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Conférence sur anamnèse et tempéraments

Après, au niveau des tempéraments, je te comprends parce que toi, en fait, les tempéraments, tu ne t'en sers pas parce que tu te sers de l'anamnèse pour identifier les points de blocage. Mais si tu veux, moi, je le comprends comme ça. Les tempéraments, c'est un outil qui te permet d'identifier quelles sont les forces et les faiblesses d'un individu, mais ce n'est pas pour le mettre dans des cases. Ce sont des outils qui te servent à acquérir de l'information sur une personne. Mais si tu fais une anamnèse correcte, Si tu observes bien, en réalité, tu n'as pas besoin des tempéraments, mais je pense que c'est juste un outil pour faciliter la lecture d'un individu.

Ce n'est pas pour le mettre dans des cases, mais c'est vrai qu'il y a beaucoup de naturopathes qui pensent que c'est un outil magique et qu'en gros, au sanguin, il faut lui donner du cru végétal et qu'au nerveux, il faut lui donner des protéines animales, alors que ce n'est pas du tout ça la finalité. C'est basé sur rien, on a tous besoin des mêmes nutriments. On a tous le même système digestif, donc oui, je te comprends. On revient à ce qu'on avait dit dans la dernière vidéo, par rapport à l'article que j'avais écrit, quels sont les besoins de l'homme ? Oui.

Tu vois ? Je veux dire, quelle que soit la morphologie de la personne, personne ne peut péricliter, comme on dit, personne ne peut, je veux dire, au niveau de sa santé, ne peut avoir une santé optimale s'il part sur des protéines végétales. Tu le sais très bien qu'il est obligé de se complémenter.

Donc déjà, tu vois, de là, dès le départ, tu vois, ce que j'allais te poser comme question, c'est une fois que tu as vu le morphotype, qu'est-ce que tu en fais, quoi ? Je veux dire, à quel moment au niveau tu viens de le dire, tu vois ? Eux, ils te disent, bon, mais voilà, s'il est comme ça, c'est qu'il est comme ça. S'il est tempérament nerveux, il faut lui donner à manger plutôt des légumes. On va repartir sur la Seventh Advantage Church, tu vois, ce que disait, ce que prônait Kellogg's et ce que prônait cette secte de cette église.

qui prônaient de ne plus donner de protéines animales aux gens pour les faire passer à la protéine végétale parce que soi-disant, ils se masturbaient de trop. Et qu'ils ne voulaient pas qu'il y ait de... Enfin voilà, on revient à l'explication qu'on avait donnée la dernière fois.

C'est complètement farfelu, ça repose absolument sur rien. Et surtout, pourquoi je le remets en cause, c'est qu'au final, j'ai observé le morphocide. J'ai une personne obèse, mettons, en face de moi. Donc, on va dire peut-être même qu'elle est gonade parce que...

Si ça se trouve, elle a enflé au niveau des hanches. Pour reprendre un peu les terminologies qu'on utilise un peu en naturopathie. Si je m'en occupe, tu vois bien par rapport à l'exemple que je te donne par rapport à ce routier, en 15 jours, il a perdu 5 kilos.

Là, j'en ai un, il a 20 kilos. Ce n'est plus le même bonhomme. Je te montre les deux photos, tu me dis que c'est deux morphologies et deux morphotypes différents.

Donc, aux deux personnes, tu vas donner deux régimes différents. Aux deux personnes, tu vois ce que je veux dire ? Alors que c'est la même personne. Au final, c'est la même personne. C'est juste qu'elle est, dans l'histoire de sa vie, à une étape X.

Mais ce n'est pas définitif. C'est ce qu'on disait la dernière fois par rapport à la maison maladie. Ce n'est pas une maison que tu es censé habiter à vitam aeternam. C'est une maison dans laquelle tu es à l'instant T.

Mais si tu décides d'en sortir, à ce moment-là, oui. Et moi, je trouve beaucoup plus pertinent l'approche en médecine fonctionnelle qui consiste à… gérer l'exposome, à prendre en compte le contexte et l'environnement de la personne et y apporter les changements et après comme on disait c'est pas le genre de truc que tu vas faire facilement, je veux dire c'est simple de trouver la formule mais il faut encore que la personne me suive et je reprends l'exemple justement de ce camionneur qui m'a appelé hier, mais impressionnant je veux dire le type, il a eu parce qu'il a entendu parler de moi, parce qu'il a vu cette vidéo... qu'il a suivi un petit peu ce qui se passait.

Et quand je lui ai parlé, il ne s'est pas dit, bon, je me méfie de ce gars-là. Il s'est dit, non, je suis venu voir un gars en qui j'ai confiance, à qui je vais donner la main et qui va m'emmener vers la sortie. Et après, là, il en a encore pour 15 jours, justement, pour qu'on refasse encore une consultation et qu'on voie un petit peu l'évolution.

Mais j'adapte, tu vois. Je ne reste pas juste sur mes vérités à moi, tu vois. L'approche en médecine fonctionnelle, elle n'est pas auto-centrée sur le thérapeute. En fait, elle est participative. C'est-à-dire que je vais jeter l'hameçon, il va accrocher, il va faire ce qu'il a à faire, et puis on fait un bilan.

Au bout de 15 jours, comment tu t'es senti ? D'ailleurs, je te disais tout à l'heure, après la détox, c'est toujours la première question que je pose. Quelles ont été tes réactions ?

Qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce que tu as eu contre lui ? Et en fonction de ça, on a juste ensemble après.

Est-ce que, voilà, une question bête, il est marié, j'ai demandé est-ce que ta femme participe avec toi ? Est-ce que tu as réussi à la faire joindre ? Et parce que sa femme aussi a des problèmes. Ah ben non, tu vois, elle n'est pas motivée. Je dis, il n'y a pas de souci.

Mais dis-toi bien qu'à long terme, si vous restez tous les deux dans un régime différent, ce n'est pas tenable. Tu vois bien, dans un couple, tu vas t'asseoir avec quelqu'un à table, tu vas tendre la main, tu vas essayer de choper un truc, tu vas pouvoir manger du pain, à un moment donné, tu vas en prendre du pain. Tu vas avoir une glace passée, à un moment, tu vas la prendre aussi, la glace. Comme je dis, le changement, il se fait progressivement, il ne se fait pas en une seule fois. La personne, elle doit adhérer à ton plan d'attaque.

Et j'allais te dire un autre truc qui m'est complètement passé à côté. Oui, plutôt que de baser sur la volonté, en fait, et ça, c'est un principe important aussi en médecine fonctionnelle, plutôt que de baser sur la volonté, la volonté, ça ne marche pas. C'est-à-dire que si tu as fait tes courses et que dans ton frigo, tu as des glaces, ce qui est mon cas en ce moment parce que j'ai les petits, ils m'ont fait un peu cher et leur mère, elle n'est pas là. Donc, j'essaie de faire un petit peu, voilà.

Et je leur ai mis des glaces. Mais je te garantis que le soir, je dis, tu sais, j'ai un truc, je dis… et une glace en frigo. Et de suite, tu as cette espèce d'envie, tu sais, c'est comme un démon qui te parle, une espèce de was-was, comme disent les musulmans, tu vois, une espèce de murmure dans tes oreilles et qui est incessante, tu vois. Donc, si tu te bases juste sur la volonté, tu n'y arriveras pas. Le mieux, c'est toujours de baser sur l'organisation.

Tu mets en place une routine en faisant bien tes courses, tu vois, en commençant à bannir des aliments que tu ne vas plus acheter. J'ai eu le cas avec un petit de 16 ans. Écoute bien.

Il a 16 ans, 190 kilos. Je n'ai jamais vu ça. Le gamin, tu sais quoi ? Il est assis.

Il est assis, les jambes écartées. Du genou jusqu'au burne, j'allais dire. Il a les pieds qui se touchent. Il a les jambes qui se touchent, qui sont collées comme ça. Tu imagines ou quoi ?

Il a 16 ans. Alors, le père, il me dit, Ouais, moi, j'en peux plus. C'est lui, c'est machin.

Je dis, d'accord, c'est lui. Je dis, qui c'est qui fait les courses ? Il a le permis, le gamin ? Il me dit, non, il n'a pas le permis.

Je dis, s'il n'a pas le permis, c'est toi qui fais les courses, non ? Oui, mais il me demande. Ah, d'accord, OK. Donc, c'est lui qui fait la loi.

Je veux bien, tu sais, avec l'époque moderne où on vit, l'enfant roi, qu'il ne faut pas être autoritaire, il faut laisser le gamin se développer tout seul, faire ce qu'on veut. Et à un moment donné, tu es obligé de poser un cadre, tu le sais. Bien sûr. Voilà, je te jure. Mon gamin, un jour, il revient sans basket de l'école.

Sans basket, il est revenu pieds nus. Je ne sais pas comment ça se fait. Là, je te jure, on a fait 15 jours de rentrée. Il en est à deux trousses. Deux trousses, il a perdu.

On a fait 15 jours. Deux trousses. À un moment, on fait quoi, là ?

On dirait. On ne parle pas avec le gamin, on ne l'interpelle pas. Et là, c'est la même chose. Tu prends ce gamin qui a 16 ans, 190 kilos. Est-ce qu'il y a un moment donné, toi, tu remplis le congélateur de...

de glace, tu mets des chips de partout, tu mets des bonbons de partout, tu mets des trucs. Qu'est-ce que tu crois qu'il va se passer avec cet enfant ? À quel moment, toi, en tant que parent, tu l'es venu en aide ? Après, je sais bien qu'on passe notre temps, mais à un moment donné, il faut poser les trucs.

Eh, garçon, t'es mon fils, je vais t'expliquer. Parce qu'en plus, au-delà même du poids, imagine ce gamin qui va à l'école. Tu sais comment c'est cruel à l'école.

