Bonjour tout le monde, on va entamer la troisième unité d'enseignement intégré qui est la physiologie rénale. On va voir une introduction. Ensuite, la filtration glomerulaire qui est la première partie de formation de l'urine.
Ensuite, le transport tubulaire dans sa première partie, c'est-à-dire dans le tube proximal. Le transport dans sa deuxième partie, c'est-à-dire dans... l'os de Henley, le tube distal et le canal collecteur.
On va terminer par la mixtion. On va commencer par l'introduction. Voilà les objectifs.
Premièrement, il faut connaître les principales fonctions du rein. Ensuite, les fonctions de l'appareil juxtagonomé ruller, les déterminants du début sanguin rénal. Et vous devez terminer, vous devez connaître enfin les mécanismes généraux de la formation de l'urine.
Premièrement, l'anatomie fonctionnelle du rein. L'appareil urinaire comprend les organes produisant l'urine, ce sont les reins, et les voies de conduction, c'est-à-dire les urètres, pardon, les urétères, voient ici. et l'urètre. Chez l'adulte, chaque grain pèse environ 150 grammes, contient un million de mécrans.
C'est un organe noble indispensable à la vie puisqu'il assure l'épuration du plasma, des déchets métaboliques par exemple, produits toxiques, etc. Le maintien du pH, c'est le deuxième organe. Après le poumon, la mesure. Ensuite, jouant un rôle important dans la régulation et le maintien de l'équilibre du milieu intérieur, par exemple le volume extracellulaire, le volume intracellulaire, le volume interstitiel, etc. Également la pression intérieure, bien sûr.
Il y a la synthèse de l'arénine, qui est une enzyme bien normale, très importante dans l'équilibre de la pression intérieure et de la volumie. Également de l'hydropoïdine, qui est intéressante dans la synthèse des électrocytes, c'est-à-dire à l'hydropoïdine, synthétique aux huiles rouges. Les prostaglandines également, et l'activation de la vitamine D, bien sûr, puisque le rein participe par sa première partie, c'est-à-dire le tube proximal, dans la synthèse.
et l'activation de la vitamine D. Également, le rhum participe à la néoglicogénèse, donc il a un rôle métabolique, et présente une consommation importante d'oxygène de l'ordre de 20 ml minutes, qui est l'équivalent de 8% de la consommation totale d'oxygène, qui est de l'ordre, comme on a vu, de l'ordre de 250 ml minutes. Voilà l'appareil urinaire dans sa totalité.
Il y a les reins, qui sont les organes de production de l'urine. Il y a les urethères, il y a la vessie, il y a l'urètre en bas. Ensuite, il y a les voies de conduction, les urethères, la vessie et l'urètre.
L'urètre, bien sûr. Alors, sur une coupe frontale d'un rein, on distingue, premièrement, la médula profonde, appelée encore médula. Donc, c'est une partie ouverte, elle est centrale, elle est formée par des crânes appelés les pyramides de Malpighi, et les divisions médulaires internes qui forment la papille, une médulaire externe, voisine du cortex.
Alors la deuxième partie, c'est le cortex périphérique. Dans ce cortex coiffe les pyramides de McViggy qui s'insinuent entre les pyramides en sion les colonnes de Bertin. Alors il est richement vascularisé, plus 90% du dibisongrain rénal et est destiné à cette partie corticale. Vous voyez ici dans ce schéma.
Une coupe frontale du rein, les différentes parties. Il y a bien sûr, ici c'est bien visualisé, il y a la capsule, il y a les voies de conduction, ça va en durée de terre. Il y a également ici à l'intérieur du rein, il y a, dans toujours dans la coupe frontale, il y a la partie corticale périphérique. C'est le cortex. Il y a la partie profonde, l'interne qui est la médula.
Donc elle est faite des quoi ? Des pyramides de Malpighi. Il y a des pyramides ici, voilà.
Ici par exemple il y a cette pyramide qui se débrouille dans la quoi ? Dans la papille. Ensuite... qui se jette dans le bassinet.
