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Discours sur la patience et la foi

Alhamdoulilah, Rabbil Alameen Wassalatu wassalamu ala ashrafil mursalin wa ala alihi wa ashabihi ajma'in wa ba'd Mes très chers frères et soeurs, nous sommes aujourd'hui le 28ème jour du mois de Shawwal 1434, c'est-à-dire le 4ème jour du mois de septembre 2013 On se retrouve pour notre... cours portant sur l'explication des trois fondements et on s'est arrêté lors du dernier cours à la parole du mohalif Rahimahoullah quatrième des quatre domaines qu'il est obligatoire de connaître pour chaque croyant et croyante C'est la patience. Et on s'était arrêté donc après avoir défini la patience et après avoir donné les catégories dans lesquelles celle-ci rentrait. Ensuite le Mouallif, il prouve le jugement de ces quatre domaines, ces massahid, à travers la surah. T'inquiète, je vais t'aider. T'inquiète. À travers la surah, la surah Al-Asr, surah Al-Asr, la surah du temps. En disant au-delà de l'église, le Seigneur dit, En nom de Dieu le Précieux, le Précieux et le Précieux, l'homme est en perte, mais ceux qui ont vécu et qui ont fait les bonnes choses, ont été en paix et ont été en paix. Donc, cette surah a cloué les quatre questions. dont le moallif a parlé, rahimahullah. Premièrement, elle commence par un serment. Le serment, on le reconnaît en arabe de deux façons. Premièrement, le nom qui servira à jurer, sera précédé soit par le waouh, soit par le ba, soit par le ta. On dit wallahi, billahi, tallahi. On appelle ça le horof al-qasam. Et la seconde. Des choses qui nous permettent de reconnaître le serment, c'est la présence de la kasra. Le nom qui sert à jurer, il est majrur, il prend la kasra. Il y a d'autres moyens aussi de jurer en arabe, mais on se contentera de ces trois-là qui sont les plus communs. Ici Allah Ta'ala il jure par Al-Asr. Al-Asr c'est le temps. Et il y a beaucoup de règles à connaître en rapport avec le serment lorsqu'Allah Ta Baraka Wa Ta'ala jure. Premièrement, Allah Ta'ala Sadiqun Min Ghayri Qasim. Allah subhanahu wa ta'ala ne dit que la vérité sans avoir besoin de jurer. Car nous, entre êtres humains, on se sert du serment pour appuyer, pour convaincre la personne qui est avec nous qu'on dit la vérité. Allah azza wa jal ne ment pas. Il ne dit que la vérité et il est le plus véridique. Allah subhanahu wa ta'ala dit que celui qui est le plus véridique est celui qui est le plus véridique. Qui est le plus véridique qu'Allah en parole. Mais Allah a révélé le Coran en langue arabe. Et il ne s'est pas contenté seulement de prendre la langue arabe, c'est-à-dire les lettres et les mots des arabes, mais il a aussi pris le style expressif des arabes. Comment les arabes s'exprimaient à l'époque. Et les arabes, dans leur style expressif, se servaient beaucoup du qasam, du serment. Même s'il disait la vérité. Et parmi donc les autres intérêts qu'il y a dans l'utilisation du serment, le fait d'attirer l'attention de l'interlocuteur sur l'importance de ce qui va suivre le serment. Wallahi. Alors celui qui est devant toi, qui te croit sans que tu aies besoin de jurer, il s'est dit, alors là si lui il jure, c'est qu'il va me dire quelque chose d'important. Et là on voit l'erreur dans laquelle nous tombons tous quasiment. c'est l'utilisation du serment à tout va juré pour un oui pour un non à un point où lorsqu'on met notre pas La parole en doute et qu'on jure, jurer n'est plus suffisant pour convaincre les gens. Al-Shafi'i, rahimallah, il a dit, j'ai pas juré sur Allah pendant 30 ans que ce soit pour jurer la vérité ou pour mentir. Il jurait pas. Dans le hadith de Anas, le prophète nous parle de ces gens qui viendront par la suite et par des premiers qui sont les meilleurs des musulmans dans les trois premiers siècles et après il y aura des gens qui jureront sans qu'on leur demande qui jureront sans qu'on leur demande et c'est comme ça que aujourd'hui jurer malheureusement n'a plus trop d'impact pour convaincre les gens parce qu'on jure pour un oui pour un non c'est comme quand tu vas dans certains pays pour pas les citer tu demandes à un passant tu dis wallahi madri Excuse-moi, quelle heure il est ? Je dis je vois pas, je sais pas pourquoi je me dis je vois pas. On a dit soit c'est pour convaincre la personne qui douterait de ta véracité ou pour indiquer que ce qui va suivre le serment est important. Et là c'est ni l'un ni l'autre. Donc ça ne compte plus. Aujourd'hui, pire que ça encore, c'est qu'on a délaissé le fait de jurer sur Allah pour jurer sur autre que lui. Tu remarques aujourd'hui les gens qui ne sont pas très investis dans leur pratique religieuse. religieuse, il jure sur Allah pour un oui pour un, mais quand il veut jurer sur quelque chose d'important, il te dit les yeux de ma mère la tête de ma petite soeur les doigts de pied de mon voisin j'en passe et d'autres et c'est là que tu vois la gravité de la chose et il y a ça Et c'est grave, pourquoi ? Parce que jurer sur un truc Allah azzawajal c'est du shirk, comme on va le voir tout de suite. Et la deuxième des choses, c'est lorsqu'il jure par Allah pour des choses graves. Pas des choses graves dans le sens que c'est important comme on l'a dit précédemment, des choses graves dont on devrait avoir honte. Mesdames et messieurs, il dit, Wallahi j'ai fait ça, et il cite un péché qu'il a fait. Ou bien il dit, sur le Coran, la Mecque. Attends, la dernière version, la mecque de Dieu. Parce qu'il y a la mecque de Dieu et la mecque de je ne sais pas qui, je ne sais pas jusqu'où ils iront dans leur façon de jurer. Mais il est comme ça, Mazdaban, il a vendu du shit, à un certain prix, et on ne le croit pas. Il dit, la mecque, je l'ai vendu 100 euros. Ou bien il a réussi à séduire une fille, pour ne pas dire autre chose, et on ne le croit pas. Il dit, là mec, je lui ai fait ci, je lui ai fait ça. Oh de billah ! Tu mets dans ta phrase, là mec, ou bien le Coran, ou bien Allah, pour justifier ton péché ou l'aïe, et il est chahad. Ibn al-Qayyim, rahimahullah, il dit, فَرَحُكَ بِالذَّنْبِ أَشَدُّ عِنْدَ اللَّهِ مِنَ الذَّنْبِ نَفْسِهِ Il dit, être heureux d'accomplir un péché, être heureux, éprouver de la joie quand tu as accompli un péché, c'est pire encore que le péché lui-même auprès d'Allah. Auprès d'Allah, c'est pire encore que d'éprouver le péché lui-même. même sens, et regretté de ne pas avoir pu faire le péché. est pire auprès d'Allah que le péché lui-même ces gens-là on les met où ? on a dit Allah subhanahu wa ta'ala il jure et ça ne doit pas nous faire croire qu'on doit remettre en doute sa parole c'est celui qui dit le plus la vérité sans avoir besoin de jurer si il jure on a dit qui me répète pourquoi il jure ? en levant la main parce qu'il a repris l'expression Il a repris le style expressif des arabes et ? Pour attirer le sou, c'est-à-dire ? Pour indiquer, pour affirmer, pour informer que ce qui ne vient pas être important est digne, qu'on soit attentif. Il jure par le temps. Deuxième règle en rapport avec le serment. C'est que ce sur quoi Allah il jure a toujours un rapport avec ce pourquoi Allah il jure. Allah n'est pas juré sur le ciel pour rien. Si tu regardes bien, il y a toujours un rapport entre ce sur quoi Allah il jure et ce pourquoi Allah il jure. On va arriver là, mais je vous donne un exemple pour que vous compreniez bien ici. Allah dit dans le Coran Allah subhanahu wa ta'ala dit dans le sens des versets Je jure par la place des étoiles dans le ciel donc ici Allah joue par les étoiles après il nous dit et certes c'est un serment grandiose c'est un quran un quran généreux qui donne beaucoup donc il joue sur les étoiles pour le quran Et donc toi tu dois réfléchir, c'est quoi le rapport entre les étoiles et le Coran. Dans le Coran, Allah Ta'ala il décrit les étoiles de trois façons. Il nous dit qu'il a fait des étoiles, il a fait des étoiles, moi je vous explique, la première demi-heure je suis tolérant, la seconde demi-heure je suis intolérant. Pour les retards. Après, vous les hommes, vous êtes pénalisés par rapport aux femmes. Vu que je suis là avec vous. Elles viennent comme elles veulent et personne ne leur parle. Pareil, vous, vous avez besoin de demander la permission pour sortir et elles n'ont pas besoin. Et ce n'est pas juste. Et le ciel et la terre, ils ont tenu droit par la justice. Donc si moi je vis un homme parce qu'il est arrivé en retard, j'aurais fait du tort à cet homme-là parce que les femmes, on ne sait pas s'il est arrivé en retard ou pas. Et si on voulait être juste, on demanderait... aux femmes de nous donner la feuille d'appel, on va dire à 8h30, avec l'heure d'arrivée. Et on laisse à chacune le soin d'être honnête. Et Allah Ta'ala, il connaît les menteurs. Et à ce moment là on pourra dire La prochaine session Elles ne viennent pas pour punition Mais si on fait ça On va passer le temps à des policiers plutôt qu'à des professeurs Et on a dit que Donc il faut rester zèle Et voilà Donc on a dit Allah il a décrit les étoiles dans le Coran De trois façons D'ailleurs je répète entre parenthèses aussi parce qu'on parle des femmes On répète ce qu'on a dit la dernière fois Qu'à partir de maintenant Les toilettes des hommes sont celles qui sont à côté Et c'est ça Et celles des femmes sont celles qui sont de l'autre côté. Ça, ça évitera toute rencontre infortuite. J'allais dire autre chose, mais je préfère me taire. Dans tous les cas, Allah décrit les étoiles dans le Coran de trois façons. Il dit... Ça vient, ça vient. Il dit On a mis dans le ciel des bourrouges, ce sont des constellations, des étoiles, des groupes d'étoiles qui forment une forme. Et on l'a embelli, c'est-à-dire on a embelli le ciel avec les étoiles. Allah dit que les étoiles sont aussi un moyen de se retrouver. Et par le biais des étoiles, ils se guident. Et enfin, Allah a fait des étoiles en moyen de punir, de pourchasser les démons qui tenteraient de vous tuer. voler les informations qui se trouvent entre les anges. Allah il lui envoie un bolide. Trois caractéristiques. Premièrement, elle sert à embellir le ciel. Deuxièmement, elle sert à guider les gens qui sont perdus. Troisièmement, elle sert à protéger le ciel. Et bien quand on regarde le Coran, en lui se retrouvent ces trois caractéristiques-là. Celui qui apprend le Coran, il se retrouve. le trou dans sa poitrine. Et celui qui a le Coran dans sa poitrine, il est embelli par le Coran. Allah, il élève par ce livre-là des gens. Il en abaisse d'autres avec aussi. Et donc, celui qui a le Coran en lui, il est embelli