Surtout au collège. Au collège, il fait deux pas, tu en as 20 qui sont morts de rire derrière lui, tu le sais comme ils sont, le harcèlement. Et le petit est teint, tu vois, avec son téléphone portable comme ça. Il y a tout un tas d'attitudes, tu vois. Tu me parlais de morphotype.

Moi, je base plus sur l'observation, tu vois, sur le comportement, sur ce que fait la personne, pendant même que je suis en train de faire l'anamnèse avec cette personne. Et des fois, je le fais en visioconférence et tout. Pendant même que je fais cette visioconférence, et même avec certains élèves, il y en a une qui nous suit, et d'ailleurs, elle verra certainement la vidéo. et qui m'a rejoint. Elle n'a pas voulu faire de cours, elle a voulu juste prendre le truc où elle faisait les études de cas, mais sans avoir fait le truc.

Je lui ai dit, OK, vas-y, prends le, elle le fait. Dès le premier jour, je savais que j'allais avoir des problèmes avec cette personne. Parce qu'il y a une attitude, il y a une façon de faire, il y a une façon... Tu sais, quand tu as quelqu'un qui vient te demander quelque chose, que ce soit en tant qu'éducateur ou que ce soit en tant que thérapeute, tu sens si la personne... elle vient pour demander ton aide et si elle va l'accepter.

Et si elle accepte ton aide, il faut qu'elle accepte aussi tes règles. Je reviens même à l'éducation par rapport aux gamins. Le gamin, il faut qu'il les accepte.

Il y a un moyen après de les faire accepter. Tu discutes et tout ça. Puis après, il y a aussi la punition.

Je veux dire ça. Mais ça, tu ne peux pas le faire avec un client. Mais tu peux lui expliquer par contre que s'il ne suit pas. Je te donne l'exemple de cette personne que je suis en train de suivre. Je lui ai dit, si tu ne suis pas ce que je suis en train de te proposer, tu vas vers de graves problèmes.

à long moyen terme, tu vas vers d'énormes problèmes. Donc voilà, tu vois, c'est... Après, les gens, tu ne peux pas les aider s'ils n'ont pas envie d'être aidés. Moi, ce que je fais généralement après la première consultation avec une personne, c'est que je fais mon retour de mail et je n'oblige pas, mais je propose à chaque fois un nouveau rendez-vous à la personne, mais je lui laisse la possibilité.

Mais je veux juste qu'elle soit claire avec moi et qu'elle me dise, Jérémy, OK, je veux partir avec toi pour un accompagnement. Ou alors, écoute, Jérémy, ça me suffit ce que tu m'as donné au niveau de l'anamnèse, je m'arrête là. Mais il y a plein de gens qui ne me répondent pas.

Ça m'est déjà arrivé, tu vois, qui ne te répondent pas ou qui font les choses à moitié ou qui reviennent trois mois après. Moi, j'aimerais que ce soit clair, tu vois. Soit tu pars avec moi pour un accompagnement et on va faire quelque chose. Soit tu es venu voir parce que ça peut arriver. On a tous acheté des services ou des produits pour essayer.

Puis, on n'a pas continué. Mais moi, je veux juste savoir à quoi m'en tenir, quoi. Et généralement, tu sens bien les gens.

Tu le sens tout de suite. Dans la réponse, dans l'engagement, dans les mots, tu sens directement si quelqu'un est impliqué. Et généralement, ça ne rate pas.

100% des gens qui reviennent avec la bonne attitude, tu me diras ce que tu en penses, ton expérience. Mais généralement, il ne faut pas 15 séances pour qu'il y ait du mieux. C'est clair, je suis complètement d'accord avec toi.

C'est ce que je te disais justement par rapport à cet élève juste avant et par rapport à certains clients qui viennent me voir. C'est vraiment dès le début, tu le sais. Tu sais qu'il y a tout un processus, et ça, je l'enseigne dans la formation en fait. la personne déjà quand elle vient te voir si elle n'a pas déjà envisagé il faut déjà qu'elle l'envisage avant même de commencer parce que comme je t'expliquais pour faire le changement il faut changer petit et tu ne le feras pas tout d'un coup tu le fais progressivement mais il faut déjà que dès le départ il faut qu'il y ait une adhésion moi presque limite des fois presque je joue un rôle et j'adapte mon rôle à la personne que j'ai en face de moi des fois tu as besoin de faire plus d'empathie des fois tu as besoin d'être un petit peu plus sévère Un petit peu plus, c'est Père Fouettard qui explique et qui pose. Parce que, je ne sais pas si tu l'as remarqué, ça aussi, dans tes prises en charge, des fois, tu vois des personnes, si tu les laisses faire, elles te hijackent.

Elles te prennent en otage, elles te prennent dans leur monde et elles t'entraînent dans leur délire. Donc, ce n'est plus un truc où tu es dans le participatif, où tu échanges, c'est elles qui te noient de tous ces problèmes, de tous ces trucs. Et là, tu n'en sors plus, en fait.

Et si... toi tu ne prends pas la direction parce qu'il faut qu'il y ait quelqu'un qui pilote dans un échange et surtout dans un bilan de santé, il faut que tu prennes le contrôle, il faut que tu arrives à amener la personne, voilà si elle est trop dans le truc où elle va se plaindre il faut la sortir de là il faut de suite lui imposer tu es dans cette situation, ok on est d'accord, mais aujourd'hui on fait quoi ? est-ce qu'aujourd'hui tu es prête à faire tel changement ? est-ce qu'aujourd'hui tu es prête ?

Je t'avoue que je suis comme toi et c'est le plus difficile, mais je te l'avais expliqué la dernière fois. Je m'oriente plus maintenant vers une formule de prise en charge sur long terme que sur un truc ponctuel. Je pense que le truc ponctuel, c'est singer le docteur et il faut complètement qu'on sorte de ça parce que ce n'est pas du tout adapté.

Surtout quand tu prends en charge des maladies auto-immunes, quand tu prends en charge des surpoids. Et comme je te disais tout à l'heure, c'est participatif. Tu vois, c'est en plusieurs étapes.

Là, tu vois, avec la personne avec qui je te parle, en 15 jours, je lui ai déjà parlé trois fois. Et ça, c'est important parce que lui, sinon, tu vas passer trois mois, il va être tout seul. Il y a peut-être même, tu sais, ce n'est même pas une volonté de vouloir changer ce que tu lui as proposé. Il y a peut-être des trucs qui se sont mélangés dans sa tête.

Il va peut-être partir sur une formule de ce qu'il a compris. Parce que c'est entre ce que tu dis, ce que lui saisit et ce qui est réellement, il y a toujours un décalage. Et c'est pour ça que...

Tu sais, les formules que tu proposais où c'était des formations et tout ça, je pense que c'est une super idée. C'est un super truc à faire. Et je pense que c'est l'avenir même de notre profession à nous. C'est-à-dire de proposer une formule santé. Mettons, tu peux l'appeler comme tu veux, mais genre maladie auto-immune.

Je vous propose tel truc. Pourquoi je vous le propose comme ça ? Parce que si je vous donne juste le truc, je n'ai pas fait mon métier.

J'ai juste fait de l'allopathie. Je vous ai donné de l'allopathie verte. Je vous ai filé quelques herbes et quelques trucs. Mais au bout d'un moment, dans 15 jours, dans un mois, peut-être que tu en auras besoin.

Je te dis ça parce que, par exemple, pour les maladies auto-immunes, on utilise un régime qui s'appelle le paléo auto-humain. L'AIP, ça s'appelle. Et c'est super parce qu'en fait, dès le début, tu élimines un maximum de choses.

Et après, petit à petit, il faut que tu ramènes un aliment après l'autre. Et tu vois, ça te permet de voir, grosso modo, et on élimine énormément de choses. Les courgettes, tout ce qui est les morelles et tout ça, les œufs, machin. C'est énorme au début. Limite, je faisais ça avant, mais maintenant que j'ai trouvé ce truc, je suis en train de changer plus vers là.

Mais je faisais ça avant en mettant sur carnivore ou sur céto, et après, petit à petit, avec un aliment, essayer de ramener et essayer de voir un petit peu ce qui les a perturbés. Et là, c'est un peu le cas avec l'auto-humain parce que c'est beaucoup plus spécifique du fait même, par exemple, qu'on supprime les œufs. Dans un truc carnivore, tu ne vas pas les supprimer. Et tu sais que c'est une allergène qui revient très souvent. Et là encore, tu vois...

pour parler de ton morphotype. l'allergie elle ne s'arrête pas en morphotype elle touche tous les morphotypes mais ça va dépendre de quoi ça va dépendre de la façon dont elle est née césarienne, pas césarienne si elle est née dans une ferme, pas dans une ferme si sa mère était une maniaque de la javel il y a énormément de choses qui vont rentrer en compte avant même la forme de ton corps ou la forme de ta tête et toi du coup tu penses que c'est important alors tu fais comment pour gérer ça ? d'être sans arrêt, d'être très fréquemment en contact.

Est-ce que c'est quelque chose qui s'espace au fur et à mesure du temps ? Est-ce que tu es beaucoup en contact en début et puis de moins en moins ? Comment tu planifies ça ?

Exactement, c'est ça en fait. Au début, tu es obligé d'avoir plusieurs. Donc la première, comme je t'ai dit, c'est quand elle rentre en contact avec moi.

En général, il m'appelle au téléphone parce qu'il trouve mon numéro et tout ça. Donc directement, il m'appelle. Là, à ce moment-là, on a une première approche.

Déjà, tu as un premier instinct. Le type t'explique grosso modo au téléphone, voilà, je vous contacte pour tel, tel problème parce que si ça, ça, ça fait tant d'années que si ça, ça, ça. OK, d'accord, pas de souci.