Ensuite il y a entre ces pyramides il y a ce qu'on appelle les colonnes de Berthe, une partie corticale bien sûr. Voilà grosso modo les différentes parties, bien la décomposition d'Ira sur cette couche frontale. Sans oublier bien sûr multifonctionnel du rat qui est le néphron.
On passe à la structure du néphron qui est le multifonctionnel du rat. Le néphron comporte un glomérule et un tubule, est composé de plusieurs segments, du ponton et proximal, du ponton et distal, du canal collecteur. Alors, les canaux collecteurs confluent plus dans le bacillus néon au niveau de la papille rénale. Le glomérule logé dans la capsule de Bauman constitue le corpuscule rénal de Malpique, c'est-à-dire le glomérule plus la capsule de Bauman dans ce qu'on appelle le corpuscule de Malpique.
Voilà un schéma représentatif d'un effran avec ses parties. Premièrement, il y a... corpuscule rénal de Malpighi qui est fait de rois de glomérules plus la capsule de bromane ensuite il y a la première partie du tubule qui est la tube contournée proximale et par la suite la branche descendante de l'anse avant il y a le tube droit proximal contourné ensuite tube droit pour pour arriver à la branche descendante de lance qui est fine ensuite branche ascendante fine puis large puis il y a le tube distal c'est en vert foncé pour arriver à la bien au scellement d'union du tube collecteur c'est la partie distale du tube distal bien la partie terminale du tube distal et pour arriver à la fin, tube, collecteur. Concernant la vascularisation rénale, le système sanguin rénal, dans le point de départ et l'artère rénale, comporte un réseau interlobaire qui donne naissance à l'artère archée, puis à l'artère interlobulaire, à laquelle fait suite l'artériole afférente. qui se termine par, bien sûr, le glomérule.
Ce dernier, c'est-à-dire le glomérule, est prolongé par l'artériole efférente qui est à l'origine du réseau capillaire pérétubulaire au niveau du cortex rénal et des vas arétins au niveau de la médula. On va voir ça schématiquement. Donc, vous voyez ici la vascularisation rénale. Le plexus souvient, c'est-à-dire le système artériel et le système veineux. Il y a tout d'abord l'artère rénale, qui vient bien sûr de la horte abdominale.
L'artère rénale, il y a une artère droite et une artère gauche qui entrent à l'intérieur du rein. Pour se diviser, il est donné quoi ? L'artère interlobère.
Ensuite, cette artère interlobère, c'est... C'est elle qui donne quoi ? L'article arté, voilà. Alors, cette artère archée se divise encore pour donner quoi ?
Les artères interlobulaires. On peut le voir sur le deuxième schéma. Voilà, toujours l'artère interlobère, l'artère archée, et ça c'est quoi ? C'est l'artère interlobulaire.
Il y a les artères interlobulaires. Alors les artères interlobulaires se divisent pour donner les artères afférentes. On va voir ça sur le troisième schéma.
Donc je répète, artère rénale, artère interlobère, artère archée. Arthère interlogulaire, alors l'arthère interlogulaire donne naissance aux artérioles afférentes. L'artériole afférente, c'est à l'origine du foie, du glomérule, qui génère par la suite l'artériole efférente.
Le sang vient par l'artériole afférente et... quitte le corpuscule par l'artériole efférente. On passe à une entité importante qui est l'appareil juxtagonomiculaire.
Elle est faite de, premièrement, des cellules granulaires des artérioles afférentes essentiellement, qui sécrètent l'arénine. Ici, on note la présence... des barorecepteurs qui sont sensibles à quoi ?
changement de de pression bien sûr également il y a les cellules ou bien les faits des cellules de la macula densa l'excellente distale du segment ascendant de l'encephalite c'est un groupe de cellules qui logé à c'est à dire au départ à la partie initiale du tube distal. Il y a également des cellules interstitielles extraglomérulaires, appelées encore cellules mésangéales. Et bien sûr, il y a des terminaisons nerveuses qui sont essentiellement de partie du système nerveux sympathique. Voilà sur ce schéma, on voit ici l'appareil jusqu'à ce point là.
