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Résumé Brevet Français

Bonjour et bienvenue sur l'ardoise. Dans cette vidéo, nous allons voir toutes les notions que tu dois connaître pour pouvoir réussir ton brevet de français. J'ai analysé une vingtaine d'annales de brevets de français. Tu trouveras donc dans cette vidéo toutes les thématiques que tu dois absolument maîtriser. Je me suis mise à ta place pour réaliser cette vidéo que j'ai clarifiée au maximum.

Mon but c'est vraiment de te faire gagner du temps pour que tu évites de t'éparpiller dans tes révisions. N'hésite pas à partager cette vidéo à tes amis et surtout abonne-toi, je compte sortir d'autres vidéos sur le brevet. Rejoins-moi aussi sur Insta et TikTok, je prévois de faire des lives et du contenu pour pouvoir t'aider.

C'est tout ce que j'avais à te dire avant de commencer la vidéo donc c'est parti ! Dans cette vidéo, je vais aborder trois différents gros points. D'abord, on va aborder le vocabulaire que tu dois absolument maîtriser, ensuite l'orthographe et pour finir, la grammaire. Du coup, on va commencer par le vocabulaire.

D'abord, il faut que tu saches ce qu'est un synonyme. Les synonymes, ce sont des mots qui... qui ont le même sens ou un sens proche.

Mais attention, il faut qu'ils appartiennent à la même classe grammaticale. Par exemple, un habit, un vêtement, tous les deux, ce sont bien des synonymes parce qu'ils appartiennent à la même classe grammaticale, ce sont tous les deux des noms et ils ont le même sens. Un autre exemple, imiter, copier. Ce sont bien des synonymes, ils ont le même sens. Et en plus de ça, ils appartiennent à la même classe grammaticale, ce sont tous les deux des verbes.

On passe maintenant aux antonymes. Tu peux aussi avoir des questions sur les antonymes, donc il faut savoir ce que c'est. Les antonymes, ce sont des mots qui sont de sens opposé et qui appartiennent à la même classe grammaticale.

Par exemple, adorer, détester. Ce sont bien des antonymes parce qu'ils sont de sens opposé. Et ils appartiennent bien à la même classe grammaticale, ce sont tous les deux des verbes.

Beau et lait sont aussi des entourages. antonyme, ce sont bien des adjectifs et ils sont bien de sens opposés. Passons maintenant à la formation d'un mot. Cette question, elle est revenue assez fréquemment, donc il faut que tu la maîtrises.

Pour expliquer la formation d'un mot, il faut rechercher s'il est composé d'un préfixe, d'un radical et d'un suffixe. Attention, les trois éléments ne sont pas toujours présents. Par exemple, inconnu. Il est composé du préfixe privatif un et du radical connu.

Ici, il y a bien un préfixe, un radical, mais il n'y a pas de suffixe. Donc dans ta réponse, tu vas tout simplement dire qu'il y a un préfixe et un radical. Après, c'est possible qu'on puisse vous demander la définition de ce mot en fonction de sa formation. Ici, on a bien...

un connu, donc qui signifie qu'il n'est pas connu, tout simplement. Il faut aussi que tu saches indiquer la famille d'un mot. Une famille de mots se compose tout simplement de mots issus du même radical. Par exemple, lent, lenteur, lentement font partie de la même famille de mots parce qu'ils sont composés tous les trois du même radical. Passons maintenant au champ lexical.

Un champ lexical est constitué de mots qui appartiennent à la même thématique, la même idée. Par exemple, élève, apprendre, scolaire, classe, ardoise font partie du champ lexical de l'école. On passe maintenant à un point important du brevet. les figures de style. Tu dois savoir reconnaître une figure de style et en plus tu dois savoir aussi dire quel est l'effet produit par telle ou telle figure de style.

J'ai fait une vidéo sur toutes les figures de style que tu dois connaître pour le brevet. Je mets le lien en description donc n'hésite pas à mettre pause sur la vidéo pour aller la voir. Il faut aussi que tu saches ce qu'est un mot péjoratif et un mot mélioratif. Un mot péjoratif traduit une opinion défavorable.

Par exemple détestable, horrible, méchant sont des mots péjoratif. Alors qu'au contraire, un mot mélioratif va traduire une opinion ... favorable par exemple élégant beau gracieux etc ensuite il y a les registres ou les niveaux de langue il y a trois registres trois niveaux de langue différents il y a le registre familier courant et soutenu le langage familier est relâché avec des vulgarités et des fautes le langage courant s'emploie tout simplement dans la vie courante Et le langage soutenu utilise un vocabulaire riche et un style plutôt raffiné.