par le Coran. Il ne peut pas garder dans son cœur le Coran et autre chose avec lequel il est incompatible. Donc, il est embelli par le Coran. Deuxièmement, le Coran, on y trouve ce qui permet de suivre le droit chemin. Allah dit dans le Coran, Ce Coran, il guide vers le chemin qui n'est plus droit. Et le Coran, il protège. Et chacun d'entre nous qui lisons nos surates, soit avant de dormir ou après chaque prière, Ou bien pour ceux qui ont des enfants, il a akhiri, c'est le pouvoir protecteur du Coran. Donc là on voit la relation qu'il y a entre ce sur quoi Allah il jure et ce pourquoi Allah il jure. Et dans le Coran, chaque fois que tu trouves un verset où Allah il jure, c'est la même chose. وَالضُّحَىٰ وَاللَّيْلِ إِذَا سَجَىٰ مَا وَاتَّعَكَ رَبُّكَ وَمَا قَلَىٰ à la fin du temps on aurait pu se développer mais c'est le fait à la fin du temps quand tu vois ce sur quoi Allah est jure et ce pour quoi Allah est jure il y a toujours un lien ici Allah est jure par le temps le temps c'est à dire le moment dans lequel tu existes du début de ta création jusqu'à ta mort c'est ça le temps ce temps c'est ce moment dans lequel il y a les moments qu'Allah il aime le plus il y a le nombre de mois auprès d'Allah est de 12 le jour où il crée les cieux et la terre il y a parmi eux 4 qui sont sacrés vous n'allez pas vous faire du tort à vous même durant ces mois ci on comprend que ces mois sacrés ne sont pas comme les autres il y a le mois de ramadan qui n'est pas un mois comme les autres il y a le mois de muharam qui n'est pas un mois comme les autres il y a le mois de dhu l'hijjah qui n'est pas un mois comme les autres comme quand allah il joue dans le coran sur les dix nuits c'est à dire les dix nuits de dhu l'hijjah les dix premières nuits de dhu l'hijjah dans lequel on retrouvera très bientôt il y a dans le temps Des moments en particulier Dans lesquels on se rapproche d'Allah La plus Dans lesquels la récompense C'est les multipliés tout comme le péché aussi Les multipliés Il y a un merveilleux livre qui a été écrit à ce sujet Qui s'appelle Dans lequel justement Il a pris tous les moments particuliers de l'année Et il a évoqué tous les textes qui sont en relation avec Et il fait au plaisir Et il est magnifique ce livre là Je vous invite à le lire Si vous pouvez le lire Il explique en français pour ceux qui vous ont vu en français, mais ça doit vous motiver pour apprendre l'arabais et vous délecter d'une telle lecture on a dit Al-Asr c'est le moment dans lequel l'être humain il est sur terre, et pourquoi il est sur terre ? pour adorer Allah Azza wa Jal on adore Allah, il se rapproche de lui donc tout ça, ça indique que le temps a une valeur inestimable tout ça, ça indique que le temps ne doit pas filer entre nos doigts comme il y a des arabes Il disait, le temps il est comme l'épée, si tu ne le coupes pas, c'est lui qui te coupe. Et les chaféis, ils disaient, Il disait, Il fait référence aux gens qui ne sont jamais contents par rapport au temps. Le temps passe trop vite, le temps passe trop doucement, j'aurais voulu faire ça, je n'ai pas pu le faire. Aujourd'hui, j'ai fait ça, je n'aurais pas voulu le faire. Il pleut, je voulais qu'il fasse beau. Il fait beau, je voulais qu'il pleuve. Il n'a rien. Jamais il n'est pas content. Il dit, nous critiquons le temps. Alors que le défaut, il est en nous. Et le temps n'a pas de défaut autre que nous. Et nous attaquons le temps sans qu'il n'ait fait quelque chose pour le mériter. Alors que si lui pouvait parler, il aurait le droit de nous. critiquer, de nous attaquer. Donc, le temps, il a une valeur inestimable. Et celui qui perd son temps, il a tout perdu. Celui qui perd son temps, il a tout perdu. La preuve, c'est quoi le verset qui vient après ? La vie L'être humain, l'humanité, comment on va l'expliquer ? Elle est vouée à sa perte. Elle est dans la perdition. Elle a perdu. Ibn Qaymi dit, il va à tout le temps acheter sur le neuf. Il disait perdre son temps C'est pire pour l'homme que de mourir Pourquoi ? Parce que perdre son temps Perdre son temps Ça te coupe D'Allah et de la demeure dernière Alors que mourir Ça te coupe de quoi ? C'est quoi le pire ? C'est perdre son temps. C'est pour ça qu'Allah Ta'ala jure sur le temps. De par sa valeur inestimable et après Allah nous dit... La vie russre, l'être humain, il est voué à la traduction. Au-dessus de l'être humain, le plus juste, d'un point de vue de traduction, ce serait de dire l'humanité. Pourquoi l'humanité ? Parce que El Insen, le El qui précède le nom Insen, Il indique ce qu'on appelle istirraq ul jins ça veut dire qu'il englobe toute la nature toute la nature et la nature de l'être humain c'est l'humanité et comment on peut savoir si le el dans la phrase dit que cela, on peut le remplacer par le mot Koulou. Si tu remplaces elle par Koulou et le sens y reste le même, ça veut dire que elle, dans la phrase, il englobe tout la nature. D'accord ? C'est comme si tu disais elle insiste. Comme quand Allah dit dans le Coran En fait c'est toutes les louanges Et tu peux remplacer Toutes les louanges Ici Tous les êtres humains L'humanité Pour englober tous les membres De cette généralité là Tous sans exception Le Le grand, le petit, le riche, le pauvre, le noble, celui qui ne l'est pas. Ils sont voués à perdre. Et on va rester dans l'expression arabe. On a dit que le qasam, le fait de jurer, sert en plus d'attirer l'attention, en plus d'indiquer que ce qui sert est important. Il sert aussi à convaincre l'interlocuteur. Et d'ailleurs ici, il y a trois types de mu'akkid. Le mu'akkid, c'est le confirmant, ce qui va confirmer, appuyer l'information. Il y a le qasem, le serment. Il y a inna, on ne sait pas si c'est un ta'qid ou un ta'qid. C'est un adverbe qui sert à appuyer l'information. Et il y a le lam, juste avant le fi. La fi, qu'on appelle lamul muzah laqa. On appelle aussi lamul muzah lafah. Bref, à la colléale, ce lame-là, il a pour but aussi d'appuyer la formation. Et là, je vais vous expliquer, chez les arabes, dans quel cas on emploie ces confirmants. Mazalem, Salim qui est devant vous. moi. Il me connaît, je le connais. Il me fait confiance, je lui fais confiance. Il me demande quand est-ce que Tariq arrive. Je dis que Tariq, il arrive dans 10 minutes. Comme il me fait confiance, il n'a pas besoin d'éléments qui vont... servir à appuyer l'information puisqu'il me croit. Il me dit, quand arrivera Tariq ? Tariq, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, il m'a dit, Alors pour balayer ce doute là comme il reste malgré tout petit Je vais rajouter Inna Je rajouterai le premier K Je rajoute Inna Vous voyez dans le premier K Quand il me croit pas besoin de D'appuyer Deuxième K il y a un doute Pour le convaincre et faire disparaître ce doute là Je mets Inna Je mets Inna, voilà c'est bon En fait le doute là c'est pas qui remet ma parole en cause C'est qu'il se demande si j'ai bien estimé la distance. Il a un doute plus par rapport à l'information que par rapport à l'informateur. Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire. Donc voilà. Donc ici en mettant le inna, je le rassure en lui disant que je suis sûr de ce que j'avance. Alors l'akhlas, il n'a plus de doute envers moi. Troisième cas, Yassine. Qui ? À qui il me demande quand Tarek, il arrive. Je lui dis Tarek, mon koubel. Il me dit là. Il me dit non. Mais son nom, il n'est pas catégorique. C'est un nom faible. Non, non, non. Non, non. Je commence un nom. Et là, je rajoute un deuxième mot. Plus. Comme dans le verset. Vous me suivez ? Troisième cas. Ibrahim il me demande quand il arrive il arrive dans des minutes il me dit il ne sait pas il me dit il n'arrivera pas à ce moment là que tu racontes toi lui c'est un mot en béton alors lui mon dernier moyen de le Convaincre, c'est quoi ? C'est jurer. C'est de jurer. Alors je vais me dire, Wallah ! Je rajoute les deux autres là. Avec ce photocard. Je rajoute les deux autres et là il ne pourra pas remettre ma parole en doute parce que je dis Wallah. Et quand quelqu'un te dit Wallah, mets pas sa parole en doute. Un musulman m'a rapporté dans son sahih que Issa ibn Maryam a vu un homme voler. Il volait comme... Il volait. Hein ? Un salik, un lisse. Il leur dit, t'as cru à Allah ? Ou elle a t'asriq ? Elle dit, je crois en Allah, elle ne vole pas. L'ami lui dit quoi ? Il l'a vu, je sais pas. Il l'a vu. Quand on dit que la juge est par Allah, Isa a.s. a dit, j'ai cru en Allah et je crois pas en mes yeux. A ce moment-là. Et dans le Coran, Allah Ta'ala il nous fait référence au couple, à l'homme et la femme, dont l'homme accuse sa femme d'avoir forniqué. S'il n'y a pas de preuve, on demande à la femme son avis. Si elle accepte, alors là c'est fini. Si elle est renue par contre, il y a un procédé qu'on appelle le li'an, qui consiste à ce que chacun d'entre eux dise cinq fois shahada. L'homme il dit cinq fois, shahada comme quoi il dit la vérité que c'est une menteuse et si jamais il ment, qu'Allah il le maudisse. L'homme il dit cinq fois, la shahada comme quoi elle dit la vérité et c'est un menteur et que si elle ment, qu'Allah il se rend que là contre elle. Et à la fin qu'est-ce qu'on fait ? On les sépare, on les sépare et on n'en punit aucun. Et devant Allah Ta'ala, les choses seront claires. Donc là on prend compte de leur parole. Qu'est-ce qu'il y a dans le hadith ? Il dit, alayhi salat wa salam, donner aux gens, en fonction de leurs prétentions, certains auraient demandé le sang d'autres. C'est-à-dire qu'on les tue. Si on donnait seulement raison aux gens en fonction de dire, moi j'ai ci, moi j'ai ça. Là, ça ne suffit pas. Il dit, celui qui prétend, il doit prouver, il doit venir une preuve. Et celui qui renie, il jure. Wal yaminu ala man ankar. Il faut comprendre que le serment, il a une importance. Et ce n'est pas parce qu'aujourd'hui les gens ont dépourvu le serment d'importance qu'on doit en faire autant. C'est une erreur. Il ne faut pas agir comme ça. Donc quand quelqu'un est injure, crois-le. Parce que c'est la dernière arme de l'arabe pour appuyer, quand je dis l'arabe, je parle de l'arabisante, celui qui parle l'arabe. Pour appuyer ce qu'il donne comme information. Donc ici on a vu que lorsque les trois mots akid sont réunis, c'est qu'on a face à nous quelqu'un qui quoi ? Qui ne nous croit pas. qui ne nous croient pas. Et rahamoukallah. Quand on regarde le verset, Allah dit, L'humanité, elle est dans la perte. Allah, il jure que l'humanité est dans la perte. Ce qui signifie qu'il y a eu des gens qui ont