Donc il y a trois éléments, quatre éléments qui constituent cet appareil. Il y a premièrement un élément épithélial, c'est-à-dire des cellules épithéliales, à savoir des cellules... granulaires des fois les artérioles afférentes secrètent la lignine il y a un élément comment un élément également il y a les cellules de la macula densa également il y a un élément vasculaire en dont il y a représenté par les cellules granulaires il y a un jus agronomérulaire de des artérioles afférentes.
Il y a un élément épithélial qui appartient au tube distal, ce contourné distal. C'est là où sont les cellules de la macula densa, ici. Il y a entre les deux, il y a les cellules interstitielles, il y a un élément interstitiel qui fait de quoi des cellules épithéliales, cellules mésangères. Sans oublier bien sûr les, quoi, l'inervation, ou bien le système nerveux sympathique qui, dont il faut noter, cette inervation importante à ce niveau-là, qui permet également une stimulation et une régulation, en fin de, quoi, de la pression artérielle.
Donc là, pareil, je vais faire un grand-mère. Elle est faite de plusieurs éléments, un élément vasculaire, un élément tubulaire, un élément interstitial. On oublie les terminaisons nerveuses.
Deuxièmement, le débit sanguin rénal. Le débit sanguin rénal, ou bien appelé encore flux sanguin rénal, destiné bien sûr au terrain, est de l'ordre de 4 à 5 millilitres minutes grammes, soit environ 1200 millilitres minutes. ce qui représente entre 20 et 25% du débit caractère. Il sert en premier lieu à l'obtention d'un débit de filtration glomérulaire élevé, environ 120 mL par minute.
Alors, le flux plasmatique rénal est de uniquement 600 à 650 mL par minute. Donc, si on parle de plasma, alors si on parle du son total. Il y a une croissance de conversion à partir de laquelle on peut déduire le volume plasmatique à partir du volume sanguin total.
Également, le début sanguin rénal est déterminé par essentiellement la pression artérielle de perfusion et les résistances vasculaires intra-rénales. Donc vous voyez ici la distribution du débit sanguin rénal par rapport au cortex et au médula. Donc il y a la grande partie qui est destinée à la partie corticale de l'ordre de 90% du débit sanguin rénal.
90% du débit sanguin rénal est destiné au cortex, alors uniquement 10%. qui est bien qui se plonge et qui est destiné à la partie médulaire voilà si vous voyez la répartition du débit sanguin ou bien du débit cardiaque par rapport aux organes on voit ici les reins qui quoi sont la plus grande partie, entre 20 et 25% du bifurcaire qui est destiné aux reins. Alors le cerveau c'est uniquement 15%, le cœur c'est uniquement 5%.
Alors comme vous le savez, le poids du cœur est pratiquement plus important que le poids des reins. Le poids du cœur c'est 350-400 grammes. alors les deux rats c'est les deux dans 300 g alors le cerveau c'est beaucoup plus c'est 1 kg 500 chez l'adulte bien sûr alors il a besoin uniquement de 15% des débits cardiaques 1 kg 500 pour 15% alors 300 g pour 20-25% donc à partir de là On voit l'utilité de quoi très importante des rats. Il faut noter ici, en cas de défaillance circulatoire, par exemple lors d'un état de choc, une hémorragie importante, une déshydratation, une chute importante de la pression artérielle, etc. Dans un état d'urgence, ici.
Le débit rénal peut chuter en faveur du maintien de la circulation cérébrale et cardiaque. Ça veut dire que dans une situation d'accident par exemple, lorsqu'il y a une hémorragie importante, etc. Alors la situation où l'état de conscience du patient est stable, même... c'est-à-dire le travail cardiaque également est normal.
