mot du'a par ibadah ce qui indique que du'a c'est l'ibadah Sayyid Khulna Jahannama rentreront en enfer, ils rentreront en enfer ce qui veut dire à humilier et vil après le Moulay Livre Rahimahullah il reprend Parce qu'ici il a donné le dalil de la dua. J'ai remarqué en français on dit la dua. C'est faux, parce que le mot dua en arabe il est au masculin. Donc on dit le dua, ou bien dit l'invocation, mais pas la dua. Je viens de le dire pour que vous compreniez, pour que vous sachiez. Après il passe au dalil de l'khaouf. Donc il reprend chaque exemple d'adoration qu'il a cité précédemment. Et il donne pour chacun d'entre eux un délire. Il dit, Le peur, qu'on traduit en français par la peur, est une adoration calbille. est une adoration qu'on accomplit avec le coeur et sachez que les adorations se divisent en deux catégories ce qu'on fait avec le coeur et ce qu'on fait avec les membres et ce qu'on fait avec les membres et donc le khawf est une adoration comment est-ce qu'on peut déduire du dalil que c'en est une le fait qu'Allah nous ordonne d'avoir peur de lui Et interdisent qu'on ait peur d'autre que lui. Et Allah Azza wa Jal ordonne ce qu'il aime et agrée. Car son ordre est de deux catégories. L'ordre universel et l'ordre légal, c'est-à-dire religieux. L'ordre universel, c'est un ordre qu'Allah va donner et qui obligatoirement se produira dans la création. Obligatoirement. On ne peut pas le repousser dans cet ordre-là. Et ce n'est pas un ordre que forcément Allah Ta'ala aimera ou agrira, comme la guerre, comme la mécréance, comme la turpitude ou autre. Quant à l'ordre religieux, légal, c'est obligatoirement une chose qu'Allah Ta'ala aime et agrit. Mais contrairement au premier, elle ne va pas forcément se réaliser. Par exemple, Allah Ta'ala, il ordonne aux gens de l'adorer, mais ce n'est pas tout le monde qui l'adore. Donc ici, quand Allah nous ordonne de le craindre, d'avoir peur de lui, et bien il fait référence à cet ordre d'ordre légal. C'est donc ce qui prouve que c'est une adoration, car ça répond à la définition qu'on a donnée tout à l'heure. L'ibadah c'est un nom général qui regroupe tout ce qu'Allah il aime et agrée et Allah il aime et agrée qu'on ait peur de lui. Quand Allah ordonne religieusement c'est obligatoirement qu'il aime et l'agrée. Voilà exactement. Et l'autre ? C'est pas obligatoirement qu'il aime et l'agrée par contre ça va obligatoirement se... se produire n'ayez pas peur d'eux mais ayez peur de moi si vous êtes croyant et là tu vois comment Allah Ta'ala il fait le lien entre la peur et la foi si vous êtes croyant vous devez avoir peur de moi et si vous êtes croyant vous ne devez pas avoir peur d'eux de qui pas quand on dit eux il faut revenir au début du verset il dit Ceci n'est que le shaitan qui vous fait peur par le biais de ses alliés. Qui vous fait peur par le biais de ses alliés. N'ayez pas peur d'eux, mais ayez peur de moi si vous êtes croix. Et de là, il faut comprendre une chose importante. C'est qu'il y a plusieurs catégories de peur. Il y a le fear of the Lord. La peur entre guillemets secrète et c'est celle-ci qui est visée dans ce verset et c'est du shirk et celle de l'association en quoi consiste cette peur là ? elle consiste à avoir peur à avoir peur pardon d'autre qu'Allah Dans une chose que seul Allah peut faire. Elle consiste d'avoir peur d'autre qu'Allah, dans une chose que seul Allah Ta'ala peut faire. C'est ça Khawfu As-Sir, la peur secrète. Et c'est du shirk Akbar wal-Iyadu Billah. Et c'est de la grande association. Allah doit être le seul. dont on doit avoir peur dans les choses que seul lui peut faire. La seconde catégorie de la peur est une peur interdite, mais qui n'est pas du shirk. Khaouf muharram. Et c'est la peur que tu as envers quelqu'un qui t'empêche de faire ce qu'Allah te demande de faire. Taïb, si Allah te redonne une chose et quelqu'un te menace, si jamais tu l'as fait, alors tu la délaisses de peur de cette personne-là, tu auras fait cette peur-là qui est interdite. Pareil dans le cas où il t'interdit une chose et quelqu'un te menace en t'effrayant et en t'ordonnant de la faire. Et bien, cette peur que tu auras envers lui, qui te poussera à accomplir ce qu'Allah t'a interdit, est interdite aussi. Et la troisième catégorie est ce que nous appelons le khawf al-tabi'i, la peur naturelle. C'est-à-dire envers les choses dont Allah Ta'ala a fait qu'effectivement il y a des raisons de les craindre, d'avoir peur d'elles. Comme le feu, ou un lion, ou un oiseau. Un roi ou un gouverneur qui possède une autorité qui est injuste et mauvaise et tyrannique envers les gens et qui a prouvé que les gens avaient raison d'avoir peur de lui. Malakou le hal, toutes les causes naturelles. Dans lesquels l'être humain craint pour lui et dont il a peur, ceci est appelé la peur naturelle, le khawf, le tabi'i. Et l'être humain n'est pas, comment dirais-je, on ne lui fait pas de reproche pour cela. Allah Ta'ala qu'il a déjà Moussa alayhi salam de jeter son bâton. Et que celui-ci s'est transformé en serpent d'après l'ordre d'Allah Azzawajal, Moussa l'a eu, il a eu peur. Il est parti en courant. Allah lui a dit, Moussa, akbil wa la takhaf. Reviens et n'aie pas peur. Est-ce qu'il a fait du shirk ou il a fait quelque chose de haram ? Non. Parce que c'est quelque chose de naturel. Il faut faire attention, généralement il y a beaucoup de gens qui sont touchés par le waswas qui pensent des fois avoir fait du khawfsir alors que ça n'en est pas. Et il est très important de savoir faire la distinction entre ces trois catégories-là pour ne pas être touché par une suggestion satanique qui pousse à l'obsession très souvent et au désespoir. Donc il faut faire très attention à ça. On ne doit pas craindre, avoir peur de qui que ce soit ou quoi que ce soit, comme on aurait peur d'Allah Azzawajal. Notamment dans des choses que seul Allah Ta'ala peut faire. Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, Il dit, est une adoration, kalbiya aussi, une adoration qu'on accomplit avec son coeur. Et cette adoration qui est l'espoir se divise aussi en deux catégories. Un espoir... qui ne doit être voué qu'à Allah subhanahu wa ta'ala c'est à dire dans ce que seul Allah ta'ala peut donner n'espérer d'aller au paradis dans l'au-delà ou d'être préservé d'un mal ou bien d'être guéri dans le cas où on est malade l'espérer chez autre qu'Allah azza wa jal et du shirk Car ce genre de choses-là, seul Allah Ta'ala peut les offrir et concrétiser cet espoir-là. Quand on fait d'espérer quelque chose qui concrètement et réellement est possible et trouvable chez les créatures, il n'y a en cela aucun mal. C'est ma thaline, je sais que toi tu es sur le chemin. Pour venir au cours, et je sais que tu es venu au cours précédemment, j'ai le droit d'espérer que tu assistes au cours. Car c'est des choses qui sont en ton pouvoir, que tu peux faire. Que tu peux, tu peux faire. Ya Rahmukallah. La preuve, Femen kana yarjou liqa arabi. Quiconque, espère la rencontre de son seigneur qu'il accomplisse une action vertueuse et bien entendu ici même si le mot amal est l'eau singulier son caractère indéfini indique la généralité car il est dans un contexte de condition De plus, le complément du verbe est son substantif. Vous auriez vu vos têtes là ? Le sustantif du verbe est le nom qui a son sens, qui a le même sens que le verbe, sans être un verbe pour autant. On l'appelle en arabe, Al-Masdal. D'accord ? Tu me diras, en français c'est un peu complexe, parce que c'est très limité en sustantif. Tu es, oui ? C'est quoi le sustantif ? Je suis en train de l'expliquer. Reste avec moi, tranquille. Tu diras tuer c'est le verbe l'infinitif une tuerie d'accord ? C'est le nom qui indique l'action du verbe. Une tuerie, ça