Je vais prendre un exemple pour que ce soit plus clair pour toi. Par exemple, une bagnole ça va faire partie du langage familier, une voiture du langage courant et un véhicule du langage soutenu. Il faut aussi que tu saches ce qu'est le sens propre et le sens figuré. Le sens propre c'est le sens le plus courant d'un mot.

Il renvoie à la signification concrète d'un mot généralement donné en premier dans un dictionnaire. Et le sens figuré s'oppose au sens propre. Il donne un sens imagé, abstrait au mot, parfois de façon poétique. Par exemple, le loup dévore la brebis. Ici, on est face à un sens propre parce que le loup, il dévore réellement la brebis.

Un autre exemple, Sophie dévore son livre. Dévore ici un sens figuré. Parce que Sophie, elle ne va pas réellement dévorer son livre. C'est plus une façon abstraite de le dire. Un point qui est important, c'est que tu dois connaître ce qu'est un procédé d'écriture.

On peut te demander d'identifier un procédé d'écriture, donc c'est pour ça que c'est vraiment important que tu saches ce que c'est. En plus, c'est une question qui revient vraiment assez souvent. On appelle procédé d'écriture des moyens stylistiques utilisés par les écrivains pour produire un effet sur le lecteur.

Ça peut être soit des figures de style, un champ lexical, des types et des formes de phrases qu'on verra dans la partie grammaire, des types de discours, le temps des vers et les valeurs des vers qu'on verra aussi dans la partie grammaire, ou la versification. Par exemple, pour montrer qu'un repas est bon, on peut dégager différents effets grâce aux procédés d'écriture. Par exemple, on peut utiliser une phrase neutre « ce repas est bon » .

« C'est divin » , on est face à une hyperbole et une phrase exclamative. Et « ce n'est pas mauvais » , ici le procédé d'écriture c'est une mythote. Un message peut donc être formulé de différentes manières à l'aide d'une variété de procédés.

Dans cet exemple, tous les procédés d'écriture utilisés veulent dire la même chose. Cependant, l'effet produit est assez différent. On perçoit en effet des nuances entre les différents exemples.

Ensuite, il faut que tu saches ce que signifient « implicite » et « explicite » . Une information est dite « explicite » lorsqu'elle est écrite de façon claire et précise dans un texte. Son sens ne comporte aucune ambiguïté.

Une information est dite « implicite » lorsqu'elle est sous-entendue, suggérée ou subtile. Le lecteur doit tout simplement la déduire par lui-même. Passons maintenant au vocabulaire de la poésie que tu dois maîtriser. La poésie, elle peut être soit écrite en vers ou en prose. Un vers dans un poème, c'est tout simplement une ligne.

Il faut aussi que tu saches ce qu'est une strophe. Une strophe, c'est un groupe de vers tout simplement un paragraphe du poème. Les strophes les plus utilisées, c'est la strophe de 3 vers qu'on appelle le tercé et la strophe de 4 vers qu'on appelle le quatrain. L'une des formes les plus utilisées, c'est le sonnet.

Il est composé de 2 quatrains et de 2 tercés. Il faut aussi que tu saches identifier le nom d'un vers. Le nom d'un vers va dépendre du nombre de syllabes.

Il faut que tu connaisses les 4 les plus importants. Il y a l'hexasyllabe qui est composé de 6 syllabes, l'octosyllabe de 8 syllabes, le décasyllabe de 10 syllabes, et l'alexandrin de douze syllabes. Il faut donc que tu saches compter les syllabes.

Pour compter les syllabes d'un verre, il faut regarder les E à la fin des mots. Certains vont se prononcer et d'autres non. Attention, il faut seulement observer les E à la fin des mots.

Seuls les E qui se trouvent devant une voyelle ou à la fin d'un verre, donc devant rien, ne se prononcent pas. Pour que ce soit plus simple pour toi, je vais prendre un exemple. Demain dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne.

Avant de commencer à compter les syllabes, on va d'abord repérer les E à la fin des mots et qui se trouve devant une voyelle et voir aussi s'il y a un E à la fin du verre. On remarque qu'il y a un E à la fin du mot aube et en plus de ça, il se trouve devant une voyelle. Donc on va le souligner pour que ce soit plus simple après. Il y a aussi un E à la fin du mot heure et il se trouve aussi devant une voyelle. On le souligne aussi.

Et pour finir, il y a bien un E à la fin du verre. On le souligne également. Donc c'est parti, on va commencer à compter les syllabes du verre.