Donc, ça ne veut pas dire que le milieu intérieur de ce patient est normal. Et donc, il faut voir également la DURS et la fonction rénale de cette personne. On passe aux pressions et résistances intra-rénales. La pression intravasculaire moyenne, c'est-à-dire qui règne dans l'artère rénale et dans l'artère archée par exemple, est de 100 mmHg.
Voilà, dans les artères de moyen calibre, bien sûr, artère rénale, artère interlobère, archée également, elle est uniquement de 60 mmHg dans les capillaires glomérulaires, donc elle descend. et elle est uniquement de 20 mmHg dans les capillaires périthybules. Donc elle est encore effondrée dans les capillaires périthybules. Tout ça présente un intérêt physiologique important.
Ceci montre que les capillaires glomérulaires fonctionnent à un niveau de pression élevé, tandis que les capillaires peritivulaires fonctionnent à un niveau bas. On va voir l'intérêt de ce changement important de la croix de pression. On va voir ça sur ce schéma. Sur ce tracé, on voit le changement de pression par rapport à la croix. à la subdivision artérielle, rénale bien sûr.
Donc au départ, c'est l'artère rénale et les... les vaisseaux ou bien les artères de moyen calibre dans lesquels la pression est de l'ordre de 100 mmHg ensuite, en arrivant à avoir aux artérioles afférentes et par la suite au capillaire glomérulaire ça devient uniquement 60 mmHg ce sera même 50 mmHg par 60 mmHg donc c'est la pression quoi ? qui ?
qui agissent pour la filtration. C'est la pression hydrostatique de filtration, 60 mmHg. Ensuite, il y a quoi ? Il y a les artérioles efférentes qui se débrouillent, qui donnent naissance aux artérioles, aux capillaires péritubulaires.
Au niveau des capillaires péritubulaires, c'est... ça descend ensuite encore pendant pour arriver à la valeur la plus basse c'est 20 mm mercure et c'est une pression qui a un intérêt pour la réabsorption puisque ici la pression oncotique mène ou bien elle est supérieure à la pression hydrostatique Alors, concernant les résistances, les principales résistances à l'écoulement du sang sont pré- et post-goulons mérulaires, c'est-à-dire se voient au niveau des artérioles afférentes et efférentes. Au total, les capillaires goulons mérulaires présentent une pression hydrostatique élevée par rapport à la pression, bien sûr, qui règne dans les capillaires pérétribulaires. Elle est élevée. Elle est responsable de la filtration glomérulaire.
Elle joue un rôle important dans la filtration, qui est la première étape de formation de l'urine, comme vous le savez. Alors, les capillaires pérétribulaires présentent, comme on a vu, une pression hydrostatique effondrée. Alors, présentent une pression.
oncotique très élevé qui est responsable de la réabsorption tubulaire. Donc, sans avoir, ou bien sans cette pression oncotique élevée, on aura plus de, ou bien on va avoir une difficulté dans les processus de réabsorption. La pression oncotique, comme vous le savez, elle est générée par, ou bien dépendait essentiellement de quoi ? des protéines des protéines dans le milieu ici dans le capillaire périssibulaire puisque les protéines ne traversent pas bien traversent peu la barrière de filtration donc ils s'accumulent mais elles s'accumulent pour être comment dans dans leur valeur très importante dans les capillaires pérétibulaires et donc générer une pression oncotique très importante responsable, comme on l'a dit, de la réabsorption tubulaire.
Alors, la troisième note, c'est que les capillaires des vasorectas présentent une pression osmotique très élevé, la pression osmotique est du quoi ? à la présence des, de quoi ? des substances osmotiques ou bien osmotiquement actives comme c'est le cas pour, quoi ? pour le le sodium, essentiellement le sodium une pression osmotique très élevée qui joue un rôle essentiel dans les mécanismes de concentration et dilution de l'urine.
Donc il y a le sodium, il y a également l'urée, bien sûr. Donc les molécules osmoticons actives jouent un rôle dans quoi ? Dans la concentration et dilution de l'urine.