indique quoi ? L'action de tuer. D'accord ? En arabe On appelle ça le masdar. C'est le nom qui a le même sens que le verbe, sauf qu'il n'a aucune indication temporelle. Un verbe, tu le conjugues à un temps, et en fonction de ce temps, tu sais quand est-ce que l'action a eu lieu, au passé, au présent ou au futur. Dans un nom, il n'y a aucune indication temporelle. Si je dis une tuerie, Je ne sais pas si c'est au présent ou au futur. Si je dis, je vais te tuer, c'est dans le futur. Ou bien, je l'ai tué, c'est dans le passé. Ouadah oulala. En français, si tu dis, je vais te tuer d'une tuerie exacerbante, C'est ce qu'on appelle une redondance cyclique. Soit une lourdeur dans la phrase. C'est une répétition si tu veux. Pour les BEP. Je n'ai rien contre les BEP. Mais c'est une répétition le mouhim. C'est lourd. En français ce n'est pas bien. En arabe, appuyer le verbe avec son masdar. C'est un style très utilisé. qui a pour but d'insister sur l'action du verbe. Faliya amal amalan amila, agir, amalan action. J'agis. C'est quoi le substantif du verbe agir ? C'est l'action. Celui qui agit d'une action vertueuse, et des fois dans le Coran on trouve, وَيَعْمَلْ صَالِحًا Sans le master. على كل حال, sa présence a pour but d'insister. C'était sur quoi ? Sur le amal Ça veut dire quoi ? Qu'on ne peut pas espérer en Allah Ou espérer le jour dernier Ou espérer sa rencontre Sans avoir avec cet espoir là Oeuvrer Agir Celui qui espère sans agir Il est fou Et stupide Il est bête Et cupide Merci Il est sot et fétide. On peut continuer si vous voulez. Mais à la cour du rêve, l'espoir il est lié à l'action. Un espoir sans action n'est pas de l'espoir. C'est une tromperie illusoire. Je suis chaud, t'as vu ? Allah dit dans le Coran إِنَّ الَّذِينَ آمَنُوا وَالَّذِينَ هَاجَبُوا Ceux qui croient et qui font la hijra et qui font le jihad pour Allah, ce sont eux qui espèrent la miséricorde d'Allah. Tu veux qu'Allah te fasse miséricorde et tu espères ça ? Eh bien, agis, retrousse tes manches. Retrousse tes manches. Le verset. Après il dit. Donc c'est Ahada. dans l'adoration de son Seigneur. Il a parlé de Raja au départ, il a fini avec Al-Ibada à la fin. Ce qui veut dire que Raja, Mada, Al-Ibada. Que l'espoir fait partie de l'adoration. Ça va ta... Bien ? Ça fait plaisir. Time. Voilà. On passe au Tawakkul, que je n'ai pas voulu traduire tout à l'heure, pour ne pas vous dire confiance, pour que vous n'alliez pas croire que Tawakkul est un pays de la vie. Tawakkala ala ça veut dire avoir confiance en, ça veut pas dire ça. Donc enlevez de votre tête la confiance telle que vous la connaissez en français et n'allez pas croire que Tawakkala ala ça veut dire avoir confiance en. Pourquoi ? Parce que Tawakkala ce n'est que pour Allah Azza wa Jal. Et après il y a des frères qui croient qu'on peut appliquer des règles arabes linguistiques sur des règles françaises linguistiques et vont te faire le reproche de dire, hé j'ai confiance en toi, c'est du shirk là, on n'a que l'âge qu'en Allah. Et cette... énergumène pour ne pas dire autre chose même si mon esprit regorge d'adjectifs qualificatifs qui néanmoins pourraient leur déplaire on n'applique pas les mêmes règles sur des mots différents notamment quand ce sont deux langues différentes Tawakkala en arabe ça implique deux choses ça implique deux choses Le premier, Tafwidu l'amri ila Allahi jalla wa ala Fawwada yufawwidu ça veut dire sans remettre à Allah Azza wa Jalla Complètement. Fawwada c'est sans remettre à Tu me diras en français c'est un synonyme de faire confiance. Ce n'est pas ma faute si cette langue est, malgré sa richesse, la plus pauvre des langues riches. Non, la plus riche, pardon, des langues pauvres. Voilà. La plus pauvre des langues... Bon, bref, ma vie. La plus riche des langues pauvres, voilà. Vous avez vu, il y a un test psychologique qu'ils font sur les gens pour tester ce qu'on appelle tafouet. C'est, tu te mets derrière toi et je dis laisse-toi tomber. Et tu t'attrapes. Et toi, si tu as une pleine confiance en moi, tu te laisses tomber. Si tu flippes, tu te retournes. Ou bien tu vas te laisser tomber et au dernier moment tu vas te redresser. Ça ou là-bas, ça veut dire sans remettre. Sans remettre. Allah azzawajal d'autres salamandis disent nous avons un autre terme qui est qui veut dire se reposer sur ça vient du verbe qui vient de lui même de qui veut dire la colonne le pilier comme quand Allah dit dans le Coran les piliers, les colonnes c'est me reposer sur toi D'accord ? M'appuyer sur toi, m'en remettre à toi. D'accord ? C'est ça le sens de Fawadah wa A'tamada. Ata wa al-awwal. Wa al-thani, là aussi les ulama ils divergent, ils disent Fi alul asbab. Enfin c'est une divergence verbale, bien entendu. C'est faire les causes. S'en remettre à Allah, Et faire les causes. Il y en a qui vont plus profondément encore dans la définition en disant, faire les causes sans les considérer. C'est-à-dire sans considérer que ces causes-là vont avoir un poids dans la réalisation de ce que j'entreprends. Mais en même temps, je ne peux pas les mettre de côté. Exemple. Ils ont préféré des frères et des sœurs. Ici ou ailleurs. Le mariage. Donc ils veulent se marier. Et ils vont donc faire les causes pour se marier. Et ils te disent tous. Je me repose sur Allah. Je m'en remets à Allah. Et pour les causes. Mais très souvent, et là c'est là que tu vois que chez beaucoup d'entre nous, on n'a pas compris le principe du tabak koul. Parce que soit on trouve un extrême qui font confiance en faire les causes, soit on trouve un autre extrême qui font les causes et prétendent s'en remettre à Allah, mais ils ne s'en remettent plus sur les causes. C'est pour ça que nous avons des raisons. Et ces causes-là, c'est Allah Ta'ala qui décide si, oui ou non, elles vont être productives. Tu fais les causes. On vient te voir, on te dit, fulana, min khayrati l'akhawat. Un tel parmi les soeurs, c'est une des meilleures. Alors tu fais les causes. Toi tu fais, ça va t'être si khara, tu mets ton camis du vendredi. Du gel, quand t'as des cheveux, après la râle pour les autres. A la cule et à l'âle. T'arrives sur place, on dirait que tu vas passer un casting. Pas un entretien, non, au-dessus du casting. Tu arrives et tu sais tu prépares ta voix, t'as pas la même voix que David Chaud Même tes phrases elles sont plus soutenues, elles sont... On dirait que t'as lu du Balzac juste avant d'arriver Et là... Donc t'es là comme ça Ça se passe bien, parce que les Moukabala 2013, enfin depuis 2000 c'est comme ça, petit café, des gâteaux, tout va bien. Même si c'est loin de ce que les Salafis faisaient, mais Khair Inch'Allah, ce n'est pas la seule chose dans laquelle les Salafis d'aujourd'hui ne font pas ce que les Salafs. d'avant faisait. Ça, c'est une page dans une encyclopédie. Après que la Moukabala soit finie et que Cupidon ait tiré sa flèche, il te dit Ahi, j'ai fait une Moukabala. Masha'Allah. Bid'nillah ta'ala, c'est bon. Tu es l'y crois, c'est bon. Trois semaines plus tard, Quand la sœur, elle lui fait le coup du... Non mais Harry, je ne le sens pas, tu vois. Un chat là, tu trouveras meilleur que moi. Ah, on voit les frères ici, ils ont connu ça. Elle lui fait le coup du... Non mais j'ai fait un rêve. Oula, je n'ai pas fait de rêve. Ah là là, si on pouvait offrir un dalle sans l'hystère. J'ai fait un rêve bizarre. Il y a un chat, il mangeait des chips à la bolognaise. Il m'a dit, fais attention, il est parti. J'ai interprété que ça voulait dire, fais attention, tu vois. Oula, je n'ai pas fait de rêve. fait de rêve ou sinon ce qui paraît bon bref il mouhib et lui il se brise en morceaux comme dans les dessins animés tu vois et il est triste il est dégoûté si le suicide était halal il serait pendu ou là il aurait