Transcript for:
Résumé du chapitre 1 : La vie devant soi

on va résumer le premier chapitre du livre La vie devant soi de Romain gar le narrateur est un petit garçon du coup le ton d'écriture du livre est un peu surprenant parce qu'il fait beaucoup de fautes il fait des fautes de français il fait des fautes à la fois de de grammaire et de vocabulaire il utilise des mots surtout et ça c'est très drôle avec ce qui pourrait paraître un contrreesens mais en réalité ces desessens caché je vais relire la première phrase et après on fera vraiment le résumé de ce livre mais c'est pour qu'on comprenne un petit peu comment il est écrit pour qu'on puisse apprécier son humour et aussi pour apprendre les mécanismes qui permettent de comprendre les sens cachés dans des récits alors je relis cette première phrase la première chose que je peux vous dire c'est qu'on habitait au 6e à pied et que pour Madame Rosa avec tous ces kilos qu'elle portait sur elle et seulement deux jambes c'était une vraie source de vie quotidienne avec tous les soucis et les peines alors c'est drôle parce que déjà il dit avec tous ces kilos qu'elle portait et seulement de jambes on a presque envie de se dire comme si on prenait le point de vue du petit garçon qui raconte c'est dommage qu'elle n'ait que de jambes quand même il lui en aurait fallu plus pour porter tous ces kilos là alors qu'en réalité évidemment dans le monde sérieux et logique tout le monde n'a que deux jambes ce qui est embêtant c'est qu'elle est en kil à porter il dit que c'est une source de vie quotidienne la vie quotidienne logiquement en bon français ça veut simplement dire ce qu'on vit chaque jour mais lui qui est petit il vit dans un monde où on a associé la vie quotidienne avec des problèmes dans son esprit quand on dit bon bah c'est la vie quotidienne ça veut dire bon bah voilà c'est les problèmes de tous les jours et du coup il fait un raccourci en associant ces deux termes et il termine comme ça avec avec tous les soucis et les peines je vais pas expliquer comme ça tout le livre phrase par phrase parce que sinon on narrivera jamais au bout mais c'est ça qui fait que ce livre il est vraiment unique et exceptionnel allez on attaque donc notre narrateur est un petit garçon il vit chez Madame Rosa il commence avec ses souvenirs les plus lointains il se rappelle à peu près il a pris conscience de la vie quand il avait à peu près 3 ans il dit que il y avait beaucoup de juifs et d'Arabes dans le quartier de Belville mais que Madame Rosa elle était quand même obligée de monter ses escaliers toute seule c'est drôle et c'est poétique aussi de prendre le point de vue d'un enfant qui est tout petit et qui se dit c'est pas possible avec tout le monde qu'il y a ici c'est ma pauvre madame Rosa qui est obligé de monter toute seule son escalier et on découvre que Madame Rosa elle joue sur une corde ce sera comme ça pendant tout le livre c'est le chantage affectif parce que quand elle en a marre de monter ses escaliers et qu'elle en peut plus elle dit que c'est pas possible et qu'elle va mourir dans l'escalier et alors il dit que tous les enfants se mettent à pleurer parce que c'est normal c'est ce qu'on doit faire quand quelqu'un meurt et ce petit enfant qui s'appelle Momo il a un problème c'est qu'il vient de découvrir alors plus tard autour de 6 ou 7 ans que Madame Rosa s'occupe lui de lui en échange d'un mandat ça veut dire en échange d'argent qui est payé chaque mois par par quelqu'un qui lui demande de bien vouloir élever ce petit garçon alors il est très triste parce que il croyait que Madame Rosa l'aimait gratuitement et il se rend compte que elle est payée ça n'empêche pas Madame Rosa de l'aimer bien quand même on se rendra compte évidemment plus loin dans le livre mais lui de son point de vue c'est inadmissible et il se met à pleurer Madame Rosa essaie de le convaincre et elle lui dit que la famille de toute façon ça veut rien dire il y a même des gens qui abandonnent leur chien là c'est évidemment encore à mourir de rire parce que les gens qui abandonnent leur chien a priori ne sont pas de la famille du chien après pour le consoler elle lui dit qu'il estisse qu'elle de plus cher au monde et lui plus cher ça lui fait penser à l'argent et il se remet à pleurer ensuite on découvre un autre personnage qui sera aussi important dans le livre c'est Monsieur Hamil et lui il a toujours le sourire alors le petit Mohamed tout le monde l'appelle Momo demande à Monsieur Hamil pourquoi il a toujours le sourire et il répond c'est parce que quand j'étais jeune j'ai aimé une dame qui s'appelait Jamila on s'est aimé 8 mois et puis après elle a dû déménager et je remercie Dieu de ne jamais l'avoir oublié parce que mon souhait le plus grand c'est de jamais l'oublier et que c'est Dieu qui tient la gomme a effacé donc j'ai beaucoup de chance de me rappeler de cet amour et le petit Mohamed lui demande mais est-ce qu'on peut vivre sans amour là il écrit il devait penser que j'étais encore interdit au mineurs et qu'il avait des choses que je ne devais pas