Donc de main, on a déjà deux syllabes. Des, l'eau, on en a quatre maintenant. et là on va faire attention Attention parce que là, le E, il ne va pas se prononcer.

Ça va donc faire la syllabe suivante, bas. Ensuite, le roux, on ne va pas prononcer ici le E. Ici, en fait, on ne va pas dire campagne.

Parce qu'en fait, on ne prononce tout simplement pas le E à la fin du mot. On a 12 syllabes, on est donc face à un alexandrin. On passe maintenant à la disposition des rimes.

Chaque rime va suivre un schéma bien précis. Il y a les rimes plates ou suivies qui vont suivre le schéma AABB. Dans l'exemple qui va s'afficher, joue, rit bien avec sans roue et renouveau avec corbeau.

Ils suivent bien le schéma AABB. On est donc bien face à des rimes plates. Ensuite, il y a les rimes embrassées qui suivent le schéma ABBA.

Dans cet exemple, moi, rire avec voix. et oreille avec veille. On est bien face à un schéma ABBA, ce sont bien des rimes embrassées. Ensuite, il y a les rimes alternées ou croisées qui vont suivre le schéma ABAB.

Dans cet exemple, Ophélie rime avec folie et Noir avec soir. Tu dois aussi connaître la valeur des rimes. Pour connaître la valeur des rimes dans un poème, il faut compter les sons que les mots en fin de verbe ont en commun. Il y a les rimes pauvres.

Une rime est dite pauvre si seulement un seul son rime avec la fin d'un autre verbe. Par exemple, se trouver fort dépourvu quand la bise fut venue. Ici, dépourvu rime avec venue.

Et on est bien face à une rime pauvre parce qu'ici, il n'y a qu'un seul son qui rime, le son U. On dit qu'une rime est suffisante si deux sons riment avec la fin d'un autre verbe. Par exemple, la cigale ayant chanté tout l'été. Ici, on est face à deux sons qui riment, le son T et le son E.

On est donc bien face à une rime. suffisante et enfin on dit qu'une rime est riche si trois sons ou plus rime avec la fois d'un autre vers. Par exemple, la fourmi n'est pas prêteuse, dit-elle à son emprunteuse. Ici, il y a trois sons qui riment, le son T, le son E et le son Z.

Passons maintenant aux sonorités dans un poème. Il faut que tu connaisses l'allitération et l'assonance qui sont deux figures de style qui visent à créer des effets sonores. Mais j'explique plus en détail ce qu'est l'allitération et l'assonance dans ma vidéo sur les figures de style, donc si tu ne l'as toujours pas vue, n'hésite pas à aller la voir. Ensuite, il faut que tu saches ce qu'est l'enjambement, le rejet et le contre-rejet.

L'enjampement, c'est tout simplement une phrase qui se poursuit d'un vers à l'autre sans marquer de pause en fin de vers. Le but ici, c'est de créer un effet d'allongement. Ensuite, il y a le rejet, c'est la même chose que l'enjampement mais en plus petit.

C'est lorsqu'une partie de la phrase se termine au début du vers qui suit. Ensuite, il y a le contre-rejet, c'est tout simplement l'inverse du rejet. Il y a contre-rejet lorsque c'est le début de la phrase qui est mis en valeur à la fin d'un vers et qui poursuit au vers suivant. Voilà, on a terminé de voir le vocabulaire de la poésie, maintenant on va passer au vocabulaire du théâtre.

On va d'abord voir la composition d'une pièce de théâtre. Une pièce va se diviser en actes. Traditionnellement, une pièce de théâtre est composée de 5 actes.

Une pièce de théâtre se divise en actes, qui se divise en scènes et qui se divise en répliques. Comme j'ai dit précédemment, traditionnellement, il y a 5 actes. Le premier acte, ça va être l'exposition, donc la présentation des personnages et de l'intrigue. Le deuxième acte, ça va être l'action, donc tout simplement un événement qui survient. Ensuite, il y a le nœud.

La situation paraît bloquée et désespérée. Dans le quatrième acte, il y a le rebondissement, les péripéties, c'est-à-dire un événement qui débloque la situation. Et enfin, il y a le dénouement.

L'intrigue trouve sa solution. On passe à la composition du texte. Les répliques, c'est ce que disent les personnages. Il y a trois sortes de répliques. Il y a la tirade, qui est une longue réplique d'un personnage parlant à un autre.

La tirade va ralentir le rythme de l'intrigue. L'attention va être centrée sur un personnage qui va développer ses pensées. Ensuite, il y a le monologue.