renié ce fait-là. Parce que le style expressif du verset, il indique qu'on fait face à des gens qui renient l'information. D'accord ? Et c'est le cas. Les moucherikouns, les polythéistes, qui ont... comment dirais-je... qui était présent durant la mission prophétique, la mission du prophète, ils ont renié énormément de choses. Parmi ces choses-là, ils ont renié le fait qu'Allah ne ferait honneur qu'aux croyants. C'est-à-dire nous aussi. pourquoi nous on serait privés du bien comme dans le verset où Allah Ta'ala dit وَلَا إِرْرُدِتُ إِلَىٰ رَبِّهِ إِنَّهُ إِنَّ لِيْ عِنْدَهُ لَلْحُسْنَةِ 5 un monsieur qui dit ça, si jamais je reviendrai à mon seigneur et bien moi aussi auprès de lui j'aurai du bien il n'y a pas que toi qui auras le paradis moi aussi donc ils ont renié que Allah il ait favorisé les croyants ici bas et dans l'au-delà dans le génocide, aujourd'hui le génocide on aura... On aura droit à une faveur de la part de notre Seigneur. Donc ils ont renié le fait qu'ils vont perdre ici-bas et dans l'au-delà. Et en plus de ça, ils ont renié... Il y a le fait que les seuls qui auraient le droit à la récompense devant Allah, ce sont les croyants. Ils se sont dit que nous aussi on y aura droit. Alors Allah il sait leur répondre. Dans l'âsr, il n'y a pas d'homme qui n'a pas de vie. Et si Allah il jure par le temps, c'est pas pour rien comme on a dit tout à l'heure. Il dit vous tous, vous allez périr tous, sans exception. Pourquoi ? Parce que le temps qu'on vous a donné pour que vous adoriez Allah Azza wa Jal, vous n'avez pas voulu le prendre à cet effet. Qu'est-ce que vous avez dit ? Ils ont dit quoi les koufars ? Ils ont dit, c'est-à-dire qu'on appelle ça les dahariyoun, ceux qui disent qu'il n'y a pas de résurrection après la mort et que la fin de leur vie, ce sera la fin de leur passage sur terre. C'est-à-dire que ce n'est que le temps qui aura raison de nous. Ce temps que vous estimez comme étant le seul à avoir le pouvoir de vous faire la vie, c'est le temps qui aura raison de vous. faire disparaître, et bien c'est par lui que vous allez disparaître. Et pas disparaître dans le sens où c'est bon vous les débarrasser, non, au contraire. Vous allez passer d'un état mauvais à un état pire encore. Et on a dit que c'est tous les êtres humains. Mais il y a une exception qui suit. Cette exception elle est caractérisée par le mot illa, qui veut dire sauf. En arabe on l'appelle adatu, istifna. Et cette exception, elle exclut de la généralité ceux qui suivent. Donc il y a une généralité qui a précédé, c'est les êtres humains. Et justement c'est là le lien qu'il y a entre ce que le mohalif l'a dit précédemment. concernant l'obligation formelle et absolue pour chaque croyant et croyante de connaître ces quatre domaines-là, qui sont la science, la pratique, le prêche et la patience, face au mal dans lequel on serait confronté en appelant les gens à cette science, elles sont réunies dans cette exception-là, ces quatre domaines. Sauf ceux qui ont cru. Et la foi c'est quoi ? Une parole avec la langue Des actions avec les membres Et une conviction dans le cœur Cette conviction-là ne s'installe dans le cœur qu'après la science, qu'après avoir eu la science. Tu ne peux pas être convaincu d'une chose si tu ne la connais pas. Ce sont deux choses qui sont indissociables. La yannfakou ahaduhouma anil akhr Ahaduhouma anil akhr Donc, c'est là le lien qu'il y a entre l'iman et l'ilm, qu'il y a entre la foi et la science. Donc, l'iman, dans le verset, il fait référence à la science. La laïcité est une science. Parce qu'on ne peut avoir de conviction ferme dans son cœur sans science. Le mot i'tiqad en arabe, il tire son origine du verbe aqada Et aqada en arabe, ça veut dire nouer Tu prends une corde et tu fais un nœud. Et tu tires et tu serres à un point où c'est très difficile, il ne faut pas dire impossible, de dénouer le nœud. Eh bien, c'est ça le nœud. le lien qu'il y a entre le mot Aqidah et Aqidah c'est que ta Aqidah t'es tellement fermement convaincu de façon absolue c'est à dire de façon à ce que le doute ne pénètre pas cette conviction que c'est comme un nœud fermement serré qu'on ne peut pas dénouer que c'est comme un nœud fermement serré qu'on ne peut pas dénouer donc le rapport entre la foi et la science c'est que la foi c'est trois choses une parole avec la langue, une action avec les membres deux une conviction avec le cœur. Cette conviction ne saurait être une conviction sans science. Aussi la science de la personne, elle s'installe dans son cœur. Elle s'installe dans son cœur. Et c'est dans le cœur aussi que la foi s'installe. C'est donc une demeure dans laquelle se réfugient la foi et la science. La foi et la science. Le maître d'imam Ahmed a dit que le cerveau est le cœur. Il dit la raison, elle est dans le cœur. Mais celle-ci a des liaisons avec le cerveau. Allah dit dans le Coran, Afelem yassirou fil ardi fatakouna lahoum quouloubou ya'qilouna biha Ne vont-ils pas voyager sur terre afin d'avoir des cœurs avec lesquels ils vont raisonner ? Et dans le conversaire, Allah Ta'ala dit Lahoum quouloubou la yafqahouna biha ils ont des cœurs avec lesquels ils ne comprennent pas donc la compréhension et le raisonnement tiennent place dans le cœur et comme on l'a dit il y a une liaison avec le cerveau donc l'ilm on le retrouve dans Allah Ta'ala dit wa aminu salihat L'amal, c'est la mise en pratique. Donc c'est vrai, c'est clair. Comme dans le moellif, c'est la même chose. On a dit, c'est le pluriel de salih. Ou bien salihah. Et salih, c'est celui qui contient deux choses. Al-muta'a al-ikhlas wa al-mutaba'a c'est à dire la pureté de l'intention j'insiste sur cette traduction en dehors de la place de sincérité la pureté de l'intention c'est à dire accomplir une action exclusivement pour Allah et pour personne d'autre et deuxièmement al-mutaba'a la conformité être conforme à la tradition du prophète alayhi salatu wassalam c'est à dire Adorer Allah comme il l'a adoré. Le amal il est salih quand on retrouve ces deux choses dedans. Wa aminu as-salihat. Et lorsqu'on perd l'une des deux conditions, comme je l'ai cité, le amal il est plus salih. la personne qui a accompli l'action est la personne qui a l'intention la plus pure ce n'est pas suffisant pour que l'action elle soit considérée comme étant vertueuse ou bien même si l'action elle est en conformité absolue avec celle du prophète si le coeur de celui qui l'accomplit est vide d'une intention pure l'action ne sera pas saliha non plus il faut communiquer ces deux choses Il faut obligatoirement regrouper ces deux choses-là dans l'action afin qu'elle soit vertueuse cette action. Donc il y a ceux qui ont fait l'église, la science. Et ceux qui ont fait les bonnes choses, l'église. Et là on pourrait se poser la question, pour celui qui a un minimum d'arabe, C'est que les grammariens disent que le waouh il y a entre les deux phrases il indique la différence, le mouhaïa rahm c'est-à-dire que celui-là n'est pas comme celui-là. Si je dis jaa aoumarou c'est-à-dire Omar et Amr sont venus est-ce que c'est la même personne ? ce sont deux personnes différentes donc la base c'est que le waouh il indique la différence c'est la séparation Est-ce qu'on doit comprendre ici que les actions ne font pas partie de la foi ? Comme c'est ce qu'on pourrait comprendre en arabe à la base, là. Ceux qui disent ça, c'est un groupe égaré qu'on appelle Al-Murji'a. qui sépare les actions de la foi. Les actions font partie de la foi. Les actions font partie de la foi. On a défini la foi comme étant trois choses. Une parole avec la langue, une action avec les membres, et une connexion avec le cœur. Ce sont trois choses qui sont... ne se séparent pas alors pourquoi dans ces cas là Allah Azza wa Jal il a mis le waouh qui pourrait amener à comprendre qu'il y a séparation entre les deux ou différence on répondra que le waouh chez les arabes ne sert pas qu'à ça il ne sert pas qu'à ça exemple dans le quran c'est quelque chose qui arrive beaucoup dans le quran et chez les arabes de façon générale Allah dit dans le Coran, Celui qui est l'ennemi d'Allah et de ses anges. Et de ses messagers. Et de Gibril et de Michael. Gabriel et Michael. Alors Allah est l'ennemi des mécréants. Question. Est-ce que Gabriel n'est pas un ange ? répondez, c'est un ange est-ce que Gabriel n'est pas un messager ? si c'est un messager donc pourquoi Allah Ta'ala il a dit de ses anges et de ses messagers et de Gabriel et de Michael est-ce que vous comprenez que Gabriel et Michael le sont mis des anges et des messagers ? personne ne va comprendre ça alors quel est l'intérêt dans ces cas là d'exprimer la chose de cette façon c'est quoi l'intérêt ? c'est de montrer l'importance de Jésus Jibril et Mikhaïl par rapport aux anges et aux messagers. C'est que oui ce sont des anges et des messagers, mais ce sont des anges et des messagers encore plus grandioses que les autres. Donc il faut comprendre ces nuances qu'on retrouve dans la façon d'exprimer l'arabe. Et c'est le cas ici avec wa amilu salihat On ne va pas comprendre des actions vertueuses qui ne font pas partie de la foi qu'Allah, ce n'est pas le cas. Ce qu'on va comprendre c'est que, premièrement les actions, alors on va faire le doigt. que les actions font partie de la foi, et qu'en plus de ça, elles ont une importance capitale, et qu'on doit leur prêter une attention particulière, et qu'on ne doit pas les dénigrer. qu'on ne doit pas les dénigrer aujourd'hui c'est cette da'wah Mourji'a ce prêche de cette Aqidah qui est celle de Mourji'a elle s'est énormément installée chez les gens chez les musulmans Il ne fait rien. Il ne fait pas la prière. Il ne fait pas le ramadan. Il ne fait rien. Et lui-même, il est comme ça. Il ne fait rien. Il ne fait pas les amals salihs. Il ne fait rien. Et tu lui demandes, tu es un musulman ? Il dit oui. Dans quoi tu es musulman ? Dans quoi ? Il disait... Il disait, Rahimahullah, la foi ce n'est pas une prétention. ni un ornement, quelque chose qu'on va mettre pour se faire beau. Mais c'est quelque chose qui s'installe dans le cœur et qui est confirmé par les membres, les membres du corps. Ce n'est pas assez facile de dire, moi je suis, moi je suis, moi je suis. Non. Comment Allah a répondu aux Bédouins quand ils ont dit Amanna ? Il leur a dit quoi ? Qala til-Arabu Amanna, qu'o lam tu'mino, wa lakin quulu aslamna, wa lamma yadkhuli l'imanu fi qulobikou. Les bédouins dirent, nous croyons. Allah il a dit, qu'il y a un Rasul Allah qui dit, vous ne croyez pas. Mais dites, nous