savoir alors c'est pas lui qui est interdit au mineur bien évidemment mais c'est il considère que Monsieur Hamil le trouve trop petit pour lui dire des choses qui sont dures à entendre dans la vie et que pour lui c'est quelque chose qui est associé avec l'idée de interdit au mineur donc c'est les fameux raccourcis dont je parlais au début de du résumé de ce chapitre et à la fin donc le petit Mohamed insiste et il demande à Monsieur Hamil est-ce qu'on peut vivre sans amour et il finit par dire oui et il baisse la tête comme s'il avait honte ensuite on découvre donc que le petit momo est un enfant arabe qu' est élevé par Madame Rosa qui est née en Pologne comme juive et elle s'est défendu au Maroc alors c'est un mot qui sera utilisé très souvent dans le livre et on va comprendre que ça veut dire se prostituer mais le petit Momo qui ne sait pas exactement ce que c'est utilise ce mot-là parce que probablement on l'a associé pour lui avec l'idée que dans la vie il faut bien se défendre c'està-dire faut bien s'en sortir d'une façon ou d'une autre ensuite il raconte toujours qu'il grandit et qu' prend petit à petit conscience de son environnement et d'un coup il réalise qu'il n'a pas de mère il y en a d'autres enfants dans la pension chez Madame Rosa qui eux ont des mères mais lui n'a jamais de visite il a un copain qui s'appelle Le Maout qui vit visiblement avec son père qui cherche à se justifier qui s'excuse de l'avoir fait naître en disant que autrefois il y avait pas d'hygiène alors que maintenant il y a une pilule c'est encore un raccourci d'associer l'hygiène de vie avec la contraception et puis c'est un petit peu étrange aussi de voir que les les adultes s'excuse d'avoir fait naître les enfants et puis au bout d'un moment le petit Momo se met à voir des crampes de mal de ventre parce qu' il a entendu que quand les enfants ont mal au ventre leur maman viennent s'occuper d'eux et lui du coup ça ça semble être presque inconscient chez lui ça lui fait des grandes crises de mal de ventre et il espère que sa mère va arriver mais évidemment elle ne vient jamais donc du coup il se met à défquer partout dans l'appartement les autres enfants présents se mettent à limiter et Madame Rosa qui était déjà vieille et fatiguée elle le prenait très mal parce qu'elle avait déjà été persécutée comme juive il est quand même génial romain gar et du coup il dit que quand elle arrivait en haut des 6 étages avec ses 95 kg et ses deux pauvres jambes qu'elle entrait et qu'elle se sentait mauvais dans tout l'appartement elle se laissait tomber avec ses paquets dans son fauteuil et elle se mettait à pleurer car il faut la comprendre et là il dit que Madame Rosa elle disait que si les Allemands avaient dû se affronter un peuple entier qui avait réagi comme ces enfants-là et ben ils auraient pas résisté et ils auraient quitté la France et quand ils st s'assentait mauvais elle criait c'est achwitz c'est achwitz parce qu'elle avait été déportée c'est des choses très graves mais mari il est plein de talent et il parle de ces choses-là avec simplicité et avec ensuite le petit Momo qui ne se démonte pas essaie de se trou de se faire remarquer en volant et évidemment il veut toujours se faire attraper et quand il se fait attraper il se met à crier il prend une claque et du coup il est content parce que quelqu'un lui a accordé de l'attention et un jour il va dans une une épicerie à l'étalage et il vole un œuf et là la patronne sort elle va vers lui et lui il se prépare à prendre une claque elle s'accroupit à côté de lui et elle lui caresse la tête et elle lui dit mais qu'est-ce que tu es mignon alors lui au début il se dit qu'elle essaie de récupérer son œuf par la ruse de la voir par la gentillesse alors il tient très fort l'œuf dans sa poche mais en fait elle évidemment elle est juste attendrie par cet enfant qui vole à l'étalage et du coup elle va chercher un autre œuf et elle lui donne ensuite elle l'a embrassé et lui ça lui a donné beaucoup d'espoir du coup il a passé toute la journée à attendre devant le magasin et parfois elle le regardait et elle lui souriait et il termine en disant que lui il a cru que c'était pour la vie mais en fait ce n'était que pour un œuf et avant de terminer ce premier chapitre on va découvrir un autre personnage c'est Madame Lola alors madame Lola c'est un travesti qui vient du Sénégal qui a été champion de boxe et qui se prostitue et du coup Madame Rosa elle est partie faire un faux témoignage pour lui parce que il y a un client qui était mal tombé comme sadic parce que il pouvait pas savoir encore une fois il y a plein de raccourcis qui sont faits dans le le récit de ce petit garçon et on comprend que Madame Lola elle a mis une raclé à ce fameux sadic ça va être aussi un personnage très attachant dans ce livre et la dernière phrase du chapitre je vais la lire c'est je vous parlerai encore plus de Madame Lola c'était vraiment une personne qui n'était pas comme tout le monde car il y en a je l'aimais bien pour ça fin du résumé du premier chapitre on va résumer