sauté dans un pont je sais pas et quand tu lui dis Akhi Adarallah Allah il a écrit que c'est ainsi elle ne t'était pas destinée comme dans le hadith d'Ibn Abbas c'est un des Si toute la communauté se réunissait pour te faire un bien, il n'y arriverait que si Allah l'a écrit. S'ils se réunissaient tous pour te faire un mal, il n'y arriverait que si Allah l'a écrit. On fait A'tilak Lé moi j'ai fait Assohuf Mais ça, c'est en théorie ça. C'est facile en théorie. Dans la pratique, c'est autre chose. C'est autre chose. Ala kouli hal Et c'est là que tu vois. Ouais mais j'ai fait les esbebes. Ouais mais Allah, il n'a pas voulu que tu fasses ce que c'est. Les esbebes, ils marchent. Ouais mais j'ai eu confiance en Allah. Ouais, t'as raison. T'as eu confiance en Allah. t'as plus qu'au revoir avant qu'au revoir c'est jusqu'au bout même quand ce que tu voulais tu l'as pas eu et c'est là que ta akida t'aide dans ta vie de tous les jours la akida mes frères mes soeurs ce n'est pas qu'un livre avec des mots dedans C'est une action, une mise en pratique tous les jours. Ta'aqidah tu l'as fait vivre. Tous les jours. Abdullah ibn Mubarak rahimahullah il disait Al-tawakul avant c'était une action. Aujourd'hui c'est devenu une science. En gros si vous voulez avec les mots d'aujourd'hui, avant c'était une pratique. Aujourd'hui c'est de la théorie. Et c'est vrai, c'est une réalité ça. Juste pour les gens qui ont des mariages difficiles, réfléchissez un peu comme vous lisez le Coran, et vous vous rendrez compte que la surah dans laquelle le Tawakkul est le plus mentionné, c'est la surah du divorce. Surah du Talaq. Les gens aujourd'hui, ouais mais arrêtez de divorcer mes enfants, quand c'est un homme. et quand c'est une femme, enfin avant, aujourd'hui c'est fini ça si je divorce, je vis comment ? elle vit mieux que toi maintenant quand elle divorce la femme donc c'est pour ça qu'elle dit quoi ? divorce, divorce, je m'en fous, elle n'a pas de problème enfin bref, c'est ce qu'elle croit à la cour du réel à la cour du réel Regarde dans le Coran et tu te rendras compte que cette surat malgré sa taille, qui ne fait que deux pages, mentionne At-Tawakkul presque à tous les versets. Presque. C'est pas anodin, c'est pas pour rien. Mais aujourd'hui, Hadith voilà, Haradji. At-Tawakkul, si tu te dis que l'éthique est à Dieu, c'est de se reposer sincèrement. réellement sur Allah Azzawajal et faire les causes et pas regarder les causes oublie les causes tu fais les causes oui mais te dis pas que c'est parce que tu as fait les causes que ça va marcher ne te dis pas ça oublie les causes ne te retourne pas sur les causes tu construis une maison Tu payes le charpentier, tu payes l'agriculteur, l'architecte, tu payes le maçon, tu payes toutes les personnes qui vont participer à la construction de cette maison-là. Et tu fais tout. Et toi t'es là tous les jours et tu contrôles la construction. Le jour où ils posent la dernière pierre, tremblement de terre, ta maison part. T'as fait les causes. T'as eu le conseil d'un bras, c'est un gel. Et bien continue. Ne va pas croire comme beaucoup de gens croient que la confiance en Allah elle s'arrête lorsque la chose que tu voulais, tu l'as eu. Là, elle a l'erreur. La confiance elle est continue, avant, pendant et après, quels que soient les résultats. C'est ça la vraie confiance en Allah Azza wa Jal. Quant à celui qui se repose sur Allah Subhanahu Wa Ta'ala, qui fait les causes, mais que lorsque les choses ne lui conviennent pas, à l'arrivée, change de discours, c'est ce qui est en train de se faire. Et faites attention au hasbem, l'extrême de celui qui ne fait pas les causes. Et à l'extrême de celui qui se repose plus sur les causes que sur Allah Azzawajal Et qui oublie que c'est Allah qui donne des résultats à ses causes Celui qui conçoit ces choses là Qui les comprend bien Bidnillah il a un bon tabakol Wal aksu bil aksi Et j'allais dire vice versa aussi Et vice versa Maintenant Pour revenir à le tawakkul, le moallif rahimahoullah il donne des délits, il donne deux versets. On remarque que dans toutes les adorations que le moallif rahimahoullah il prouve par le courant, la seule qu'il prouve avec deux versets c'est le tawakkul et le doa qui est en tête de liste avec d'autres versets. Et le fait que le Mouallif, rahima Allah, ait choisi d'augmenter en preuve certaines adorations, leur indique leur importance par rapport aux autres. Premier dalil, قَوْلُهُ تَعَالَى وَعَلَى اللَّهِ فَتَوَكَّلُوا إِنْ كُنْتُمْ مُؤْمِنِينَ Et en Allah, et sur Allah, reposez-vous. Si vous êtes croyant. Donc là on dirait la même chose que pour le Khawf. La liaison qu'Allah a faite entre le Tawakkul et l'Iman. Et l'Iman. Ce qui signifie que celui qui s'en remet à autre qu'Allah Azzawajal. Se repose sur autre qu'Allah Azzawajal. On va faire du shirk, bien entendu dans les choses que seul Allah peut faire. Alors quand tu as celui qui dit Je me repose sur Allah, ensuite sur toi, en considérant que tu fais partie des causes. qui vont avec le Teraq. Cette formule-là, est-ce qu'elle est bonne ou pas ? En arabe, on parle. En arabe. La majorité des ulama ne la tolèrent pas. Car, dans le verset entre autres qu'on a ici, on a une inversion de la place. des parties de la phrase à la loi qui commence la phrase voilà la vie de vrai devrait devenir normalement enfin de phrase paris fatah wakar ou à la loi ici à la ville de la rwanda il faut être calme il a inversé la place des parties de la phrase et on a dit que cette inversement il est pas anodin il est pas pour rien il ya un intérêt derrière cet intérêt seul à se c'est ciblé l'action sur le sujet et exclure tout le reste. Ce qui signifie que vous ne vous en remettrez que sur Allah, si vous êtes croyant. Si vous êtes croyant, vous n'aurez pas à vous reposer sur autre qu'Allah. Ou à vous en remettre à autre qu'Allah, si vraiment vous êtes croyant. En fonction du degré de force qu'il y a dans ce repos et cette remise, quand tu te remets à Allah et quand tu te reposes sur Allah, eh bien, sache que ça indiquera le degré de ta foi. Plus tu t'en remets à Allah, plus tu te remets à Allah. remettras à Allah, plus tu te reposeras sur lui, plus ta foi sera grande et forte. Et l'inverse aussi, il est réel. Moins tu t'en remettras à Allah, moins tu te reposeras sur lui et moins ta foi sera... Soit forte Donc c'est une adoration du coeur et des mots C'est une adoration du coeur à la base Mais cette adoration du coeur Comme elle vient avec l'accomplissement des causes Elle est suivie par les actes Mais ces actes là c'est pas une adoration En eux-mêmes Faire les causes en soi-même C'est pas une adoration Mais c'est par le biais de l'accomplissement des causes Qu'on réalise Celui qui dit sans remettre à Allah Et ne fait pas les causes C'est un menteur Ce n'est pas un motawakil Comme on a dit, quelqu'un qui veut se marier, veut des enfants Et il reste chez lui, et il attend Mais des fois Allah Ta'ala En fonction Du haut degré de la foi De la personne Lui donne ce qu'il demande sans faire les causes Ce n'est pas pareil pour tout le monde Le meilleur exemple dans le Coran c'est Marianne Quand Allah nous informe Que son oncle Zakaria Alayhi Salam S'est chargé de s'occuper d'elle Il nous raconte Allah Ta'ala qui dit chaque fois que Zachariah est rentré dans son lieu de prière à Mariam il trouvait auprès d'elle une subsistance une nourriture alors il lui demandait d'où vient cette nourriture aux Mariam Elle lui répondait, ça provient d'Allah. C'est Allah qui donne à qui il veut sans compter. Khoubaib ibn Adi, radiallahu anhu, après qu'il ait été emprisonné par Quraish il était dans une sorte de cellule et il y a une femme qui raconte qu'elle était chargée de lui ramener à boire et à manger elle a dit je