nous sommes soumis. Nous nous sommes soumis et la foi n'a pas encore pénétré vos cœurs. Parce que la foi, elle pénètre le cœur lors de la soumission de la personne envers Allah à travers son obéissance. S'il n'y a pas d'obéissance ni de soumission, comment la foi va pénétrer dans le cœur ? Aujourd'hui, on a ça. Cette da'wah-là, elle est voulue. Vous savez par qui elle est voulue ? Elle est voulue par les institutions mécréantes qui ont trouvé dans cette da'wah, dans cette aqidah qui est le jar, un moyen de se débarrasser des musulmans. Oui, parce que si on dit aux gens, c'est pas grave si tu ne fais pas la prière, c'est pas grave si tu ne fais pas le ramadan, c'est pas grave si tu ne fais pas le périnache, c'est pas grave si tu ne fais pas l'aumône, ils arrêtent. Ils arrêtent. ils arrêtent jusqu'à ne plus rien faire jusqu'à sortir de l'islam sans le savoir et c'est ce qu'ils veulent eux ils aiment bien, t'as vu ils les appellent les derviches tourneurs c'est des mecs on dirait des toupies à l'envers c'est vrai, une toupie normalement c'est la pointe elle est en bas, le cône il est en haut et puis ça tourne, lui c'est l'inverse il a la pointe en haut, il a sa robe en bas, il tourne il tourne il tourne Et tu vois, comme aujourd'hui les politiciens, quand ils multiplient les appellations pour désigner les musulmans, alors il y a l'islamiste, il y a l'intégriste, maintenant il y a le salafiste, ils disent plus de musulmans dans le marché. Pourquoi ? Parce que le musulman pour eux c'est qui ? C'est le petit moustachu avec sa veste de costume bon marché, des fois même occasion, son pantalon qui traîne par terre, qui fait la... la prière quand ça lui va parce qu'au travail il ne peut pas, il n'a pas le temps il travaille qui ne fait pas le pèlerinage parce qu'il n'a pas le temps, il doit construire une maison au bled qui ne va pas à la mosquée si ce n'est le vendredi et encore, ou bien des fois à l'Eid et des fois même au Tarawih, c'est pas grave il sera occupé par la prière, il n'aura pas le temps de faire autre chose c'est de ça qu'ils parlent quand ils disent le bon musulman, le musulman de France ils veulent des gens comme ça le musulman qui n'a pas de mal à serrer la main aux femmes à leur faire la bise, à s'asseoir avec elles le bonhomme un jeu avec elle, qui ne voit pas de mal à ce que sa femme ne mette pas le hijab mais au contraire qui voit du mal quand elle en met quand elle le met, c'est ça le musulman chez eux, et ils veulent que les musulmans ils soient comme ça, et lorsque le musulman il défend sa foi, il défend sa conviction il appelle les musulmans à en faire autant ah il est intégriste ah il est islamiste, radicaliste wahhabiste, salafiste ah ah ah ah Cette da'wah elle est très très dangereuse, la da'wah de l'Irja. Et malheureusement on n'en parle pas assez. On n'en parle pas assez, les actions font partie de la foi et celui qui sépare les actions de la foi, il est tombé dans la Aqidah des Mourjiah. Taïm, déjà le mot Mourji, il vient du verbe Arja'a. Et Arja'a aï Akhara, ça veut dire reculer, retarder, repousser. C'est-à-dire qu'ils ont repoussé les actions de la foi. Comme si c'était deux choses différentes. Et ce sont deux. partie qui forme un tout et qu'on ne peut pas séparer et se recommande s'enjoignent mutuellement la vérité Et là, ça revient à la troisième des masalas, des domaines, qui est Appelez, prêchez vers cette foi. Et comme les actes sont partie de la foi, c'est fini. Ils appellent aux mains à la même chose, à la foi et aux actions vertueuses, car elles sont liées. Et ils le font mutuellement. C'est ça qui est fort chez l'islam, dans l'islam et chez les musulmans, ce n'est pas seulement l'imam ou bien le savant qui va appeler les gens au bien, c'est tout le monde. Allah dit dans le Coran, كُنْتُمْ خَيْرَ أُمَّتٍ أُخْرِجَتْ لِلنَّاسِ Vous êtes la meilleure des communautés qui a été surgie parmi les gens. Vous ordonnez le bien, vous interdisez le mal et vous croyez en Allah. celui d'entre vous ça concerne, ça indique, ça englobe tout le monde celui d'entre vous qui voit un mal qu'il le change avec sa main s'il ne peut pas avec sa langue s'il ne peut pas avec son coeur et c'est la foi la plus faible On est tous concernés par ça, tous. Et Allah il a reproché aux juifs et aux chrétiens de ne pas s'interdire un mal qu'ils accomplissaient. Kânû lâ yatanâhâwna ammun kârin fa'alû Ils ne s'interdisaient pas mutuellement un mal qu'ils accomplissaient. Et comme on sait, les Yahouds, ils appliquaient les jugements sur les pauvres, mais pas sur les riches. A l'époque du prophète, sallallahu alayhi wa sallam, il y a un homme et une femme juif qui ont... forniqués mais faisait partie des nobles ils n'ont pas voulu appliquer la sentence sur eux qui était la lapidation un des musulmans lapidation s'existerait dans la Torah et dans l'évangile il n'y a pas de c'est pareil pour tout le monde et alors ils ont cru que dans l'islam il y avait un changement ils ont été voir le prophète alayhi salatu was salam et ils ont dit voilà fulana fulana parmi nous ils ont forniqués qu'est ce que tu juges il leur a dit et dans la Torah il y a quoi alors le rabbin il a pris la Torah et avec sa main il a caché le passage qui faisait référence à la lapidation et il a lu un autre passage. Il y avait Abd Allah, un ancien rabbin juif qui s'est couvert sur l'Islam et qui a dit au prophète Dis-lui de lire ce qu'il a caché avec sa main Alors il l'a fait et lorsqu'il a enlevé sa main, il a lu le passage sur la lapidation et ils les ont fait, ils les ont lapidés. Al-Shahid c'est que les Yahouds et les Nassar, ils sont caractérisés comme étant des gens qui ne s'interdisent pas mutuellement le mal qu'ils accomplissent. Et ils ne sont donc forcément pas le bien qu'ils ont. qu'ils délaissent. Et nous, on doit, et comme on est au-dessus d'eux, et qu'on est meilleur qu'eux, et qu'on est supérieur à eux, mais pas seulement d'un point de vue textuel, mais aussi réel, c'est qu'on doit s'ordonner le bien et s'interdire le mal. Et ça, c'est ça. Le verbe il répond à une échelle qui indique l'accomplissement de l'action ensemble. C'est-à-dire qu'on ne peut pas l'accomplir tout seul. Quand le verbe est conjugué de cette façon-là, on ne peut pas accomplir cette action tout seul. On doit être plusieurs. C'est-à-dire que je t'ordonne, tu m'ordonnes. Et les musulmans... ils agissent ainsi Omar ibn Khattab il disait il n'y a aucun bien il disait il n'y a pas de bien chez des gens qui ne font pas le conseil tout comme il n'y a pas de bien chez des gens qui n'aiment pas le conseil et le prophète Saleh, il a dit son peuple ! Voilà qu'il l'a tout à fait bon à la nasse et il n'est pas fait exprès c'est vous qui m'avez qui m'avait devancé mais pas de mal à la table à la salle pour les voilà qu'il l'a tout à fait bon à la nasse et il en a ça tout le monde à qu'il l'a tout à fait bon mon amnesty. Je vous ai, j'ai été franc envers vous, je vous ai livré le conseil, mais vous n'aimez pas les conseillers. Watawasaw bil haqi. Et ça, ça indique, donc, le troisième des massahil qui est da'watou ilay. Et enfin, watawasaw. les sabres et ils se recommandent mutuellement ils s'enjoignent mutuellement la patience on en a parlé j'ai oublié de vous dire une chose je ne répète rien Voilà. Pourquoi je ne répète pas ? Premièrement, l'élève ne doit pas demander au professeur de répéter, car ce n'est pas parce que lui, il n'a pas eu le temps d'écouter la phrase ou de la noter que c'est le cas pour les autres. Donc il va ralentir les autres. Deuxièmement, il ne demande pas au professeur de répéter. Pourquoi ? Parce qu'il coupe le professeur dans son élan et il le pousse à devoir se répéter. Troisièmement, si un élément n'est pas souligné d'un élève pendant le cours, ce n'est pas grave. J'ai déjà dit plusieurs fois, je ne vais pas dire vous encore, mais que chaque classe, chaque groupe d'élèves, se doit d'être soudé et lié. Et parmi ceux qui vous permettent de vous souder et de vous lier, c'est de vous retrouver après le cours et que celui qui estime avoir le plus noté durant le cours, lise ses notes. Il lise ses notes. Comme ça, ceux qui ont raté les choses, ils ont le temps de les recopier. Et s'il lui a raté quelque chose, les autres lui disent, ah, tu n'as pas écrit ça. Comme ça, à la fin, ils ont un cours complet. et enfin aujourd'hui avec les MP3 et les MP6 et les MP20 t'as tout ce qu'il te faut comme il faut mes parents, en guise de rahmat mon cher Ali, je vais tripéter la phrase mais c'est la dernière fois Omar ibn al-Khattab, il a dit, il n'y a pas de bien dans un groupe, dans un peuple qui ne se font pas le conseil entre eux. Tout comme il n'y a pas de bien dans un peuple qui n'accepte pas le conseil, qui n'aime pas les conseillers. Et enfin, il se recommande mutuellement la patience. Parce que premièrement, pour apprendre, il faut de la patience. Parce que le chemin de la science, il est long. Et il est plein, il est semé d'embûches. Et il est périlleux. Et tu vas être confronté à des difficultés, à des ennemis. Pour apprendre, hein ! le salafi disait celui dont le début dans l'apprentissage il n'est pas brûlant qu'il sache que sa fin ne sera pas brillante Tu veux que tu veuilles briller à la fin ? Et bien tu dois te brûler au début. On n'a rien sans rien. Le bébé ne vient-il pas après avoir fait subir à la mère d'énormes souffrances ? L'or n'est-il pas épuré après avoir été rentré dans le four et frappé à la massue ? On a rien sur rien. Tu veux devenir pur comme l'or ? Tu veux, bon pas être un bébé mais... Ressembler à l'image du bébé ? Regarde la femme, demande à la femme qui accouche. Je sais pas si vous avez déjà vu vos femmes accoucher. C'est un spectacle assez spécial. C'est pas bien de rigoler mais c'est plus fort que moi. Donc on les voit, ça se voit, c'est pas du cinéma, c'est pour de vrai quoi. Et dès que le bébé il arrive, c'est fini, ça laisse place à une joie immense qui te fait, qui leur fait, qui leur fait oublier cette douleur. terrible, qui est celle de l'enfant. C'est pareil pour l'ail. C'est dur. Tu dois lire, et tu dois écrire, et tu dois écouter, et tu dois patienter, et tu dois apprendre, et tu dois réviser, et tu dois continuer et répéter longtemps pour qu'après 10 ans, 15 ans, tu commences à avoir les fruits. Et ça, c'est pas à donner à tout le monde de patienter ainsi. Donc, moi, viens, on s'inscrit au CIEPUR, fais un mois, c'est bon, j'ai le job. Oui, les gars, franchement. C'est pas aussi simple. Surtout si vous avez besoin de