C'est une longue réplique d'un personnage parlant seul. Et enfin, il y a l'aparté qui est une réplique qui est destinée au public et non au personnage. Ça signifie tout simplement que les autres personnages ne vont pas entendre ce que raconte le personnage qui parle. Seulement le public va entendre.

Ensuite, il faut vraiment que tu saches ce qu'est une didascalie. Les didascalies, ce sont des indications écrites en italique et destinées aux acteurs et aux metteurs en scène. Ce ne sont pas des répliques comme la tirade, le monologue et l'aparté.

et elles ne sont pas prononcées par un acteur. Elles permettent de donner des indications sur le lieu, le moment où se déroule la scène, sur le ton des répliques et sur les éventuels déplacements des personnages. Il y a 4 genres du théâtre que tu dois retenir.

Il y a la tragédie, où le héros se confronte à son destin, mais l'issue est fatale. Il y a la comédie, qui est une pièce comique. Le dénouement est heureux et les personnages positifs sont récompensés et les méchants sont punis.

Il y a différents comiques. Il y a le comique de situation. le comique de mots, le comique de gestes, le comique de caractères et le comique de répétitions. Il est important que tu saches ce qu'est un dramaturge.

Un dramaturge, c'est tout simplement un auteur de pièces de théâtre. Certains dramaturges ont voulu s'affranchir des codes classiques du théâtre et ont mélangé la comédie à la tragédie. Ce qui a créé la tragicomédie et le drame romantique. La tragicomédie, c'est une intrigue tragique et un dénouement heureux digne d'une comédie. Et il y a le drame romantique dont le dénouement est malheureux.

On passe maintenant au vocabulaire du récit. Le récit peut prendre la forme d'un roman. Si il est court, on parle alors d'une nouvelle. Il peut aussi se décliner sous la forme d'une autobiographie, d'un récit historique ou d'un conte.

On va commencer par voir ce qu'est le statut du narrateur et le point de vue du narrateur. Commençons par le statut du narrateur. Le narrateur peut être soit intérieur à l'histoire, soit extérieur. Qu'un narrateur est intérieur à l'histoire, lorsque le narrateur est tout simplement un personnage de l'histoire, il va donc raconter l'histoire à la première personne, il va utiliser donc les pronoms personnels « je » et « nous » .

On parle de narrateur extérieur à l'histoire lorsque le narrateur n'est pas un personnage de l'histoire. On va l'identifier par l'emploi de la troisième personne du singulier « il » . Passons maintenant au point de vue du narrateur. Le point de vue du narrateur, c'est l'angle sous lequel on raconte l'histoire. Il y a trois points de vue différents.

Le point de vue du narrateur, il peut être interne, externe ou omniscient. Concernant le point de vue interne, le narrateur va se glisser dans la peau du personnage et va raconter l'histoire à travers ce personnage. Le narrateur va rapporter ce que voit, ce que entend, ce que pense le personnage. Ça signifie que le lecteur va en savoir autant que le personnage.

Il peut s'agir d'un narrateur-personnage, donc un récit à la première personne. Comme on a vu précédemment, on dit que le narrateur est intérieur à l'histoire. Mais ce n'est pas obligatoire que le récit soit à la première personne, il peut aussi être à la troisième personne.

Les événements seront tout de même perçus et interprétés par le personnage. Même à la troisième personne, on aura les pensées et les sentiments du personnage. Ensuite, il y a le point de vue externe.

Le narrateur raconte simplement les faits et gestes des personnages. On ignore ce qu'il pense ou ce qu'il ressente. Il décrit l'action comme elle se passe avec des termes neutres et objectifs, comme si l'action était filmée par une caméra.

Ici, on va seulement utiliser la narration à la troisième personne. Donc ici, par rapport au statut du narrateur, on est tout le temps face à un narrateur extérieur à l'histoire. Et pour finir, il y a le point de vue omniscient.

Le narrateur connaît tout de l'histoire et sait tout sur les personnages. Ici, le narrateur, en fait, il est comme un dieu. Il connaît le passé et l'avenir des personnages.

Il peut se déplacer dans le temps et l'espace. Le lecteur ici, il va dominer l'histoire, il en sait plus que les personnages eux-mêmes. Ici, on va seulement utiliser la narration à la troisième personne.

Passons maintenant aux paroles rapportées. J'aurais pu mettre cette partie dans la partie grammaire, parce qu'en fait, on peut vous poser la question dans la partie réécriture, et on peut vous demander de transformer un texte qui est au discours direct, au discours indirect, par exemple. Mais on peut aussi vous demander comment les paroles d'un personnage sont rapportées.