suis rentré dans la pièce où Khobayb se trouvait je l'ai trouvé en train de manger du raisin avec les carcans les menottes, si on veut, aux poignets et aux chevilles à une période de l'année où il n'y avait pas une grappe de raisin à la mecque. Tout ça vient. Le karamet, ça c'est... C'est un autre... Stade. Ce mot verset que le moellif est rapporté, si je veux dire, on a parlé sur le talaq tout à l'heure. C'est-à-dire celui qui s'en remet à Allah et qui se repose sur Allah, il lui suffit. Il lui suffit. Et le mot hasiba peut vouloir dire il est éteint Et d'où le mot de Dieu, J'ai donné des rembourses de ton Seigneur en comptant c'est suffisant. Wa minhu qawlu ta'ala hasbuna Allah wa ni'mal wakil Hasbuna Allah, Allah kafina, Allah nous suffit Wa ni'mal wakil, et quelle merveilleuse garantie Wa qawlu Allah ta'ala alayhissallahu bikafin abda Allah, ne suffit-il pas son serviteur ? Allah, Allah, Allahou Akbar Alayhissallahu bikafin abda Donc ici, c'est-à-dire quoi ? Il n'a besoin de rien d'autre. Celui qui s'en remet à Allah, celui qui se repose sur Allah, il n'a besoin de rien d'autre. Celui qui s'en remet sur Allah, Allah Ta'ala ne l'abandonnera pas. Il ne le laissera pas. Il ne le gâchera pas. Quand Azar et son peuple ont mis Ibrahim dans la catapulte, après avoir allumé ce brasier, et qu'ils jetèrent Ibrahim, pendant sa chute, Jibril vient voir Ibrahim. Il lui dit, veux-tu que je t'aide ? As-tu besoin de moi ? Il lui dit. Il dit, quant à toi, non. Amma Allah, oui. Il a dit, hasbi Allah wa ni'mal wakil. Et Allah est là en rétribution de cette preuve de sincérité. L'absolu dans un moment terrible, il a ordonné au feu de devenir froid. C'est là que tu vois que la foi, comme ils disent, fait des miracles. Mais vu que notre foi, comme ils disent en bon français, aura des pâquerettes, il ne faut pas se donner pourquoi on ne voit pas de miracles tous les jours. A la cule les hâles, Ibn Abbas a dit Hasbunallah wa ni'amal wakil Ibrahim il l'a dit quand ils ont jeté dans le feu et le prophète et ses compagnons l'ont dit à un moment où ils étaient le plus comment dirais-je menacés par leurs ennemis après la bataille de Uhud Vous savez les arabes, ils avaient comme habitude avant l'islam, après une bataille, de séjourner sur le lieu de bataille 3 jours. Les vainqueurs, bien entendu, les vaincus, ils partaient. Après la bataille de Uhud, les Quraïsh sont partis tout de suite. Et Abou Soufiane, en chemin, il a dit pourquoi on a failli à notre habitude ? Et là, les musulmans qui ont essuyé une défaite sont dans une situation qui pour nous est avantageuse. Alors si on y retournait pour leur mettre le coup final ? Alors, Abou Souven, il a été voir les différents notables qui l'accompagnaient, et a essayé de les convaincre d'y retourner. Mais après une bataille aussi rude, ils étaient fatigués, ils ne voulaient pas y retourner, et ils avaient peur que le temps qu'ils ont mis à partir, pendant ce temps, le prophète... et les sahabas ont trouvé des alliés et un refuge et qu'ils renverseraient la donne. Alors ils ont refusé d'accompagner un Boussouviens à nouveau. Mais Boussouviens a préféré jouer sur... comment dire, l'intimidation. Il est retourné là-bas. Et il a essayé de leur faire peur. Il leur a dit, comme Allah reprend dans le Coran, Les gens se sont réunis contre vous. Craignez-les ! En gros arrêtez parce que là vous venez de perdre et là il y en a plein qui se sont réunis encore pour vous finir. Ayez peur d'eux. Alors leur réaction fut totalement inverse et opposée à celle qu'ils espéraient. Leur foi a augmenté. Et qu'est-ce qu'ils disent ? Allah nous suffit et qu'il y a de merveilleuses garanties. C'est là, c'est dans le moment le plus difficile, lorsque tu es dépourvu de toute aide, de toute force, de tout moyen, c'est dans ce moment là que ta conscience en Allah Azza wa Jal, elle a le plus de valeur. Quand à ta place d'autres auraient tout abandonné, tu vois, à ce moment-là, la seule chose qui te reste, c'est Allah Azza wa Jalla. Alors tu dois t'y accrocher. Eh bien tu vois, celui qui est dépourvu de toute aide, de tout moyen, de toute défense, de toute solidarité, S'il ne reste qu'une seule chose, il ne va pas s'y agripper, s'y cramponner de toutes ses forces. Comme quand l'autre a dit, alayhi salam, dans surat Hud, lorsque les gens de son peuple ont su qu'il avait des invités chez lui, ils lui ont dit, donne-les-nous. Il a dit, ce sont mes invités, ne m'invilissiez pas, ne me mettez pas devant mes invités. Alayhi salam, il y a-t-il pas parmi vous quelqu'un de raisonnable ? Ils ont insisté. Il a dit quoi ? Il a dit, alors, un n'a-t-il... Si seulement j'avais contre vous une force, ou si seulement je pouvais me réfugier auprès d'un allié solide, fort, quand tu n'as plus rien. Et bien, tu vois, celui-là, dans ce moment-là, comment il s'accroche à ce qui lui reste, et bien toi, en tant que croyant, tu dois t'accrocher à Allah Azza wa Jal de la même façon, même si autour de toi tu as tout. Même si autour de toi tu as tout. Et comme disaient les ulemas, ça c'est des images magnifiques, ils disent que l'homme sur un bateau, au milieu de la mer, pendant une tempête, avec des vagues de dizaines de mètres, qui joue avec cette barque, comme un enfant qui joue avec une bille, il n'a pas plus besoin d'Allah que toi, sur la terre ferme, avec aucun ennemi autour de toi, il n'y a aucune peur. Vous avez tous les deux autant besoin d'Allah l'un que l'autre. Et bien c'est pareil pour le Tawakkou. Au milieu du genre de bataille, plus aucun allié, tous tes ennemis, ton seul entre guillemets moyen c'est ton épée. Tu veux la lâcher ton épée ? Tu ne peux pas la lâcher. Et bien lui, et toi dans ta maison, sur ton canapé, devant tout ce que tu veux, tu n'as pas moins besoin d'Allah que lui. Mais ces choses-là, ce genre de choses, le croyant doit les vivre tous les jours, partout. Il faut qu'il fasse en sorte que tout ce qu'il y a autour de lui, lui rappelle ça. S'il n'y pense pas, il y a un manque, il y a un défaut dans son esprit. coeur c'est à dire dans sa foi. Celui qui s'en remet à Allah il lui suffit. Il te suffit c'est à dire quoi ? T'as plus besoin de rien d'autre, rien. Yassine, va falla d'Allah d'un mec. Donc ensuite le mot Alif, Rahimahullah, est passé à Al-Rahba, Wal-Rahba, Wal-Khushu'Les mots Rahba et Rahba sont assez difficiles à traduire en français Rahiba fi, ça veut dire Avoir de l'engouement, c'est-à-dire vouloir faire une chose avec ardeur. Et Ar-Rahba, donc en gros si vous voulez Ar-Rahba, c'est une sorte de dérivé de l'espoir. C'est faire une chose en pensant à la récompense. D'accord ? Al-Rahba, c'est son opposé. C'est faire une chose en pensant à la punition. Ou plutôt délaisser une chose, pardon, en étant motivé par la peur de la punition. Et Al-Rahba, c'est faire une chose en étant motivé par l'envie d'être récompensé. A peu près. Ce qu'on peut donner comme définition pour ces deux termes là Wa dalilu ar-raqba Donc ra-ri-ba-fi Ca veut dire avoir envie de faire Wa ra-ri-ba-an Ca veut dire ne pas avoir envie de faire C'est le même verbe Mais en fonction de la préposition qu'il accompagnera On aura un sens complètement différent Ouah, le Rahba, on l'a dit, c'est avoir peur. Avoir peur. Et c'est cette peur qui te motive à délaisser ce qu'Allah n'aime pas. Et dans le Rahba, c'est avoir envie. Et c'est cette envie qui te motive à faire ce qu'Allah il aime. Vous avez compris la différence ? En français, ils traduisent ça par quoi ? Concentration ? Recueillement ? Je pense, que le mot le plus approprié pour Al-Khushu'c'est le rabaissement. Pourquoi ? Parce que, linguistiquement parlant, le mot khushu'signifie se rabaisser Allah dit dans le Qur'an, وَمِنْ آيَاتِهِ أَنَّكَ تَرَى الْأَرْضَ خَاشِعَةً Et Allah