mecs comme moi, si vous êtes vraiment en galère. A la coulée râle, la patience dans l'apprentissage, la patience dans l'action, la mise en pratique. Quand toi tu lis, tu dis, ah les hadiths d'enquête, les... Et t'as vu comment t'aimes bien dormir ? Quand tu vois les hadiths dans Zakah et Sadaqah, et t'aimes bien ton argent. Quand tu vois les hadiths dans Jeûner, et t'aimes bien manger. Et bien mettre en pratique tout ça c'est dur ! Et tu dois patienter ! Pour réussir à le faire et pour quand tu le fais, continuer à le faire. Comment d'entre nous, on a commencé la Rawatib de la journée, les 12 sur érogatoire, entre deux semaines après. Comment d'entre nous, on a commencé à faire Doha un mois après. Comment d'entre nous, on a fait Qiyam l'Elim un mois après. Combien ? Ce qui est dur, c'est de faire ça tout le temps. Moi j'ai toujours été admiratif envers certains frères que je connais, que depuis que je les connais, ils n'ont jamais raté les rawatibs de la journée. Mais vraiment, ça c'est quelque chose, ils le font. Tout le temps. C'est quatre avant Dour, c'est deux après Dour, c'est deux après Marlet, c'est deux après l'Ishad, c'est deux avant le Fajr, tout le temps. même des fois on est ensemble, t'as vu des fois ils arrivent, on prie ensemble le Richard, on est parti matin, on est invité à un repas, on fait ensemble le Richard, et dès que la prière elle est finie on retourne autour de la table, on dit je bois un café, je mange des cacahuètes, un petit tiramisu ça fait pas de mal, et personne il fait... ils font leur personne ils font leur leur kaatayn après l'isha il nous est même arrivé des fois de faire des longues nuits blanches avec des frères et j'avais pas envie de faire le witer le witer Imam Ahmed, il disait La yatru kul witra illa rajulun suh la tuqbalu shahadatuh Il disait Ne délasse le witr qu'une mauvaise personne On n'accepte pas son témoignage. Ya Hasra ! Tu dois patienter dans le hamel. Et enfin, tu dois patienter quand tu appelles les gens à le faire. Quand il a dit, Al-Sabru ala al-Azha fi Al-Azha c'est le mal, la nuisance. qu'elle soit verbale, qu'elle soit physique, qu'elle soit même psychologique. Toutes les façons possibles et imaginables. Inimaginables. Non, pas imaginables. Toutes les façons possibles et imaginables. Inimaginables. Toutes les façons possibles et qu'on ne peut pas imaginer. D'accord, d'accord, d'accord. Toutes les façons possibles et qu'on ne peut pas imaginer. de nuisance. De nuisance. Mais nous, on se plaint de vous. On ne devrait pas se plaindre. C'est comme dans le hadith au Baïb. Khabab ibn al-Arit radhiallahu anhu Khabab ibn al-Arit radhiallahu anhu il a fait partie des musulmans qui ont été chassés de la Mecque pendant les trois années de l'embargo que vous connaissez tous bien entendu et dans lesquelles les musulmans, ibanou Hashim, ibanou Abdelmoutalib ont été boycottés par les Quraïsh on leur a interdit tout commerce on leur a interdit de... tout mariage, toute relation tout et ils étaient tellement dans le besoin qu'ils étaient obligés pour survivre de prendre un noyau de date et de le sucer d'en prendre ce qu'ils pouvaient et de le partager avec les autres de manger de l'herbe de prendre des pierres plates qu'ils serraient à leur à leur ventre pendant 3 ans ils ont rien dit, ils ont patienté et Khababa trois ans et du prophète a.s. Ya Rasulallah Allah Oh messager d'Allah ne vas-tu pas invoquer Allah pour qu'il nous donne la victoire, qu'il vienne à notre secours regarde dans quel état on est et ils ont patienté comme ça pendant trois ans et là le prophète s.a.w. il s'énerve il leur dit c'est un peuple pressé, vous ne patientez pas dans l'épreuve Il a dit avant on ramenait l'homme, on creusait un trou, on le coincait dedans et on posait On posait la scie sur sa raie au milieu de sa tête On posait l'assi sur sa tête, sur la raie au milieu là, pour lui faire rogner sa foi. Et ça ne le faisait pas rogner sa foi. Et on le coupait en deux et il restait ferme. Et voilà qu'il n'y a qu'un commun qui est à sa place. Mais c'est un peuple pressé. Il a dit ça aux sahabas. qu'est-ce qu'il aurait dit il aurait dit quoi on a le chèque Mohamed Aman qui est invité dans une mosquée le chèque Mohamed Aman il détestait les hachahiras Et ils ne rateraient pas une occasion pour leur faire savoir. Et l'Achaïra, c'est un groupe égaré qui a interprété les noms attribués d'Allah Ta'ala, entre autres. Et un jour, il va dans une mosquée. Et pendant qu'il fait le dars, c'était la nuit. Coupure générale d'électricité. C'était voulu. Et il y a un groupe de sottomussieurs. Et ils l'ont frappé. Ils l'ont rué de coups. C'est un vieil homme. Ils l'ont rué de coups. Dans la panique générale et l'anarchie, le noir surtout. on a essayé tant que mal de défendre le shirk mais quand la lumière est revenue, le shirk était en sang par terre il ne bougeait plus ils l'ont ramené en urgence à l'hôpital inconscient, ils l'ont soigné il l'ont tiré d'affaires, dès qu'il a pu sortir de l'hôpital, qu'est-ce qu'il a fait ? il est retourné dans la même mosquée, il a refait le même dars et ça c'est un exemple parmi tant d'autres, il y en a plein des exemples comme ça Nous, c'est quoi notre hadha aujourd'hui ? C'est les mises en garde. Dès qu'il y a quelqu'un qui fait une da'wah, tu peux être sûr que quelqu'un va venir pour une sa da'wah. Mais le pire, c'est que ça ne te touche pas réellement ça. Soit ça va convaincre des gens de ne plus t'écouter ou te suivre, ça ne te touche pas, moi je m'en fiche. Ou bien, c'est tout. C'est tout ? Bila'alikoum, est-ce que ça veut dire en quelqu'un il est venu te frapper ? Est-ce qu'il est venu te mettre une épée sous la gorge ? Ou bien un barilet de baretta sur la tempe ? Ou je sais pas quoi d'autre ? Rien ! Pourquoi ? et malgré ça parmi certaines personnes qui se lancent dans ce chemin long et tumultueux qui est celui de la da'wa et bien dès qu'on est touché par ce seul mal je ne vois pas un autre mot moi personnellement dans le chemin de la déoua, et bien il y en a qui disent bon c'est bon j'arrête moi les mises en garde ça me gêne pas, je sais pas combien de temps garde contre moi, j'arrête faire la déoua. Fasheela fi daouatihi, adayla échoue dans sa déoua. Tu dois patienter Les premiers cours qu'on prend ensemble dans l'ilm, dans l'aqidah, c'est ceux-là, le salat et tout le rassoul. Et c'est un des premiers cours qu'on nous dit, c'est de patienter face au mal qu'on rencontre dans ce chemin. Et des gens ils croient que non, la da'wah c'est facile. Tu viens, tu fais ta'wah. les gens ils t'écoutent et puis c'est fini. Il y a un rajoul, il y a un mra'a. Les meilleurs des hommes qui sont les messagers et les prophètes, Allah il leur a pas écrit que les gens ils acceptent ce qu'ils allaient dire. Il a pas écrit. Il a fait en sorte que des fois les gens qui sont les plus proches d'eux, ils sont leurs plus grands ennemis. Comme Abu Lahab avec le prophète qui est son oncle paternel. On s'est moqué du prophète alayhi salatu wassalam. On l'a attaqué. On a essayé de le tuer. Et tu crois que toi tu vas réussir à appeler les gens à l'islam sans aucune égratignure ? Sans aucun problème ? Non, t'as rien compris. Allah dit dans le Coran Nous avons fait des uns envers les autres une épreuve. Moi je suis une épreuve pour toi. Et toi, tu es une épreuve pour moi. Moussa et son peuple, ils ont dit, en parlant de Pharaon et de Jusia, Rabbana, la taj'alna fitnatal lil-lazina kafaru, ou lil-qawmi dhalimin. Et Allah ne fait pas de nous une tentation, une épreuve pour les injustes. Parce que quand ils te voient, ils ont la haine contre toi. Et ils veulent te faire du mal. Et c'est un mal pour eux parce qu'ils font du mal aux alliés d'Allah. Et celui qui fait da'wah, il est une épreuve pour certains. Parce qu'ils n'acceptent pas qu'on fasse da'wah en dehors de la leur. Ils n'acceptent pas que quelqu'un d'autre qu'eux fasse da'wah en dehors de la leur. fasse des rois. Alors quand quelqu'un d'autre il fait des rois, lui, il aura beau dire ce qu'il voudra, il aura beau être en accord avec les mêmes floures que lui, il l'aimera pas. Et il va chercher les problèmes, il va chercher les défauts pour détruire sa des rois. Et s'il n'en trouve pas, il les invente. Ah, vous inquiétez pas. Et c'est pas quelqu'un qui a l'expérience. C'est pas quelqu'un... On t'informera. Personne ne t'informera comme celui qui a l'expérience. Faut patienter. Allah, il a ordonné au prophète, de patienter à de nombreuses reprises dans le Coran. Allah, il dit... Sabara ulul azmi minal rasul, wa la testa ajillahum. Patiente, comme on patientait auparavant, les plus pronds des messagers dans leur da'wah, qui sont Noh, Ibrahim, Moussa, Isa et Mohamed sallallahu alayhi wa sallam. Allah lui ordonne au prophète sallallahu alayhi wa sallam, patientez comme eux. Et dans plein de versets Allah lui ordonne au prophète de patienter. Fasbir, inna wa'adallahi haqq. Patiente ! La promesse d'Allah elle est véridique. Fasbir li hukmi rabbik. Allah ordonne le prophète de patienter ordonne à ta famille de prier et patiente sur la prière il a dit et il se tabarasse encore plus fort qu'il se subire A la cule hal, ce n'est pas facile. Et ce bas-monde, il est jonché d'embûches et de difficultés à la vie dans le Coran. Laqad khalaqna l'insana fi kabatna. Nous avons certes créé l'être humain dans le Kabbalah. C'est quoi le Kabbalah ? C'est le mot Kabbalah, la difficulté. Mais pas la difficulté en elle-même. C'est dans la difficulté d'obtenir ce qu'il veut et dans les efforts qu'il doit fournir pour obtenir ce qu'il veut. On n'a rien sans rien. Et il disait, Il n'y a pas de repos pour le croyant avant la rencontre d'Allah. C'est là-bas que tu te reposeras. Tu diras, on peut se reposer maintenant. On peut se reposer maintenant. Quand tu n'as pas le monde, c'est l'amal. Tu dois en bas, comme ils disent. Et en fonction des efforts et de la fatigue que tu vas ressentir dans ces efforts-là, il y aura ta récompense. Pourquoi tu dis à cet homme, Aïcha, Aïcha, Aïcha, ta récompense est en fonction de ta fatigue la fatigue que tu fourniras dans l'effort et de ce que tu dépenseras comme argent c'est lié c'est lié Allah dit dans le Coran C'est-à-dire ils font une sainte foi énorme. Nous certes nous les guiderons vers nos chemins. Mais le sabre. Le sabre est sur les affaires. Rien sans rien les frères. Rien sans rien. Quand nos sœurs aujourd'hui, elles sont victimes d'agressions dans les rues, parce qu'elles portent le gilbab, parce qu'elles portent le hijab, parce