C'est pour ça que je l'ai mis dans la partie vocabulaire du récit. Le narrateur peut rapporter les paroles de son personnage de trois manières différentes. Le discours direct, le discours indirect et le discours indirect libre.

Commençons par le discours direct. Les paroles du personnage sont directement rapportées par le narrateur, telles qu'elles ont été dites avec des guillemets, des tirés et des incises. Concernant le discours indirect, les paroles du personnage sont rapportées indirectement.

Le narrateur insère les paroles dans sa narration en conservant seulement leur sens. Il n'y a pas de guillemets, d'incises ou de tirés. Le verbe de parole est placé avant les paroles rapportées et suivi d'une conjonction de subordination. On passe maintenant au discours indirect libre.

Le discours indirect libre, c'est un intermédiaire entre le discours direct et le discours indirect. Il n'y a pas de tiré ni de guillemet, mais comme le discours direct, il y a une ponctuation expressive. Et il n'y a pas de proposition subordonnée, donc pas de conjonction de subordination comme au discours indirect. On passe à la seconde partie, l'orthographe. Je vais aborder deux points essentiels qu'il faut absolument que tu saches maîtriser le jour J.

Je vais commencer par les règles d'accord du participe passé. Le premier point, ça va être le participe passé employé avec le verbe être. Ici, le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le sujet du verbe.

Par exemple, elles sont arrivées. Arrivée est bien un participe passé employé avec le verbe être. Arrivée s'écrit bien EES parce qu'il s'accorde en genre et en nombre avec le sujet elle.

Ensuite, il y a le participe passé employé avec l'auxiliaire avoir. Ils s'accordent avec le COD si celui-ci est placé avant le verbe. Par exemple, elles ont mangé des fruits.

Le COD ici est placé après le verbe. Le participe passé ne s'accorde ici tout simplement pas. Elles les ont mangé.

Ici, le COD est bien placé avant le verbe. Le participe passé va donc s'accorder avec le COD. Et pour finir, le participe passé peut être aussi employé seul. Le participe passé va s'accorder ici en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte comme un adjectif. Par exemple, les plats épicés.

Épicé, eh bien ici employé seul, sans auxiliaire être ni auxiliaire avoir. Ils s'accordent donc en genre et en nombre avec le nom plat. On passe maintenant aux homophones grammaticaux.

Les homophones, ce sont des noms qui se prononcent de la même manière, mais leur orthographe varie selon leur nature et leur emploi. Pour les reconnaître, il faut s'interroger sur la classe grammaticale des mots. et faire des substitutions, c'est-à-dire des remplacements. On va voir ça tout de suite avec les homophones principaux que tu dois maîtriser. Par exemple, A apostrophe ou A.

A apostrophe, c'est une préposition et ne peut être remplacée par AVE. Alors que A sans accent, c'est le verbe AVOIR. Et il peut être remplacé par le verbe AVE.

Ensuite, il y a MON ou MON. M apostrophe ONT est un pronom personnel. Il peut être remplacé par MAVE.

Et MON, M-O-N, c'est un déterminant possessif. Il peut être remplacé par TON ou SON. Ensuite, il y a CE, CE, CE. CE, CE est un déterminant démonstratif ou un pronom démonstratif.

Il peut être remplacé par ceci ou cela. Ce SE est un pronom personnel. Il peut être remplacé par me ou te. Et ce CEUX est un pronom démonstratif masculin pluriel.

Il peut être remplacé par celle. Ensuite, il y a CE ou CE. C'est un déterminant démonstratif. Il peut être remplacé par ce, cet ou cet.

Et CES est un déterminant possessif. Il peut être remplacé par mes ou tes. Ensuite, il y a ça ou ça.

Sa-sa est un déterminant possessif. Il peut être remplacé par ma-ou-ta. Et sa-ce-ce-di-a est une forme contractée du déterminant démonstratif cela. Il peut donc être remplacé par cela.

Ensuite, il y a la-la-ou-la. La-l'a-s ou la-l'a est un pronom personnel. Il peut être remplacé par l'avait.

Et la-l'a est un article défini. Il est le plus souvent placé devant un nom. On peut le remplacer par une.

Ensuite, il y a la-l'a-apostrophe qui est un adverbe de lieu. qui peut être remplacé par ici, là-bas, à ce moment ou à cet endroit. Et pour finir, il y a leur ou leur. Leur, L-E-U-R, quand il est placé devant un nom au singulier ou leur, L-E-U-R-S, quand il est placé devant un nom au pluriel, est un déterminant possessif.