Là, tu lui envoies un questionnaire. Donc là, c'est immédiat. Le questionnaire, en général, ils essaient de te l'envoyer le plus tôt possible, mais c'est vrai que ça peut prendre des fois, ça peut prendre 15 jours et c'est chiant parce que plus c'est long et plus tu vas perdre cette espèce de connexion que tu avais avec lui, tu vois, plus que physique, même métaphysique, tu vois.

Il y avait un lien, il y avait une intuition, il y a quelque chose qui était en train de se construire. Et si la personne, elle met 15 jours, 3 semaines à te recontacter et à te renvoyer le questionnaire, ça peut apporter un problème. Mais bon, en général, on rafraîchit un petit peu, on y retourne. Et c'est vrai que ça te revient.

Après, ça dépend de ta mémoire et tout ça. Bon, après, sitôt qu'il m'a rempli ça, le questionnaire, et que moi, j'ai eu la première approche, je regarde s'il me faut des analyses ou s'il me faut des trucs supplémentaires, complémentaires pour vraiment étoffer un petit peu ma... ma thèse et ma théorie, et pour pouvoir comprendre un petit peu ce que je vais lui proposer.

Ensuite, une fois que j'ai réuni tous les documents, là, je lui envoie son anamnèse, donc sa proposition, et je lui dis, voilà, quand est-ce qu'on peut se donner rendez-vous ? Je lui dis, est-ce que lundi ou mardi, c'est bien. J'essaie de fermer parce que sinon, ça va te reporter à des trucs, et là, c'est fini.

Entre tes clients, tes élèves, tes machins, là, c'est un truc de dingue. Donc, il vaut mieux le garder frais. J'essaie d'avoir ça.

Donc, une fois que j'ai ça, Je lui dis, OK, on se donne rendez-vous tel jour, à tel jour. Et là, franchement, je lui donne tout le temps qu'il veut. Je ne lui impose pas 45 minutes ou une demi-heure.

Mais bon, j'orientais, je ne me laissais pas entraîner dans un truc ou sinon il va te raconter sa vie de quand il est né jusqu'à... Mais voilà, on en a pour à peu près. En général, ça dure, grosso modo, une heure si on n'est pas trop avare. Là, du coup, il a toute son explication.

Je lui demande de répéter pour être sûr qu'il a bien compris ce que j'attends de lui. Est-ce que tu as bien compris que pendant 10 jours, tu vas faire ça ? Oui, oui. Est-ce que pendant… Oui, oui, oui.

Donc, après les 10 jours, moi toujours, après la détox, après la période de nettoyage qui dure en général 10 jours, on va dire 10 à 15 jours, après cette période, on redonne un rendez-vous téléphonique succinct, mais qui me permet d'avoir une idée de ce qui s'est passé, quelle réaction il y a eu, d'avoir vraiment une idée de ce qu'on a fait et verrons où on va. Une fois que j'ai ça, je dis bon, mais OK, tu passes à la phase 2. La phase 2, c'est une prolongation de la phase 1, mais en plus soft et différent, en moins agressif. Et la continuation de l'adaptation alimentaire et certaines petites choses qu'il a changées.

Ensuite, là, quand on a fait ce rendez-vous, donc en général, c'est à 15 jours, quand on a fait ce truc à 15 jours, là, je lui donne un mois. Donc, à un mois, ça me permet d'avoir une idée. Et surtout, je leur dis de ne rien changer pendant les mois. l'autre il voulait commencer à prendre du miel à prendre du truc je lui dis reste tranquille laisse le bazar comme on l'a mis on va attendre voir un petit peu comment tu en es parce que tu sais comment ça se passe avec les cibos avec les candidoses et trucs c'est pas le genre de truc des fois qui s'éteignent d'un coup donc il vaut mieux garder un petit peu sur la longueur et éviter d'aller trop nourrir ses bactéries et essayer de ramener une symbiose tu sais que les deux facteurs importants au niveau des intestins c'est la barrière intestinale...

et la symbiose. Et ça, vraiment, c'est un truc que j'essaie de rétablir à tout prix. C'est pour ça que je lui dis, maintenant, tu as un mois, tu fais exactement comme on est parti, tu arrêtes absolument le traitement de choc d'éléphant que je t'ai donné pendant 10 jours, tu stoppes là, et là, tu continues après. Et après, au 1 mois, les maladies auto-immunes, en général, j'aime bien les garder 3 mois.

Sachant que, tu vois, c'est au 1 mois après. Donc là, il aura 1 mois pour faire son truc. Et après, un mois après, il me recontacte.

Et là, normalement, en trois mois, on a une idée. Et c'est vrai que je l'ai testé, ça, notamment avec des Hashimoto, notamment avec tout un tas. C'est des cas sévères, des cas assez lourds, qui sont quand même assez difficiles à prendre en charge, mais avec lesquels j'ai de super résultats.

Et une fois que la personne, elle a retrouvé la santé, parce que des fois, ils oublient ce que c'est la santé. C'est vrai. Quelqu'un qui a été malade pendant des années, il retrouve... Là, le type, hier, au téléphone, je te jure, presque limite, il m'a fait chialer. Il était content et tout.

Je te jure, j'étais là. Je me dis, c'est magique, ce métier. C'est vrai, c'est magnifique. Tu te rends compte, 15 jours, tu as modifié la vie du gars. Et là, c'est vraiment un bonheur de faire ce genre de métier.

Je pense que ni toi, ni moi, on est venus ici par hasard. On n'est pas là. On ne rentre pas dans ce genre de métier en se levant un matin en se disant aujourd'hui, je vais être naturopathe Je pense que c'est quelque chose vers lequel on est guidé.

Après, c'est l'autre côté spirituel du truc. Mais je pense qu'il y a des personnes qui sont faites pour le faire. Et c'est très bien. C'est très, très, très bien. Au niveau des bilans de santé, j'avais une autre question.

Est-ce que ça t'arrive de demander des analyses complémentaires ? Et sinon, quel type d'analyse est-ce que tu fais faire le plus souvent ? À part peut-être le bilan sanguin.

En général, ça va être quoi en fait ? C'est déjà glycémie. Mais la glycémie, tu sais que tu ne peux pas juste te concentrer sur un seul élément.

Tu sais que tu as le taux glycémique. Après, tu as les triglycérides. Et après, il y a un truc avec lequel je discutais.

avec Georges Mouton l'autre jour, c'était l'hémoglobine, comment on appelle ça ? Je vais te le retrouver. L'HPA ? Non, l'HPA, c'est l'hémoglobine, l'hémoglobine, c'est l'AE, je ne sais plus comment c'est appelé.

L'HPA1, c'est ça, exactement, l'HPA1, l'hémoglobine glycée. Et c'est vrai qu'en ayant plusieurs facteurs comme ça, entre la triglycéride, entre le... le taux de sucre dans le sang entre l'hémoglobine glycée, c'est vrai que ça nous donne une bonne image pour savoir si la personne, par exemple, est en résistance à l'insuline.

C'est un des facteurs. Après, un autre truc suivant les facteurs de la personne que j'aime bien demander, c'est l'homocystéine. Pour l'inflammation ?

Le côté dommageable de la chose. c'est que tu n'es pas remboursé par la sécurité sociale. Par contre, ça, ça te donne un taux.

Quand tu as un taux d'homocystéine élevé, ça veut dire que soit ton cycle de Krebs ne se fait pas, soit tu as une carence en vitamine B12. Et c'est vrai qu'on utilise aussi souvent ce test pour avoir une indication sur la vitamine B12. Et ça, ça peut être important en fonction de la personne que tu es en face. Et là, c'est là encore que j'insiste, en fonction de l'épigénétique, donc en fonction de la génétique, surtout en fonction des antécédents. Le docteur Georges Mouton, lui, il utilise beaucoup les génotypes.

Mais nous qui ne sommes pas médecins, c'est difficile d'avoir ce genre d'analyse. Moi, je fais toujours passer par des médecins pour qu'ils me fient les analyses. Mais c'est vrai que j'ai du mal. Après, c'est un long débat. J'espère qu'un jour, on l'aura avec Georges Mouton sur les génotypes.

Mais c'est vrai que lui, il utilise beaucoup. Moi, beaucoup moins parce que déjà, ce n'est pas mon métier. Et de deux, c'est très difficile pour nous de les obtenir.

Mais après, sinon, tu as les trucs basiques comme la vitamine D. Tu sais que la vitamine D, c'est majeur. C'est majeur.

On doit avoir une idée du taux de vitamine D de la personne. Et en rétablissant les taux de vitamine D, je te garantis que franchement, des fois, ça fait de grosses différences. Après, c'est le taux de fer dans le sang. Oui.

J'aime bien, voilà. Après, tu as la TSH, T3 et T4. Tu vois, c'est le genre de truc qui va être un gros, gros indicateur pour t'éviter de faire fausse route, tu vois, pour avoir une idée.

Même si... Autrement, tu vas de suite comprendre au niveau de la thyroïdie et tout ça. Mais c'est toujours bien d'avoir une idée à ce niveau-là.

OK. Après, qu'est-ce qu'on a dit ? On a dit la vitamine D, on a dit le fer, on a dit le sucre, on a dit l'homocystéine.

Et après, ça va être... Tu vois, dernièrement, j'ai quelqu'un qui s'est fait injecter. Je ne dis pas le mot machin parce que je n'en ai pas un. Donc......

Quelqu'un qui s'est fait injecter avec la sauce tomate qu'il donne à tout le monde. Et donc, en fonction de ça, il y a quelques problèmes de santé qui sont apparus. Et je ne sais pas si tu connais ce test, mais ça s'appelle le test d'Edimer. Alors, le test d'Edimer, ça permet d'évaluer la coagulation du sang.