dit, subhanah, خَاشِعَةً أَبْصَارُهُمْ تَرْهَقُهُمْ ذِلَّهِ Leur yeux sont recueillis, sont concentrés, là, ils sont rabaissés. Regarde vers le bas. Regarde en bas. Et ça revient au verset où Allah nous dit que les gens de l'enfer, les gens de jatimans seront humiliés, rabaissés. Vous dites, Vous dites, Donc le khushu' signifie se rabaisser. Et ça ne signifie pas ce... Se concentrer ou bien se recueillir. Même si, encore à la limite, le recueil, le fait de se recueillir, pardon, c'est pas loin. Se recueillir. Mais se recueillir c'est un des fruits du rabaissement. C'est en se rabaissant qu'on se recueille. Et non le contraire. Allah dit dans le Coran Certes ont gagné les croyants ceux qui dans leur prière sont rabaisés, humiliés N'avons-nous pas dit que plus dans l'adoration on ressent l'humiliation, plus celle-ci elle a de la valeur auprès d'Allah Azzawajal ? Et quel est l'endroit dans la prière qui a le plus cette marque d'humiliation, si ce n'est la prosternation ? Et c'est pour cela qu'à travers la prosternation, le serviteur se rapproche le plus de son Seigneur. Le moment où le serviteur est le plus proche de son Seigneur, c'est quand il est en prosternation. Le kanadien khoshu'c'est le rabaissement. Et de là les petits malins en français qui me disent, oui mais comment tu traduis alors ? C'est quand tu as dit, oui mais comment tu traduis alors ? parce que tawa d'or en français ils ont traduit ça grossièrement par la modestie mais pareil tawa d'a'a ça veut dire se rabaisser aussi d'ailleurs regarde le contraste tawa d'a'a rafa'a tawa d'a'a celui qui se rabaisse pour allah allah il l'élève quant à celui qui est modeste Envers Allah, c'est de quoi être modeste envers Allah ? Donc dans ce genre de cas-là, je serais plus tolérant envers l'emploi du même terme, de par la proximité du sens entre les deux en arabe, que de choisir des mots différents qui nous font penser à autre chose. Moi en tant que francophone, tu me dis khoshoua ça veut dire se concentrer, et tawa ba'a ça veut dire être modeste, je vais les comprendre comme un français comprend ces deux mots-là. Alors qu'en arabe ça n'a rien à voir. En arabe ça n'a rien à voir. C'est pour cela que dans certains cas, de peur de donner à l'interlocuteur un sens mauvais, garde-le en arabe et explique-le en français. Tu n'es pas obligé de lui chercher un équivalent absolument pour chaque mot. Donc, le délire de la crainte, la crainte et le respect, c'est le Seigneur qui dit Ils étaient en train de s'éloigner des bonnes choses, et ils nous ont appelés à la crainte et à la crainte, et ils nous ont éloignés Tout le monde a rempli la feuille, c'est bon ? Vous l'avez pas vu ? D'accord. Il suffit de faire ça, il fait référence. A Zakaria, son épouse et leur fils Yahya. Aleyhima Assalam. Suratul Anbiya. Voilà. Comme un Zaharjib. Où Allah Ta'ala parle des prophètes et de leur proximité vers Allah Azza wa Jal. Et du besoin qu'ils ont d'Allah Subhanahu Wa Ta'ala. Et de la façon dont ils l'ont exprimé. A Zakaria. Et Zacharie lorsqu'il appela son seigneur, il lui dit oh mon seigneur ne me laisse pas seul et tu es le meilleur des héritiers. dans quel sens il ne me laisse pas seul parce qu'il avait atteint un âge avancé et sa femme était stérile et il n'avait aucun héritage nous lui répondîmes alors et nous lui offrîmes et nous lui améliorâmes son épouse et là Allah il dit enfin on finit son travail sont le verset et le damir ici le pronom il se concurrençait il se devançait ça veut dire devancer les autres devancez-vous envers le pardon de votre Seigneur ils ont été rapides dans les bonnes choses Soit ça fait référence à Zachariah, à son épouse Yahya, ce qui est la base. Soit ça fait référence à tous les prophètes qui ont été cités précédemment dans la surah. Ça commence à Moussa et à... Haroun, après Ibrahim, après Noh, après Daoud et Sulaiman, après Ismail et l'Akhir. Eux tous se devançaient dans le bien, dans les biens, dans toutes les façons de faire le bien. Je te veux faire un bien, il faut que je sois meilleur que lui, tu me fais un bien, il faut que je... Et c'est une concurrence constante et régulière dans le bien. sous toutes ses formes sous toutes ses formes et il nous invoquait tout comme ça peut vouloir dire aussi comme on l'a vu de nombreuses fois il nous adorait Ils nous adoraient avec engouement et crainte, c'est-à-dire qu'ils étaient motivés dans notre adoration par la récompense. Leur obéissance envers nous était motivée par leur envie de notre satisfaction, de notre récompense. Et leur délaissement de ce qu'on a interdit était motivé par leur peur. Notre colère et notre châtiment. Raghaban wa rahaban. Et ça c'est la meilleure des ibades. Et c'est celle qui réunit les deux piliers de l'ihsan. Alta'abudallahaka annaka tara rahbatan. Wa fa'ilam takuntara hu fa'innahu yarak rahbatan. Que tu adores Allah comme si tu le voyais. avec engouement si tu le vois tu vas tout faire pour le satisfaire et quand tu ne le vois pas mais tu sais qu'il te voit tu ne peux pas qu'il ne te voit là ou il ne veut pas te voir Rahbat et ils étaient rabaissés envers nous humilier ils se sont mis au plus bas envers nous Allah, le Monde, est le délire de la crainte. Il dit, Ne craignez pas, ne craignez pas, ne craignez pas. La crainte, il traduit cela en français par la crainte. Alors je demande à mes chers frères francophones, quelle est la différence entre la crainte et la peur, en français ? Pas en français ça. C'est comme ça en français aussi ? Si on va vers Montesquieu et Jean-Baptiste Poclin qui emploient crainte, est-ce qu'ils vont employer crainte dans ce sens-là ? Moi, je ne suis pas en train d'affirmer. Moi, je leur ai plutôt dit le contraire. Il y a une nuance. Il y a une nuance dans la crainte, mais est-ce que c'est dû à la science comme c'est le cas chez les arabes ? Je ne sais pas. Je ne sais pas. Et le petit savoir de cette langue me lead à ne pas trouver les deux mots différents. Ma piètre et limitée science et connaissance de cette langue, qui est encore plus piètre d'ailleurs, me pousse à ne pas voir de différence entre les deux termes. Quoi qu'il en soit, on traduit cela en français par la crainte. Et les arabes, tout comme on avait vu précédemment que l'amour a des noms différents en fonction du moteur et en fonction de l'intensité de cet amour-là, la peur aussi. aussi a un nom différent en fonction de son origine. Lorsque l'origine de la peur est l'ignorance, on l'appelle Khawf. Lorsque l'origine de la peur est la science, on l'appelle Khashia. Lorsque l'origine de la peur est le respect, on l'appelle Hayba. A la kouli hal. Ici, Al-Khashiyya, on a dit c'est craindre avec science. Je sais comment est la personne ou la chose, j'ai donc raison d'avoir peur d'elle. Cette peur, elle est générée par cette connaissance de la chose. Par contre, t'es dans la forêt, à 3h du matin, tout à fait normal, et t'entends des bruits. C'est moi la scène déjà. On sait jamais, imagine. Bon bref, t'entends des bruits. Tu sais pas, c'est quoi, ça peut être un petit lapin qui mange une carotte, un écureuil qui mange une cuillère. Une noisette ou un loup qui s'apprête à te sauter dessus, tu sais pas ? Et ton coeur il parle à la chamade et t'as peur, mais tu ne sais pas pourquoi, ça se dit Khawf. Mais si tu sais que dans une savane il y a un lion, et ce lion c'est le lion. Et que tu sais qu'en passant par là, tu vas tomber sur lui, là, cette peur que tu auras c'est Al-Khashia. Et Allah Ta'ala donc il nous ordonne de le craindre, Bel Khashia, comme il nous a ordonné d'avoir peur de lui. Il a dit Subhanallah, فَلَا تَخْشَوْهُمْ وَخْشَوْنِي Ne les craignez pas mais craignez-moi. Traduction relativement approchée. Ce qui signifie, comme on vient de dire, que la crainte avait comme