Pour avoir des urines concentrées, bien sûr par... réabsorption, une forte réabsorption du liquide. Par exemple, dans des situations de restriction hydrique, d'un climat chaud, etc., puisqu'on a besoin de volume.
Alors, une protection des urines diluées, par exemple, dans des situations dans lesquelles on voit beaucoup d'eau, d'hyperhydratation, par exemple. Ici, on doit éliminer beaucoup de liquide. Donc, on va voir les urines diluées. Et c'est cette pression osmotique qui joue ce rôle-là.
Donc, je répète, le capillaire glomerulaire présente une pression hydrostatique élevée. Les capillaires péristibulaires présentent une pression osmotique. très élevée, alors les capillaires des vasorectales présentent une pression osmotique très élevée.
On passe à la régulation du débit sanguin rénal. Pour noter que grâce à des mécanismes d'autorégulation et de régulation extrinsèques, le débit sanguin rénal est maintenu constant pour une pression sanguine systémique comprise en 4 mois. et 180 mmHg.
Ainsi le débit de filtration est gardé constant pour le même intervalle de pression. C'est l'intérêt majeur de la régulation, c'est de garder constant le débit de filtration pour garder une diuresse normale, c'est-à-dire pour garder un volume lunaire dans l'énant. Puisque la fonction l'énant, c'est quoi ?
C'est la principale fonction. C'est l'épuration des déchets, c'est la régulation du maintien du milieu intérieur et le maintien du pH. Donc les principales fonctions, bien sûr, sont les fonctions endorphines durables. Ici, c'est quand il y a un changement de pression systémique entre 80 et 180, il y a des mécanismes d'autorégulation. intra-rénale bien sûr, qui joue un rôle important pour garder une pression de perfusion ou bien un débit de sanguin rénal constant, et donc un débit de filtration constant.
L'autorégulation implique Une relation de proportionnalité entre pression de perfusion rénale et résistance vasculaire. Selon la relation, le début sanguin est égal à la pression sur la résistance. C'est-à-dire, lorsque la pression augmente, donc pour garder un début sanguin normal, bien constant, alors lorsque la pression augmente, donc il faut qu'il y ait quoi ?
Augmentation des résistances. Augmentation des résistances, par exemple... une vasoconstriction des artérioles afférentes pour diminuer ce débit pour contrebalancer la pression et pour garder un débit sanguin normal alors si la pression chute les résistances également devraient chuter pour que le débit sanguin reste Constant.
Voyons ici cette autorégulation qui est efficace dans la marge entre 80 et 180 mmHg de pression systémique. Donc ici vous voyez bien que la pression au niveau des capillaires glomérulaires, qui est de l'ordre de 50-60 mmHg, reste constante. pression de filtration c'est à dire qui est nécessaire pour la filtration c'est pour ça ici dans cette phase là il y a un débit de filtration constant débit sanguin constant débit de filtration constant alors en dehors de cette marge c'est à dire en deçà de 80 mmètre cules le débit de filtration et la pression et le débit sanguin rénal donc bien sûr sans effondrer alors Au-delà de 180 mmHg, il y a une élévation de la pression, ce qui risque de dommager le tissu ou bien le parenchyme rénal.
C'est pour ça que lorsque la pression artérielle augmente ou bien dépasse 180 mmHg, il y a d'autres mécanismes qui interviennent. Par exemple, là, c'est-à-dire... C'est l'intérêt de quoi ?
De la régulation extrinsèque, hormonale, nerveuse, etc. On va terminer par les mécanismes généraux de la formation de l'urine, bien sûr également les caractéristiques de l'urine définitive. Premièrement, la première étape, c'est la filtration glomérale.
La première étape dans le premier temps de la formation de l'urine. C'est la filtration glomulaire. C'est quoi cette filtration ? C'est la filtration du plasma des capillaires glomulaires vers la capsule de Boman.
Le liquide filtré est appelé filtra ou bien ultrafiltra plasmatique. Bon, on va voir ça dans le deuxième cours. Il y a également un mécanisme important qui est la réabsorption tubulaire.