Il peut être remplacé par mon, ma ou mes. Ensuite, il y a leur, L-E-U-R, qui ne prend jamais de S, qui est un pronom personnel invariable, peut être remplacé par lui. Passons maintenant au troisième point très important, la grammaire.

Il faut que tu saches distinguer les quatre... types de phrases. Il y a d'abord la phrase déclarative qui donne une information et qui se termine par un point.

Par exemple, j'aime le chocolat. Ensuite, il y a la phrase interrogative qui demande une information et qui se termine par un point d'interrogation. Par exemple, où as-tu mangé hier ? Il y a aussi la phrase injonctive qui exprime un ordre, un conseil ou un souhait. Elle se termine par un point ou un point d'exclamation.

Par exemple, circuler, il n'y a rien à voir. Ou ne pas prendre de photos. Ensuite, il y la phrase excuse exclamative qui exprime un sentiment une émotion et qui se termine par un point d'exclamation par exemple cette voiture est incroyable ensuite il faut que tu connaissent les formes de phrases parce que tu peux aussi avoir des questions dessus. Comme on a vu, les phrases peuvent être classées par type, mais elles peuvent prendre des formes différentes. Il existe la forme affirmative ou la forme négative, la forme personnelle ou impersonnelle, la forme active ou passive, et pour finir la...

forme neutre ou empathique la phrase affirmative ne comporte pas de négation tandis que la phrase négative porte une marque de négation par exemple ne pas ne jamais ne guerre ni ni un exemple de phrases affirmatives j'aime le chocolat et à la forme négative cette phrase va devenir « je n'aime pas le chocolat » . Ensuite, passons à la forme personnelle ou impersonnelle. Une phrase à la forme impersonnelle a pour sujet la troisième personne du singulier « il » . Mais celui-ci ne correspond à rien ni à personne. La forme personnelle s'oppose à la forme impersonnelle.

On dit que la phrase est personnelle lorsque le sujet renvoie à quelque chose ou à quelqu'un. Un exemple de phrase impersonnelle « il pleut des cordes » . Ici, « il » ne renvoie ni à quelqu'un ni à quelque chose.

Ensuite un exemple de phrase personnelle Il arrive dans cinq minutes. Ici le pronom personnel il renvoie bien à une personne. Ensuite il y a la forme active ou passive. Une phrase est à la voix active si le sujet fait l'action.

Alors qu'une phrase est à la voix passive si le sujet subit l'action. Un exemple d'une phrase à la voix active la femme conduit la voiture. Ici le sujet la femme fait bien l'action conduire la voiture. Ensuite une phrase à la voix passive la voiture est conduite par la femme.

Le sujet ici subit l'action. Passons maintenant à la forme neutre ou empathique. La phrase neutre s'oppose à la phrase empathique, elle ne met aucun élément en évidence.

Par exemple, Tom est arrivé le premier. Alors que la phrase empathique sert à mettre en relief, en évidence, un des éléments de la phrase. Une phrase à la forme empathique peut utiliser c'est qui ou c'est que pour encadrer l'élément mis en relief.

Par exemple, c'est Tom qui est arrivé le premier. Ici, Tom est bien mis en relief par c'est qui. On est bien face à une phrase de forme empathique.

Une phrase empathique peut aussi placer l'élément mis en relief en début de phrase ou en fin de phrase en le reprenant avec un pronom et en utilisant un signe de ponctuation. Par exemple, Tom, il est arrivé le premier. Ici, Tom est bien repris par un pronom et bien mis en évidence en début de phrase avec une virgule.

Répéter en fait Tom avec le pronom il, ça permet vraiment de le mettre en évidence. On peut aussi isoler Tom en fin de phrase pour le mettre également en évidence. Par exemple, il est arrivé en premier virgule tom passons maintenant à la phrase verbale ou non verbale on passe là une partie qui est vraiment assez simple mais qu'il faut que tu saches maîtriser on appelle une phrase verbale une phrase qui contient un verbe conjugué par exemple j'attends mon frère ici il y a bien un verbe conjugué c'est donc bien une phrase verbale et on appelle phrase non verbale une phrase phrase qui ne contient pas de verbe conjugué.

Par exemple, attention, chute de neige. Ensuite, il faut que tu saches différencier une phrase simple d'une phrase complexe et aussi que tu saches identifier les propositions dans une phrase complexe. Il faut que tu saches différencier les propositions juxtaposée coordonnées et subordonnées et en plus il faut que tu saches identifier les différents types de subordonnées il y à la proposition subordonnée relative la proposition subordonnée conjonctive circonstanciel ou la proposition subordonnée circonstanciel ça représente la même chose la proposition subordonnée conjonctive complétive et pour finir la proposition subordonnée interrogative indirecte j'ai déjà abordé ce sujet dans une vidéo avec des exemples, donc je la mets en barre de description, n'hésite pas à mettre sur pause la vidéo pour aller la voir. Ensuite, il faut que tu saches repérer les rapports logiques ou les liens logiques, c'est la même chose entre les propositions. Cette question est vraiment récurrente dans les sujets de brevets.