origine la science. Tu ne peux pas craindre Allah si tu ne le connais pas. Ibn Taymiyyah il dit, Rahimahullah, Man kana billahi a'raf, kana minhu a'khwaf. Celui qui connaît beaucoup Allah, il aura plus peur de lui. Et Allah dans le Coran il dit Certes ne craint Allah parmi ses serviteurs que les savants. Le craigne, je voulais dire craigne mais je me suis fait avoir. D'accord ? Donc... C'est basé sur la science et si Allah il t'ordonne de le craindre, c'est qu'en même temps il t'ordonne de le connaître. Vu que tu ne peux pas le craindre si tu ne le connais pas. Et Allah il t'appelle, il t'enjoint. A ce que tu le connaisses. Lorsqu'il te dit. Et à Allah appartient les noms les plus beaux. Invoquez donc. Invoquez le donc avec. A vous. invoquer le donc avec comment est-ce que tu peux invoquer Allah Ta'ala avec des noms sans les connaître premièrement et deuxièmement sans connaître leur sens parce que la sagesse ordonne à ce que tu emploies les noms appropriés avec ta demande tu ne vas pas dire ya dhal jalali wal ikram in taqim minal kufar Ça ne va pas ensemble. Oh toi qui es le détenteur de la générosité et de la majestuosité, venge-toi des mécréants. Non, c'est incohérent, c'est incompatible. Ou bien il y a un rafour, ouctoul. Allah ya al-a'da, shada, ya rahim, non. Et des fois t'as des imams, notamment dans Al-Qulut pendant Tarawih, qui tiennent tellement à ce que leur invocation elle rime, qu'ils s'en fichent de ce qu'ils disent comme le nom. Ça va avec, ça va pas avec, c'est pas grave. Et c'est une erreur. Et comment tu fais pour savoir, si le nom avec lequel tu vas invoquer Allah, correspond à la nature de ta demande sans connaître le sens de ce nom-là. Donc tu ne peux pas passer à côté. Tu ne peux pas passer à côté. Et celui qui invoque Allah Ta'ala avec ses noms et qui, en plus de cela, choisit les meilleurs noms en fonction de sa demande, فَحَرِيُّنْ أَنْ يُسْتَجَابَلَ Il est très probable qu'on lui réponde. Il est très probable qu'on lui réponde. Al-inaba veut dire en arabe revenir. Anaba yunibu, aïe, raja'a. Il y a trois verbes en arabe qui ont ce sens-là, taba, waaba, waanaba. Ça veut dire revenir. Al-inaba, C'est si vous voulez un synonyme de At-Tawbah, qui veut dire aussi revenir vers Allah subhanahu wa ta'ala. Et quand on dit revenir vers Allah subhanahu wa ta'ala, c'est-à-dire après avoir fauté, après avoir péché, de revenir vers Allah humilié. Et plein de regrets. plein de regrets en espérant qu'ils acceptent notre repentir. Et le délire, c'est ce qu'il dit, et c'est ce qu'il dit à votre Dieu et à votre esprit. Regardez, cette subtile nuance, quand on dit revenir vers Allah, ça veut dire qu'à la base on était là, avec Allah, et qu'on est parti. Comment est-ce qu'on est parti ? En lui désobéissant. Et qu'est-ce qu'on comprend à partir de là ? Quand on se désobéit sur Allah, on s'éloigne de lui. Et que si on ne revient pas vers lui, on ne fait que creuser l'écart entre nous et lui. Et que si on espère se rapprocher de lui et revenir auprès de lui, on n'a pas d'autre solution que de montrer qu'on a besoin de lui. Et qu'on ne peut pas réussir sans lui. Qu'on ne peut rien faire sans lui. Tu vois dans ce genre de terme assez banal, il y a des fois des sens profonds. Et comme Allah dit dans le Coran, وَتِلْكَ الْأَمْثَالُ نَضْرِبُهَا لِلنَّاسِ وَمَا يَعْقِلُهَا إِلَّا الْعَالِمُونَ Voici les exemples qu'on donne aux gens, mais ils ne réfléchissent que les savants. Mais seulement les savants, ils réfléchissent. Il ne faut pas comprendre forcément que c'est le savant qui a 4000 livres dans la tête. Celui qui est conscient de son degré, de sa valeur, de ses péchés, de la distance qui le sépare d'Allah subhanahu wa ta'ala. Quand Allah dit reviens, il dit subhanallah, si je dois revenir. c'est que je suis parti et qu'est-ce qui a fait que je suis parti si ce n'est mes péchés il y a un homme un jour il est rentré dans une mosquée un bédouin il a entendu lui-même lire sur la tête il a dit et il est bloqué la surenchère vous a distrait jusqu'à ce que vous visitiez les tombes entendu le verbe Zahra c'est ça qui l'a fait buguer il a dit wallah il a dit par Allah le visiteur il s'installe pas ici Allah il a employé le verbe Zahra ya zurr ça veut dire visiter et le visiteur il passe il pue pas il reste pas Lui de ce mot là, il a déduit un sens profond que la tombe ce n'est pas la destination finale mais ce n'est qu'une étape dans le voyage. Parce que tu la visites et après tu pars ailleurs. Et là il a dit, wallahi mazzahiru bimouki. La profondeur du sens dans le mot C'est pour ça qu'Allah il appelle au Tadab Bur Et le Tadab Bur vient du Dubur qui veut dire derrière Ca veut dire quoi ? Chercher ce qu'il y a derrière le mot Ne pas se contenter seulement de ce qu'il y a en surface. Enfile ton scaphandre, prends les bouteilles d'oxygène et plonge. Et ne reste pas en surface. Je rappelle avec les brassards et la bouteille. Et la ceinture, pardon. Et revenez vers votre Seigneur et soumettez-vous à Lui. Et revenez vers votre Seigneur et soumettez-vous à Lui. Ça m'énerve de passer comme ça sur des versets aussi profonds que ceux-là, mais malheureusement, on n'a pas le temps. À moins que vous ayez rien à faire à ce projet, moi j'ai rien à faire. Ah franchement... Je vous l'offre. Il n'y a pas un euro à rajouter. De toute façon, me connaissant, même malgré les efforts que je peux fournir, à cause de ma... ça se dit bavardise, ça se dit pas... Bon bref, à cause de mes bavardages, exactement, j'ai du mal à croire qu'on arriverait à finir vendredi soir. Mais là, on se mettra d'accord, on n'inquiète pas. Au CEP, on n'est jamais déçus. Enfin, j'espère ne pas vous décevoir, entre autres. On a dit revenez vers Allah Azzawajal et ce n'est que vers Allah Subhanahu Wa Ta'ala qu'on peut revenir. Et là toujours on garde en tête la définition qu'on a donné tout à l'heure de l'adoration, comme quoi c'est tout ce qu'Allah il aime et agrée. Et chaque fois qu'Allah il aime et agrée une chose, ça rentre dans l'adoration. Et toutes ces choses là qui sont présentes dans ces versets, Allah Ta'ala il les aime et il les agrée et il les ordonne. Ce qui prouve qu'elles font partie de l'adoration. On a dit tout à l'heure que quiconque attribue... Partie où l'adoration entière a autre qu'Allah azzur, il a fait du shirk al-iyyadu billah Wa anibu ila rabbikum, revenez vers votre seigneur, repentez-vous à lui, montrez-lui votre regret, montrez-lui votre amertume, montrez-lui que vous voulez revenir auprès de lui, après avoir goûté A l'amertume de la solitude Parce que même si t'es autour des gens Si Allah n'est pas avec toi Tu te sentiras seul Et même si t'es tout seul Et qu'Allah est avec toi Tu ne ressentiras jamais la solitude Il connaissait pas d'autre endroit Que la mosquée chez lui Mosquée maison, maison mosquée Et les gens un jour lui ont dit Ya Abdullah Tu te sens pas seul Comment est-ce que je pourrais me sentir seul Alors que j'ai le Coran avec moi Et j'ai la soulna du prophète avec moi C'est comme si j'avais Allah, les anges, le prophète Et les sahabas avec moi Pourquoi je me sentirais seul Vous savez rien vous C'est pour ça que les gens aujourd'hui vivent dans des sociétés, dans des mégalopoles, des villes où il y a des millions de personnes et tu le retrouves, il s'est pendu dans sa chambre, tout seul. Tu vois dehors, tu te crois lui, c'est le gars, il aggrave des amis, il sort, il va ici, il va là, il rigole à gorge déployée. Et voici que quelques temps plus tard, on entend qu'il s'est suicidé en se pendant. Et s'ils s'en sont rendus, il a dit, et le délire de l'apprentissage est le fait que nous vous servons et vous nous apportons. Et dans le hadith, si vous apportez, apportez à Allah. Il a le délire. La preuve de