Ce qu'on s'est rendu compte, en fait, c'est que la protéine Spike, elle se mélange carrément à l'épithérial. donc au niveau des veines, au niveau de la circulation, donc à l'intérieur, à l'intérieur des veines, et en se mélangeant, et spike, tu sais ce que ça veut dire en anglais, ça veut dire pointe. Ça fait des pointes au niveau des artères.

Il y a des médecins qui ont analysé justement la composition sanguine après l'injection de vitamines, donc après cette injection. Et ils se sont rendus compte que non seulement l'apparence et la construction du sang étaient complètement modifiées, de l'aveu même de cette toubib. en 35 ans de carrière, elle n'a jamais vu ça. Et elle a constaté aussi de la construction de graphène, donc l'oxyde de graphène et tout ça.

Donc, si tu veux, en fait, en faisant le dédimère, on s'est rendu compte, avec pas mal de gens, que ces gens étaient en train de coaguler. Donc, ils étaient en train de faire, tu le sais, soit des AVC, soit des cardiopathies, et ça se joue sur les... comment ça s'appelle ? sur les toutes petites veines, tu vois.

Et c'est très difficile à voir. Donc, c'est pour ça que faire le test des dimers, c'est important, si la personne s'est fait injecter. OK, d'accord. Et ça, va savoir si le médecin va le prendre en charge et tout ça.

Mais après, voilà. Après, ça dépend de la personne et tout ça. Mais souvent, tu sais, quand ça doit t'arriver toi aussi, quand les gens reviennent avec leurs analyses sanguines, tu vois qu'il y a énormément de choses qui ne servent à rien.

les histoires de cholestérol, mais des pages et des pages, et toujours les mêmes, toujours, toujours, je te jure, depuis que j'ai commencé ce métier, c'est incroyable, le nombre d'analyses qui ne servent à rien, qui ne sont pas du tout pertinentes, c'est assez flippant. Et après, ouais, je dois m'oublier, mais dans les principales analyses, je pense que oui, en ayant ça, la TSH, le fer, le taux de sucre dans le sang, voir s'il y a une résistance à l'insuline, le taux de vitamine B12. On peut même demander dans certains cas l'hypoprotéine A.

C'est toujours dans le même genre de truc pour vraiment décéder s'il y avait un problème au niveau du cycle de crêpes et tout ça. C'est toujours très intéressant. Et je ne sais pas s'il y en a d'autres qui me reviennent en tête que je fais de pertinent.

Mais grosso modo, la base, ça reste ça. Il y a des gens qui font tester les nutriments comme le magnésium. Comme machin.

Mais bon, c'est très aléatoire, très difficile à gérer comme truc. Et comme je te dis, si je me rends compte qu'il y a un problème au niveau de la barrière intestinale et qu'il y a une carence en certains micronutriments, si j'ai certains micronutriments qui manquent, tu peux être pratiquement garanti que les autres aussi vont manquer. Surtout quand on a ce genre de problème. Donc, je m'attarde surtout à venir réparer ça, mais bon, voilà.

Et tu disais que toi, ce qu'il y a vraiment au centre de ta prise en charge, c'est le rétablissement de la santé intestinale. Est-ce que tu as des signes, est-ce que tu as des marqueurs qui te permettent d'évaluer la santé intestinale d'un individu ? Comme je t'ai dit tout à l'heure, on peut passer par les tests, les tests de SIBO, tu les connais, les tests respiratoires, le coup de souffle et tout. Mais avant d'arriver au test, comme je te disais tout à l'heure, tu as toujours l'intuition.

Et quand tu fais… une anamnèse et que tu poses la question à la personne parce que dans mon questionnaire je l'ai tout en bas j'ai tout un tas de questions pour l'interface digestive et dedans je demande si par exemple si la personne elle fait de l'alternance entre la constipation et la diarrhée ça peut être un signe tu vois déjà si elle a des ballonnements tu vois si elle a de la voilà combien de fois elle va au toilette par jour tu vois il y a tout un tas d'indicateurs qui vont te mettre quand même sur la piste et là tu vas le tu vas le sentir mais même Même si je n'ai pas ce genre de symptômes, quelle que soit la personne, même si par exemple, j'ai une personne qui veut juste perdre du poids, je nettoie toujours. C'est comme si, je leur explique des fois en rigolant, c'est comme si je venais d'acheter un tapis, mais avant de le poser par terre, je vais passer la serpillère. Je vais bien nettoyer le sol, tout bien nettoyer. Et à ce moment-là, je viendrai poser mon tapis.

De la même manière, l'allégorie est bonne parce que tu vas nettoyer les intestins. Une fois que tu les as nettoyés, tu vas ré-ensemencer. Et quand tu es réensement, c'est comme si tu reposais une nouvelle moquette.

Une moquette saine. D'accord. Parce que ça, ça m'est déjà arrivé de voir des gens qui viennent me voir et qui sont allés chez des naturopathes et qui, en fait, n'ont pas eu un... Parce que toi, vraiment, ce que je comprends, c'est que tu fais vraiment une anamnèse. C'est-à-dire que tu expliques aux gens.

Je pense que ce que j'essaye de faire aussi, c'est vraiment de leur donner une... une cartographie de leur état de santé en fait. Parce qu'il y a plein de gens qui vont avoir des naturopathes et qui reçoivent juste une liste de conseils, de choses à faire, mais au final, ils ne comprennent pas ce qui se passe à l'intérieur d'eux.

Est-ce que pour toi, c'est important que la personne comprenne ? c'est problématique ou pas du tout ? Tu le sais bien, ce que je te disais tout à l'heure, c'est participatif.

Et qui dit participatif, il te faut l'adhésion de la personne. Comment est-ce que tu veux qu'une personne adhère si elle ne comprend pas ? Moi, je préfère qu'elle comprenne le principe, parce qu'une fois qu'elle a compris le principe, elle sait pourquoi, par exemple, elle doit éviter tel aliment.

Ce n'est pas une punition. Elle sait que ce n'est pas une punition. Elle sait que c'est l'explication. Des fois, je suis même très technique.

C'est mon côté aussi éducateur par rapport à l'école. C'est que je vais carrément expliquer l'anatomie. Je vais aller carrément au bout du bout, lui montrer, lui machin, le truc, lui… Après, tu le vois, si tu as l'attention de la personne ou pas.

Tu vois que la personne, elle bat, elle commence à tourner les yeux vers le ciel et tout ça. Donc là, au bout d'un moment, tu adaptes. En fait, c'est le prophète de l'islam qui disait ne parle aux gens qu'en fonction de leur capacité intellectuelle.

En fait… Tu vas t'adapter à la personne que tu as en face en fonction de sa capacité à comprendre certaines choses. Des fois, il faut faire très simple. Des fois, il faut aller un petit peu plus au fond.

Et des fois, même du fait même de la personne que tu as en face, elle va poser des questions et elle va te pousser dans tes retranchements. Oui, mais telle personne m'a dit ça, alors pourquoi tu me dis ça ? Voilà, voilà, voilà. Là, j'ai eu le cas juste hier, une nouvelle cliente à moi, par rapport au relais. La meuf, elle me parle de lait d'amande.

Non, de lait de soja. Je lui dis, je suis désolé, ce n'est pas du lait. Ce n'est pas du lait. C'est de la pisse de soja.

C'est un jus, quoi. C'est un terme abusif parce que là, ça paraît anodin, mais tu as quand même un couple en Australie qui est au tribunal parce qu'ils ont nourri leur bébé avec du lait de soja et du lait d'amande. En pensant parce que c'est du lait. Donc, je ne donne pas du poison à mon fils et je donne du lait. J'ai donc du lait.

Mais ce n'est pas du lait. Ça n'a pas du tout les propriétés du lait. Ça n'a pas du tout les micronutriments du lait.

Moi, j'ai un fermier qui n'est pas loin, juste derrière. Je vais chercher chez lui, tous les 3-4 jours, je vais chercher mes 5 litres de lait. Mais la vache, elle broute de l'herbe.

Le lait, il n'est pas pasteurisé. Je fais du beurre même avec. Enfin, pas moi, ma femme. Je vais arrêter de mentir. Parce que c'est ma femme la spécialiste de ça.

Mais elle me fait du beurre. Le beurre, c'est... Ce n'est pas le beurre président. Rien à voir. Mais là, tu te lèches les babines.

Ce qui veut dire qu'en termes de micronutriments, tu es à un autre niveau. Et pourquoi se priver de choses ? Parce que, on ne va pas dire le nom, parce qu'une gourou de la naturopathie dit que le lait, c'est pour les veaux et que comme c'est la vache qui l'a fait, ça appartient qu'aux veaux. Ils n'ont rien compris à la métaphysique. Ils ne comprennent pas que le monde...

tel qu'il a été créé la pièce centrale du monde dans lequel on vit c'est l'homme et tout a été fait en proportion de lui d'ailleurs si les pieds de vache c'est pile la taille de la main il y a tout un tas de trucs, tu le vois bien on dirait que quelqu'un te dit tiens je te mets ça à ton service ça c'est à ton service fais-en ce qu'il y a de mieux je t'ai apporté ça pour te nourrir je t'ai apporté ça pour ton bienfait sinon on prend les chevaux par exemple pourquoi est-ce que les chevaux sont pile à la taille de ce qu'on devrait monter dessus Pourquoi est-ce qu'ils ne font pas la taille d'une montagne, les chevaux ? Je veux dire, il y a tout un tas de choses évidentes. Et puis même, sans s'arrêter juste au côté métaphysique de la chose, tu peux aller vérifier même avec la science. Et le lait, j'ai écrit un article, tu le sais, parce que beaucoup de gens pensent que le problème du lait, c'est le lactose.

C'est ce que te diront tous les diététiciens, tous les nutritionnistes et tout ça, que le problème, c'est l'allergie. ou l'intolérance au lactose. Mais on sait pertinemment que c'est la casseïne le problème.