très vite le chapitre 2 de la vie devant soi de Romain gar c'est toujours le le point de vue narratif de Momo qui nous parle de la vie quotidienne dans la maison de Madame Rosa à cette époque là ils sont SEP chez Madame Rosa il y en a deux qui sont à la journée c'est les enfants de monsieur Moussa qui est hboueur qui pose ses enfants le matin en même temps qu'il part travailler en l'absence de sa femme qui est morte de quelque chose ensuite il y a Michel qui a eu des parents vietnamiens et Madame Rosa dit qu'elle ne le gardera pas un jour de plus mais elle dit ça depuis un an parce que c'est un enfant pour lequel les mandats n'arrivent pas ensuite il dit que Madame Rosa parfois elle place les enfants dans des familles qui sont dans le besoin parce qu'elles se sentent seules d'ailleurs le petit Michel il a été placé dans un restaurant et donc Momo il dit qu'il a vu défiler plein d'enfants mais il y en a que quelques-uns qui sont restés de façon plus ou moins définitive il y a lui Moïse et le vietnamien avant qu'il soit placé je vais encore faire une apartée mais je vais la faire rapidement on pourrait trouver par exemple que c'est un peu abusé d'appeler un enfant noir ou de tenir des propos qui peuvent sembler raciste comme un petit peu Madame Rosa mais Romain Gary c'est quelqu'un à qui on peut pas faire ce reproche là parce que lui il est inattaquable parce que Romain gar il a tellement aimé les gens les hommes en général mais surtout les femmes en particulier et toutes les ethnies toutes les communautés il a réussi cet exploit absolument extraordinaire vu le contexte et l'époque dans laquelle il est né d'avoir un vrai respect pour les gens et ce malgré le vocabulaire d'ailleurs dans ce chapitre il va encore parler des prostituées il en parle dans tous ses livres mais Romin Gary il est quand même unique c'est le seul qui arrive à en parler sans condescendance sans mépris sans édulcorer la situation non plus et je suis encore en train de disgresser donc je ferme la parenthèse et je reprends mon résumé donc il y a une scène qui est géniale où Madame Rosa attrape le petit Momo et le coince dans le petit endroit alors il dit que déjà Madame Rosa elle est tellement étendue que le petit endroit paraît encore plus petit quand elle est là elle le trouve précoce en tant qu'arabe j'ai sauté une phrase dans la lecture et elle veut lui faire la morale pour lui dire d'arrêter de de pousser les autres enfants à réclamer leur mère et elle va lui faire un petit peu la morale en lui disant qu'il se comporte comme un meneur et que les meneurs vont toujours en prison et qu'elle veut qu'il soit honnête et sans délinquence juvénile ensuite il y avait le petit qui ne recevait plus de mandat depuis longtemps mais il s'en foutait parce qu'il avait 3 ans et des sourires et Madame Rosan pouvait pas le renvoyer parce que elle aurait pu se passer de lui mais pas de ses sourires donc du coup elle gardait les deux et elle mandatait Momo pour accompagner dans les foyers africains pour qu'il puisse voir du noir parce qu'elle dit qu'il en a besoin pour grandir parce que sinon plus tard quand il sera adulte il ne pourra pas s'associer et donc Madame Rosa elle demande à Momo de l'aider et de se comporter en grand puisque c'est l'aîné elle lui parle aussi de de ce que font vraiment leur mère à mot couvert et lui il montre qu'il en sait déjà beaucoup et il lui dit que elle aussi elle s'est prostituée quand elle était jeune et belle et là il dit que ça l'imut madame Rosa qu'on lui dise qu'elle a été jeune et belle et elle dit mais je suis vieille et malade et j'ai eu que des ennuis depuis que je suis sortie d'oswitz et là il dit elle était si triste qu'on voyait même pas qu'elle était moche du coup il la prend dans ses bras et Madame Rosa elle est émue on voit qu'il y a beaucoup de tendresse entre elle et les enfants qu'elle gardent et du coup il sort en disant bon euh est-ce que j'ai compris que je peux pas avoir de mère mais est-ce que je peux ramener un chien à la place alors évidemment elle dit qu'il en est pas question elle dit vous voyez déjà le nombre qu'on est là-dedans et avec quoi je vais le nourrir qui sait qu' va m'envoyer des ma pour le chien il dit à un moment au sujet de Madame Rosa que dans le quartier les gens disent que c'est une femme sans cœur et lui il dit bah c'est vrai que c'est une femme sans cœur ça fait 65 ans qu'il y a personne pour s'en occuper comme si finalement le fait d'être sans cœur elle en était plus victime que responsable parce que elle n'a personne pour l'aimer pas d'homme en tout cas et donc pour finir ce chapitre il va dans un Chenile il demande pour caresser un chien il fait sa petite tête qui sait bien faire et à la fin il s'enfuit en volant le chien et il dit que s'il y a bien une chose qu'il a appris c'est à courir parce que sans ça sans courir on peut pas s'en sortir dans la vi on va résumer très vite le chapitre 3 de la vie devant soi de Romain Gary le petit Momo a pris un chien d'abord il lui cherche un nom il sait pas comment l'appeler Tarzan Zoro