l'isti'ana. L'isti'ana, c'est-à-dire demander l'aide. Ça vient de l'aoun. Comment dit-on ? Je t'aide. Ça veut dire aider. Demander l'aide. Demander l'aide. Et la preuve ? que l'isti'ana fait partie des adorations le verset de Allah Ta'ala dit Iyaka c'est le complément ici et Na'budu c'est le verbe et le complément techniquement il vient après le verbe ici l'ordre a été inversé et on a expliqué pourquoi on a inversé l'ordre Ce n'est pour cibler l'information sur le sujet et exclure tout le reste. Ça veut dire qu'on adore qu'Allah aza wajah. Ce n'est que toi qu'on adore. Et ce n'est que de toi qu'on implore l'aide. veut dire que si je demande l'aide à autre qu'Allah, j'ai fait du shirk. Ça dépend de la nature de celui à qui on demande cette aide-là. S'il est vivant, présent, et capable de m'apporter cette aide-là, c'est permis. S'il moque un de ces trois éléments, c'est l'association. Si je demande l'aide à quelqu'un d'absent, Qu'est-ce qui m'a poussé à lui demander de l'aide si ce n'est une conviction qu'il peut m'apporter une aide malgré son absence ? Chose qui est interdite. Si je demande à quelqu'un de mort, qu'est-ce qui m'a poussé à demander au mort son aide si ce n'est en pensant qu'il peut faire quelque chose pour moi ? Ce qui est interdit. Et si je demande à quelqu'un de présent et de vivant mais incapable de m'aider ? Dans une chose que seul Allah peut m'apporter. C'est interdit. Et là, ce n'est pas seulement interdit, je sais que l'association, moi, je l'ai, je l'ai. Mais par contre, si cette créature à laquelle on demande de l'aide est vivante, présente et capable, alors il n'y a pas de mal à demander son aide. Et dans le hadith, le hadith d'Ibn Abbas, Quand tu dis Zasta'anta Zasta'anta Zasta'in billah Lorsque tu demandes de l'aide, demande-la à Allah subhanahu wa ta'ala. Et vous savez, il y a beaucoup de sahabas qui ont prêté allégeance au prophète sallallahu alayhi wa sallam. et se sont engagés à remplir certaines fonctions présentes dans le pacte d'allégeance. Parmi elles, Allah yassalou l'irailillahi shay'a. de ne rien demander à autre qu'Allah subhanahu wa ta'ala. Il disait qu'Abu Dharr, qui était sur sa monture, sur laquelle se trouvaient toutes ses affaires, faisait tomber une affaire par terre. Il y avait plein de gens qui partaient et qui revenaient. Et il ne demandait pas que Qajb passait le truc qui est tombé. Non. Il descendait de sa monture avec tout ce que ça impliquait comme difficulté de devoir prendre les affaires avec lui, descendre avec lui. lui, les poser par terre, prendre le truc qui descend qui est tombé, le remettre avec lui, remonter avec tout et demander rien à personne il y a beaucoup de salafs qui ont été jusqu'à jusqu'au bout de cette de cela ce qui indique la perfection du tawhid chez eux, même si ce n'est pas interdit comme on va le prouver de demander, tu veux même faire, j'ai fait ma soupe, tu veux même me donner le stylo ? il n'y a pas de problème, il est à côté de moi, il est capable de le faire il est vivant, il peut le faire, pas d'échelle mais chez eux, demander à autre qu'Allah Azza wa Jal même dans ce que les autres peuvent accomplir c'était comme si Et il s'humiliait envers autre qu'Allah. Et comme cette humiliation, il ne voulait la garder, la conserver que pour Allah. Alors il refusait de la donner à qui que ce soit d'autre. Il refusait de la donner à qui que ce soit d'autre. Il astain ta, fa astain billah. Lorsque tu demandes l'aide de qui que ce soit, demande celle d'Allah Azza. C'est pour ça qu'il me dit qu'il n'était pas bon de demander aux autres de faire du A'a pour eux. Moi, j'ai des savants, ils voient qu'on est dans pas mal. On a l'habitude de faire ça. Après, je fais du A'a pour moi. On ne peut pas en faire du A'a. Il me dit que c'est Kamal ou le Tawahid. Allah tassala shay'an illa lillah. La complétude de l'unicité du Tawheed, c'est de ne rien demander à autre qu'Allah. Même ça, tu fais de la Dua pour moi ? Je ne te demande pas, tu ne me demandes pas, laisse-moi tranquille. passer par toi alors que je peux passer par Allah directement. Et c'est qu'il y a quelqu'un qui me dit, mais le hadith de Omar où il a dit, qu'on lui répondra hadith taïf. D'ailleurs c'est ce n'est pas un hadith authentique qu'il n'est pas permis d'argumenter avec. L'isti'ada, talabul a'udh, c'est se réfugier d'une chose dont on craint le mal, se réfugier d'une chose dont on craint le mal, qui s'oppose à l'a'udh, qui est se réfugier auprès de quelqu'un dont on espère le bien. Je suis une être qui change. Ici, isti'ada, c'est demander le refuge contre quelque chose dont on craint le mal. Donc on dit isti'ada min, toujours. c'est-à-dire deux saints ils cherchent refuge contre le mal de saints et cela aussi est une adoration qui doit être faite envers Allah subhanahu wa ta'ala qui sont les deux premiers versets de surat al-falak c'est l'aube naissante le Faleq al-Isbah Wa ja'ala al-layla sakanam wa al-shamsa wa al-qamara husbana Al-Falaq c'est donc l'aube naissante. C'est comme si ce trait de lumière qui apparaît à l'horizon fendait les ténèbres de la nuit. Dit Je cherche refuge auprès du Seigneur de l'aube naissante. Et si Allah a choisi de qualifier sa Seigneurie par cette aube naissante, ce n'est pas en vain. Et celui qui réfléchit, en lisant le reste des versets, verra le lien qu'il y a entre cela. Et quand il verra ces quatre choses contre lesquelles on cherche le refuge auprès du Seigneur de l'aube naissante, il trouvera des choses Des choses qui sont faites dans le noir, des choses qui sont faites dans l'obscurité, des choses qui sont faites dans l'obscurité. Caché et loin des yeux des gens. C'est pas pour rien. Donc dit, je cherche refuge auprès du Seigneur des gens. On l'a déjà dit, on a expliqué le nas. Quand on a expliqué le verset, Yaiyuhannas, Bouddha Rabbakoum. Merci pour ceux qui suivent. Donc il y a ce qui est à ça. C'est une adoration. Et on dira pour Al-Istia'a, ce qu'on a dit pour Al-Istia'a, c'est la même chose. Que je ne peux chercher refuge qu'auprès d'Allah subhanahu wa ta'ala, dans ce que seul Allah ta'ala peut accorder comme refuge. Quant au fait de se chercher refuge auprès d'autre qu'Allah azza wa jal, c'est toléré avec les mêmes conditions qu'on a vues auprès d'Allah. La vie, la présence et la capacité. Allah, la rahimahou Allah, wadalilu l'istiratha, l'istiratha talabul ghaoush. L'ghaoush, c'est traduit en français par le secours, demander le secours. Al-Mohyib c'est autre sujet supérieur qu'Al-Istiyan. C'est comme si on demandait l'aide, mais dans l'urgence. Dans l'urgence. Demandez l'aide à quelque chose ou à quelqu'un. Dans un contexte où il n'y a pas d'urgence. Quand Al-Ghawth, c'est dans l'urgence. C'est dans l'urgence. C'est pour ça que c'est un degré, on va dire, supérieur de l'Istiaan. Oui. Lorsque vous imploriez le secours de votre Seigneur. Et quand on revient au contexte de la révélation du verset, il s'agit de la bataille de Badr. If you ask your Lord, He will answer you, that I have given you a thousand of your angels, and I will give you a thousand of your angels. I will give you a thousand of your angels. Et si ils ont demandé l'aide d'Allah Ta'ala dans l'urgence, c'est quoi l'urgence ? Ils sont venus pour attaquer une caravane, ils se retrouvent face à trois fois plus d'ennemis qu'eux. Trois cents et quelques, mille et quelques. Donc ce qui, chez l'être humain, généralement... un pouce à l'autre des sports à se dire c'est fichu dans ces cas-là que ce que le taux de la plus éduquée une situation difficile et plus leur demande envers l'arrivée des grandes elle est forte on est pas seul ici à la liste des races Parce que c'est une situation urgente. Ils sont sur le point d'attaquer. Pourquoi tu as dit quoi à toi-même à ce