En fait, si tu veux, dans la façon dont l'animal va manger, il va nous retranscrire quelque chose au niveau de la casseïne. La casseïne, c'est une protéine. Et donc, quand tu vas prendre la casseïne et que tu vas la démonter en chaîne d'acide aminé, dans cette chaîne d'acide aminé, tu vas avoir un segment de sept éléments qui vont te donner des opioïdes.

Et ces opioïdes-là, c'est eux qui viennent ralentir les intestins. C'est eux qui viennent créer des problèmes de péristaltisme. Tu peux le rencontrer dans le gluten et tu peux le rencontrer aussi dans la casséine. Et donc, quand tu prends un lait de type A1, qui est le lait de type classique que tu vas acheter au supermarché en Tetra Pak, ce genre de lait-là, bien sûr qu'il est nocif. Et bien sûr que si on le supprime, on va avoir des bienfaits au niveau, par exemple, des asthmatiques.

On allait tous les deux aborder aujourd'hui. le problème cutané, le problème de la peau. C'est le cas aussi, tu vois. Il y a énormément d'allergies, énormément de problèmes de peau qu'on arrive à bloquer en arrêtant ce genre de lait.

D'accord ? Il n'existe pas que ce type de lait, il n'y a pas que le type A1, il existe le type A2. Et ce type A2, c'est un certain type de vache, et surtout aussi c'est lié à la façon dont l'animal est nourri. C'est pour ça par exemple qu'une chèvre, tu ne lui feras jamais manger des choses qu'elle n'est pas faite pour manger.

C'est pour ça qu'ils les sortent dehors et tout, parce que les chèvres sont très difficiles et elles ne mangent que leur truc. Et donc le lait de chèvre, par définition, tu le donnes à quelqu'un même qui est allergique, même les femmes qui ont des problèmes pour allaiter. C'est un truc qu'on fait souvent, c'est de leur donner du lait de chair en y ajoutant quelques gouttes d'huile de poisson, par exemple. L'huile de poisson, on peut en rediscuter aussi parce que c'est un énorme problème. La plupart des huiles de poisson sont rances.

On se rend compte même au niveau de la synergie des micronutriments qu'il vaut mieux manger un poisson entier que de prendre des compléments d'huile de poisson. Là encore, on revient à ce qu'on disait, il vaut mieux toujours rétablir. un intestin sain, donner une adaptation alimentaire et se contenter du minimum au niveau des suppléments et des compléments. Moi, je limite ça, tu le sais très bien, à vitamine D, vitamine K2, magnésium, quelques trucs comme ça, et vraiment, ça se compte sur le doigt d'une main.

Après, tout ce qui est dire, bon, mais tu manques de la vitamine B12, je te donne la vitamine B12, c'est l'exemple que tu donnais par rapport à ce naturopathe qui va te filer une liste, une ribambelle de produits, et à la fin, tu arrives chez toi, tu te dis... comment je vais gérer ça il n'y a pas d'empathie au niveau du naturopathe il ne se met pas dans le côté pratique de la personne il ne se dit pas cette personne c'est une personne humaine elle va passer sa journée à surveiller 14h15 mange la gélule A 14h28 gélule B c'est irréaliste c'est irréalisable et au final c'est voie à l'échec et au final comme tu dis ça nous donne un sale nom parce qu'une personne qui a une expérience comme ça avec un naturopathe il va se dire mais... C'est quoi ces charlatans ?

Tu disais quoi ? Je dépensais une fortune et finalement, je suis pire qu'avant. Tu l'as déjà eu ce problème avec les gens, par exemple, qui viennent se traiter avec l'huile de ricin. Comment tu vas rétablir les intestins avec l'huile de ricin ? Quelle est la propriété active de l'huile de ricin qui va me permettre de rétablir un péristaltisme ?

Vraiment, franchement, j'aimerais bien qu'ils me répondent. surtout les gens qui connaissent en phytoaromathérapie qui connaissent aussi les plantes ils savent pertinemment qu'il y a des plantes qui sont beaucoup plus adaptées les gens de la médecine fonctionnelle l'ont compris tu prends, que ce soit criss-cresseur, que ce soit mouton il y en a énormément tout le monde pratiquement utilise la berbérine ils l'ont tous compris moi ça fait des années je l'ai découvert dans le désert la berbérine j'ai découvert par l'épine vinaigre quand j'habitais dans le désert, imagine c'est Je te jure que c'est phénoménal. Là, tu parlais de compléments et que tu n'en conseilles pas tant que ça parce que tu pars quand même comme moi sur l'hygiène de vie, mais j'aimerais quand même ton avis juste d'une manière générale.

Est-ce que tu penses que les compléments servent à quelque chose ? Problème délicat. Non, mais c'est vrai.

Comme je t'ai dit, nous, on est toujours spécifiques. On est toujours ciblés. individualisé par rapport à la personne.

Une personne qui a une réduction gastrique, par exemple, à qui on a réduit l'estomac. Tu sais très bien que le facteur intrinsèque, c'est ce qui produit la vitamine B12, qui va la créer au niveau de notre estomac. Ces gens-là, qu'est-ce qu'on fait ? Tu as beau nettoyer et tout, mais ces gens-là sont obligés de le prendre. Après, sous quelle forme ?

Je vais te donner l'exemple. J'ai eu à m'occuper plusieurs fois d'autistes. et un truc que j'aime bien faire c'est pendant que je leur nettoie les intestins parce que tu le sais, c'est complètement lié l'axe intestino-cérébral il n'est plus à démontrer c'est plus un truc d'ordre psychologique je veux dire l'autisme, on sait très bien qu'il y a une perturbation au niveau intestinal et la même manière pour la peau tu sais qu'il y a énormément de choses qui sont liées à l'intestin et que j'y porte énormément d'attention mais dans leur cas eux par exemple, j'aime bien leur donner de la vitamine B12... Mais qu'on injecte de la méthylcobalamine, il y a plusieurs types de vitamine B12.

C'est pareil pour le magnésium, il y a plusieurs types. C'est pour ça qu'il faut vraiment être intelligent au niveau de la supplémentation. De quoi on parle et de qui on parle ?

À qui j'ai affaire et de quel type de supplément je parle ? Et dans quelles conditions ? Donc, si on prend...

Cet exemple de cette personne qui a un problème au niveau intestinal et à qui on a fait une réduction intestinale, c'est absolument pertinent de lui donner une supplémentation. Ce n'est pas l'idéal, ce n'est pas ce que j'aurais rêvé pour lui, mais il y a un moment donné, oui. Mais par contre, la personne qui arrive chez moi, qui a une carence en vitamine B12, que je constate en faisant mon test d'homocystéine, je constate qu'il y a ça. Est-ce que mon premier réflexe en tant que thérapeute, si tel est mon titre en tant que thérapeute, est-ce que mon premier réflexe, c'est de suite de dire, il te manque vitamine B12, je te donne vitamine B12.

Est-ce que ça marche comme ça ? Je ne crois pas. Tu sais qu'il y a des facilitateurs, il y a une synergie entre les micronutriments. et il y a des facilitateurs.

Tu sais, par exemple, on ne te donnera jamais, par exemple, du magnésium tout seul. Souvent, ça va être avec de la B6, avec du machin, tu vois. Donc, ils essaient de singer, de mimiquer, en fait, si tu veux, cette synergie qui se fait naturellement au niveau des micronutriments.

Je te parlais de l'huile de poisson versus le poisson. Il n'y a pas photo. C'est clair que dedans, tu vas avoir du sélénium dans le poisson, tu vas avoir de la vitamine D, tu vas avoir, tu vois, tout un tas de facteurs qui vont faire qu'en fait, il va y avoir une...

et un terme qu'on utilise beaucoup, toi et moi, de biodisponibilité. Parce que c'est à ce niveau-là que ça se joue. Tu peux donner une brouette de vitamine B12, mais au résultat, ce qui va compter, c'est la biodisponibilité.

C'est ce que lui, il a pu prendre dans son système. Et dans ce sens-là, si tu vas regarder, j'ai fait plusieurs articles, on s'est rendu compte que les multivitamines B, c'était de la rigolade. Il n'y avait aucune preuve. Il n'y a pas de papier derrière qui montre que c'est assimilé.

Ça a été démontré dans le sens inverse, que c'est inutile, voire même parfois dangereux. Parce qu'au final, comment tu peux mesurer qu'un complément est utilisé par l'organisme ? Je te donne un exemple.

Imagine que tu t'injectes une vitamine D dans le corps, tu la prends en gouttes, la vitamine D va être dans ton sang. Mais... Ça ne garantit en rien que cette vitamine D va être utilisée.

Parce que si tu bois de l'alcool, l'alcool est dans ton sang, mais ton corps ne l'utilise pas. C'est quelque chose de toxique, tu vas devoir l'éliminer. Comment savoir si un complément est vraiment utilisé par ton corps ou pas ?

Là, tu prends le mauvais exemple, parce que la vitamine D, c'est un truc qui m'arrive de supplémenter. Surtout, par exemple, tu prends quelqu'un de diabétique. De suite, tu ne réfléchis même pas, tu le l'aimes vite, vite. Mais comment est-ce qu'on mesure ? On mesure, c'est toujours pareil, les prises de sang.

Si tu as des choses qui remontent, c'est que ça va. Par contre, il y a des trucs, nous, en médecine fonctionnelle, ils commencent à y venir parce que ce n'est pas leur spécialité non plus. Ils le font, mais Georges Mouton est exceptionnel, lui, pour ça. Il a écrit des bouquins.

Le mec, en fait, je me suis rendu compte, tu sais quoi ? la dernière fois dans une conversation avec lui, je me suis rendu compte que Robert Masson l'avait cité à maintes reprises. Notamment un de ses bouquins qu'il avait écrit il y a 35 ans. Donc, ce n'est pas pour rien.