et il l'appelle provisoirement super parce que il a beaucoup d'excès et du coup il faut absolument qu'il mette ça en quelqu'un il le met dans le chien mais il garde la possibilité de changer de nom si jamais il trouve le nom idéal parce qu'il pense qu'il y a peut-être quelque part un nom qui attend et ce chien il se met à l'aimer comme pas possible il l'aime il l'adore et tous les enfants dans la maison l'aiment aussi sauf qui lui aimait déjà tout et était déjà heureux sans avoir le chien parce que il avait pas de malheur particulier il dit d'ailleurs que n'est peut-être pas normal parce que il a 4 ans et il est toujours heureux et donc un jour il se met sur le trottoir avec son petit chien et il y a une femme riche qui demande si le chien est à vendre et la femme lui dit oui enfin lui dit oui à la femme et elle lui donne 400 francs il lui demande 400 francs ensuite il jette les 400 francs dans les égoutts et il dit que chez Madame Rosa c'était pas une vie pour un chien et c'est très émouvant parce que on se rend compte qu'il y a quand même SEP enfants qui vivent dans les mêmes circonstances que ce que ce qui n'est même pas acceptable pour un chien parce qu'il dit avec l'assistance qui menace sans arrêt de saisir les enfants c'est pas drôle de vivre toujours dans la peur et en plus avec Madame Rosa qui est malade elle peut mourir à chaque instant et ensuite l'argent il le jette dans une ou des gooût et alors madame Rosa quand il rentre et qu'il explique ça elle est complètement terrorisée et elle a peur que cet enfant soit un psychopathe et qu'il finisse par lui trancher la gorge d'ailleurs elle dort en s'enfermant à clé et elle va aller chez le docteur cat où c'est un médecin avec une barbe qui est très gentil qui soigne les gens du matin au soir et même après et donc là on va comprendre qu'il y a quelque chose qu'on retrouvera à la fin du livre parce que Madame Rosa a peur qu'il soit fou et que ce soit de famille mais le doctur docteur la rassure et lui dit que c'est plutôt elle qui doit prendre des tranquillisants que c'est un enfant tout à fait normal il lui demande si il a beaucoup de si elle il lui demande si il fait beaucoup de crise de violence elle dit pas du tout sil pleure souvent elle dit non il ne pleure jamais à ce moment-là il se met à pleurer parce que il vient me dire que il y a rien qui va arriver et rien qui va arriver de façon horrible et dramatique mais lui il se dit que finalement ça veut dire qu'il va rien arriver dans sa vie il comprend de travers et ça ça lui donne envie de pleurer et finalement donc du coup il rentre à la maison et lui il est au bras de Madame Rosa et Madame Rosa est toujours très fière quand elle est en compagnie même si elle est en compagnie juste d'un petit garçon de 8 ans elle se tient elle se pavane très fière et il dit que elle a mis des beaux habits et que elle s'est aussi maquillé mais que dans son cas ça ne sert plus à rien parce qu'il y a plus rien à cacher et il rentre chez eux et encore une fois elle dit qu'elle veut pas mourir dans l'escalier et le petit Momo dit comme si c'était si important que ça de finir les six étages et c'est le la fin du résumé du chapitre 3 on va résumer le 4e chapitre du livre La vie devant soi de Romain gar paru sous le pseudo de Émile hajard donc ce chapitre démarre avec un une petite description du foyer africain où se rend parfois le petit Momo parce que en fait il a une visite à son appartement de Monsieur enda enda améé précisément qui est-ce que l'enfant appelle un proxinette ce qui est avec son langage d'enfant sa façon de parler des hommes qui s'occupent des femmes qui seent défend et on se rappelle ce que ça voulait dire pour être plus explicite pour que tout le monde comprenne bien de quoi il s'agit c'est de prostitution c'est un sujet qui est assez grave assez triste mais c'est raconté avec humour et légèreté et surtout parce que c'est vu dans les yeux de l'enfant et donc lui du coup il s'imagine que c'est des hommes qui prennent soin des femmes c'est pour le moins discutable mais en tout cas il est certain qu'il y en a certainement qui sont plus correcte que d'autres et du coup notre petit Momo lui il imagine que s'il avait connu sa maman il aurait pu lui s'en occuper et dans tout ce chapitre il va être justement à la recherche de sa mère et d'essayer de comprendre ses origines d'abord il y a un passage où Madame Rosa va descendre dans ce qu'elle appelle son trou juif en fait c'est une cachette parce que elle a connu la Seconde Guerre mondiale et du coup elle a très peur d'être capturé et déporté et du coup elle a dans une cave aménagé un espèce de petit coin avec un lit un fauteuil et des tonnes de réserves de nourriture des pommes de terre des sardines et cetera et il y a un passage très drôle où elle descend à la C et du coup Momo la suit parce que elle est terrifiée elle se lève avec une terreur nocturne et comme elle est en panique elle va aller se cacher dans son trou juif donc c'està-dire dans sa cave et le petit gamin qui voit que bah la dame qui s'occupe de