La juxtaposition, la coordination et la subordination traduisent une relation logique entre les propositions. En fait, identifier un rapport logique entre deux propositions, c'est comprendre le lien qui est établi entre elles. Il faut d'abord que tu repères le mode de liaison qu'on appelle aussi connecteur logique qui relie les propositions.

Cela peut être une conjonction de coordination, une conjonction de subordination ou un adverbe de liaison. Ces mots te permettront de trouver le rapport logique établi. Les rapports logiques les plus fréquents sont la cause, la conséquence, l'opposition et l'addition.

Ensuite, il est possible que tu sois face à des propositions juxtaposées, donc qui sont reliées par un signe de ponctuation, ça peut être soit une virgule, soit deux points ou un point-virgule. Ici, le rapport logique est implicite, donc c'est vraiment à toi de le déduire. Mais ne t'en fais pas, pour que ce soit plus clair pour toi, je vais te montrer ça avec des exemples.

Pour que ce soit plus clair pour toi, je vais te mettre à gauche ou à droite un tableau qui relie les rapports logiques et les connecteurs logiques. Par exemple, concernant le rapport logique de cause, ça peut être tout simplement deux propositions qui sont reliées par un signe de ponctuation. Donc deux propositions juxtaposées.

Ça peut être aussi deux propositions qui sont reliées par une conjonction de coordination. car un adverbe de liaison en effet, tellement, etc. ou ou par une conjonction de subordination parce que, puisque, etc. C'est la même chose pour la conséquence, l'opposition et l'addition, mais vous retrouvez tout dans le tableau qui relie du coup les rapports logiques et les connecteurs logiques.

Pour que ce soit vraiment plus clair pour toi, je vais te montrer ça avec des exemples. Par exemple, je ne vais pas à l'école, virgule, je suis malade. On peut te demander de réécrire la phrase en remplaçant la virgule par le connecteur logique qui convient.

La première question qu'il faut que tu te poses, c'est quel est le rapport logique ? Ici, on est face à une ponctuation, donc c'est vraiment à nous de déduire le rapport logique. Parce que si on avait directement un connecteur logique, par exemple parce que ou car, on aurait tout de suite deviné que c'est un lien de cause.

Ici, on déduit que le rapport logique, c'est un rapport de cause. Parce que je ne vais pas à l'école, c'est vraiment à cause du fait que je suis malade. Ici, je vais choisir le connecteur logique car. Je vais donc réécrire la phrase suivante.

Je ne vais pas à l'école car je suis malade. Ou une conjonction de subordination, par exemple parce que. Un autre exemple, je n'ai pas fait mes devoirs, j'ai une punition.

On peut ici aussi vous demander quel est le rapport logique. Ici, c'est bien un rapport logique de conséquence. J'ai une punition, c'est la conséquence du fait que je n'ai pas fait mes devoirs. Et par la suite, on peut aussi vous demander de remplacer les deux points par un connecteur logique. Donc ici, soit par donc, soit par conséquent, ou par exemple, si bien que.

Après au brevet, c'est possible qu'on vous mette deux phrases et qu'on vous demande d'identifier le rapport logique entre ces deux phrases. Par exemple, je n'ai pas envie d'y aller, il fait trop froid. On peut vous demander le rapport logique qui unit les deux phrases.

Ici, c'est bien un rapport logique de cause. Et on peut vous demander aussi de réécrire les deux phrases avec un connecteur logique. Ici, par exemple, je n'ai pas envie d'y aller car il fait trop froid.

Donc, vous allez faire exactement la même chose si c'est soit deux phrases, soit une phrase avec un signe de ponctuation. Ensuite, il faut que tu connaisses les classes grammaticales des mots ou les natures des mots. Ça, c'est vraiment une question qui revient presque à chaque sujet de brevet. La classe grammaticale d'un mot ou la nature d'un mot, c'est son identité, elle ne change jamais contrairement à la fonction d'un mot.

On divise les classes grammaticales des mots en deux groupes, les classes variables et les classes invariables. Les classes variables contiennent des mots dont la forme peut changer selon le genre, le nombre, le temps, les modes ou la personne. Dans les classes variables, il faut que tu saches identifier le nom, le déterminant, l'adjectif, le pronom et le verbe.