On se rencontre au final et on cite souvent Robert Masson, même s'il y a plein de trucs sur lesquels je ne suis pas d'accord avec lui. Par exemple, sur les fruits, de manger les fruits en dehors des repas, ça ne fait aucun sens. Par rapport à la glycémie, tu sais très bien que... L'indice glycémique, c'est quelque chose qui est calculé en laboratoire.

Mais quand tu consommes avec d'autres aliments, tu réduis la glycémie. Donc, il vaut mieux, surtout pour des profils de gens qui ont des problèmes de glycémie, il vaut mieux l'intégrer. Mais pour revenir à tes suppléments, il y a des choses, par exemple, je te disais, qu'on ne supplémente pas. À moins qu'il y ait vraiment un gros problème.

On parlait tout à l'heure du fer. Attention avec le fer. Tu sais qu'il est plus dangereux d'avoir un excès de fer qu'une carence de fer.

L'excès de fer peut être mortel, carrément. Oui. Tu vois ?

Et est-ce que tu as déjà été voir comment on faisait les compléments de fer ? Ça, c'est aussi une question que les gens, ils ne se posent pas. Ils ne vont mieux pas. Ils ne vont mieux pas. Des clous rouillés, des trucs, mais laisse tomber.

Mais si tu vois, par exemple, comment on nourrit la spiruline, tu vas rigoler, de la pisse, des clous, des machins. C'est pour ça que tu fais gaffe. Ah ouais, ouais, ouais, je te jure, tu fais gaffe ou est-ce que tu vas chucher tes trucs.

On revenait à comment ça s'appelle ? Je crois que c'est la vitamine je ne sais plus c'est laquelle qu'on fait à partir de la laine de mouton. Je crois que c'est la D3. C'est la D3 il me semble. Les gens n'ont pas idée.

Alors va me comparer de la laine de mouton avec du beurre ou avec des choses comme ça. Comme je t'ai dit, pour moi ce n'est pas systématique. J'évite, et tu parlais de biodisponibilité. On sait par exemple pour la vitamine B12, c'est pour ça que j'ai insisté sur la forme, quand je dis méthylcobalamine, c'est-à-dire que c'est une vitamine B12 qui est déjà méthylée. Et en plus, je la mets en intramusculaire.

Donc, je saute l'étape intestinale et je vais directement le lui filer. Donc, une forme méthylée, donc une forme déjà biodisponible. Si tu vas chercher, parce que tu ne la trouveras pas ici, celle-là, en France, je la commande d'Allemagne, moi. T'imagines ? Ici, là, en fait, si tu vas chercher, tu vas aller trouver ces espèces de vitamines B12 qui vendent en pharmacie, même les injectables.

C'est ridicule. OK. Comparé à ça. Et de la même manière, tu peux prendre… on prend le magnésium tu sais que l'eurotate de magnésium est interdit à la vente en France et tu vas te retrouver à prendre des magnésiums qui vont finir que par ces elles sont tellement peu biodisponibles qu'elles se retrouvent directement dans ton colon et elles te filent la chiasse tu te retrouves avec des diarrhées, tu te retrouves avec des trucs incroyables, alors que l'eurotate de magnésium c'est magique, j'en ai filé à mon père et à son âme quand il était encore en vie j'en ai filé à mon père ça lui avait fait du bien tu vois Donc, si je comprends bien, le monde des compléments, c'est extrêmement compliqué. On ne connaît pas vraiment le degré d'efficacité, mais ce qui est sûr, c'est que c'est un business monstre.

Oui, c'est ce que tu disais la dernière fois, c'est clair. Les types, en fait, tu le vois, les laboratoires, les trucs, c'est hallucinant. C'est triste, tu vois, parce qu'en fait, comment te dire, c'est comme si le diable avait changé de vêtement, en fait.

au lieu de passer par l'allopathie classique, on va passer par tout un tas de trucs. Après, nous, on se dit que c'est naturel, c'est anodin. Tu sais qu'il y a des gens qui se sont retrouvés à l'hôpital, aux urgences, à cause de ces huiles de poisson rance. C'est pour ça qu'il faut faire super grave.

Je ne dis pas qu'il ne faut pas le prendre. Une bonne huile de foie de morue, par exemple, c'est ce que je recommande. Une bonne huile de foie de morue, quelque chose qui a bien été produit, auquel on a fait attention. Parce que tu sais que c'est très instable.

Dès que ça a été pressé, ça oxyde directement. Il faut vraiment faire gaffe à ce que ça ne devienne pas rance. Et en fait, quand ils ont fait… Il y a une étude que j'avais lue.

Tu pourras me la demander. Après, j'essaierai de te la chercher, de te la mettre. Comme ça, tu pourras la poster.

Il y a une étude qui avait montré que tu as un énorme nombre de poissons qui sont complètement rances et qui sont dangereuses. Et en fait, c'est contre-productif. Là où toi, tu penses apporter la santé, tu continues à aggraver la chose.

C'est pour ça que je me tiens au minimum. C'est pour ça que je te dis que je parle souvent de synergie des micro-nutriments. Je parle souvent de complémentarité. En tout, dans l'ordre métaphysique, je préfère toujours parler de complémentarité que d'égalité.

Les choses qui vont être complémentaires les unes aux autres et qui vont s'entraider. C'est comme on disait dans le micro et le macro, ce qui est en haut est en bas. Ce qui est à l'ordre humain, on peut le rapporter à l'ordre des macronutriments, on peut le rapporter à l'ordre des bactéries qu'on a dans nos intestins. On ne va pas éliminer complètement les bactéries pathogènes. Non, on va les harmoniser, elles vont rester en contact, elles vont juste être maintenues, défavorisées pour ne pas qu'elles prennent le dessus.

Mais on ne peut pas éliminer, par exemple, on parle de cette pandémie dans laquelle on vit, tu ne peux pas éliminer un virus. Ce n'est pas possible. On a déjà quatre familles de corona. Là, c'est la cinquième.

Si tant est qu'elle a été isolée, là, c'est la cinquième. Et les quatre avant, on ne les a jamais éradiquées. Donc, c'est complètement stupide.

C'est comme si on reprenait, bon là, on va mettre entre guillemets, mais c'est mon point de vue personnel. C'est comme si on reprenait Pasteur. Depuis le début, on sait pertinemment qu'il est parti sur une guerre qu'il ne pourra jamais gagner. Et plutôt que d'avoir à faire la guerre contre le virus.

On va traiter le terrain, on va rendre le terrain plus solide du fait qu'il pourra même communiquer avec le virus et sa communication avec le virus, elle est bénéfique. Parce que tu sais, comment il parlait ? Il me disait l'hormèse la dernière fois.

Tu sais, un tout petit peu de poison, ça peut être bénéfique pour ton corps. Parce que ça va déclencher tout un tas de choses qui vont faire que ton système immunitaire, par exemple, va se renforcer. par exemple on parlait du stress la dernière fois toi et moi pareil le stress à petite dose il est super sain tu vois à des moments ponctuels où on a un moment de stress ça va être excellent de la même manière en fait je pense qu'il vaut mieux prendre soin du terrain renforcer la personne et chose que je déplore aujourd'hui on nous parle de pandémie de AIDS, de reine d'ici vir et tout et jamais on parle d'alimentation de nutrition, jamais on parle On nous a confinés parce qu'il y avait 0,05% de gens qui mouraient d'une maladie. Le diabète tue beaucoup plus de gens que ça.

Et je ne les ai pas encore vus confiner le Coca-Cola. Le Coca-Cola, il est toujours libre. Moi, je suis confiné chez moi. Et Coca-Cola, il se balade en sifflant dans la rue.

Pendant la première année, quand il y a eu le confinement, le jour où ils ont réouvert… La vente a emporté. Je me souviens, je passais en voiture devant un McDo. Ah oui, j'ai démonstré.

Je n'ai jamais vu ça. Il y avait des filles. Mais la fille, elle allait jusque sur la route.

Et je me suis dit, putain, comorbidité, obésité, diabète. Mais c'est jackpot total. C'est jackpot. Tu as vu ce film, Demolition Man ?

Non. Tu as vu ? C'est un vieux film.

C'est le film des Hatties. Mais dedans, il y a un extrait, tu pourras le retrouver si tu voudras le laisser, je te jure, c'est vraiment phénoménal. En fait, tu as un policier voyou qui se retrouve décongelé dans le futur.

Et donc, du coup, le mec, il découvre le nouveau monde, le nouvel ordre mondial. Et donc, du coup, il est là dans ce nouveau monde et il hallucine tout le long. Il prend des PV parce qu'il dit un gros mot.

C'est devenu une espèce de vraiment une dictature. dans lequel tu es surveillé électroniquement et tout ça. Et comme le flic, là, il vient du passé et qu'il a des méthodes un petit peu choc, tu vois, il est tellement bon que le président ou, je ne sais pas, le représentant légal de la commune où il est ou de la ville, espèce de ville futuriste, de mégapolis dans laquelle ils sont, il lui dit, OK, je voudrais célébrer ce moment et vous inviter aux pizzalotes.

Alors, tu te dis, qu'est-ce que c'est, des pizzalotes ? après la guerre après la pandémie tous les petits restaurants ont fermé et les seuls qui sont restés c'est ce truc donc aujourd'hui le seul restaurant où on peut aller c'est Pizza Hut pas en rigolant tu vois mais quelque part c'est ce qui est en train de se passer quelque part ouais regarde les restaurants les mecs ils ont mis le pass on va se faire censurer cette vidéo je sais pas mais bon Les mecs, ils ont mis en place un pass. Tu as ce pass qui est en place.

Du coup, qu'est-ce qui se passe ? Tu n'as plus personne qui y va. Je suis allé l'autre jour à Auchan. Je ne te dirai pas comment parce que tu me connais.

Je suis allé l'autre jour à Auchan faire un tour. Mais à la rentrée, je n'ai jamais vu ça. Vide.