lui est terrorisée il a peur aussi et du coup il la suit parce qu'il a trop peur de rester tout seul dans l'appartement il se met à descendre derrière elle les six étages et quand la minutterie s'arrête et ben elle rallume la lumière et lui chaque fois il a peur parce qu'il se retrouve dans le noir et à un moment donc il la poursuit sans qu'elle le voit la lumière s'éteint et c'est lui qui rallume alors alors évidemment Madame Rosa elle a peur parce qu'elle se doute qu'il y a quelqu'un qui la suit mais elle est complètement sonnée on voit qu'elle a été traumatisée par la guerre donc du coup elle est dans un état second et elle continue à descendre à aller là-bas et lui quand il va la voir qui est si heureuse dans son fauteuil tout cassé caché dans la cave il va sourire et il dit qu'il n'a plus peur parce que la peur c'est contagieux et du coup quand Madame Rosa a peur il a peur et quand elle est rassurée lui il est rassuré aussi ensuite il va y avoir un grand dialogue avec Monsieur Hamil monsieur Hamil il est algérien il était vendeur de tapis et il aime beaucoup Momo qu' l'aelle Mohamed et il prend soin de lui Madame Rosa elle demande à Monsieur Hamil de lui lire le Coran parce qu'elle dit que c'est important que il sache qu'il est arabe et du coup il dit qu'il les remercie pour leurs origines parce que lui la question des origines c'est très compliqué il a été placé quand il était bébé chez Madame Rosa donc on suppose et lui-même suppose que sa mère était aussi une prostituée parce qu'en général ce sont les prostituées qui cachent leurs enfants chez Madame Rosa et elle leur fait faire des faux papiers donc lui il dit à Monsieur Hamil comment tu sais que moi je suis arabe et que je m'appelle Mohamed et que je suis musulman ça veut dire que tu connais mes parents et Monsieur Hamil botte toujours en touche il lui cache l'origine de ses parents on comprend qu'il y a un drame autour de la naissance du petit Momo mais on ne sait pas lequel précisément alors Monsieur Hamil il lui dit bah écoute tu as qu'à imaginer que ton père c'est un héros de l'indépendance algérienne et qui est mort au combat et Momo il lui dit oui mais bon moi je préférerais quand même avoir un papa qui n'est pas un héros plutôt que d'avoir un héros mais que je ne connais pas et il dit à un moment est-ce que mon père il a fait quelque chose d'horrible et c'est pour ça que personne a tellement tout le monde a tellement peur de lui qu'on ne peut même pas m'en parler et là Monsieur Hamil se fâche et il dit c'est n'importe quoi et au bout d'un moment il s'arrête de parler et il ne lui raconte plus mais ils sont très proches tous les deux d'ailleurs avant d'arrêter de parler monsieur Hamil va encore lui parler de Nice et Nice ça paraît le le vill la ville de rêve il raconte qu'il y a des mimosas partout que les colombes elles sont tellement heureuses de vivre qu'elles battent des ailes c'est comme quelqu'un qui applaudissait et il va comptait encore quelque chose de très drôle le petit Momo un jour il avait convaincu Moïse et un autre enfant qui était en pension chez Madame Rosa de partir à Nice à pied donc on imagine Paris Nice à pied pour des enfants c'est à peu près impossible et du coup ils se sont mis en route pour aller vivre là-bas et il dit mais finalement quand on est arrivé à la place Pigal donc c'est veut dire qu'ils ont fait un petit bout de chemin dans Paris mais encore pas un grand bout il dit on est rentré parce qu'on avait peur on était trop loin de chez nous évidemment Madame Rosa a dit que ils allaient la rendre folle et il dit mais vous inquiétez pas c'est juste une expression et on voit que euh Momo en plus de son parcours on voit qu'il a une histoire qui est compliquée mais en plus de ça il a quelque chose d'autre de spécial c'est que Monsieur Hamil lui dit toi tu vas devenir un poète parce que tu es différent des autres et on le lit à travers ça et c'est un petit peu aussi euh l'expression de l'auteur qui lui aussi a traversé beaucoup euh euh d'horreur a vu des choses terribles mais qui pose dessus un regard qui est poétique on se demande des fois si c'est pas un peu abusé si c'est pas de la naïveté de euh donc voilà le le chapitre se termine comme ça avec Momo qui est en recherche de ses origines et il y a aussi un problème par rapport à son âge il n'est pas scolarisé cet enfant et ça c'est un problème parce que Madame Rosa fait faire des faux papiers par son ami juif qui faisait des faux papiers pendant la guerre et en général elle fait scolariser tous les enfants mais lui la première fois ils avaient un peu cafouillé ils ont dit qu'il était trop petit par rapport à l'âge que ils avaient mis sur ses papiers la deuxième fois il était trop grand et la troisième fois que l'école ce n'était pas fait pour lui donc du coup cet enfant n'est pas scolarisé il se malade dans son quartier il parle arabe avec Monsieur Hamil donc il il a l'air d'avoir quand même certaines capacités parce que c'est pas tout le monde qui peut apprendre une langue comme ça juste en entendant un petit peu