C'est le transport de certaines substances de la lumière tubulaire vers les capillaires péritebulaires. Et il y a la sécrétion tubulaire, bien sûr, c'est le transport de substances des capillaires vers la lumière, ou bien, encore, des substances des cellules épithéliales tubulaires vers la lumière tubulaire. Il y a un dernier lieu, il y a l'excrétion tubulaire, ou bien l'élimination, c'est l'élimination des substances hors de l'organisme. Donc on voit ici, dans ce schéma représentatif, les différentes étapes. ça c'est le réseau vasculaire, l'artériole afférente, le glomérule, ou bien le capillaire glomérulaire et l'artériole efférente avec ici le réseau pericapillaire, ou bien le capillaire peritubulaire alors le système tubulaire, il y a la capsule de Bauman, il y a le tube proximal et les autres parties je vous montre bien le tube C'est le canal collecteur.
Donc bien sûr ici c'est ce qu'on appelle le corpuscule de Malpique. C'est l'ensemble de quoi ? Des gravitations lumineuses et on vient emboîter dans la capsule de Beaumont.
Donc ici se voit quoi ? La filtration qui est la première étape. Vient par la suite les mécanismes de réabsorption et de sécrétion.
Se voit entre le système tubulaire. c'est-à-dire la lumière, et le sang, c'est-à-dire le réseau péricapillaire, périsubulaire, pardon. Également la sécrétion qui se voit entre le sang et la lumière, bien sûr. Pour arriver à la dernière étape qui est l'excrétion ou bien l'élimination.
Les caractéristiques d'une urine définitive. C'est une solution aqueuse de substances minérales et organiques, de débit urinaire normal et de 1500 ml par 24 heures, c'est-à-dire 1,5 litre en moyenne, soit 1 ml par minute. Il est composé de 500 ml de diuresse obligatoire, quel que soit le volume hydrique ingéré.
alors également est faite de 1 litre de diuresse facultative selon quoi selon selon l'hydratation selon le climat selon le profil hormonal selon le pas mal de paramètres donc c'est une diuresse facultative peut dépasser même les mille millilitres il faut noter que Une oligurie, on parle d'oligurie si le volume ou bien si le débit urinaire est inférieur ou égal à 600 ml 24 heures. On parle également d'anurie si le débit urinaire est inférieur ou égal à 100 ml 24 heures. Alors une polyurie est définie par un débit supérieur ou égal à 2500 ml 24 heures.
L'oligurie et la poly... Les anuris peuvent être physiologiques, selon, comme on a dit, l'état d'hydratation, le climat, le profil hormonal, etc. Alors, l'anuri est pratiquement toujours pathologique.
Une restriction des apports hydriques ou bien des apports élevés peuvent être à l'origine de quoi ? Soit d'une oligurie, soit d'une polyurie. Donc c'est pour ça qu'on a dit que ces deux situations peuvent être physiologiques.
Alors le smolarité urinaire varie entre 50 et 1500 mL. Et le pH également varie entre 4,5 et 8. Alors en état normal, il est plus ou moins acide entre 5 et 6. Les composants de... Les urines définitives sont essentiellement le sodium, le potassium, le calcium, le phosphate, l'ammoniaque, également les bicarbonates, l'urine acidulique, la créatinine, les protéines, essentiellement les petits pores moléculaires.
Alors, à l'état normal... La glycosolie, elle est nulle. Il n'y a plus de glucose dans le sang.
Alors, il y a également des sédiments urinaires, comme quelques, présentés par quelques globules blancs, quelques globules rouges, des cristaux d'urate, des oxalates et des phosphates. Donc, c'est grosso modo les principaux, les principales composés de... de l'urine définitive.
Voilà en ce qui concerne l'introduction. Donc on va continuer la physiologie rénale par la description des différentes étapes de formation de l'urine, à savoir la filtration glomérulaire. Merci de votre attention.