Il y avait des questions qui se tournaient les pouces. Tu ne vois jamais ça à Auchan. Surtout celui qu'on a ici à Avignon Nord.

Voilà la situation dans laquelle... Et les gens, comme tu disais, plutôt que de jouer le bon sens, on se fait embobiner pour des biens particuliers. Tu vois bien que ce n'est pas le bien commun qui est visé.

Si ça avait été le bien commun, on aurait fait autrement. Je te donne l'exemple de mon père. Il est mort cette semaine, père à son âme. En fait, il était à l'hôpital.

Et à l'hôpital, je vais lui rendre visite. Et là, je vois que l'infirmière lui prend la glycémie. c'est pas moi qui l'ai mis c'est mes proches, ils ont voulu le mettre ils y étaient et j'ai demandé à ma mère si elle voulait que je le sorte elle n'a pas voulu, bref c'est de l'ordre du privé donc du coup, moi j'y vais après 5 jours parce que c'était à mon tour, vu que tu as droit maintenant on t'impose même combien de personnes rentrent voir ses parents donc on avait 2 personnes par jour comme il y a une famille d'ombrots, je ne te dis pas il a fallu 5 jours pour que je finisse par y aller donc j'y vais et là l'infirmière prend la glycémie de mon père J'ai dit, bizarre, pourquoi tu lui prends la glycémie à mon père ?

Il n'est pas diabétique, il n'y a pas de truc. Elle me dit, c'est le traitement. Je dis, quel traitement ? Je lui dis, tu lui donnes de la cortisone ? Elle me dit, oui, oui, oui.

Et je dis, quoi, là, tu lui fais monter le truc ? Et j'ai tiré à regarder, en début de 2020, au tout début de la pandémie, j'ai fait un article dans lequel je stipulais les médicaments à éviter qui favorisaient le virus. Et dedans, il y a la cortisone. Et je donnais aussi les méthodes naturelles. Et chose que j'ai fait, je vais t'expliquer.

C'est un très bon exemple. Donc, du coup, je lui dis, et donc, quoi ? Tu lui dis, ouais, j'ai de la cortisone.

C'est l'infirmière. Elle me dit, alors, je ne peux pas vous répondre, il faut voir le médecin. D'accord ? Je chope le médecin dans le couloir.

Je lui dis, tu fais quoi, là ? Qu'est-ce que tu fais avec mon père ? Tu lui donnes de la cortisone.

Je lui dis, pourquoi ? Parce que mon père, il a mal aux pieds et tout ça. Je dis, c'est parce que ça douleure au pied ou quoi ? Je dis, on s'en fout de la douleur.

Non, non, c'est le protocole. Est-ce que tu comprends ce que je te dis là ? Ces gens-là sont en train de donner de la cortisone aux gens, de les mettre sous oxygène et antibiotiques.

Alors qu'à priori, ils sont juste en fin de vie. Ils n'ont rien, quoi. Ils n'ont rien. Moi, quand on l'a fait rentrer, quand ils l'ont fait rentrer… Il était normal le matin, de la même manière le soir.

Et en fait, quand il a vérifié l'oxygène, moi quand je suis arrivé, je dis Vous faites quoi ? Oui, Corona. Je dis Qu'est-ce que Corona ?

Mon père, il a fait une opération cette semaine. Il s'est fait enlever un kyste au niveau du cerveau. Et là, il est fatigué. Mais il a vérifié le taux d'oxygène qu'il avait dans le sang.

Il était nickel. Mais bon, ma mère, vas-y, vas-y. Ils l'ont amené, tu vois. Ils l'ont amené, mais ils devaient le garder que le soir, ils le ramenaient.

Le lendemain, il nous appelle. Oui, on l'a mis sous oxygène. Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?

Qu'est-ce que c'est ? Et là, c'est du concret. Ce n'est pas un truc que j'ai entendu dans la rue.

C'est quelque chose qui nous est arrivé à nous, en tant que famille. Et donc, mon père est allongé comme ça. On l'a mis sous oxygène. Et le médecin nous explique qu'il n'en a plus pour longtemps. Parce que ses poumons sont pleins.

Et je dis, mais à ce moment-là, si ses poumons sont pleins, pourquoi tu ne fais pas tomber la charge virale ? Elle me dit, tu comprends, je sais de quoi tu parles, l'ivermectine, l'azithromycine, ça n'a pas été démontré. Je dis, attends, excuse-moi, le guignol en chef qui dirige le pays, il n'a pas parlé de guerre, il n'a pas dit qu'on était en guerre contre un virus.

Si on est en guerre, on est en médecine de guerre. Et quand on est en médecine de guerre, on utilise ce qui marche. Je te donne un bon exemple, pendant la guerre des tranchées, ils avaient manqué de morphine.

Tu sais ce qu'ils mettaient à la place de la morphine ? Ils mettaient de l'eau. pour avoir l'effet de placebo, tu vois.

On est en médecine de guerre. En médecine de guerre, on fait tout. On fait tout, quoi. On fait tout le possible. Là, non.

Là, ils l'ont posé comme un légume dans un lit. Et là, je te parle de quelque chose de personnel. C'est mon propre père.

On l'a posé sur un légume. Et impossible. J'ai touché sa cage thoracique. J'avais l'impression qu'il avait une table dedans. Je l'ai déjà eu avec des gamins.

Tu l'envoies au kiné, tu fais vider, tu fais, tu vois. Mais fais tomber la charge virale. La première chose. Enfin, le serment d'Hippocrate, Primum non nocere tu vois.

Il y a tout un tas de choses qui vont nous pousser à prendre en charge les personnes, quoi. Chose qui n'est pas faite. Je te donne le bon exemple. C'est que ma mère, elle a eu ce corona.

Enfin, voilà, une grippe, grosse grippe. Je dis, attention, elle est sévère. Ma mère, elle a eu 15 jours.

Et elle n'a pas voulu se traiter, parce que ma mère, elle est comme ça. Elle va rester 5 jours, 6 jours allongée. Elle ne dit rien à personne.

Moi, au bout de 6 jours, je me suis rendu compte. Là, j'ai commencé à faire mon petit traitement à moi. Et chose que j'ai fait pour ma femme. Je t'explique. Ma femme est restée pour aider ma mère et mon père.

Je les ai laissés une dizaine de jours avec eux. Donc, au bout d'un moment, ma mère a été malade avant elle. Au bout d'un moment, elle tombe malade. Elle tombe sur le lit, là, en rentrant à la maison.

Fièvre, frisson, vomi. Les grippes accélérées, c'est sévère. Qu'est-ce que j'ai fait ?

Clou de girofle, aïe, décoction. Et au niveau des amygdales, je mettais des huiles essentielles, dont Ravinsara et Tea Tree. Top de top.

Tu vois la petite friction au niveau là. Tu sais combien ? Ma mère, elle est restée 15 jours. Mon frère, il est resté 15 jours allongé. Ma femme, 3 jours.

3 jours, elle était sur pied. Ok. Donc... Oui, c'est antibactérien.

Antibactérien, antiviral, anti... Tout ce que tu veux. Et en plus, quand je te donne du clou de girofle, non seulement c'est antibactérien et tout ça, mais c'est aussi un anti-inflammatoire.

Et en plus, quand je te mets la lysine avec l'ail, va me trouver un médicament qui fait mieux que ça. Là, on a eu le débat, Ivermectin, machin, parce qu'on est à l'hôpital. Je ne vais pas faire Rikazara et lui ramener de l'ail avec un réchaud et faire ça devant mon père.

Tu vois ce que je veux dire ? Mais il me l'aurait laissé à la maison. C'est ce que tu aurais fait, oui.

Mais encore faut-il, tu vois, ce n'est pas ta femme, ce n'est pas ton fils. Tu n'as pas autorité sur lui. Moi, comment te dire ?

Pour le dire simplement, je passe pour un farfelu un petit peu à la maison. Nous tous, un naturopathe, on passe pour des dingues. C'est le docteur, il a la blouse blanche, c'est vers lui qu'on vénère.

Limite, on va tourner la quibla vers lui et on va commencer à prier dans sa direction. Tu vois ce que je veux dire ? On en est à ce point-là. Et maintenant, tu as même des gens qui n'y comprennent rien, qui veulent même avoir des débats avec toi. Ils ne passent pas leur temps à lire, ils ne passent pas leur temps à comprendre.

Et là, je te parle d'un article que j'ai écrit en 2020. Et j'expliquais déjà que la cortisone, tu vois, comme quoi c'est phénoménal. Et c'est le genre de protocole qu'on met en place. Donc, ça vient souligner un petit peu la stupidité de la médecine moderne, si tu veux.

Ou même pas la stupidité, mais le côté pervers. Le côté où, comment te dire, c'est plus le bien commun qui est visé, c'est autre chose. Est-ce qu'un petit mot pour conclure ?

Parce que là, on a surtout parlé des bilans de santé, en fait. Un petit mot peut-être pour conclure. En trois mots, qu'est-ce qui fait un bon bilan de santé, d'après toi ? L'empathie. Le premier mot qui me vient en tête, c'est l'empathie.

Arriver à se mettre dans la peau de l'autre et arriver aussi à anticiper les questions. C'est pour ça que je parlais d'intuition. Je te disais que des mecs comme toi et moi, on n'est pas là par hasard.

Il y a une approche, il y a une méthode. C'est clair que la méthode, on a tous le questionnaire. Sauf que moi, il est beaucoup plus poussé.

J'ai une partie avec interface digestive pour avoir vraiment une idée précise de ce qui se fait au niveau de la digestion. Est-ce que la personne a des démangeaisons anales ? Si elle les a, quand est-ce qu'elle les a ? Est-ce que c'est à la pleine lune ? Ça peut être un indicateur de pas mal de choses.

