très bien alors hier on s'est arrêté à ce niveau là vous m'écoutez bien très bien mais est-ce que vous avez eu le temps de visualiser ces trois vidéos oui oui oui oui oui Alors, alors, nous revenons. Sur les notions qu'on a détaillées hier, on a vu la notion de compartiment hydrique, la définition, on a détaillé la composition des différents compartiments, puis on est passé à la deuxième partie, à savoir la détermination du volume d'un compartiment hydrique. On a vu que la mesure du volume d'un compartiment revient à trouver une méthode permettant de mesurer le volume de liquide contenu dans une bouteille sans avoir à la vider.
Et là, c'était possible grâce à... la méthode de dilution pour le cas d'un compartiment fermé. On est tous d'accord jusqu'à ce niveau-là ?
Oui ou non ? Oui, madame. Oui.
Très bien. Donc aujourd'hui, on va voir le cas d'un compartiment ouvert. Donc là, il ne s'agit plus d'un compartiment fermé. La substance ne peut pas être, disons, chopée dans le compartiment au question. Donc il ne s'agit plus d'un compartiment fermé, mais d'un compartiment ouvert.
Alors il faut savoir que… Pour un compartiment ouvert, il y a deux méthodes. La méthode à l'équilibre, qui figure dans votre polycopier, mais qui est hors programme. Et la méthode d'extrapolation. Avant de passer à la méthode d'extrapolation, juste pour capituler par rapport à la méthode de dilution pour un compartiment fermé.
Qui peut nous commenter cette plaque ? Madame, je peux la commenter ? Allez-y. Premièrement, on va introduire une substance dans la bouteille. Elle doit vérifier plusieurs conditions.
Elle ne doit pas être toxique. Elle doit être différente de la composition du comportement. Elle doit être injectée par voie intraveneuse et d'autres conditions.
Puis, on va laisser un peu de temps jusqu'à une homogénéisation parfaite. Puis on va prélever un échantillon des solutions et par la suite on va mesurer la concentration. Et finalement, pour terminer, après avoir mesuré la concentration, on va calculer le volume. On va calculer le volume, très bien. Le volume, il y a juste un petit commentaire.
Au début, tu as dit, mais bon, ce n'est pas grave. Tu as dit dès le début qu'on injecte une substance non pas dans la bouteille, c'est juste une petite remarque, c'est dans le compartiment en question. D'accord ?
Oui, d'accord. Très bien. Et pour terminer, on s'est mis d'accord sur le fait que la méthode de dilution n'est applicable que pour la mesure du volume. du plasmatique.
Très bien. Madame, j'ai une question. Est-ce que le compartiment vasculaire relâche le compartiment plasmatique ? On en a parlé en long et en large hier soir. Le compartiment vasculaire, c'est l'association du compartiment plasmatique plus le liquide intracellulaire qui se trouve dans les cellulaires où figurent du sang qui circule.
En intravasculaire, c'est une association. D'accord ? Madame ?
Oui ? Une question très rapide, madame. Oui ?
En fait, madame, elle a une dilution qui est en train de se faire. Par contre, les questions, elles sont... Madame Ardèche, la méthode de dilution n'est applicable que pour le liquide plasmatique ?
Le liquide plasmatique ? Oui. C'est parce que la membrane délimite le liquide plasmatique et de type endothélial, elle présente des pores et la substance qui peut passer ces pores-là pour arriver à d'autres liquides va obligatoirement passer au niveau des urines.
On l'a bien détaillé. Je répète. Je prends l'exemple du compartiment extracellulaire.
Je cherche à déterminer le volume du compartiment extracellulaire. Donc, la substance, obligatoirement, pour pouvoir mesurer ce volume-là, elle doit diffuser dans tout ce volume-là. Or, ma porte d'entrée, c'est le liquide plasmatique.
On est tous d'accord, oui ou non ? Puisque l'injection va se faire par voie intraveineuse. C'est ce que je voulais dire. Vous suivez ?
Oui. Finalement, cette substance, pour pouvoir mesurer tout ce volume-là, doit diffuser dans le liquide plasmatique et dans le liquide interstitiel. Mais malheureusement, je n'ai pas de voie d'accès directe au liquide interstitiel. Je dois passer obligatoirement par le liquide plasmatique. Donc, cette particule rentre dans le liquide plasmatique, passe la barroie et diffuse dans le liquide interstitiel.
Mais le problème, dans ce cas de figure, c'est que cette membrane Elle est également la membrane séparant le liquide plasmatique et le glomérule, l'unité fonctionnelle du rein. Le type de la paroi à ce niveau-là, c'est une membrane type endothéliale également. Donc finalement, cette substance va diffuser dans tout le compartiment, certes, mais elle va également passer au niveau rénal. Donc mon compartiment, dans ce cas de figure, n'est plus fermé.
il est plutôt ouvert. D'accord, madame, merci beaucoup. Bien, donc on a terminé avec le rapport. L'unité de quelle grandeur ? La quantité de la substance à injecter dans l'organisme.
Ça dépend de quel type d'unité. Si vous avez une mesure de radioactivité, la quantité sera exprimée en bec, crème ou curry. S'il s'agit du bleu et vince, par exemple, c'est une densité optique.
Ça dépend du type de substance. D'accord ? D'accord, madame. Est-ce que c'est clair ?
D'accord. Très bien. Alors, on va passer au compartiment offert.
Et comme je viens de le dire, il y a deux méthodes. Il y a ce qu'on appelle la méthode à l'équilibre, qu'on ne va pas voir, qui est leur programme. Et on va se pencher sur la méthode d'extrapolation.
Madame, il y a une application à faire, la science dernière d'hier. Oui. On va la corriger lors des séances de travaux dirigés.
Ah d'accord. D'accord ? D'accord.
Alors pour la méthode d'extrapolation, je vous rappelle qu'on a une substance qui diffuse dans tout le compartiment. Et là, comme vous voyez, il y a un robinet. C'est pour dire que le compartiment est ouvert pour cette substance.
On est d'accord que le volume V du liquide dans ce compartiment est une constante, sauf que la quantité Q varie avec le temps de cette substance-là, et par conséquent, la concentration varie en fonction du temps. Est-ce qu'on est d'accord ? Oui.
Oui, madame. Très bien. Je ne suis plus dans la situation où Q est une constante.
C'est une constante, on est d'accord. Vous vous rappelez, dans le compartiment fermé, la concentration augmente, puis elle devient constante. Oui ou non ? Et pour un temps supérieur au temps d'homogénéisation, j'ai C constante, Q est déjà une constante, je peux déduire V. Là, ce n'est plus la même situation.
On n'est plus dans le même cas de figure. Donc, aussi bien Q que C varient en fonction du temps. On va essayer de comprendre petit à petit comment on va réussir.
Un problème de connexion, madame. Madame, on ne vous entend pas. Madame, le micro est fermé. Madame, on partage l'écran.
Oui, oui. Je vous fais une présentation. Non, madame.
On n'est pas partagé. On n'est pas partagé, madame. OK, c'est clair. C'est bon, madame.
C'est bon. OK, merci. C'est bon, madame. Merci. Alors, donc, Narjo, quand c'est arrêté à ce niveau, on va essayer de voir la variation de C en fonction du temps.
À votre avis, c'est à l'instant initial à quoi est égal ? Je rappelle, C, c'est la concentration de masse. Dans le compartiment, très bien. La concentration initiale est nulle.
Très bien. Par la suite, comment va évoluer C ? Elle va augmenter jusqu'à l'infini. Oui, elle va diminuer. Un temps bien précis.
Oui, diminuer jusqu'à s'annuler. Oui, elle va diminuer jusqu'à s'annuler. Donc, ça augmente progressivement jusqu'à l'homogénéisation. Et finalement, elle va diminuer par phénomène d'élimination. Très bien.
Donc, finalement, j'ai le droit de me dire que le volume V, finalement, C'est Q de T sur C de T, puisqu'il s'agit de deux grandeurs qui varient en fonction du temps. Pour avoir V, que faut-il faire ? Mesurer C. À quel instant ? À l'instant d'homogénéisation. TH.
Oui, voilà, à TH. TH. Autre proposition ? Pardon ?
Pour avoir des... On peut faire peut-être la différence ? Il y a deux instants successifs et on fait la différence, peut-être. Mais on ne sait pas s'il s'agit d'une droite linéaire ou l'exponentielle, car ça sera la pente. Alors, si les Rennes disent une exponentielle, on ne parle pas de pente, normalement.
Allez, c'est sur quel argument ? La dernière fois, la progression, la concentration, c'était exponentiel, ou non ? C'était exponentiel.
La dernière fois, pour obtenir le temps d'homogénéisation, c'était exponentiel. Mais c'est exponentiel. On n'a jamais parlé d'évolution exponentielle, jusqu'à ce moment, on n'a pas parlé.
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