qu'elles portent le hijab, parce qu'elles portent le gilbab, eh bien, c'est ça justement que leur demandent de faire, de patienter. Elles sont confrontées à des nuisances à cause de cette da'wah qu'elles font qui est le port de leur gilbab et le port de leur hijab. Elles doivent patienter et qu'elles sachent que la marchandise d'Allah, c'est quoi la marchandise d'Allah ? C'est le paradis, le Jannah, elle est chère. On peut dire dans le hadith de Allah, Il n'y a pas de salade de Dieu qui est chère, il n'y a pas de salade de Dieu qui est chère. Le Jannah, la marchandise d'Allah, elle est chère. La marchandise d'Allah, c'est le paradis. Et on comprend que certaines d'entre elles, qu'elles se font agresser, qu'elles rentrent chez elles, qu'elles sont amenées à sortir à nouveau, qu'elles regardent leur gilbep de loin, qu'elles hésitent à le mettre, qu'elles se posent des questions, que certains y viennent, ils les travaillent, et ils leur insufflent des mauvaises suggestions. On comprend dans une situation comme ça, où elles sont faibles, où elles ont été perturbées, qu'elles hésitent et qu'elles se posent des questions. Mais à ce moment-là, comme ils disent, les cavaliers, celui qui tombe de cheval, il doit remonter tout de suite. c'est pareil il ne faut pas laisser une place au doute et à l'hésitation il faut directement retourner il faut qu'elle pense à la récompense et qu'elle se dise qu'Allah Ta'ala lorsqu'il aime des gens il les éprouve quand Allah il aime des gens il les éprouve les gens qui sont le plus éprouvés ce sont les prophètes ceux qui les suivent et ceux qui sont le plus proche d'eux par la suite et dans l'autre version du hadith et ceux qui leur sont le plus qui leur ressemblent le plus ceux qui sont en deuxième catégorie pourquoi Allah il éprouve ceci Vous pouvez se poser cette question. Allah dit dans le Coran Allah Ta'ala veut épurer ceux qui croient. Dans quel sens ? Comme ça le jour où ils arrivent devant lui, ils n'ont pas un seul péché. sur leurs épaules. Rien. Dans le hadith, Allah ne cesse d'éprouver son serviteur ici-bas, jusqu'à ce qu'il arrive devant lui, le jour du jugement, وَلَيْسَ عَلَىٰ كَتِفِهِ إِثْ Il n'a pas un péché sur lui. sur l'épaule. Et quand tu arrives devant Allah et que tu n'as pas un péché sur les épaules, le Sof, il les voit disparaître, il les sali'ou al-zawal, ils disparaissent vite. Et quand les gens meurent, ils oublient ce que je dis. Les jours du jugement, ils se diront qu'on est resté ici entre une soirée, une matinée, quelques jours, à peine, la moitié d'une journée. Ils oublient ce que je dis. Et quand ils verront l'inquiétude totale et la peur générale et le souci qui est installé chez les gens le jour du jugement et qu'ils verront les moitié de leur vie. montagnes de péchés qui sont sur leurs épaules et qu'eux seront tranquilles, apaisés, en sécurité, et rien sur leurs épaules. Ils diront, ah finalement ces épreuves-là c'était une bonne chose. C'est à ce moment-là, seulement tu te diras ça. Mais le moumine qui a une foi forte, c'est lui, pour lui, ces choses-là c'est le yaqin. Le Coran, il fait référence à la certitude de trois façons. Il dit, il dit, il dit, et Haqqul Yaqin l'œil de la certitude la science de la certitude et la vérité de la certitude c'est quoi la science de la certitude c'est que tu sais tellement une chose que tu en es sûr comme celui qui l'a vu Est-ce qu'on peut mettre au même rang la certitude de celui qui a assisté à un événement et celui qui en a été informé ? Non. Et bien des fois celui qui en est informé s'est tellement informé, il a tellement cherché à savoir l'exactitude des événements qu'il a encore plus de certitude même que celui qui a assisté à la chose. C'est ce qu'on appelle l'ilmou liyaqin, la science de la certitude. Et bien on doit arriver à ce degré là. Et les meilleurs des croyants sont ceux qui ont le plus de certitude. Merci. ceux qui sont sûrs, qui ont une certitude, dans quoi ? Dans l'au-delà. Celui qui est sûr qu'après sa mort, il sera ressuscité, et qu'après sa résurrection, il sera jugé. son jugement il sera rétribué il ne peut pas laisser passer devant lui ici bas un moyen de se rapprocher d'Allah et il ne peut pas s'éloigner de tout ce qui est éloigné d'Allah et en fonction de ta certitude tu verras si tu saisis les occasions quand elles te sont présentées ou non donc les femmes qui sont éprouvées par ces choses là qu'elles persistent et qu'elles insistent merci Et bi'idhnillah ta'ala al-aqibatul ahun La bonne fin elle est pour elle Et pour tous ceux qui sont éprouvés aussi Par leur pratique Et par leur prêche Wa tawa sawbil haqi Wa tawa sawbil sabri Et dans suratul balad Allah il leur en rajoute un troisième C'est quoi ? Wa tawa sawbil sabri Wa tawa sawbil Al-marhama C'est quoi l'marhama ? Ahsan, t'as le rahmat ! Encore le rahmat, toujours le rahmat, il est partout ! Le rahmat, tu dois l'avoir partout ! On doit se recommander mutuellement la vérité. On doit se recommander mutuellement la patience. Et on doit se recommander mutuellement quoi ? La misère qui porte. Quand tu dis sallallahu alayhi wa sallam On sur-akha ka zaliman au mazlouma Viens au secours de ton frère, qu'il soit opprimé ou oppresseur Comment secourir son frère quand il est oppresseur ? En l'empêchant de faire son oppression Et quand tu vois que ton frère il peut faire une miséricorde, appelle-le à l'affaire Il n'y a que tu viens dans la miséricorde Il n'y a que du bien dans la miséricorde. Le Moualif, il ramène la parole de Shafi'i, Rahmatullahi alayh. Il dit, Shafi'i, Rahmatullahi alayh, Lorsque Dieu n'a pas envoyé une preuve sur son créateur, cette Sura ne leur suffit pas. Le Shafi'i, Mohamed ibn Idris, le Huthali, El-Shafi'i, rahimahullah, un très grand savant, un imam de la communauté, l'un des plus grands élèves de l'imam Malik. Et un des plus grands professeurs de l'imam Ahmed, Rahmatullahi alayhim, un des premiers, le premier à avoir écrit dans Usul al-Fiqh, dans les fondements de la jurisprudence, avec ses deux ouvrages qui sont Al-Ummu wa Al-Risal, et qui sont à l'origine de tous les autres ouvrages de Usul al-Fiqh par la suite. Et cet homme qui disait aux muhaddifines, Vous êtes les pharmaciens et nous les médecins. Les pharmaciens, les muhaddisins, regardent les hadiths, s'ils sont bons ou pas. Et les fouqaha, ils regardent ce qu'on en déduit de ces textes-là. Et le meilleur des savants, c'est celui qui a le chemin entre le fiqh et le hadith. Comme c'était le cas d'eux, le même Ahmed, rahimahou Allah, qu'on appelait faqihul muhaddisin wa muhaddisou al-fuqaha. A la kullihaal, al-shafi'i, rahimahou Allah. avec plein de paroles très sages et très pertinentes parmi ces paroles là, celle-ci si Allah n'avait descendu sur sa création seul argument qu'un seul, c'est quoi l'argument ? c'est que devant Allah Azza wa Jal ne puisse pas dire on ne savait pas on n'était pas au courant, on ne pouvait pas savoir cet argument là il suffit pour qu'il n'y ait plus d'excuses devant Allah Subhanahu wa ta'ala c'est quoi ? sauf cette surat là Si Allah n'avait pas fait descendre d'arguments sur sa création, si ce n'était cette sorate-là, elle leur aurait été suffisante. Pourquoi ? Donc on va dire Le arabie qui comprend cette... verset, il comprend on l'a dit tout à l'heure, ce qu'on a pu en déduire sans qu'on allait expliquer l'arabe à l'époque du prophète, l'arabe isan qui comprend l'arabe, ce qu'on a expliqué nous avec les innats et tout ça c'est automatique pour lui Il parle à des gens, les gens, c'est obligé, il n'y a pas de problème. Après, il y a le lazina aman. Amanou, mais en quoi ? C'est quoi la amal salih ? Donc là, on lui a donné des éléments qui lui permettent de rechercher ce en quoi il doit croire et comment il doit agir. C'est pour ça que cet argument-là, il lui est suffisant pour qu'il n'y ait plus d'excuses devant Allah subhanahu wa ta'ala. Plus d'excuses. C'est ça. Si ce rat-là était le seul argument qu'Allah a donné à ces créatures, ça leur aurait été suffisant pour ne plus qu'ils aient d'excuses. Parce qu'ils savent que le seul moyen de ne pas être dans la perte, c'est de croire, d'agir vertueusement, de se recommander le bien et de se recommander la patience. Ils le sont. Et ces quatre éléments-là, c'est le dîn complet. Ces quatre éléments-là, c'est le dîn complet. qu'al-Muallif, il a cité par la suite la parole d'Al-Bukhari dans son sahih. Donc Al-Bukhari est marreux. Mohamed ibn Ibrahim, ibn Ismail, ibn Bardiz, Al-Bukhari, ibn Mughira, ibn Mughira, ibn Bardiz, Al-Bukhari. C'est l'étoile du berger dans le ciel des mohaddifines. Et c'est celui qui a écrit cet ouvrage qui a été unanimement reconnu par la communauté comme étant le plus authentique après le Coran. C'est un homme. qui mérite qu'on parle de lui longtemps mais on n'a pas le temps Inch'Allah on en parlera plus tard Si vous voulez, notre frère Abbas, Abu Laith, Hafidahullah il a une conférence dans laquelle il fait la biographie de Mohamed Ibn Ibrahim Al-Bukhari, Rahimahullah Ta'ala je vous invite fortement à l'écouter car elle regorge de leçons Donc Al-Bukhari, il a dit dans son Sahih, Fi Sahihihi Il n'y a pas de fils Sahih, pourquoi ? Parce qu'il n'y a pas que Al-Bukhari qui a écrit un Sahih. Beaucoup de savants ont écrit des ouvrages qu'ils ont appelés Al-Sahih comme Muslim comme Ibn Khuzayma comme Ibn Hibban et d'autres donc sont sahih à lui ce qui indique que chaque personne, chaque savant qui écrit un ouvrage dans lequel il dit al sahih indique qu'il a ces conditions à lui qui déterminent l'authenticité du texte qu'il rapporte et al Bukhari il n'a pas que le Sahih comme ouvrage il a le tarif le plus grand le tarif le plus petit il a le fait de faire des objets et d'autres ouvrages encore comme l'adab le plus simple et d'autres beaucoup de gens ignorent cela ils croient que le Bukhari a écrit que ce livre là et puis c'est tout il a dit dans son Sahih Bab al-ilmi qabla al-qawli wal-amal le Bukhari rahimahullah dans son ouvrage Il met ses avis juridiques dans le titre du chapitre. Ça veut dire que la jurisprudence de Bukhari, on la trouvera dans le titre des chapitres. Il se dit, le jugement de telle chose, obligatoire, recommandé, toléré, interdit, détestable. Ou bien l'importance de ci sur ça, et ainsi de suite. Comme ici il dit, Le chapitre est comme titre, la science avant la parole et l'action. Avant la parole et l'action. Et qu'est-ce qu'il a mis dans ce chapitre-là ? Un verset. Un verset où Allah Ta'ala il dit فَاعْلَمْ أَنَّهُ لَا إِلَٰهَ إِلَّا اللَّهُ وَاسْتَغْفِرْ لِذَنْبِكِ وَلِلْمُؤْمِنِينَ وَالْمُؤْمِنَاتِ Dans le sens, hein ? Sache ! Un ordre de la part d'Allah subhanahu wa ta'ala au prophète sallallahu alayhi wa sallam à travers lui et tous les autres croyants de savoir qu'il n'y a aucune divinité digne d'être adorée en dehors d'Allah. Il a l'obligation de le savoir ça, l'obligation. Wa e istaghfir le dhambeg. Et implore le pardon pour ton péché, ainsi que pour les croyants et les croyantes. Al-istighfar, la demande de pardon, c'est un amal, c'est une action. C'est une action. Et cette action là, elle est d'ordre verbal. C'est une action qu'on a accomplie avec sa langue. Mais c'est aussi une action. C'est pour ça que ce verset, il répond à l'intitulé du chapitre. Qabla al-qawli wa al-amal Avant la parole et l'action. Quand tu dis Astaghfirullah Tu as parlé, c'est un qawli Et tu as fait une action, c'est un amal Mais ici, Allah Ta'ala met la science avant la parole et l'action. Ce qui correspond à l'ordre qu'a établi l'auteur, en disant la science, ensuite la pratique, ensuite la prêche, ensuite la patience. La science avant la parole et l'action. Et c'est la science qui sauve son propriétaire, s'il l'a mis en pratique, et qui l'appelle vers elle. Et s'il n'a pas de science, comment pourrait-il se sauver ? Comme il disait l'imam Malik, rahimahoullah, tarjou l'najata wa lam tasluk masalikaha inna s-safinata la tajri ala l-yabasi Il disait, tu espères être sauvé, mais tu ne prends pas le chemin du sauvetage. Sache que le bateau ne vogue pas sur la terre ferme. Pour que le bateau il vogue, il faut le mettre dans l'eau. Le peuple de Noh se moquait de lui, alayhi salam, lorsqu'il a construit l'Arche. Qu'est-ce qu'il leur a dit ? Allah dit dans le Qur'an كلما مر عليه ملأ من قومه سخروا منه قال إن تسخروا منا فإنا نسخرون منه Chaque fois qu'un groupe de personnes passait près de lui alors qu'il construisait l'arche, ils se moquaient de lui. Pourquoi se moquer de lui ? Il n'y a rien de marrant à se moquer à quelqu'un qui construit un bateau quand il est sur l'eau. Mais là, il l'a construit dans les montagnes. ils ont dit c'est quoi ce que vous construis dans les montagnes alors quand il est passé à côté de lui il rigolait, il se moquait de lui et il leur a répondu vous vous moquez de nous et bien nous aussi on se moquera de vous comme vous vous êtes moqués et voilà ici c'est pareil quelqu'un a dit je veux te sauver je ne veux pas être en enfer, je ne veux pas être puni mais il ne fait rien pour et bien lui il mérite qu'on se moque de lui Parce qu'il veut être sauvé mais il ne fait rien pour être sauvé. Il est comme celui qui construit un bateau qu'il pose sur la terre ferme. Va, mets-toi dessus, attends qu'il parte. Donc si le premier qui met son bateau sur la terre ferme, il mérite qu'on se moque de lui, celui qui veut être sauvé sans rien faire pour, il mérite qu'on se moque de lui aussi. Inna as-safinata la tajri ala al-yabasi Donc voilà, le moellif, rahimahou Allah, il a évoqué des points. appuyé par la suite avec des preuves il a appuyé avec la surat de l'asr la parole de Shafi'i et la parole de Bukhari et c'est comme ça et c'est la meilleure façon de convaincre les gens de leur amener la chose et de l'appuyer avec ce qui l'alourdira le mieux et ce qui alourdit le mieux toutes tes paroles c'est la parole d'Allah Ainsi que la parole de son messager alayhi salatu wassalam. Et par la suite, la parole des savants. La parole des savants qui sont reconnus pour leur science et qui sont de confiance et qui sont pieux. ça les gens ils vont accepter surtout les gens d'un certain âge d'une certaine génération eux qui ne connaissent pas trop les savants contemporains les savants actuels ou même les savants derniers il y a des noms qu'ils ne peuvent pas ignorer et parmi eux quand tu dis au vieux malik je t'assure ils changent ils ne sont plus pareils Tu dis, Nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, nous pas, Et c'est une vérité. Après les gens qui connaissent les autres salons, parlent des autres salons, il n'y a pas de problème. Bid'nillahi ta'al. Il y a eu l'Aden. Donc on s'arrête pour l'Aden. Je fais l'Aden. Et on reprend juste après. Bid'nillahi ta'al. Ok. On reprend. Le mohéli fait dire par la soute de la rémarroula et là on passe au deuxième sous chapitre qu'il y a avant l'entrée dans le vif du sujet Et ici, le moellif s'adresse au lecteur de la même façon qu'il s'adressait dans le premier chapitre, sous-chapitre. Il dit, il continue à invoquer à Allah pour le lecteur. Il insiste, tu mets une deuxième couche. Et de la même façon encore. Il demande pour lui la miséricorde. Ce qui indique premièrement l'attention que le professeur a à l'égard de ses élèves et deuxièmement l'importance de la présence de la miséricorde dans l'enseignement, dans l'apprentissage. Vous savez aujourd'hui, c'est comme Cheikh Sadlan, Hafizahullah, il a dit une parole très très sage, quand on lit chez les salafs, on trouve qu'ils étaient très sévères avec leurs élèves. Sans pitié. En même temps, ils avaient devant eux des élèves qui voulaient apprendre. Et cette sévérité, elle n'était pas dans le but de ne pas être miséricordieux. Ils connaissent ces textes mieux que nous. C'est eux qui les ont rapportés. Cette sévérité... et pour but de tester la sincérité de ses élèves, voir si vraiment ils veulent apprendre ou si c'est des rigolos. Alors aujourd'hui, nous, quand on passe à notre tour professeur, on lit les paroles des élèves et leurs difficultés, la sévérité, je veux dire, qu'ils avaient avec leurs élèves, on fait pareil. Toi, là, tu sors ! Et tu ne viens pas la prochaine fois. S'il ne vient pas la prochaine fois, il va aller où ? Il va prendre chez qui ? Il va prendre quoi ? A l'époque, Alhamdoulilah, des imams il y en avait partout. La sunna elle était forte, elle était présente. Mais aujourd'hui, elle est où la sunna ? Ils sont ceux qui peuvent donner des cours et ceux qui... Où on peut prendre des cours ? Donc si on fait un apport tourner des gens, où ils vont aller ? Et il disait à Chir aujourd'hui non Il ne faut pas virer les lèvres Il ne faut pas être dur avec lui Quand il oublie, quand il ne répond pas à une question correctement Quand il a mal récité Ce qu'il devait réciter et ainsi de suite Sinon il ne va pas revenir Et c'est une vérité Aujourd'hui vous vous rendez compte Des cours payants Et ils ne viennent plus les gens Les cours payants ils viennent plus. Ah il m'a mal parlé. En plus il te déteste après. Ah il peut oublier tout ce que tu lui as appris, les versets, les hadiths, les paroles de savants, le ilm, ça, poubelle. Direct dans la corbeille, au fond à gauche de l'écran. Non. Il va dire, ah moi je vais pas aller chez lui. Ah t'as vu comment il parle, il parle mal en plus. Il se sert de ça pour critiquer la personne. Il parle mal. Vas-y. Quand j'étais au collège, j'avais un prof, il s'appelait M. Benayoun. C'était un juif marocain. Il a hérité du côté marocain, d'ailleurs, dans sa façon d'enseigner les maths. Quand il regardait les cahiers de devoirs, il voyait que c'était sale, je vous assure. Il portait la table, il la secouait comme ça, tout ou même par terre. Tout ! Il prenait donc la table, il la secouait comme ça, tout ou même par terre. Il disait, tu ramasses ! Toi t'es comme ça, t'arrives même pas à respirer, tu dis... Tu sais, jamais des fois, ça arrivait surtout aux filles, parce que ce que j'aimais bien chez ce prof là, c'est qu'il était juste, il faisait ça aux filles aussi, tu vois. Pour une fois que l'impro, qui regarde les filles, c'est rare quand même. Et voilà ! C'est ça, la fille, tu vois, commence à bouger la lèvre du bas, là, et puis ses yeux, sa peau change de couleur, elle se met à pleurer. En plus, tu pleures. Eh ben, tu prends des claques, tu vas vendre des caca-routes au marché. Et à partir. Mais, t'es dur. Mais personne... ils voulaient travailler avec lui. Et quand il n'était pas là, c'était le 14 juillet, c'était l'année des faits d'artifice. On ne veut pas ça. Les gens, ils ne retiennent pas la dureté, ils retiennent la douceur. Les gens, ils ne retiennent pas la sévérité, ils retiennent la tendresse. Et si avant, les élèves, ils étaient suffisamment motivés pour rester quoi qu'il arrive, eh bien, aujourd'hui, ils ne le sont pas assez. Donc, si on leur ferme la porte en leur disant Ougnette ou bien en étant durs avec eux, avec eux, ou bien méchants avec eux, et bien ils ne viennent plus. Et ce n'est pas ça le but. Le but c'est, comme disait l'imam Ahmad, on le verra, non on ne le verra pas ici. Il disait, Demandez la science, rien ne lui est équivalent pour celui qui a une intention bonne. Et l'on dit, c'est quoi ? Et l'on dit, quoi ? Il n'y a rien qui ne l'équivalent pour le Jihad, pour le bien de Dieu. Rien n'est égal au fait de demander la science, le fait de combattre pour Allah. Il a dit même le fait de combattre pour Allah, ce n'est pas égal à étudier la science. L'imam s'ahatniyya, pour celui qui a une bonne intention. Alors je dis oui. Oman s'ahatniyya ya abdillah. C'est quoi ? la bonne intention au père d'Abdullah. Il a dit que tu as l'intention en apprenant la science d'enlever de toi l'ignorance ainsi que des autres il faut que tu veuilles que les autres aussi autour de toi ils soient plus ignorants après que toi bien entendu tu n'es plus aidé donc ça fait partie de ça et aujourd'hui pour que les gens ne soient plus ignorants il faut les garder et pour les garder et bien il faut être tendre, doux et miséricordieux. Si tu es dur, sévère et rude, il parte. Si tu es dur au cœur sévère, il se serie et partit autour de toi. Sache qu'Allah te fasse miséricorde, qu'il incombe à chaque musulman et musulmane. d'apprendre ces trois massarils. Là on n'est plus dans le premier chapitre. On est encore dans les ossouls. Là on est encore dans des massarils. On a dit que c'était un sous-chapitre avant d'entrer dans le vif du sujet. Quatre premières. Il y a trois autres. Qu'il est aussi obligatoire pour tout le monde de connaître. Obligatoire. On dira la même chose qu'on a dit précédemment. Une obligation à titre individuel. Il s'agit à tous les musulmans et les musulmanes, pour ne pas penser que le mot wujub est le mot pour les hommes sans les femmes. les hommes et les femmes pour ne pas que quelqu'un aille croire que ça ne concerne que les hommes et pas les femmes. Non, c'est tout le monde. Tout musulman, homme ou femme, se doit de connaître ces choses-là. Ces trois choses-là qui suivent. Qui aiment. Pas seulement de les