parler il a des grandes aptitudes sociales il a beaucoup de caractère mais il vit quand même un peu en marche de la société voilà fin du résumé de ce chapitre 4 on va résumer le 5e chapitre du livre La vie devant soi il y a un nouveau personnage qui s'appelle monsieur Henda améé ce monsieur c'est un proxénet il est originaire du Nigéria et il vient parfois le dimanche pour dicter des lettres à Madame Rosa et dans ces lettres il écrit à sa famille qui est restée sur place dans son pays à quel point il a réussi des choses exceptionnelles évidemment il dit pas son véritable métier il dit que il construit des ponts qu'il construit des routes et cetera et il va chez Madame Rosa parce que c'est la seule devant qui il peut avouer qu'il ne sait pas lire et écrire ce monsieur il a aussi la particularité d'avoir deux gardes du corps dont un qui d'après le narrateur le petit momo est un faucheton l'autre c'est plus rapide il dit c'est un ancien boxeur il y a plus rien qui est à sa place les yeux sont plus droits et cetera et l'autre il le trouve qu'il a l'air malhonnête qui change tout le temps de visage qui n'a pas l'air d'être quelqu'un de sincère et c'est avec ce garde du corps là qu'il y aura un problème à la fin de ce chapitre il dit aussi que le dimanche c'est un jour particulier parce que il y a des mamans qui viennent récupérer leurs enfants et il dit contrairement à ce qu'on imagine parfois les prostituées sont des bonnes mamans parce que la tendresse de leurs enfants ça les change de leurs clients et de leur mode de vie habituel et parfois elles en prendent elles en prennent grand soin mais Momo lui personne ne vient jamais le chercher il ne connaît rien ni sur sa maman ni sur son papa donc il est déjà dans des mauvaises dispositions et ce qui va se passer c'est que Monsieur Henda méé le proxénet vient pour dicter sa lettre et dans les gardes du corps il y en a un qui chaque fois lui dit ah tu me fais penser à mon fils tu lui ressembles et cetera et il va le prendre sur les genoux et il va lui dire mon fils il est en vacances à Nice avec sa mère et il va bientôt rentrer ce sera son anniversaire on va lui offrir une bicyclette il lui dit toi je t'aime bien tu lui ressembles viens un jour chez nous pour jouer avec mon fils et Momo va faire une crise il dit qu'il a une violence à l'intérieur de lui et que quand il sent la violence qui vient de l'intérieur c'est la pire il dit parce que la violence qui vient de dehors on peut s'en protéger mais quand ça vient du fond de soi on peut pas se défendre et du coup il s'est mis à taper à hurler taper dans les meubles ce jeté par terre et cetera quand le garde du corps lui a proposé de venir jouer il dit que lui non seulement il a pas de bicyclette mais il a même pas ni de mère ni de père alors que c'était un petit peu il pense que en fait ce garde du corps probablement qu'il était maladroit qu' avait pas d'intention de nuire mais lui il dit que c'était vraiment le dernier des salots de venir lui faire miroiter des choses que lui n'aura jamais et donc il finit par se calmer au bout d'un moment et Madame Rosa comme chaque fois elle l'emmène chez le docteur Catz en disant qu'il est héréditaire évidemment héréditaire c'est un objectif c'est quelque chose qui est héréditaire et ce qu'il a d'héréditaire qui n'est pas cité on suppose que c'est sa violence donc on imagine qu'il a eu un papa qui était violent mais on ne sait pas encore ce qu'il a fait et le petit garçon lui-même ne le sait pas et d'ailleurs c'est une grande question pour lui de comprendre quelles sont ses origines et à la fin le docteur dispute Madame Rosa lui prescrit des tranquillisants en lui disant que c'est elle qui doit se relaxer un petit peu et qu'elle devrait avoir honte de l'accuser et il rentre main dans la main à la maison avec Madame Rosa qui d'après lui culpabilise un peu d'avoir osé l'accuser alors qu'il n'avait rien fait et c'est la fin du résumé de ce chapitre on va résumer le chapitre 6 de la vie devant soi de Romain Gary donc dans ce chapitre qui est très court Madame Rosa rentre de chez le médecin et c'est elle qui prend les tranquillisants et du coup Momo le narrateur il trouve que c'est la preuve que c'est une bonne nounou entre guillemets puisqu'elle garde des enfants parce que c'est elle qui se prend des tranquillisants plutôt que d'autres qui font le même travail qu'elle qui prennent jusque 10 gamins par jour mais qui shootent les enfants et du coup c'est les enfants qui sont sous tranquillisants il raconte qu'il y a même une maman qui a retiré son enfant parce que il avait pris tellement de tranquillisant qu'il tenait plus debout alors elle dit il raconte il dit on le mettait debout il tombait par terre on le remettait debout il retombait et il dit on pouvait jouer avec lui comme ça c'est évidemment toujours c'est tout le temps comme ça dans dans ce livre c'est de l'humour sarcastique parce que évidemment c'est pas drôle de de récupérer un enfant qui est complètement drogué ensuite il raconte que des fois Madame Rosa elle se prenait tellement