Est-ce qu'elle a des remontées acides ? Le RGO, tu vois, reflux gastricosophagien. Est-ce que quand elle va aux toilettes, tu en parlais déjà dans une vidéo, est-ce que cette personne, elle a des morceaux d'aliments entiers qui sortent souvent, tu vois ? Est-ce qu'elle a des constipations ?

Est-ce qu'il y a une alternance constipation-diarrhée ? Est-ce que dans ces antécédents familiaux, est-ce qu'il y a eu quelque chose ? Après, c'est clair qu'il y a toute la partie technique qui consiste au bilan sanguin et tout ça.

C'est vrai que c'est difficile pour nous parce que quand on ne les a pas, on doit passer par des médecins et des fois, ils ne veulent pas le faire. Le nombre de fois où j'ai eu des gens qui reviennent... et à qui on n'a pas voulu faire l'homocystéine, c'est impressionnant.

Et puis après, oui, c'est bien poser la question à la fin, à la toute fin. Une fois que j'ai récupéré toutes les informations dont j'ai besoin, je demande à la personne, quelle est la raison qui t'a poussé à venir vers moi et qu'est-ce que je peux faire aujourd'hui pour t'aider ? Et là, en général, elle te dit, bon, mais voilà, mon gros problème.

Et après, une fois qu'elle a terminé, je dis, ton gros problème, c'est quoi, selon toi ? Où est-ce que tu penses que tu as la chose qui te gêne le plus, ce qui t'embête, t'empêche le plus de vivre ? Qu'est-ce qui t'empoisonne le plus la vie ? Et puis après, ta-ta-ta-ta-ta. Et puis surtout, partir sur des questions, rester ouvert.

Pas des trucs où c'est juste oui ou non, mais relancer. Et essayer d'avoir un maximum d'informations. Parce que des fois, ils ne te le donnent pas dans le mille. Je te donne l'exemple de cette personne qui était venue me voir avec sa fille et qui avait des problèmes vraiment impressionnants, des trucs. Même les médecins se sont pétés la tête dessus.

Et au bout d'un moment, la question tout con, ta maison, elle est comment ? Quel est l'état de salubrité de ton domicile ? Est-ce qu'il y a de l'humidité ?

Ça peut arriver à des questions comme ça, tu vois. Ça peut débouler sur des questions comme ça. Ça m'est même arrivé de me rendre chez une personne pour constater le moins.

Et là, vraiment, quand tu as ce genre d'amnèse, quand tu arrives à avoir ce genre de réponse, là, je te donne l'exemple du côté insalubre de la maison où tu avais tout ce côté mycose, tout ce côté champignon, comment on appelle ça les... Ouais, j'allais oublier. En anglais, on dit les moldes.

Quand tu as toutes ces conditions, tu peux apporter, toi, les solutions que tu veux. Je l'ai déjà eu avec une femme. qui souffrait de problèmes rhumatismaux et tout ça.

Mais j'ai fait tout mon truc. Elle me dit non, toujours pareil, j'ai toujours mal. Et là, c'est à ce moment-là que j'ai posé la question sur sa maison.

Et j'y suis allé, mais je te jure, on aurait dit une caverne. Une caverne, carrément des stalagmites, des stalagmites qui descendaient là. Truc de fou, je me suis dit comment en 2021 on habite dans des maisons pareilles ? Et ça, si tu ne règles pas, parce que là, avant de régler le problème de la personne, tu vas régler le problème de la maison.

Si tu peux. C'est la première des choses. Ou alors, je suis déménagé ou voir une solution parce que sinon, tu n'en sortiras jamais. Tu auras beau traiter, ça va revenir.

Ok. Donc, si je comprends bien, à la fois, il faut être très pointu sur la technique, mais à la fois, si tu veux, tu as tellement… En fait, tu as un nombre de questions infinies que tu pourrais poser à la personne et tu ne peux pas les poser toutes ces questions. Et c'est là où la naturopathie, c'est un art parce que tu ne peux pas te baser uniquement sur la récolte d'informations.

Il faut que tu te bases sur ton intuition parce que tu as une infinité de questions que tu pourrais poser. Est-ce qu'on peut le voir comme ça ou pas ? Oui, exactement. Mais après, tu as un axe quand même. Tu as des questions sur lesquelles tu ne peux pas échapper.

Les antécédents familiaux, le côté intestinal que je te disais. Il y a tout ce truc. Et après, oui, en fonction des réponses que tu as, des fois, ça va t'amener à extrapoler sur d'autres trucs qui ne sont pas dans ton anamnèse. Là, par exemple, je doute qu'il y ait beaucoup de thérapeutes.

qui vont poser la question sur l'état de la maison. Oui, ce n'est pas très court. Oui, voilà. Et pourtant, tu vois, regarde, on parlait du truc où tout est lié. C'est ça, être holistique.

C'est sortir du corps, carrément. C'est prendre en charge aussi le contexte. Donc, l'exposome, ce n'est pas juste ce que tu manges.

L'exposome, c'est aussi tout ce qui est en corrélation avec toi et avec ta génétique. et tout ce qui va pouvoir modifier, qui va avoir une action sur ta génétique. Comme on disait souvent, la génétique, c'est un flingue, mais ce qu'il n'y a plus sur la gâchette, c'est le contexte. Et dans ce cas-là… quelle est la partie du contexte qui vient vraiment enquiquiner et poser un problème et des fois ça peut être plusieurs facteurs on parlait notamment de la vie de couple ça peut arriver là il peut y avoir un truc toxique à la maison ou alors au travail des choses comme ça qu'il faut régler tout à fait ok, écoute, il est pas loin de 11h il me semble que tu devais tu avais un petit impératif je suis allé récupérer les gamins je suis célibataire pour encore quelques jours écoute je te souhaite bien un bien gâté avec des gosses franchement si je peux faire une parenthèse vas-y c'est pour les dames vous êtes des super héroïnes sérieusement arrivez à faire tout ce que vous faites travaillez machin chapeau bas j'ai pas d'autre mot et là si jamais vous voulez soigner votre mari et qu'il comprenne un peu qu'il a un petit peu plus d'empathie pour vous mettez-le dans la situation dans laquelle j'ai été là avec des jumeaux avec merci Faire à manger, faire des trucs. Je ne sais pas comment vous faites.

Moi, je suis au bord de la crise de nerfs. Il me reste encore trois jours à tirer. Je ne sais pas comment je vais faire, mais je te jure, c'est bravo.

Et tu vois, ça peut être un des trucs... Je fais la pirouette, tu vois. Mais ça peut être un des trucs, tu vois, dans l'anamnèse qui est souvent pas considéré parce qu'elle ne le montre tellement pas. Tu sais, c'est un peu le signe qu'il est sur l'eau, que les pattes, elles patagent en dessous, tu ne les vois pas bouger et qu'il est majestueux sur la surface de l'eau. c'est exactement ça elles sont belles elles sont radieuses elles sont bien coiffées elles sont machin et en dessous t'as ces pattes qui font 10 milliards de choses en même temps ok merci ça marche écoute je te souhaite bien du courage pour les prochains temps et puis on se revoit on se revoit bien on pourrait se le faire même ponctuel se le faire un petit peu je sais pas comme tu veux tous les 15 jours ou toutes les semaines c'est toujours intéressant d'échanger avec toi sur ce genre de point parce que moi comme je te dis en formation toutes les semaines j'ai des nouveaux thèmes que je traite Et justement, là, je n'ai pas enregistré le début sur les tempéraments, mais par exemple, là, on a parlé du vitalisme, de la force vitale.

Et c'est vrai que la façon dont on me le présente, ce n'est pas la façon dont je le comprends. Tu le comprends peut-être d'une autre façon. Donc, ça peut être intéressant d'échanger sur ce genre de sujet.

Voilà. En tout cas, je suis content d'avoir entendu parler de ta formation. Ça me donne une idée. Mais j'avais déjà un pressentiment que ça allait être ce que tu m'as décrit tout à l'heure. Ça reste entre nous.

c'était pas enregistré, mais ouais, j'avais un pressentiment que ça allait être ça. Et ouais, peut-être, j'en récupère beaucoup, en fait, d'élèves qui sont passés par ce genre d'école, tu vois, et qui reprennent la formation avec moi. J'en ai eu une, je vais dire son prénom, elle se reconnaîtra, Linda, qui est venue d'une grosse école, je ne citerai pas le nom, une école assez chère et tout ça, et qui, je le vois au travers de son évolution dans la formation. C'est le jour et la nuit.

Elle commence à savoir comment est-ce qu'on fait de vraies prises en charge. Elle m'a dit à la fois, j'ai enfin trouvé la confiance de prendre en charge les personnes. Et ça, je pense que dans le genre de formation où tu es, je ne sais pas pourquoi ils sont en retard, pourquoi ils n'intègrent pas ce côté médecine fonctionnelle. Après, je n'ai pas tout vu.

Je suis au début. Je n'ai pas tout vu. Ils ont commencé déjà avec les deux bugus. On ne va pas citer les noms que tu m'as cités. C'est parce qu'il y a une partie traditionnelle, mais comme je te dis, il y a une partie qui s'appelle médecine académique.

Il y a 700 heures sur les connaissances médicales de base, les connaissances en pathologie, en examen clinique. Il y a tout le tralala qu'on voit en première allée de médecine. Je pense que c'est vraiment une complémentarité des deux choses.

Et puis évidemment, moi, je ne suis pas dupe. Je vais le faire à ma sauce. Évidemment, on se comprend.

On se comprend. On n'ira pas plus loin. Bon, écoute, c'est cool.

Merci en tout cas. C'est toujours un plaisir de te voir, de voir ta bouille. D'ailleurs, c'est quoi cette barbe ? je me laisse un peu aller tu t'es pas retrouvé célibataire toi aussi cette semaine non non je te dis à plus je te fais des grosses lises ciao ciao