Il faut aussi que tu saches identifier les mots qui font partie des classes invariables. donc des mots qui ne changent jamais. Il y a l'adverbe, la préposition, la conjonction et l'interjection. Mais aussi, il faut que tu saches identifier les classes grammaticales des groupes de mots.

Il y a le groupe nominal, la proposition, le groupe infinitif et le groupe adjectival. J'ai déjà réalisé une vidéo sur les classes grammaticales, donc je la mets aussi en barre de description. Donc si c'est un sujet que tu ne maîtrises pas, n'hésite pas à mettre sur pause pour aller la voir.

Ensuite une question qui revient régulièrement c'est d'identifier la fonction d'un mot ou d'un groupe de mots. La fonction d'un mot ou d'un groupe de mots c'est son rôle dans la phrase. Sa fonction peut changer en fonction du contexte. Il y a d'abord les fonctions par rapport au nom qu'on appelle aussi expansion du nom. Il y en a quatre, il y a l'épithète, le complément du nom, la position et le complément de l'antécédent.

Concernant les fonctions par rapport au verbe, il faut que tu saches identifier le sujet, le COD, le COI, le COS, l'attribut du sujet et l'attribut du COD. Et pour finir, il y a aussi les fonctions par rapport à la phrase. Il faut que tu saches identifier le complément circonstanciel de temps, de lieu, de cause, de conséquence, de but, de manière, de moyen et de comparaison. Donc encore une fois, j'ai déjà fait une vidéo sur ce sujet que tu retrouveras en barre de description. Savoir repérer le mode et le temps d'un verbe, c'est primordial.

Il y a les modes personnels et les modes impersonnels. Les modes personnels sont composés de 4 modes. L'indicatif, le subjonctif, le conditionnel et l'impératif. Les modes impersonnels sont composés de 3 modes. Le mode infinitif, le mode participe et le mode gérondif.

Dans chacun des modes, il y a plusieurs temps. On va commencer par les modes personnels. D'abord, parlons du mode indicatif qui est le mode le plus utilisé et sur lequel tu risques fortement d'être interrogé.

Il est composé de 4 temps simples et de 4 temps composés. Concernant les temps simples, il y a le présent, l'imparfait, le passé simple et le futur simple. Concernant les temps composés, il y a le passé composé, le plus-que-parfait, le passé antérieur et le futur antérieur. Ensuite, il y a le mode subjonctif qui est composé de 2 temps simples et de 2 temps composés.

étant simple il ya le subjonctif présent et le subjonctif en part Ensuite il y a les temps composés qu'on n'utilise maintenant plus du tout. Il y a le subjonctif passé et le subjonctif plus que parfait. Ensuite il y a le mode conditionnel qui est composé de deux temps.

Le conditionnel présent et le conditionnel passé. Et pour finir avec les modes personnels, il y a le mode impératif. Il y a l'impératif présent et l'impératif passé. Passons maintenant au mode impersonnel.

Il y a le mode infinitif qui est composé de deux temps, présent et passé. Le participe qui est composé du participe présent et du participe passé. Et pour finir le mode gérondif qui est...

lui aussi composé de temps présent et passé petit conseil lorsque on te demande le temps d'un verbe il faut que tu dises absolument son temps mais également son mode par exemple si un verbe est un l'imparfait tu vas dire dans ta copie que c'est l'imparfait de l'indicatif N'hésite pas à me dire en commentaire si tu souhaites que je réalise une vidéo sur comment identifier le temps et le mode d'un verbe. Après t'avoir demandé d'identifier le temps et le mode d'un verbe, en général on va te demander d'identifier sa valeur. J'ai déjà réalisé une vidéo sur les valeurs des modes et des temps que tu dois connaître pour le brevet. Je l'ai mise également en description. Et pour finir, ce n'est vraiment pas une obligation, donc si tu n'as pas le temps, ne le fais pas.

Mais pour pouvoir appuyer tes arguments dans le sujet de réflexion, tu as la possibilité de citer des œuvres littéraires. Donc n'hésite pas à prendre une fiche et à lister les œuvres littéraires que tu as vues et à noter à côté de chaque titre son auteur, son genre, sa date de publication et ce que cette œuvre raconte. Ce sera vraiment un plus dans ta copie mais comme je te l'ai dit, ce n'est vraiment pas une obligation.

j'espère vraiment qu'elle a pu t'aider au maximum. Je te souhaite vraiment bon courage dans tes révisions. N'hésite pas à t'abonner et à liker si cette vidéo t'a plu. Salut ! Musique