de tranquillisant qu'elle s'asseyait dans le fauteuil et elle calculait plus rien de ce qui se passait autour d'elle et que quand un enfant passait devant elle parfois elle faisait un petit signe de la main ou un petit sourire comme si ça avait été un train qui passe et du coup dans ces moments-là c'est Momo qui fait la comment la loi un petit peu c'est lui qui gère les autres enfants et il aime bien parce que ça lui donne un air supérieur il dit qu'il surveille surtout àce que les enfants ne mettent pas le feu au rideau parce que les rideaux c'est le truc auquel tous les jeunes les les enfants euh veulent mettre le feu en premier bon et à la fin il va raconter quelque chose c'est que Madame Rosa elle a subi un traumatisme on comprend que elle a été raflée elle dit qu'elle a été embarquée au au Vélodrome d'hiver c'est là où ils avaient rassemblé tout plein de juifs qu'ils avaient récupéré dans la ville de Paris pour les envoyer en déportation et euh du coup elle elle a peur des coups de sonnettes parce qu'elle a peur que ce soit les Allemands qui débarque chez elle et Momo il dit c'était je regrette de pas avoir connu l'époque des nazis et des SS parce que au moins à cette époque- làà on savait pourquoi et maintenant on ne sait pas comment est-ce qu'on peut comprendre ce passage c'est déroutant parce que il se rend compte que c'était horrible et en même temps il dit qu'il aurait voulu connaître cette horreur parce que je pense que ce qu'il veut dire c'est que à cette époque-là on savait ce qu' avait à combattre on savait où était le mal et on pouvait lutter contre alors que le drame c'est que le mal il est à l'intérieur des des hommes pas que les nazis malheureusement et du coup quand il y a des choses qui sont dures ou qui sont tristes et ben des fois on sait pas comment lutter contre par exemple la la misère ou alors ces fameux enfants qui sont placés chez une nounou avec aucune maman pour s'occuper d'eux donc du coup les enfants qui sont un peu taquins s'amusaient à sonner très tôt le matin pour lui faire peur et elle du coup elle sautait ça le fait bien rire parce que il dit qu'elle faisait déjà plus de 95 kg et qu'elle bondissait du lit et elle commence à descendre l'escalier parfois elle va jusqu'en bas parfois elle s'arrête au premier étage et elle remonte et parfois encore et il dit ça c'est encore le plus compliqué ça venait pas de l'extérieur mais ça venait de l'intérieur ça ça ça veut dire qu'elle a eu un justement ce fameux traumatisme et que elle a le sentiment elle pense entendre un coup de sonnette mais c'est seulement dans ses rêves c'est une illusion et du coup elle vit la même angoisse la même peur elle descend tous les étages elle va se cacher dans sa cave et cette fameuse cave il a parle encore un petit peu dans ce chapitre il dit Queau début il imaginait qu'il y avait un trésor à l'intérieur et il dit ça ce serait bien d'avoir un trésor d'avoir quelque chose qui est rien qu'à soi et qui est bien à l'abri mais en fait il y a il y a rien du tout il y a juste le nécessaire pour loger une personne des boîtes de conserves un pot de chambre et cetera et un jour il va aller explorer et Madame Rosa va le rejoindre elle va le trouver dans son sa fameuse pièce à la cave qui est cachée et elle va lui dire au début en rigolant que c'est sa résidence secondaire mais qu'il doit en parler à personne et à la fin elle va lui expliquer que c'est ce qu'elle appelle son trou juif c'est l'endroit où elle pense qu'elle ira se cacher si jamais les nazis reviennent pour pas se faire attraper et déporter en même temps je vais revenir sur une phrase de ce chapitre c'est que un exemple parmi d'autres bah tiens je je vais en dire un autre d'abord avant par exemple il parle à un moment de la dame qui a retiré son enfant qui était dans une pension clandestine pour enfant de prostitué et il dit c'était une portugaise africaine tout le monde sait bien que le Portugal n'est pas en Afrique probablement qu'il parle d'une femme d'origine africaine qui était passée par le Portugal on ne sait pas trop et à un autre moment il dit les Juifs sont très accrocheurs surtout quand ils ont été exterminés ce sont ceux qui reviennent le plus alors cette phrase c'est un gros humbreoglio il y a plein d'idées mélangées comme ça peut ça ça reflète tout ce qui est mélangé dans la tête du petit Momo alors qu'est-ce qu'il veut nous dire il parle de Madame Rosa qui n'oublie pas tout ce qu'elle a vécu pendant la guerre il appelle ça être accrocheur de s'accrocher à une ancienne idée après il dit surtout quand ils ont été exterminés là il veut dire que elle est partie en camp d'extermination mais de toute façon si elle est encore là vivante pour en parler c'est qu'elle en est revenue et il dit ce sont ceux qui reviennent le plus alors chacun peut l'interpréter comme il veut moi je pense que ce qu' veut dire c'est que ceux qui sont les plus accrochés à la vie c'est ceux qui sont revenus vivant de ces fameux camps parce que peut-être ils avaient une certaine force pour lutter pour leur survie