connaître. mais aussi de les mettre en pratique parce qu'on a vu qu'apprendre une chose et pas la mettre en pratique c'était contre toi et pas pour toi la première Kalaqana wa razaqana wa lam yatrukna hamala Qu'Allah tabaraka wa ta'ala nous a créé, nous a tout donné et ne nous a pas laissé pour rien. Ne nous a pas laissé sans un but si on veut. Ne nous a pas laissé sans ordre à exécuter ou interdiction à délaisser. Bel arsala ilayna rasoola Au contraire, il nous a envoyé un messager. Celui qui lui obéit, il rentre au paradis. Et celui qui lui désobéit, il rentre en enfer. Et la preuve ? La preuve est ce verset dont le sens est, certes, nous vous avons envoyé un messager qui est un témoin contre vous, comme on a envoyé auparavant, comme on a envoyé à Pharaon un messager. Pharaon a désobéi au messager, nous le saisîmes d'une saisie terrible, dans le sens où nous le punîmes, nous l'avons puni d'une punition terrible. Déjà premièrement, Allah nous a créés. Wal khalq huwal ijadu minal adam La création, c'est le fait de faire exister à partir du néant. Et c'est ça la différence qu'il y a entre la création d'Allah et la création des créatures. Alors dans le Coran, il affirme qu'il y a d'autres créateurs. Allah dit, Que ce soit sanctifié, béni, loué, glorifié. Allah, le meilleur des créateurs. Il y a d'autres versets qui indiquent qu'il y a d'autres créateurs. Maintenant, la création chez la créature n'est pas comme la création chez le créateur. Quelqu'un qu'on appelle un créateur parmi les créatures est quelqu'un qui va prendre une matière, qu'il va travailler, façonner, adapter, changer et en faire quelque chose. Comme le menuisier qui va prendre du bois, charpentier, menuisier c'est pareil ? Bref, ce qui prend du bois, qui fait une table, ou une porte, ou un truc. Ou bien celui qui prend... de la terre qui prend ci, qui prend ça et qui te fait du ciment j'en passe et d'autres on va dire qu'il a créé mais il n'a pas créé en le faisant exister à partir du néant il a juste travaillé une matière première pour en faire autre chose c'est ça le sens de créer chez la créature, quant à chez Allah subhanahu wa ta'ala créer c'est faire exister à partir du néant, c'est-à-dire de rien, si tu veux, il n'y avait rien, il y a eu quelque chose, Allah dit dans le Coran, son ordre, lorsqu'il veut quelque chose, c'est de dire, sois et c'est, rien de difficile pour Allah, Subhanahu wa ta'ala. Et Allah c'est notre créateur, c'est lui qui nous a créés, et c'est donc celui qui mérite notre adoration. Le créateur, notre créateur est celui qui mérite notre adoration. Allah dit dans le Coran, Où vous les gens ? Adorez votre Seigneur, celui qui vous a créés, ceux qui vous ont précédés. Il a aussi dit dans le Coran, Allah subhanahu wa ta'ala ذلكم الله ربكم لا إله إلا هو خالق كل شيء فاعبدوه Voici Allah votre Seigneur, pas de divinité d'y être adoré en dehors de lui, le créateur de toutes choses, alors adorez-le. Tu as vu le lien entre la création et l'adoration ? C'est lui qui nous a créés, c'est donc lui qui nous a, c'est donc lui qui mérite notre adoration. C'est pour cela que celui qui adore autre qu'Allah, il a été injuste, parce qu'il n'a pas adoré celui qui l'a créé. Et il nous a, il traduit en français, risque par la subsistance. Le problème avec la subsistance, c'est qu'on pourrait en comprendre seulement la nourriture. Mais ce n'est pas le cas. Le mot risque en arabe, il veut dire donner. Razaqa, en arabe, ça veut dire donner. Qala ta'ala farzuquuhum min. Les pauvres et les orphelins assistent au partage de l'héritage sans qu'il n'y ait droit. Donnez-leur une partie d'eux. C'est parti. imagine on est 4 moi je viens je prends un gâteau je lui donne une part je lui donne une part je lui donne un troisième et lui nous regarde ça fait mal au coeur quand t'as que des gens c'est pour ça que le point il est interdit à Asselineau que deux personnes Personne ne parle intimement en présence d'une troisième. La triste. Et de là les savants ont déduit que toute action qui va mettre la tristesse dans le cœur du croyant, elle n'est pas tolérée. De la même façon que de s'isoler lorsqu'on est trois, que deux personnes s'isolent et parlent à voix basse, sans que la troisième ne puisse les entendre. Et ça, ça va la trister. C'est ce qu'on appelle la qiyas. Ça rentre là-dedans ça aussi. Donc si comme tout comme ça ne se fait pas, si j'amène, on est quatre je ramène une pizza si on n'est plus trop à manger des gâteaux je donne une part je garde une part et lui il nous regarde et on lui donne pas de part on ferait pas ça et bien c'est pareil dans ce cas là aussi même dans l'héritage on lui donne quelque chose un vêtement un billet, tiens on va t'acheter des bonbons des enfants et tout ça donc on a dit al-rizq ça veut dire donner on va raser Allah nous a tout donné Allah subhanahu wa ta'ala il nous a tout donné tout ce qu'on a ça vient d'Allah Allah dit dans le Coran tout bienfait que vous puissiez avoir il provient d'Allah et Allah dit dans le Coran et il vous a donné tout ce que vous lui aviez demandé Et il va se nombrer à ce sujet-là, à ce sujet-là. Il y a un athar dans lequel il est rapporté qu'Allah Ta'ala il a dit Allah Ta'ala il dit dans ce athar Mon affaire ainsi que celle des êtres humains et des djinns, elle est étrange. Je les crée et ils adorent autre que moi. Je leur donne et ils remercient autre que moi. mon bien il descend auprès d'eux et leur mal il monte vers moi je me fais aimer auprès d'eux par le biais des bienfaits et ils font que je les déteste à cause de leurs péchés c'est le début je l'écris, ils adorent autre que moi, je leur donne, ils remercient autre que moi rien que ça en parler ce serait long mais on n'aura encore pas suffisamment d'importance à ces points là c'est vrai qu'Allah il a envoyé les prophètes avec taouhid et l'ouluhia le fait d'appeler les gens à adorer Allah seulement, c'est vrai mais n'oubliez jamais que ce qui aide le plus à adorer Allah taïalem bien et correctement et parfaitement c'est le degré de taouhid al-roboubia que tu auras dans le coeur oui on sait que c'est Allah qui a tout créé on sait que c'est Allah qui est le roi on sait que c'est Allah qui réagit à toutes choses pas de problème mais c'est pas suffisant de le savoir il faut que ce soit une partie intégrante de toi que tu te saches que tu te rendes compte de ça dans toutes choses comme disait le poète dans toutes choses il y a un signe qui indique qu'il est unique Est-ce que toi quand tu regardes ces choses-là, tu te rappelles l'unicité de l'Esprit-Saint ? Non, tu ne fais pas attention. Tu ne fais pas attention. Je ne sais pas, c'était quoi déjà ? Ah il y avait un long poème, très très beau d'ailleurs, qui reprenait justement des signes dans la création comme ça, qui finissait chaque vers par une question, qui a fait ci, qui a fait ça, qui a fait ci, et à la fin il concluait en disant que toute la création te répondra d'une seule voix que c'est Allah Ta'ala qui est à l'origine de tout ça, tu vois. Mais c'est fort ! Non, il est long ! c'est long mais c'est magnifique si seulement on y prêtait attention donc et il n'y a pas de mal il n'y a pas de mal si on le laisse ça veut dire délaisser une chose sans y prêter intérêt c'est pas délaisser une chose parce que je l'ai oublié non c'est parce que je m'en fiche ça ne m'intéresse pas donc on appelle la corbeille en arabe ce qu'on n'a pas besoin on le balance dans la corbeille Le mot Hamalat, ce à quoi on n'accorde pas l'intérêt. Hamala. Allah ne nous a pas créé, il ne nous a pas créé de cette façon parfaite. Il n'a pas créé autour de nous cette création parfaite. Il ne nous a pas donné tout ce qu'il nous a donné, pour à la fin rien. Alors nous nous laissons à Hamala. Le Shafi'i, Jirahimahullah, Hamalan ay, bi ghayri amrin, wa bi ghayri nahin. Sans ordre ou sans interdiction. Là. Non. Parce que croire ça, croire qu'Allah il nous a créé et il a tout créé, croire qu'Allah il a tout donné et par la suite croire qu'il n'y a rien ensuite, c'est une des pires insultes à l'égard d'Allah subhanahu wa ta'ala et c'est une des pires critiques que l'on peut dire, donner dans sa sagesse. Créer des créatures aussi complexes, aussi parfaites, aussi belles, pour rien. Ce n'est pas sage. Et Allah subhanahu wa ta'ala, il est exempté d'accomplir quoi que ce soit sans sagesse. Allah, il fait tout avec une sagesse absolue et infinie. Et de là, on comprend que l'origine de toutes mes créances, que l'origine de toute association, c'est d'avoir une mauvaise opinion envers Allah subhanahu wa ta'ala. Celui qui a une mauvaise opinion envers Allah, Il a ouvert la porte de la mécréance et de l'association. Ceux qui ont pris notre Dieu avec Allah, ils n'ont pas une bonne opinion envers Allah, comme quoi il est capable seul de faire tout ce qu'il a dit qu'il faisait. Celui qui a renié Allah, il n'a pas une bonne opinion envers Allah. opinion envers Allah subhanahu wa ta'ala celui qui croit malgré qu'il ait cru en Allah qu'il ne va pas le ressusciter pour le juger après sa mort, il n'a pas une bonne opinion envers Allah subhanahu wa ta'ala et en plus d'avoir critiqué sa sagesse il a aussi critiqué sa justice c'est à dire que Il y a les bons, il y a les mauvais, il y a les pieux, il y a les malfaisants. Il y en a qui se privent, se sacrifient, d'autres qui se lâchent dans le mal. Et après la mort, rien. Là, Allah ajoute dans le Coran. وَمَا خَلَقَنَا السَّمَاءَ وَالْأَرْضَ وَالْأَرْضِ Allah dit dans le sens des versets nous n'avons pas créé le ciel et la terre et ce qu'il y a entre eux pour rien, par délai pour rien inutilement c'est comme ça que c'est comme ça que Crois les mécréants. Malheur aux mécréants. Qu'ils redoutent l'enfer qui les attend. Allah dit, allons nous mettre, ceux qui croient et font des actions vertueuses, au même niveau que ceux qui sèment le désordre sur terre, à nous mettre les pieux au même niveau que les pervers abadades. Jamais. Ceux qui croient ça, ils ont eu une mauvaise opinion envers Allah. On va s'arrêter là, Inch'Allah. Et on se revoit vendredi soir. Bid'nillahi ta'ala. S'il y a des questions, on va les laisser après la prière. Inch'Allah. Et on fera passer en priorité les questions des sœurs s'il y en a. Car mon expérience m'a appris que les sœurs ne posent pas beaucoup de questions. Et pourtant elles ne comprennent pas beaucoup non plus. Vous allez me dire comment je sais ? Je le sais parce que j'ai fait passer des contrôles. Et j'ai vu dans les contrôles qu'il y en a qui ne comprennent pas grand chose.