moment-là ? Tu as dit, Allah, il ne t'ouvre pas comme cette prison, tu ne t'ouvriras pas sur l'homme. dit Allah, si ce groupe là ils sont perdus, ils sont exterminés tu ne seras plus adoré sur terre c'est quelque chose quand même de grave d'où l'importance de la demande Abou Bakr il disait, tellement invoquait Allah que son lidah, sa cape elle est tombée par terre tellement il levait il levait les mains tu vois là l'intensité et Allah en reprenant ce verbe là il nous fait comprendre à quel point c'était une situation périodique et à quel point la vie que la le secours il était grandiose dans une telle chose une telle situation parce que quand tu arrives à ton secours lorsque deux armées on va dire un effectif équivalent se font face on est content à la ville et là mais ça n'aura pas le même impact que lorsque l'effectif des croyants il est le tiers de celui des des ennemis dans une situation comme celle ci parce qu'il faut pas oublier non plus c'était des gens qui étaient à pied qu'elle avait une bête une monture pour deux pour pour 3, pour 4, ou bien qu'ils n'étaient pas forcément aussi armés que les autres, vu qu'ils n'étaient pas venus pour combattre à la base. Et devant eux, ils ont des gens avec des chevaux, avec des lances, avec des boucliers, des cuirasses, des épées. Donc il y a plein de paramètres à prendre en compte qui ne font qu'augmenter justement cette chose-là. Il vous a répondu. Il dit, et le délire du tabou, il dit, Verset 162 et 163 de surat al an'am al dhabh marouf ils disent taskinu harakati al mazbouh ça consiste à immobiliser les mouvements de la bête comment ? en lui tranchant en lui tranchant la veine jugulaire la horte ça Le visage en arabe, ou le visage... A la toute façon... La horte, c'est la veine qui donne le sang dans le cœur. La carotide, la trachée. On fait un cours d'anatomie ou quoi ? La trachée. C'est dans le cœur, la horte. C'est la croix de veine qui distribue dans le cœur. D'accord. Chacun veut donner son avis ? Bon, tranquille. Alors, à l'éloigné, on tranche la tranchée ou la trachée ? La trachée. La tranchée. c'est dans le sol. Et donc, à part ce biais-là, la bête s'immobilise et ne peut plus bouger. qui est aussi une adoration sacrifier la bête mais ce n'est pas une adoration de façon absolue c'est une adoration lorsque soit c'est suite à un ordre soit c'est pour se rapprocher d'Allah mais lorsque c'est dans le but de se nourrir ou de faire du commerce ce n'est pas une adoration Comme dans le verset Allah Ta'ala dit Et là nous ce qui fait référence au sacrifice Comme les savants du tafsir l'ont précisé et ma vie et ma mort envers le Seigneur des mondes nous l'associer à lui dans toutes ces choses là donc ma vie pour Allah et à personne d'autre ma mort pour Allah et à personne d'autre mes adorations pour Allah et à personne d'autre et mes sacrifices pour Allah et à personne d'autre et c'est dans cela que j'ai reçu l'ordre et je suis le premier des soumis le premier à me soumettre à cet ordre là qu'Allah maudisse celui qui sacrifie alors Et la malédiction en arabe c'est le fait d'être repoussé, d'être éloigné, d'être chassé de la miséricorde d'Allah subhanahu wa ta'ala. Ouadalilou nadr En français il traduit le soir par le vœu Mais j'aime pas cette traduction Parce que quand tu regardes, tu mets dans ta tête le vœu, tu penses à quelqu'un qui fait un vœu Et ce n'est pas le vœu dans le sens qui te vient à l'esprit toi en tant que français C'est plutôt une sorte de promesse. C'est une sorte de promesse. Mais comme ce n'est pas une promesse obligatoire, on va la préciser en la qualifiant comme étant une promesse pieuse. Une promesse pieuse de faire une chose ou de la délaisser. de faire une chose ou de la délaisser. Pourquoi pire ? C'est parce qu'on promet à Allah ici, subhanahu wa ta'ala. Ya Allah, je te promets que je vais nourrir des pauvres pendant un mois tous les jours. Ya Allah, je te promets que je ne mangerai plus de viande. Donc lui, il va s'imposer, par le biais de cette promesse-là, une obligation ou une interdiction qu'Allah ne lui a pas imposée. ça c'est lorsque le nadir il n'est pas mouallaq il n'est pas lié à autre chose lorsqu'il est mouallaq c'est comme si tu faisais un troc ma femme elle est enceinte, elle est un peu malade ya Allah si je te promets que si tu me donnes un enfant en bonne santé et que ma femme elle sort aussi en bonne santé de cet accouchement là que je jeûnerai pendant deux mois ou bien ma salam tu fais une mouqaba là Avec un patron pour un travail ce que Mouqaba ça veut dire entretien ça veut pas dire forcément mariage Ya Allah si jamais tu me donnes le travail je te promets que je ferai une umrah comme si je faisais un troc et à partir de là les savants ils ont considéré Al Nadr comme étant maqroh détestable lorsque celui-ci est moallaq il est lié à à un échange d'un tueur Je te donne, je te donne. Comme si Allah avait besoin que tu fasses ça pour te donner ce que tu lui demandes. Comme si. Ou bien comme si pour pousser Allah, ou bien pour faire qu'Allah te réponde plus vite, tu lui donnes en échange ça. Mais j'ai rien. Moi, il n'y a rien. Quand on a de la base, est-ce que c'est une adoration ou non, il y a un grand khilaf ? Est-ce que c'est maqure ou non, il y a un grand khilaf ? Allah dit dans le Coran, Il dit dans le Coran, Et ils craignent un jour dont le mal est terrible. Dont le mal est terrible. Jour du jugement. Et j'en ai l'occasion d'en parler plus lors du prochain cours. Bid'nillahi ta'ala. Je ne sais pas si les femmes ont des questions. Je ne sais pas si elles ont laissé une feuille ou pas. Pour les hommes, si ça ne vous dérange pas, on va y répondre après la prière. Inch'Allah. Ta'al. Déjà j'avais une question aussi par rapport à la mosquée de Paris, je n'ai pas eu le temps de la dernière fois de la voir. poser ma question à la mosquée de Paris, à la place Rouge. Il y a une tombe derrière le jardin de la mosquée. Les prières faites dans la salle de prière, ce n'est pas loin, sont valides ou non. J'ai été là-bas avec Cheikh Rassioullah, enfin, devant. On n'est pas rentrés. Après, il voulait lui faire visiter. Quand on lui a dit qu'il y avait une tombe, il n'a pas voulu rentrer. Il a même voulu rentrer dedans. Donc, le mieux qu'on puisse dire, c'est d'éviter d'y prier. Vu la présence de la tombe dans cette mosquée, les savants font une distinction lorsque la tombe est dans la Qibla ou bien derrière les gens qui prient. L'interdiction dit Ne prie pas vers la tombe. Si la tombe est derrière, techniquement, on n'est pas concerné par la tombe. cela. Mais le mieux est d'éviter par précaution, on ne sait jamais. Pouvez-vous expliquer avec un exemple pour comprendre dans quelle situation on aurait peur de quelqu'un à cause d'une chose que seul Allah peut faire ? L'amour est clair. Par exemple, un groupe que vous connaissez de Sophie au Maroc, qui s'appelle Al-Adl ou Al-Ihsan, ils ont ce rafleur envers leur chikh, Abdel Salam Yassin. Par exemple, toi tu es en France, lui il est au Maroc. Il dit quoi ? Abdel Salam Yassin il fait neige. Il a fait ça. Il dit chut chut, arrête. C'est comme s'il t'entendait. Quand tu as peur de répercussion, C'est ça, c'est une chose qui existe. A Sofia, ils ont une peur envers leur chouïour, leur gourou, telle que celle qu'on a envers Allah Azza wa Jal. Toi quand t'es dans un trou et que tu parles, tu sais qu'Allah, il n'y a qu'Allah qui t'entend. Tu sais qu'Allah il t'entend même si t'es dans le trou. ou le plus profond de la terre. Et bien eux ont cette même conviction vers ces personnes-là et ils les craignent comme ils craignent Allah. Donc c'est là le principe de le craindre comme on craint Allah dans les choses que seul Allah Ta'ala peut faire. C'est ça, Khaoufou. C'est ça, Khaoufou.