qui était un petit peu exceptionnelle et du coup tout ça pour dire qu'est-ce qui ressort quand on lit ces chapitres là est-ce que tous ces personnages dont il parle le petit Momo qui est arabe et musulman sa Madame Rosa qui était juive et qui était revenue d'un camp de concentration la prostituée qui était portugaise et africaine ou encore dans les premiers chapitres quand il y avait un Sénégalais boxeur traversti qui était aussi reconverti dans la prostitution qu'est-ce qui ressort de tous ces personnages il en parle avec un langage cru avec des mots qui pourraient paraître être des insultes parce que c'est le point de vue de cet enfant et cet enfant c'est le vocabulaire dans lequel il baigne mais on voit que il en fait des portraits plutôt tendres de ces personnages il nous pousse à nous attacher à eux quand on lit tout ça on est attaché à Madame Rosa on voit que elle fait comme elle peut dans dans les malheurs les divers malheurs qui sont les siens pour s'occuper de ses enfants et toutes les les mère qui abandonnent plus ou moins leurs enfants pour se prostituer on comprend bien que c'est des vies qui sont quand même assez misérables et pourtant il est pas forcément il nous renvoie pas quelque chose où on se met à les détester et c'est tout le talent de Romin gar c'est de réussir à jongler avec ce ce langage parlé parfois cru sans être jamais insultant dans le fond il n'est pas insultant et il décrit très bien tout ce monde-là voilà on va arrêter là le résumé de ce chapitre 6 et on lira très bientôt un suivant on va résumer le chapitre 7 de la vie devant soi de Romain Gary alors le petit Momo il aime bien aller dans la salle d'attente du docteur Katz il l'a déjà dit dans un chapitre précédent et c'est l'occasion de décrire un petit peu encore la population qui avait dans la salle d'attente et encore une fois c'est très drôle parce que par exemple il dit que comme il y a des gens qui viennent de partout dans le monde il ramèneent des maladies vénériennes exprès pour bénéficier de la sécurité sociale ce qui est bien évidemment ironique et une façon de se moquer un petit peu de ceux qui ont ce genre d'idée parce que personne fait exprès d'être malade pour se faire soigner ensuite il dit encore quelque chose de très drôle il dit les maladies vernériennes on peut les avoir en public c'est ce qu'on appelle aujourd'hui les MST mais il y a d'autres maladies qu'on doit garder chez soi comme par exemple la grippe ou la coqueluche ou la scarlatine et il dit que lui-même d'ailleurs comme il passait beaucoup de temps dans la salle d'attente bah ça lui est arrivé d'attraper une scarlatine ou une coqueluche je sais plus qui ne lui était pas destiné ensuite il va raconter quelque chose qui est très mignon c'est que Madame Rosa elle fait parfois des faux papiers pour placer les enfants pour éviter que soit la famille plus ou moins éloignée les oncles les tantes soit des mèes dénaturées on va expliquer après ce qu'elle appelle comme ça viennent les récupérer pour les empêcher d'être être heureux bon ce qui est tout à fait illégal bien évidemment donc les onclé tantes elle dit que parfois ils veulent les récupérer pour pas faire voir dans le quartier qu'ils ont pas de cœur et qu'ils ont abandonné les enfants et les mères dénaturées parce que elles n'ont pas l'instinct d'aimer leurs enfants comme par exemple les lionnes et là il y a encore un dernier petit passage où il dit qu'il s'imagine une lionne qui sonne à la porte et qui rentre pour défendre ses petits parce que il a un grand besoin d'affection et du coup il s vente une grande lionne qui viendrait le défendre et il dit d'ailleurs la lionne elle est réputée pour ça elle pourrait se faire tuer pour des défendre ses petits et puis si elle le faisait pas et ben ça nuirait à sa réputation donc cette fameuse lionne il l'a fait venir et il raconte cette histoire et les autres petits qui loge avec lui chez Madame Rosa il dit que ils ont parfois peur parce que les lions c'est réputé pour manger il dit qu'est-ce que vous voulez il faut bien qu'il se nourrisse aussi alors du coup les enfants ont peur mais il réussi à les amadouer en expliquant que c'est une bonne lionne qui vient protéger ses petits et il dit que il la laisse lécher les autres en premier parce que c'est lui l'aîné et qui doit prendre soin des autres enfants placés là-bas mais Madame Rosa va faire va mettre le Hut là va arrêter ce délire de Lyon qui rentre parce que ça lui fait peur alors que quand même elle sait bien que c'est pas la réalité qu'il y a pas une lionne qui vient vraiment que c'est uniquement dans l'imaginaire du petit Momo mais elle lui dit les rêves de quand on est enfant ça devient des des cauchemars quand on est vieux et elle quand elle imaginait une lionne qui rentre dans son appartement ça lui donnait des terreurs nocturnes il dit aussi qu'elle avait un système de plus en plus nerveux le système nerveux revisité par le petit Momo et donc le chapitre se termine comme ça en disant que lui et elle n'imaginent pas du tout la même lionne fin du rés